SASSOU NGUESSO CONFOND LA NON-INGÉRENCE ET LA COMPLICITÉ DE RECEL.Par Mingwa mia Biango

Sassou-HollandeIl y a déjà quelques années, pendant mes vacances à Montréal au Canada, voulant offrir du chocolat à mon petit neveu résidant dans cette ville, il me répondit, tonton, allons donc chez le dépanneur. Un peu étonné, ma sœur finit par me dire qu’à Québec, le dépanneur est le synonyme de l’épicier en France, le pays de nos ancêtres les Gaulois. Elle s’empressa ensuite d’ajouter, que c’est cela aussi la francophonie, certains mots de la langue de Molière, pouvant ne pas avoir la même signification dans un autre pays francophone.

En y réfléchissant un peu plus, je me résolus que Québec ne faisait pas exception à la règle, et que mon pays le Congo-Brazzaville, y était concerné à plus d’un titre.

Dans ma communauté et mon pays, lorsque je parle de restauration de la démocratie, on m’oppose le concept de la paix. En parlant d’organisation d’élections libres et transparentes, on me qualifie encore d’être opposé à la paix. Dénoncer les massacres de populations qui y ont eu lieu, c’est encore être un ennemi de la paix. Enfin, lorsque que j’assène que tous les maux décrits précédemment font de mon pays une dictature, les propagandistes du pouvoir de Brazzaville me rétorquent que le régime de Sassou Nguesso est une démocratie.

De la réception du dictateur congolais Sassou Nguesso par François Hollande à l’Elysée le 8 avril 2013, la seule chose qu’ait retenu la presse internationale, c’est le fait que le président autoproclamé du Congo-Brazzaville, croyant bien faire, en ayant appris par cœur ses notes sur les relations internationales « en déniant à la justice française le droit d’enquêter sur les biens mal acquis, par lui-même et sa famille en France. Ajoutant « Ce que nous voulons rappeler, c’est que le principe auquel nous avons tous souscrit au plan international est celui de la non-ingérence dans les affaires intérieures »

En un mot, c’est comme si un malfaiteur arrive chez vous avec le butin de son crime, le planque sous votre lit, et vous demande de fermer votre gueule !

Cela relève-t-il du bon sens, ou de l’âge du capitaine pour ne pas dire de la psychiatrie ?

Au Congo-Brazzaville, la non-ingérence par extrapolation est synonyme d’une autorisation du « Recel sans frontière« , c’est sûrement cela aussi la mondialisation pour notre kleptocrate !

Comme si cela ne suffisait pas, l’impression que cela laisse, c’est que le Général Président ait oublié qu’en France, la Justice est indépendante et que dans une démocratie, le pouvoir judiciaire est indépendant du pouvoir politique. Ce qui n’est pas le cas du Congo-Brazzaville où Sassou Nguesso décide de tout, avec une justice aux ordres, celle-ci ayant pour ministre son oncle Emmanuel Yoka.

A l’Elysée et chez les observateurs de l’Afrique, on en rigole encore…cela n’aurait pas été grave, si ces nguessoneries ne nous faisaient pas passer, nous congolais pour des bouffons aux yeux des autres communautés, africaines et françaises.

Alors, la prochaine fois, gardez vos contre-sens juridiques pour la faculté de droit de Brazzaville, ou pour la télévision congolaise !

En revanche, je peux dire sans risque de me tromper, qu’il n’y a eu aucune ingérence du Président François Hollande et de la France, dans les affaires intérieures de notre pays.

A la veille du voyage de François Hollande à Moscou le 28 février 2013, le secrétaire national aux relations extérieures du Parti Socialiste français Jean Christophe Cambadélis déclarait à ceux qui accusent Vladimir Poutine de piétiner les droits des citoyens de son pays, que « les droits de l’homme ne sont pas un préalable, mais une exigence ».

Ni pendant l’entretien entre Hollande et Sassou du 8 avril 2013, ni dans le communiqué de l’Elysée qui a suivi, n’étaient mentionnés les violations des droits de l’homme, et les impératifs démocratiques auxquels aspirent tous les congolais.

Pourtant, au même moment, une vague d’arrestations sans précédent de syndicalistes d’enseignants venait d’avoir lieu à Brazzaville, pour cause d’une grève illimité dans l’enseignement primaire et secondaire.

