« Nous irons jusqu’au bout du monde, le PCT ne trahira pas, le PCT ne faillira pas ».
Alors que la faillite de Sassou Denis et du PCT est perceptible sur l’ensemble du territoire national, ce couplet repris en chœur et en transe par les criminels de cette association de malfaiteurs en bande organisée qu’est le PCT (parti congolais des truands et des tricheurs) sent à la fois la naphtaline et le vomi.
Au moment où Milan Kundéra quitte la scène, les criminels du PCT se mettent en scène dans une « insoutenable légèreté de l’être ». L’on se demande si ces minables du PCT peuvent encore se regarder dans une glace. L’on ne s’étonne pas que Sassou Denis use et abuse à souhait de leurs conjointes, sœurs, nièces et enfants pour conserver leur maroquin et leurs maigres privilèges.
Alors que le PCT a plus que jamais divisé les congolais, chanter l’inverse à gorge déployée, c’est comme prendre l’autoroute à contre-sens. La cohésion sociale est en lambeaux. Les mbochis qui sont des congolais et qui, pensons-nous, font partie intégrante du Congo, s’inquiètent par le biais de Nianga Mbouala de leur avenir.
A cause du PCT, les congolais qui, jusque-là ont toujours vécu côte-à-côte et en harmonie , finiront bientôt face-à-face.
Sassou Denis, le chef suprême du PCT est un traître. C’est lui qui avait trahi Marien Ngouabi en lui tendant un guet-à-pents le 18 mars 1977 dans la chambre numéro 8 de l’hôtel Mistral de Brazzaville. Après avoir sectionné sa carotide, vidé de son sang, envoyé un commando à l’état-major pour récupérer un uniforme de rechange au grand dam du docteur NKOUNKA MBEMBA qui n’avait jamais vu un corps qui vient de perdre autant de sang être si propre, ce criminel de Sassou Denis a fait de la veuve Ngouabi sa maîtresse avec qui il a eu une fille.
Si ce n’est pas de traîtrise, qu’est-ce-que sait ? La sémantique a un sens.
Sassou Denis et le PCT ont failli. Ils ont échoué sur tous les plans sans exception, nonobstant leurs élucubrations et leurs gesticulations.
Ce parti de voleurs, de corrompus, de criminels, de petites gens aux mœurs douteuses et décadentes a fait du Congo le pays le plus endetté au monde par tête d’habitants.
La dette du Congo vis-à-vis de la Chine s’élève à 1300 milliards de FCFA. Les 14.000 milliards de FCFA destinés aux générations futures ont disparu. Les retraités cumulent plus de trente-huit mois d’arriérés de pensions. Les étudiants sont abandonnés à leur triste sort. Le système éducatif périclite. Le système sanitaire est inexistant. Cinq membres de la famille de Sassou Denis possèdent 5500 milliards de FCFA dans les paradis fiscaux. 70% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. Des quartiers entiers manquent de l’eau et de l’électricité. L’argent du barrage d’Imboulou qui devait fournir le pays en électricité a disparu. 353 de nos compatriotes ont disparu au Beach de Brazzaville. La procédure s’enlise. Sans compter Kiki Angwalima qui fait valser des millions d’emplettes à Paris (Canard Enchaîné du 12 juillet, page 3). Arrêtons-nous là pour éviter de faire une crise d’apoplexie.
L’insoutenable vidéo qui circule sur les réseaux sociaux dans laquelle les criminels du PCT se mettent en scène est une provocation. L’heure n’est plus aux discours creux, redondants et/ ou à de la littérature sans lendemains.
Si, comme l’écrivait Alfred de Musset, «les larmes du passé fécondent l’avenir », les congolais qui ont versé et versent beaucoup de larmes doivent se battre pour leur avenir et sauver ce qui reste du Congo. A défaut, le Congo sera définitivement rayé de la carte ou sera comme Haïti, prédisait jadis André Milongo. Avec le PCT et Sassou Denis monsieur 8% intronisé nouveau Roi de Yopougon, point de salut pour le Congo qui est loin de ses préoccupations.
