



CONSCIENCE DU DEVELOPPEMENT ET DEMOCRATIE : Nos objectifs (Pascal Lissouba)
CONSCIENCE DU DEVELOPPEMENT ET DEMOCRATIE : Nos objectifs (Pascal Lissouba)
Watch Video
Watch Video
Watch Video
Watch Video
Watch Video
Watch Video
Watch Video
Watch Video
Il faut s’organiser pour sa réédition.
Hilaire Babassana, Louis Bakabadio, Samir Amin (développement autodynamique, autocentré, périphérie, centre, capitalisme, j’en passe et des pires) quels professionnels de la langue de bois ! Cette façon de pratiquer la science économique (soit-elle marxiste) a vécu. C’est riche d’incompréhensions, de lourdeurs, de lassitudes. Bref, on n’écrit plus comme ça. On ne parle plus comme ça sauf pour jeter de la fumée dans l’esprit des gens comme le fait l’idéologue Ndala Graille. Laissez les écrits de Lissouba dans la tombe de l’histoire des idées « révolutionnaires » des années 1960. Du reste, parti de la théorie des « tribus-classe », notre très cher professeur Pascal, ne pipait plus un mot de cette vulgate marxiste à la fin de sa vie. Je parie qu’il aurait aimé qu’on n’exhumât pas ses écrits de jeunesse articulant des problématiques balbutiantes. En revanche il eut été intéressant de diffuser ses recherches en « science dure » sur la génétique puisqu’il doit son grade de « professeur » à la recherche biologique. Basta ses pérégrinations intellectuelles dans les « sciences molles » typique du verbatim des membres du comité central du Parti !
Cher Sangavoulou,
Votre mépris pour la mémoire est à l’image de celui de nombreux diplômés congolais pour ne pas dire intellectuels. Que dire de plus, vous avez un problème avec la mémoire et l’histoire de votre pays. Pourquoi ne proposer vous pas de brûler les livres. Si vous n’êtes pas capable de replacer des écrits dans leurs contextes historiques, ce n’est pas le cas de tous les Congolais.
Vous faites pitié, pour rester courtois !
Cher Moukoukoulou national,
Je ne pardonnerai jamais à Lissouba d’avoir fait entrer Sassou par la fenêtre quand 100 % de Congolais l’avaient viré par la grande porte. A ce jour, on en paie le prix.