C’est toujours l’époux togolais de Juliette Olga Sassou Nguesso Issongo dit Juju qui est à la manoeuvre.
C’est déjà lui qui avait constitué la SCI de la rue de la Baume avec 1000 euros pour acheter un hôtel particulier de plus de 18 millions d’euros.
D’où venait l’argent ?
Edith était déjà « souffrante » au Maroc et avait d’autres soucis que monter des SCI et d’acheter des hôtels particuliers….
Omar Bongo, durant ses 30 ou 40 années au pouvoir, ne s’est jamais embarrassé d’acheter un bien immobilier au nom d’une SCI. Tous les biens qu’il a acquis (bien ou mal acquis) l’ont été a son nom propre.
Tous les comptes bancaires qu’il a ouverts l’ont été à son nom propre, aucun à un quelconque « prête-nom » !
La stratégie d’acquisition de bien à des prête-noms, de comptes bancaires également ouverts derrière le paravent du prête-nom, des structures offshore pour dissimuler les détournements d’activités ou de biens publics, relèvent de Sassou NGuesso et de sa clique ! Rien à voir avec Omar Bongo.
Omar Bongo, avant sa mort, a longtemps protesté sur ces biens chers (18 millions d’euros l’hôtel particulier) dont il ne reconnaissait pas la propriété et il a crié au complot sans avoir été entendu….
Aujourd’hui encore pour les valises que transportaient Monsieur Bourgi, on parle de celles d’Omar et jamais de celles de Sassou NGuesso !
L’affaire des Biens Mal Acquis est avant tout celle de Sassou NGuesso dont 70% de la population vit sous le seuil de la pauvreté, mal soignée, mal éduquée, mal traitée ! Rien à voir avec celles des autres Chefs d’Etats concernés par la même plainte. Erreur des plaignants qui encore une fois a permis à Sassou NGuesso de se dissimuler derrière les autres co-accusés.
La Lettre du Continent vient de publier une alerte relative à la succession des époux Bongo qui étaient mariés sans contrat. Ce qui veut dire que le dernier survivant héritait de celui ou de celle qui partait en premier. Contre toute attente, c’est Omar Bongo qui hérita d’Edith. Normalement en droit, tous les biens de son épouse lui revenaient. La moitié des biens de cette dernière pouvaient revenir à ses enfants à condition qu’ils soient majeurs. A sa mort, la totalité des biens d’Omar Bongo, sauf dispositions contraires, devaient être partagée entre tous ses héritiers…. Tous !
Il apparaît donc que les dispositions prisent dans les actes ci-dessous ne soient pas conformes avec le Droit !
Il est vrai que lorsque l’on s’appelle Denis Sassou NGuesso, le Droit on s’assied dessus !
Et les Congolais sont, on ne peut mieux, placés pour en témoigner.
Auteur: Un ami Gabonais révolté par les Biens mal acquis
CI DESSOUS L’ACTE DE DONATION « SUCCESSION »
La famille a été influencé par francois Stifani…en gros la franc maconnerie.
je regrette beaucoup sa mort, elle nous a quitté trot to que le bon Dieu reçoi son ame, nous nous veron un jour
Ils sont tranquille à vie ses enfants et leurs descendances avec bravo