Sassou Nguesso était donc de bonne foi, en parlant du principe de non-ingérence dans les affaires du Congo, dans le dossier des biens mal acquis. Il ne pouvait imaginer la portée réelle de ses propos à ce sujet.

En effet, il y a bien longtemps que le français que l’on parle à Brazzaville, est directement inspiré des casernes militaires, dans lesquelles sévissent des criminels de guerre depuis octobre 1997. Les gouvernants actuels du Congo-Brazzaville ont réussi à travestir le sens des mots de la langue de Molière, dont la signification n’a plus rien à avoir avec les références que sont le Larousse et le Robert. Mais c’est cela aussi la richesse de la Francophonie !

 

Mingwa mia Biango

Cercle de réflexion pour des idées nouvelles

Diffusé le 10 avril 2013, par www.congo-liberty.org

Sassou-Nguesso et le degré zéro de la « non-ingérence ». Par Olivier Mouébara

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15 réponses à SASSOU NGUESSO CONFOND LA NON-INGÉRENCE ET LA COMPLICITÉ DE RECEL.Par Mingwa mia Biango

  1. Robert POATY PANGOU dit :

    Mes très chers frères,

    Denis SASSOU NGUESSO commence a réaliser que le Peuple Kongo reste le même. Ce depuis MABIALA MA NGANGA, BOUETA MBONGO, MATSOUA, TCHYSTER TCHICAYA, KOLELAS et aujourd’hui, nous sommes toujours là.

  2. delapatria dit :

    Ce qu’a dit le Chef de l’Etat congolais sur le principe de non-ingérence est juste, et il a bien fait de le rappeler aux français qui se croient tout permis. C’est le droit pour un peuple à disposer de lui même tant dans le reglement des affaires que dans les choix stratégiques qu’il entend faire. C’est un principe intangible du droit international. Cela n’a rien avoir avec la complicité de recel qui relève est un délit, donc codifié dans selon les règles juridiques internes d’un pays. Sassou ne s’est pas trompé en le réaffirmant haut et fort.

  3. Anonyme dit :

    Et Vlam! La réponse du despote Sassou n’en est pas une. Il s’agit ici d’une ridicule dérobade, relevée par tous et qui a dû faire rire les Congolais chez eux.

    Les putschistes kleptomanes ignorent-ils que le Monde libre ne lâchent rien? Surtout lors que le niveau de la canaillerie est insupportable.

    Sassou et son clan ne connaîtront plus jamais la paix! Dur dur d’être dictateur de nos jours!

  4. Mokeko dit :

    La non-ingérence ? Tres curieux!!
    Pourquoi alors avoir fait recours aux Angolais et autres pour venir massacrer som propre peuple?

  5. le fils du pays dit :

    Mr sassou est un vrai probleme pour le congo.Il faut se debarrasser le plutot que possible de ce monsieur qui n’a rien fait de bien pour le congo depuis juillet 1968.La generation de mr sassou est celle qui va accelerer la disparution programmee dans les officines occultes du peuple noir par leur inconscience,insoucience,irresponsabilite,naivite,cupudite et egoisme.

  6. oka dit :

    Mokeko, êtes vous sérieux quand vous écrivez de telles absurdités? qu’elle lien faites vous entre la guerre civile et le principe de non ingérence?
    DENIS SASSOU NGUESSO n’a pas réinventé le droit, mais plutôt a su l’interpréter.
    Et en s’adressant face à la presse son propos n’allait pas à l’endroit du Président français mais plutôt en vers la justice française qui elle pense pouvoir se mêler des affaires qui ne la concerner pas, mais n’est pas prête à accepter que les tords causés par les citoyens français à l’étranger soient traités dans les pays victimes, les exemples sont connues de tous. Donc nous Congolais arrêtant de donner à la France l’impression d’être au jour d’aujourd’hui supérieur au Congo du points de vue de sa souveraineté.
    A vous cher Mingwa mia Biango, le président congolais lors de son entretien avec la diaspora, vous a invités à vous investir au pays car vous nous serrai plus utile ici qu’ailleurs par exemple en aidant les congolais à mieux comprendre, parler et écrire la langue de Molière, histoire de rompre avec celui des caserne adopté de puis OCTOBRE 1997

  7. Marché total dit :

    sassou nguesso est vraiment culuté !

