L’histoire est en marche. Le dictateur Sassou Denis vacille sur ses pieds d’argile. La chute d’Ali Bongo Ondimba grâce au courage du général Brice Olingui Nguéma hante et pertube ses nuits. Bien malin qui peut ou pourra dire dans quelles circonstances, il sera bientôt chassé du Congo. Ce vent de libération qui souffle sur l’Afrique des libertés ne l’épargnera pas. S’entêter à s’accrocher à un « pouvoir » usurpé depuis des décennies est le vice d’un sot et d’un ignorant. Ce que ses flatteurs nomment ruse ou malice, s’appelle entêtement chez un âne.
Régime siamois à celui de son defunt gendre Omar Bongo Ondimba qui vient d’être balayé après cinquante cinq ans d’accaparement du pouvoir par un clan est un signe qui ne trompe pas. L’usure, la longevité, l’arrogance, les anti-valeurs et l’incompétence ont fini par mettre hors d’état de nuire une bande de racailles.
Comme le clan Bongo, celui de Sassou Denis a copieusement, littéralement et sans vergogne ruiné le Congo. La sécurité sociale a failli. Tous les fondements de notre société ont disparu au profit des comportements vicieux et mafieux de quelques satrapes autoproclamés « dirigeants », qui ont élevé en mode de gouvernement la famine, l’ignorance, l’assassinat et la peur, la corruption, la concussion et les détournements en tous genres.
Comme Noureddine Bongo, Christel Sassou, qui avait des ambitions successorales au Congo doit se mordre les doigts. Le plan concocté au coin d’une table sur le bord de l’Alima vient de tomber à l’eau. Nous n’accepterons plus un congolais frelaté à la tête de notre pays.
Conseiller occulte et malheureux de Macky Sall qui a renoncé à briguer un troisième mandat sous la pression populaire au Sénégal, la coupure de l’Internet par Ali Bongo le 26 octobre dernier comme le fit Sassou Denis lors de l’élection présidentielle de 2016, lui a été fatal.
Comme Sassou Denis, Ali Bongo avait vidé de toute sa substance l’armée nationale. Aujourd’hui, force est de constater que les Coups d’état et/ou les Révolutions de palais ne se font plus par l’Armée dite régulière, mais par la garde prétorienne (Niger et Gabon).
A la différence d’Ali Bongo et de son clan, Sassou Denis bénéficiera-t-il de la même mansuétude? Pas sûr !
La mémoire, selon les Grecs, « … est vérité, puisque la vérité est le contraire de l’oubli ». La vérité est que Sassou Denis est un criminel qui a sa place à la CPI.
La mémoire n’est pas l’Histoire. Pour un individu, pour un peuple, pour un pays, perdre la trace de son histoire, positive ou négative, loin d’apporter plus de liberté, engendre une perte de sens. Parce qu’une histoire mal assumée peut nous conduire à la perte de nos valeurs.
Comme Ali Bongo, Sassou Denis n’est pas digne d’intérêt. S’il était humain, il aurait eu un penchant naturel à faire le bien aux congolais avec toutes les richesses que regorgent notre pays. Au lieu de cela, Sassou Denis a paupérisé les congolais en les réduisant sciemment à la clochardisation. Comme nous avons une bonne mémoire, nous lui rendrons la monnaie de sa pièce. A l’image de Saddam Hussein, nous irons le chercher même dans un trou à rat.
Au moment où les signes avant-coureurs de la chute de Sassou Denis et de son régime sont perceptibles, les mbochis qui l’entourent ont devant eux un choix cornélien. Accepteront-ils de couler avec lui comme le titanic, ou le sacrifieront-ils comme il le fit pour Marien Ngouabi en lui sectionnant la carotide?
Ce débat avait été clairement posé et animé par Nianga Mbouala qui s’inquiétait de l’avenir des mbochis post Sassou Denis et Norbert Dabira.
Quoi que fasse Sassou Denis, il sera inéluctablement emporté par ce vent libérateur qui vient de Libreville, et qui ne s’arrêtera pas à la frontière. Ses heures sont comptées.
Comme Ali Bongo, les Congolais n’attendent rien de Sassou Denis. Cet imposteur qui a troqué le treillis militaire pour des costumes croisés (1, 2 millions d’euros de sapes selon le Canard Enchaîné) n’a jamais remporté une élection. Le moment est venu de nous en débarrasser. Tous les ingrédiens de son éviction sont réunis. Depuis quelques jours, la peur a changé de camp.
Comme au Gabon, une TRANSITION s’impose pour réparer les dégâts causés par Sassou Denis, son clan et le PCT. Il faut que notre pays redevienne lui-même en se basant sur notre organisation antérieure à la colonisation. Il nous faut des institutions qui soient en phase avec nos traditions, nos us et coutumes. Le prêt-à-porter institutionnel nous a conduits dans l’impsasse. Nous devons être ingénieux en mettant en place des institutions qui soient en phase avec notre manière d’etre.