Pamelo Mounka avait chanté naguère « Bwala yayi mambu », une chanson que les congolais écoutent désormais sous le manteau pour éviter les représailles des satrapes du chef des cobras. S’auto-interdisant de l’écouter en public, Pamelo MOUNKA mettait en exergue ceux qui dilapident l’argent sans effort. Sassou Denis a dépensé 1,2 millions d’euros de sape, Kiki Angwalima a dépensé 473.000 euros de vêtements sur mesure, et son neveu Edgard Nguesso a dépensé 185.000 euros.
Pièce rapportée arrivée au Congo par effraction, Sassou Denis a privatisé le Trésor Public congolais au profit de sa famille recomposée alors que les congolais vivent dans une misère indescriptible.
Si jusque- là le PCT a réussi à nous diviser, le moment est venu de tirer les leçons de nos errements. Comme l’avenir c’est aussi la mémoire, il y a toujours un avenir pour ceux qui pensent à l’avenir.
Ngoulondélé père avait écrit que « le jour où les congolais se rendront compte de nos turpitudes, ils viendront déféquer sur nos tombes ». Sassou Denis aura-t-il une tombe au Congo ? Pas sûr avec tout le mal qu’il fait au Congo et aux congolais. Unissons-nous pour débarrasser notre pays de cette vermine.
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 13 juillet 2013, par www.congo-liberty.org
Cher Mouebara, cette vidéo montre la médiocrité au sommet de l’état Mbochi ! D’ailleurs sassou Denis envoie sa fille Claudia pour voir si le spectacle se déroule bien et surveiller ses godillots.Mais la révolte ne viendra pas de la partie septentrionale du pays ! Car la jeunesse Mbochi est en plein emploi avec DGSP, l’état major Mbochi avec Blanchard Okoi, la SNPC , la CORAF version Mbochi. Alors que la jeunesse du sud est à 99% désœuvrée abandonnée à elle même ! Elle doit sortir pour mettre fin au genocide des kongo qui est en cours dans le pays kongo.
Congo Brazzaville ,un pays fantomatique… Manquer de respect à un dirigeant,et surtout à l’imposteur suprême,est plus impactant sur la cohésion nationale que voler l’argent public..
Voilà le résultat d’une certaine défaite de pensée institutionnelle , idéalisée par une certaine intelligentsia politique et juridique..
Ce modèle institutionnel est une perdition pour la nation congolaise, car le peuple est spectateur des fêtes dionysiaques , organisées par des personnes élues ,au moyen de cette véritable forfaitaire électorale.. Ce modèle institutionnel fabrique des potentiels dictateurs et kleptomanes ,et l’esprit constitutionnel les y autorise ; c’est son talon d’Achille…
L’opacité de la gouvernance publique nous mène à des situations où les filles ,fils ,neveux , cousins etc du président de la république , sont les principaux bénéficiaires des cadeaux d’un État , réduit à une boutique familiale..
Cette forme d’État centralisée est un pain béni pour les potentiels fossoyeurs des deniers publics.
Cher @ Mouebara , inutile de vous rappeler mon estime patriotique à ton égard , mais je pense que vous conviendrez que ces faits de vols excessifs , opérés au détriment du trésor public, justifient l’avènement du modèle économique de type fédéral , où l’économie nationale se résume en économies régionales fédérées…
Exemple :
Si l’économie nationale a un revenu de 1000 euros ; cette somme est détenue par des régions fédérées,selon leur apport respectif au PIB…Ce qui implique que cette somme échappe au vol par l’État central ,car elle est détenue en parts égales ou inégales par les régions fédérées…
Voilà ,de manière lapidaire ,le modèle économique , que proposent les fédéralistes ,au lendemain du départ de Sassou du pouvoir.