    comment peut-il demandé au congolais de france de rentrer au pays, lorsqu’on sait que ses petits enfants vont tous à l’école en france.
    commencer par celui de sa fille qui est à l’école militaire de st cyr, de l’enfant de belinda ayessa qui est dans un monastère chez les bonnes soeurs et j’en passe et des brouettes…
    Le congo est considéré par les rapaces du pct et de l’entourage de sassou comme le big apple, c’est à dire que chacun vient pour se servir.
    Ainsi, ses propres collaborateurs ont tous leurs familles en france, de son conseiller tengo à son ministre okiemi. Pourquoi donc ne pas demander à sa propre famille et ses collaborateurs de rentrer au pays.
    Pense t-il que c’est de gaïté de coeur que l’on quitte son pays et sa famille ?
    Lorsqu’on sait que pour le moindre rhume toute cette bande de sangsus sautent dans le 1er avion pour paris ????
    Tous les anciens apparatchiks du pct malade,sont tous entrain de se soigner en France. De jean jules okabando à pierre dzé, faute de structures hospitalières au congo,lorsqu’ils ne vont pas au Maroc.
    Etre éboueur, c’est d’abord gagné sa vie dignement contrairement à tous ceux qui volent l’argent du pays.
    mais sassou se permet de telle chose parce qu’il voit et sait que des congolais sont allés l’acceuillir pour 50 euros. Alors que ceux-là rentrent au congo.

  8. le fils du pays dit :

    Lu: sur congopage

    Jérôme Cahuzac, un modèle congolais
    vendredi 12 avril 2013
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    J. Cahuzac : des tas de disciples congolais
    .Ministre délégué au Budget, Jérôme Cahuzac est cet homme politique qui défraie actuellement la chronique pour s’être copieusement servi dans l’assiette fiscale française. Dans le genre « Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais et je ne fais pas ce que je dis » J. Cahuzac peut revendiquer à juste titre la palme d’or. La question (qui ne se pose même pas) est la suivante : Cahuzac a-t-il des émules congolais ?

    Ils sont légion les Cahuzac de chez nous. On imagine que le Cahuzac français doit regretter de ne pas avoir la nationalité congolaise : chez nous les délinquants en col blanc bénéficient d’une royale impunité.

    En somme, si tous les Cahuzac congolais devraient être mis en examen et embastillés, la classe politique congolaise serait un sahel humain. Car tous, à quelques exceptions près, sont coupables de blanchiment fiscal ou de quelque autre délit financier qui vaudrait à leur auteur, sous d’autres cieux, une incarcération en bonne et due forme.

    Conflit d’intérêts

    Il est de notoriété publique que les agents politiques congolais sont des cumulards. N’ayant jamais fait de la morale un sacrement, ils sont pour la plupart impliqués dans des affaires où les conflits d’intérêts sont nombreux. Ne comptez pas sur eux pour voter, par exemple, une loi interdisant aux particuliers d’exploiter des minibus urbains car c’est eux, les hommes du pouvoir, qui en sont les propriétaires. Essayez d’instaurer un instrument régulant l’accès à l’immobilier et aux biens fonciers. Vous constaterez que c’est la croix et la bannière puisque tous (à commencer par le maire de Brazzaville) sont juges et partis dans ce domaine.

    Les Congolais se plaignent généralement (à juste titre) qu’au Tribunal, un combat est perdu d’avance lorsqu’il oppose un national et un étranger ; Ouest-africain et/ ou Libanais notamment.

    Pourquoi deux poids, deux mesures ? C’est que tout le réseau de commerçants maliens est protégé par une noria de généraux de notre armée républicaine. Ce sont nos hommes politiques qui les parrainent en les aidant, par exemple, à contourner les taxes douanières. En contrepartie les négociants ouest-africains leur servent de prête-nom, vu que derrière chaque homme d’affaires malien se cache un « élu du peuple » congolais ou, mieux, un officier de l’armée nationale.

    Flagrant délit d’évasion financière

    Voici un an, nos colonnes publiaient un article sur le flagrant délit d’évasion fiscale dont l’auteur était l’épouse de l’actuel ministre des Finances. La dame fut arrêtée à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle en possession d’une malette contenant une astronomique somme d’argent. Ce ministre des Finances (Gilbert Ondongo, pour ne pas le nommer) est toujours en poste à Brazzaville. Il n’a jamais été inquiété. Jérôme Cahuzac aurait aimé être à sa place. Ca c’est sûr. Selon une rumeur qui est fondée, l’argent dérobé au Trésor Public par la fripouille politique prend les destination d’Oyo où il est enseveli dans des tombes. Malheureusement, ces macabres cachettes ne dissuadent pas les voleurs car ces salopards sont de plus en plus victimes de vols domestiques.