Le Congo ne restera pas en marge de l’Histoire. A juste titre, comme l’écrit si bien Kofi Yamgnane: « Les dictatures fleurissent sur tous les continents, les intolérances, les populismes aussi, alors que les peuples ne veulent que vivre, vivre décemlent. C’est le goût extraordinairement immodéré pour l’argent qui assassine l’espoir d’un monde meilleur pour demain »(Mémoires d’outre-haine, page 249).
Comme les caisses d’argent astronomiques qui ont été saisies auprès du clan Bongo, imagine-t-on un seul instant la quantité d’argent qui se trouve chez Albert Ngondo, l’inamovible et octogénaire trésorier payeur général qui a largement dépassé l’âge de la retraite, Chez Kiki Angwalima à Kinshasa, dans les paradis fiscaux et à Brazzaville, Chez Sassou Denis sous les dalles des sépultures de ses défunts parents dans son village d’adoption à Oyo?
Chasser Sassou Denis, c’est sauver le Congo. Il doit tomber. Et va tomber. S’il porte une montre en or, le résilient peuple congolais a le temps.
Même si « comparaison n’est pas raison », si les gabonais, grâce à la bravoure de leurs soldats ont réussi à mettre un terme à la dynastie Bongo, pourquoi pas les congolais?
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 05 septembre 2023, par www.congo-liberty.org
Je partage tout ce qui est dit sauf le titre ; il est déjà trop tard.
Lire,,,,sur mes précédents commentaires : les premières déclarations et le boa est éventré. Je n’ai pu le faire !!.
Oui ,ce satrape est en espadrilles vit ses derniers moments d’égarement criminel dû à l’apologie de l’argent public. Il n’a jamais dirigé le Congo Brazzaville, sauf lui piquer son jus jusqu’à sa moelle épinière..
Un voleur déguisé en président de la République ,dont la fin de règne ressemblera à celle de l’initiateur « : de faire du bruit ‘.
Le bruit se fera au Congo Brazzaville, dans le sens du déguerpissement du dictateur doublé d’un tribalisme éhonté et sous- développementiste..
Oui ,on fera du bruit pour dire à tous les congolais que le modèle économique français, essayé depuis la sortie de la caverne coloniale ,a engendré plus de dictateurs,de misères ,de voleurs, de l’aristocratie financière ,de crimes humains que la recherche de la solution économique à la misère nationale..
Oui ,on fera du bruit pour refonder les institutions de notre pays pour replacer le congolais au centre des décisions nationales , régionales , et locales ..
C’est l’économie qui viendra aux congolais pour lui rendre sa dignité bafouée par un délinquant sans valeurs , réduit à satisfaire les intérêts de ceux qui l’ont placé sur l’empyrée du Congo Brazzaville..
Au Gabon ,comme au Congo Brazzaville, l’heure est à la réflexion sur la gestion optimale de l’économie nationale ,par un modèle économique excluant toute possibilité de détournements massifs des deniers publics.
CLAN MBOCHI ET FRANCAFRIQUE: RAPPELS POLITICO-MILITAIRES A RETENIR AVANT LE COUP D’ETAT CONTRE SASSOU. https://www.youtube.com/watch?v=kQXdPiU6D0s
Chers Amis,
Bien que cela soit hors sujet, je ne peux m’empêcher de vous relater l’article de la dépêche de Brazzaville sur l’Ukraine intitulé » crise en Ukraine ».
C’est honteux au vu des dizaines de milliers de morts de chaque côté et on appelle cela une crise.
Même Moscou fait état d’une opération spéciale et n’oserait pas employer le terme de crise.
Pour ce qui concerne le reste de l’article, nous sommes en pleine propagande vis à vis de Poutine.
Voilà ce que les congolais peuvent encore lire librement.
C’est un simple voleur, masqué aux couleurs présidentielles.. Il ne mérite aucune dignité,au regard de l’argent généré par la nature congolaise dont le pétrole..
Peut-être il est temps,au lieu d’attendre le coup fatal ,le couperet congolais, de plier bagage, tant la Bongonerie a des vraies similitudes et familiales avec la sassoufolie..
Voilà un homme qui n’a gagné aucun rendez-vous présidentiel et qui prétend diriger le Congo Brazzaville au nom des supposés congolais auxquels il a refusé de reconnaître l’existence…
Bongo et Sassou sont des frères siamois et à ce titre leur fatum semble intimement lié…
Lire ,, pour leur rendre ( précédent commentaire).
La tragédie de Sassou-Denis c’est surtout son inculture, c’est type est un animiste fétichiste qui croit beaucoup à la bêtise qui insiste toujours. Pourtant la franc -maçonnerie serait avant tout une activité intellectuelle, comme me le répète mon jeune frère maçon. Bizarrement en Afrique on nomme des semi analphabètes grand maître de la franc-maçonnerie ou encore Jean Dominique Okemba comme député grand maître alors ce dernier n’a pas amis du secondaire. Le drame du Congo c’est l’équipe de Sassou-Denis le plus diplômé c’est Jean Jacques Bouya avec son DEUG de mathématiques à Lille et Christel Sassou avec ses études poussives.