Nous en sommes là , parce-que nous avons renoncé à l’activité de pensée institutionnelle…
Dans un système fédéral ,il est difficile d’envisager des vols d’argent public de telle ampleur…
NB, le Pct sera noyauté par la puissance fédérale ; c’est son antidote.
Lire ,,,une forfaiture électorale.
Et si les pleurs , indignations , souffrances actuelles , pouvaient nous servir de leçon politique ,notre futur politique serait meilleur…
Évitons de placer notre croyance en la bonté providentielle d’un supposé politique congolais.. Il n’en existe pas…
Seule compte l’idée de préserver l’économie nationale des mains des prédateurs , grimés en politiciens ,au moyen d’un modèle économique de type fédéral.
D’où j’invite les congolais , soucieux de la bonne gestion publique ,de travailler à la protection de nos ressources économiques , souvent , Issues de nos régions.
Cet archétype économique porte en lui des germes de sublimation matérielle des plus carnassiers d’entre nous..
De la question de la forme du modèle économique , et sécurisé dépendra la création des richesses nationales..
Il n’y a pas de pensée , sans les mots ,et donc de langage .Il est crucial de trouver des mots forts pour objectiver notre manifestation à faire advenir le réel..
Le but est de faire connaître aux Congolais la grandeur qu’ils ignorent en eux ,car en chaque congolais se trouve une volonté d’émancipation de la soumission étatique , d’origine dictatoriale, et l’activité de la pensée et donc de la raison pourrait lui permettre de s’arracher à cette forme de sujétion congolaise…
Douter , c’est penser . Voilà la première mission qu’un congolais doit s’assigner…
Commencer par questionner la cause des effets dont souffre le Congo Brazzaville serait la première victoire sur l’état d’ignorance actuel…
Cher Olivier Mouebara,
Le PCT semble infaillible car en face de lui c’est un désert incommensurable en matière d’opposition. On peut reprocher à un parti politique comme le PCT d’avoir dévié de son sentier de naissance dans les années 68 et qui, sous la houlette de l’ancien président Mariem Ngouabi, visait de façon utopique ou non à transformer la société congolaise et à contribuer à son bien-être grâce au travail révolutionnaire de ses leaders.
On peut aujourd’hui contester, et cela est vrai, le PCT historique mais il donnait du sens à l’approche marxisante et socialisante de la révolution congolaise, même si celle-ci n’était pas très bien comprise par la plupart des congolais que nous sommes.
J’étais adolescent en 68, je vivais encore au Congo sans connaître les linéaments du bréviaire marxiste. Mes parents de classe très populaire, mon père ajusteur et ma mère simple ménagère vendant du manioc et du samba (vin de palme) dans la rue arrivaient à me nourrir et je participais aux travaux collectifs dédiés à la jeunesse.
Les rivalités picrocholines à l’intérieur du PCT, les luttes pour le pouvoir suprême entre un courant réformiste et un autre gauchiste ont fini par détourné le PCT de son action historique traditionnelle: servir le peuple. Après l’avènement de la fausse démocratisation des régimes politiques africains dans les années 90 et l’avènement du multipartisme, le président Sassou a profité de ce trouble pour enraciner son influence qui avait démarré dans les années 68. Il n’a pas eu besoin d’instaurer un programme de changement et d’alternance, il n’a pas annoncé que le PCT était devenu un parti libéral, il a organisé intelligemment avec d’autres l’existence du parti à son profit.
La plupart des membres actuels de l’opposition, qui l’ont abandonné au moment du virage vers l’économie de marché et l’abandon de la doctrine socialiste, se sont précipités pour créer des partis alternatifs au PCT et ces partis sont connus des Congolais. Il s’agit de l’UPADS de Lissouba, de la RDD de Yhombi, de la MCDDI de Kolela Bernard, du parti de Thystère Tchikaya et d’autres partis.
