CONSCIENCE DU DEVELOPPEMENT ET DEMOCRATIE : La paix sociales par la régionalisation (Pascal Lissouba)

Préface de Samir Amin du livre « Conscience du Développement et Démocratie » de Pascal Lissouba

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4 réponses à CONSCIENCE DU DEVELOPPEMENT ET DEMOCRATIE : La paix sociales par la régionalisation (Pascal Lissouba)

  1. Ngondika dit :

    CONSCIENCE DU DEVELOPPEMENT ET DEMOCRATIE : La paix sociales par la régionalisation (Pascal Lissouba)Cet exposé du Prof Pascal Lissouba est en soi brillant. Mais le problème du Prof Pascal Lissouba brillant homme de science a été de pas savoir rimer la théorie à la pratique.
    Il est judicieux de le dire sans fausse modestie que le Prof Pascal Lissouba n’a pas été un bon chef d’état à la hauteur de la lourd devoir qui lui était confié.
    Il manqué de pramatique dans l’action politique, Il a certes été un bon premier ministre, un bon excécutant sous le président Massamba Débat. Mais entant que chef d’état à son tour, il n‘ a pas été concrétement à la hauteur de l’action politique et n‘ a pas aller contre les pièges qui lui été tendus. A cause de son impulsivité, naïvete ,le peuple Congolais paie un lourd tribut. Et un pion de l’impérialisme, un saboteur, un énnemi de la république en la personne de Mr Sassou Nguesso a pu revenir au pouvoir et le confusquer dans la dictature sanguinaine jusqu’à nos jours. Et cela est vraiment regrettable

  2. Val de Nantes dit :

    La paix sociale par la régionalisation est une référence intellectuelle mais camouflée au fédéralisme.
    Ce fut l’erreur politique du grand Pascal.Quznd ,dans un contexte historique ,on s’estime plus éclairé que la majorité ,on se doit s’imposer par la profusion des idées iconoclastes ce dont Pascal n’a pas eu le courage intellectuel et politique…
    Que signifie une paix sociale par la régionalisation ,si ce n’est,se payer les mots pour cacher l’idée principale.
    Cette sorte apocryphe a perdu Pascal ,car sa danse autour de sa pensée politique première qu’est le fédéralisme a été mal exécutée ,au point d’apparaître comme tribaliste en régionalisant uniquement sa sphère politique .En témoigne la création du nibolek ,une stupidité politique dont les stigmates restent encore vivaces dans les esprits des congolais….
    Cette conscience du développement ce fut un concept abstrait , qu’il aurait fallu muer en réalités objectives ou empiriques…
    Mais la conscience sans contenu est un vide sidéral d’où ne sortent des illusions métaphysiques…
    Descartes ,en usant de la métaphysique , avait su trouver les réponses à son doute .
    Qui dit conscience dit réflexion c’est à dire la subjectivité et donc le je . C’est la conscience ,selon Descartes , par le sophisme dualiste ,qui devient la chose pensante c’est à dire  » res cogitans  » , qui est capable de lui faire découvrir la vérité scientifique…
    Pascal aurait dû problèmatiser et conceptualiser , comme l’avait fait Descartes pour atterrir sur le champ fédéral..
    En résumé ,notre cher Pascal avait utilisé un concept dont il n’avait pas su trouver la méthode expérimentale…
    Je dirai à sa place à l’instar de Kant , qui lança son dernier souffre en prononçant cette phrase d’outre tombe « :c’est bien « ..
    Pascal est fédéraliste métaphysique.Dommage !!.On va y suppléer…

  3. Val de Nantes dit :

    Lire ,on se doit de s’imposer.

  4. Val de Nantes dit :

    Ce fut une partie ambivalente de la page de l’histoire de notre pays ,dont il faudrait se remettre pour penser un Congo plus concret dans la réalisation des projets institutionnels et économiques innovants…
    Il faudrait passer d’une situation statique à un ne situation dynamique appelée à renverser les invariants psychiques qui n’ont cessé de caractériser le personnel politique congolais et dont le bilan politique ressemble à une épaisseur de papier de cigarettes ..
    Le manque d’audace politique a été le tort que ces politiciens ont causé au
    Congo ,il eût fallu congoliser au marteau , autrement dit reformuler la pensée institutionnelle et économique pour en extraire un bien national . L’intérêt supérieur en valait le coup…
    Au lieu de ça ,nous vîmes des ambitions mal tirées des cogitations intellectuelles , lesquelles se bornaient à la domestication de la fonction présidentielle…
    Mais le principe actif de cette ambition , c’est à dire la raison , n’était pas en phase avec le devenir de notre pays.Nous en payons lourdement l’écu .
    Que voit on en face de nous ,en RDC ?.
    Une envie de Kabila ,car Fatshi Béton serait devenu Fatshi mafia familiale…
    Chers compatriotes ,
    « Il n’est de richesses que d’hommes  » selon un penseur .Mais l’homme n’est que le pion de sa propre pensée . La pensée devient une réalité objective quand la raison humaine s’en sert pour atteindre l’objet étudié…( empirisme).
    L’homme est ,certes ,le moteur de la connaissance ,mais ce sont ses idées ou pensées qui déterminent et orientent la vie d’une nation…
    L’échec politique est souvent consubstantiel à l’aridité des projets politiques …
    Lissouba nous en offre un piteux exemple..Son projet politique est resté dans l’abstraction ,on aurait dit ,un projet platonicien ,dont la descente du ciel des idées est toujours attendu….
    Cette argumentation se vérifie dans l’idéalisme hégélien . à travers sa dialectique.
    . C’est la conscience qui , à travers son odyssée intérieure et extérieure qui détermine le réel…
    On est en droit de dire que la pensée politique de Lissouba n’était pas arrivée à sa phase d’achèvement, contrairement à celle de Hegel …
    La situation politique de la RDC constitue le paradoxe de l’idéal de président parfait dans un univers composé des milliers des miséreux …
    Que vaut un président devant ce nœud gorgien des misères multidimensionnelles ?.
    Rien …
    C’est l’idée de création de richesses nationales qui prescrit au pays les conditions idoines d’une expansion économique dans le pays …
    Fatshi ne pourra jamais satisfaire les besoins primaires d’un habitant situé dans la région d’Équateur …
    Le pouvoir doit être le pouvoir de solutionner les problématiques diverses dont souffrent les populations …

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