Touedera fut le professeur de Bouya à Lille 1 Ayant éprouvé d’énormes difficultés d’énormes difficultés dont intellectuellles ,il s’était réfugié dans une licence professionnelle en informatique.. Et ce fut le terminus..
Mais, alors,quel terminus argenté !.
L’aventure du voleur des sardines à Auchan s’est grimée au Congo Brazzaville en Pacha de Tchikapika… Des amis lillois,il en a eu Bouya. Mais,sous la bénédiction de tonton Sassou , aurait changé de l’univers.
Demandez -lui que sont ils devenus ??…
NB, il y a cinq ans, à la gare de Paris Nord, nous avons croisé un de ces collègues, étudiant à Lille 1 , nous lui avons demandé si le sieur Bouya avait obtenu une maîtrise en mathématiques,il avait failli nous gifler.. Et celui qui va nous confirmer l’obtention d’une licence professionnelle en informatique par le futur ministre Bouya.
À Bouya de déconstruire les propos martiaux de cet étudiant sénégalais, ancien de Lille.
Au fait demandez lui ,s’il connait les familles Engouaka ,Nianga ,locko, rien que ça. Des lillois, bien sûr !!.
Voilà les infos que j’ai pu recueillir sur notre ingénieur national en gaspillages des deniers publics , cet autre Noureddine congolais !.
D’ailleurs,il est recherché par Auchan !!.
Le Figaro dézingue les dictateurs,futurs » faire du bruit »,car la franco – dictature appelée » françafrique » n’est plus on odeur de sainteté dans cette Afrique numérisée, vivant dans l’univers digital.
La cosmologie digitale transfigure l’esprit africain par la captation des modes de pensée nouveaux,qui font comprendre aux nouveaux primo – africains que la liberté des droits fondamentaux dont inéluctablement consubstantiels au développement économique d’une nation.
Ainsi cette diplomatie, basée sur la discrimination économique positive, ignore les besoins essentiels et fondamentaux des peuples aspirant au bonheur,tel que le projette le monde digital..
La guerre mondiale a débuté par la prise de conscience des données extérieures,qui questionnement le rapport de la France à son appréhension des matières premières africaines.
Quelle nouvelle approche à adopter pour unir intérêts français et bonheur africain ?.
Voilà l’équation à laquelle fait face la France,dont la première inconnue semble le sacrifice de ces préfets négrophobes.
Si la négritude est une servitude, l’Afrique noire n’a point d’avenir économique.Car lorsqu’on additionne les années de pouvoir de Biya et celles de Sassou,l’on si le concept de françafrique ne fut pas un autre crime contre l’humanité… En témoignent les scandales militaires scabreux dans lesquels s’est impliquée l’armée française en Afrique de l’ouest.
D’où cette maxime factuelle qui stipule que « : la cosmologie digitale a détruit l’antique baiser de Judas, adressé aux africains par la France »….
La fumée blanche, que le monde attendait de voir sortir du monde africain, est là.
Des voleurs qui,par narcissisme pathologique,ont plongé tout un pays dans l’arrière monde Nietzschien..
Leur doctrine kleptomanique de salut, c’est faire espérer un monde meilleur aux congolais ignorants ,désabusés et désabonnés à l’hostie pétrolière, un paradis céleste dont ils ne peuvent obtenir dans l’immanence..
Ces voleurs ontologiques sont des anti – lumières , réfutant la raison, la sortie de minorité,le penser par soi même, pour une idéologie de la satisfaction matérielle de soi , un anti – congolisme..
Ces voleurs possèdent le Congo Brazzaville sans en détenir le certificat de propriété.
Ce qui revient à dire que le Congo Brazzaville leur est transcendant et que nul ne peut s’en prévaloir…
Nous avons tous rêvé de changer de vie . Prendre le large, partir pour se réinventer. Rien n’est plus commun chez le congolais de ce siècle numérique que cette précieuse propension à se projeter dans des odyssées ,personnelles, professionnellees sociales .
Est il possible d’en réaliser le rêve avec ces voleurs , accrochés au pouvoir volé au peuple , obsédés par l’attrait maladif des finances publiques ??.
Devons – nous nous contenter de la condescendance de ces voleurs à l’égard du peuple ??.
Oui ,nos vies congolaises sont impossibles à satisfaire sous l’angle des fausses démocraties ,où la liberté est perçue comme un cassus belli..
Le roi gabonais est mort , il en sera ainsi du Congo Brazzaville.C’est le souhait vitaliste du peuple congolais.
Assumons – le ,il est cuit ..
Que les prophéties du journal du Figaro se réalisent pour le bonheur extasique du peuple congolais…