    Le Congo est un pays formidable ! Si voler est une institution inscrite dans la culture congolaise, mettre hors d’état de nuire les malfrats déguisés en homme politique ne fait pas partie de notre morale. Plus on vole, plus on est admiré et congratulé. Quel salaud affairiste n’aurait pas rêver y résider ?

    Biens mal acquis

    L’incroyable constat est qu’on aime bien se comparer à la France pour justifier nos bêtises. Quand on déplore un délestage, il n’est pas rare d’entendre certains agents politiques arguer que « même en France ça arrive ». Et lorsque des juges français s’emploient à instruire le dossier des Biens mal acquis, voilà que nos hommes politiques crient à l’ingérence. On aime mimer la France dans les limites de ce qui est déplorable, jamais dans l’excellence !

    Si cette malversation (les Biens mal acquis) avait eu lieu au sommet de l’Etat français, le locataire de l’Elysée aurait été envoyé paître ailleurs. Charles de Gaulle contraignit un ministre (un certain Georges Pompidou) de se débarrasser d’un modeste appartement dont rien ne justifiait l’acquisition ! En ce temps-là la transparence était de rigueur.

    Ce n’est pas ta copine !

    Plus près de chez nous, il se raconte que le Président Alphonse Massamba-Débat failli se séparer de son épouse pour avoir considéré comme sien un cadeau que lui remit Madame Mao lors d’un séjour en Chine. L’anecdote a été narrée dans le journal Le Troubadour.

    Massamba-Débat fit comprendre à son épouse que même si c’est à elle que Mme Mao avait remis le présent, c’était en fait au peuple congolais que revenait ledit présent. Ce fut un don typique des symboles diplomatiques : impersonnel, inaliénable, indivisible. Et lorsque Mme Massamba-Débat voulut se justifier, son époux lui dit : « voyons, Mme Mao n’est pas ta copine pour te faire des cadeaux ! »

    Dernière question : quel est le modèle de l’homme politique congolais ? Massamba-Débat ou Cahuzac ? Je vous le donne en mille.

    Simon Mavoula

  9. Grande confusion dans votre chef Monsieur Marché total. S’adressant à la diaspora venue en masse le rencontrer, le Président n’a pas défendu à ce qui veulent rester en France de le faire. Il a plutot dit qu’il ne voulait pas que les congolais qui sont des personnes honorables se pretent aux metiers dégradants en France ou ailleurs. Il a poursuivi en disant que le pays avait besoin de tout le monde pour sa construction.

    Comme on le dit souvent, il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut voir, de même il n’ y pas pire sourd que celui qui ne veut écouter. Vous avez choisi de refuser d’écouter, moi j’ai capitalisé et nombreux avec moi, le message de sagesse et de patriotisme du Chef de l’Etat.
    Après, il faut avoir des diplomes pour se vendre. Cela suppose une bonne dose de connaissances et de raisonnement.
    RESAISISSEZ VOUS CHER MONSIEUR L’AVENIR EST AU PAYS

  10. CONGO DI KOCONGONE dit :

    NoN, Mr. NGUESSO DENIS ON NE PIETINE PAS LA DEMOCRATIE FRANCAISE ET SA JUSTICE SUR LE TAPIS ROUGE DU PALAIS DE L’ELYSEE. LÄ VOUS AVIEZ DEFIE LA JUSTICE FRANCAISE.
    NON MONSIEUR IL NE FAUT AMUSE LA GALERIE,LA JUSTICE FINIRA PAR AVOIR TA PEAU ET CELLE DU CLAN SASSOU ,
    NON MONSIEUR ON NE BADINE PAS AVEC LES JUGES FRANCAIS
    ICI CE N’EST PAS LE CONGO DE SASSOU MAIS VOS BIENS SONT EN FRANCE.

    Bon a Savoir; Un Bien Mal Acquis n’en profite jamais

  11. CONGO DI KOCONGONE dit :

    En répondant au journaliste de France24 sur le bien mal acquis,L’incrédule fétichiste d’Oyo Mr, nguésso denis s’est pris la main dans le sac,les pieds dans le tapis.
    Sassou nguésso n’a pas nier les faits ,il aurait pu le faire mais la il s’est contenté de rappeler la justice française de ne pas s’ingéré dans les affaires des autres pays
    en d’autres termes il reconnait avoir des biens mal acquis en France,mais à la justice français de se taire
    On ne parle que des biens acquis en FRANCE et non pas ceux d’OYO Qu’il les garde

    En FRANCE la justice aura La peau de Sassou et de toute sa bande
    Ou est MOBUTU avec ses biens ?
    Ou set EYADEMA avec ses biens ?
    Ou est KHADAFI avec ses biens ?
    Ou est BONGO ?
    Quelques Noms des »grands d’Afrique » disparus avec leurs biens

    C’est la Fin

  12. Villars dit :

    Tonton Basolo, un homme bienheureux, semble t’ il! Et bien crédule, à tel point qu’ il prend des vessies pour des lanternes. Sassou lui propose, de rentrer travailler au pays. Grand bien lui fasse! Quand on sait, qu’ il y a une flopée de diplômés qui traînent leurs savates dans les rues de Brazza, il y a de quoi se demander si le mot réalisme, figure bien dans le lexique de tonton Basolo. Cela dit, je serais heureux pour lui, s’ il peut se caser au Congo. A DELAPATRIA et OKA, je dirais ceci: ou vous semblez reconnaître que Sassou s’ est bien rendu coupable de biens mal acquis, et vous déniez à la justice française le droit de se mêler de ces affaires, qui ne concernerait que la justice du dit-pays. Si telle n’ est pas votre pensée, et qu’ il vous suffit de décréter que la non-ingérence doit être la norme, alors laissons les peuples se faire massacrer par leurs gouvernants. Ce n’est qu’ une « petite chose » que de mourir dans la fureur des armes, que dis-je, plutôt, dans la paix des armes…

  13. TONTON BASOLO dit :

    Très chers villars, si réalisme ne figure pas dans mon lexique, mais par contre INITIATIVE si. Car, au jour d’aujourd’hui sauf si vous êtes partisan de moindre effort, le Congo notre beau pays demeure insatisfait dans beaucoup de domaine qui constitue des corps de métier. dans l’optique ou l’on n’est jamais mieux ailleurs que chez soi, il préférable de se former, de cultiver des idées novatrices puis les faire valoir au pays.
    Mais si pour vous l’appel du chef de l’Etat serai le bien venu que si l’y avait un porte feuille Ministériel à la clé, alors c’est dommage.

  14. DELAPATRIA dit :

    A Monsieur Congo,
    Etes vous un vassal de la justice francaise? je suis étonné de constater que vous affirmer avec force l’autorité de la justice francaise, saisie par une certaine ONG non connue du peuple congolais, pour tenter d’entrainer les congolais en justice à Paris.
    Je suis malheureux de l’entendre d’un congolais qui a donc oublié que Sarkozy avait tout fait pour que les membres de l’Arche de Zoé qui ayant commis un trafic d’enfants au Tchad, ont été finalement rapatriés en France; cela n’interpelle pas votre conscience?
    A Monsieur Villars,
    Faites un tour à Brazza pour constater la véracité des propos de M. Sassou sur la création d’emplois et le dynamique industrielle. Faites juste un tour. Après, Sssou n’a pas dit qu’au Congo, il n y avait plus de chômeurs, pas plus en France d’ailleurs.
    Si Tonton Bassolo a eu une oreille attentive aux propos de Sassou, libre à lui de se rendre au Congo, si d’aventure il a une situation peu enviable en France par exemple.
    Quand avez vous enquêté sur le nombre de chomeurs au Congo selon leurs profils? Il faut commencer par là avant d’en tirer les conclusions.

  15. oka dit :

    Rectificatif Villars ce n’est pas l’Etat Français qui s’ingère dans les problème interne de notre pays mais plus tôt la justice Française dont les droit ne devrai se limité qu’au frontière française. Sa préoccupation de vrai certainement être la fuite des capitaux des français vers les paradis fiscaux et non le contraire ou encore mieux d’adopter une loi portant interdiction aux étrangers de s’acheter des habitations à un certain seuil en France.
    Pour quoi bien male acquis, est ce que l’achat c’est faite de manière illicite?

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