Intelligemment le PCT a réussi à créer des majorités avec certains partis, comme l’UPADS de Lissouba, pour lutter contre Kolela Bernard. La question sociale et celle du bien-être des populations en matière de santé, d’éducation, d’accès à l’emploi, ont été reléguées au second plan. Le PCT en position de force a modelé le paysage politique congolais à sa main. Les questions d’accès à la gouvernance politique deviennent plus importantes que les questions sociales.
Il ne s’agit pas ici d’exonérer le PCT de sa responsabilité car, en tant que principal mouvement politique soutenant le président Sassou, le PCT n’a jamais insisté sur la dénonciation de la corruption, de la mauvaise gouvernance, de l’évasion fiscale et de l’état social délabré des territoires congolais en matière de logement, d’éducation et d’infrastructures.
Vu de loin, le PCT semble être le parti le mieux organisé au Congo. C’est le parti du président et toute contestation vis à vis du chef est inadmissible. Après la disparition des créateurs historiques des partis de l’opposition, comme Lissouba, Kolela Bernard, Tchikaya Thystère, les partis de l’opposition sont aux abonnés absents. Ils versent des larmes de crocodiles en souhaitant et en demandant le départ de Sassou en 2026, mais ils ne font rien pour présenter aux Congolais une offre politique acceptable avec un leadership, un programme et un modèle précis de gouvernance du Congo après 2026.
Bien sûr le président Sassou et le PCT ne sont pas infaillibles, mais la théorie politiques des comportements montre que le président Sassou et le PCT sont sur une piste ouverte jusqu’en 26. Personne n’est infaillible, encore moins le président Sassou et le PCT, mais malheureusement on assiste avec tous les travers de la faillibilité à l’ouverture d’un chemin qui, si l’opposition ne s’organise pas, permettra au président Sassou d’être réélu en 2026. Ce n’est pas un point de vue partisan mais celui de l’analyste politique et économique que j’essaie de défendre depuis la télévision Africa 24 et dans mes différents écrits sur mes blogs et les sites politiques comme grioo. com.
a mr mouebara
pour vous:
Le commandant marien ng est mort a domicile le 18 mars 1977.il n y a pas meilleures preuves que celles donnees par ses deux enfants marien ng junior et dominique ngouabi « cest ici meme que papa avait ete tue ».source youtube.
ne prenez jamais a la legere le dossier marien ng il y avait eu mort dhommes et plusieurs familles traumatisees voila pourquoi nous voulons fermer cette veillee mais vous la ravivez…mouebara est une patronymie de barbares.nous avons une emilienne mouebara barbare et mere de barbare.un barbare qui defend les theses malades des civilises ca laisse pencher au doute.
vous dite que sassou ng avait eu une fille avec celine ngouabi nee mvouka.vous avez la pleine maitrise de vos facultes mentales vous? comment sappelle t elle et ou vit elle?
sous dautres cieux avec de tels propos vous aurez fait face a un juge
au moins vous n’avez pas dit que
« marien ng devrait rendre le pouvoir a al m debat » vous ne le dites plus.ca ne tient pas la route un tel argument.le pouvoir nest pas le bien prive dun homme.
« al m debat avait dit a marien ng plus dune fois qu il etait en danger et qu il devrait le proteger ».
vous etes daccord qu’une telle declaration comportant une telle offre de service etait illegale et anti constitutionnelle car seul le ministere de la defense est en droit et en obligation dassurer la protection des institutions de la rep et les personnes qui les incarnent.
enfin vous ne presentez plus al m debat comme etant un homme dote dune intelligence superieure.
ce dossier ne doit pas vous faire rire ni den faire un fonds de commerce.ce nest pas de la vente apres tout.felicite massmaba debat 66 ans celibataire cest a cause de vous.
toujours ce melange marien ng nkounka mbemba pamelo mounka kiki angwalima beach…de quoi parlez vous tres exactement? de quoi?
marien ng avait ete tue a domicile.il fut blesse a la carotide cest vrai les images en font foi mais cetait le poignard de b kikadidi qui l’avait mortellement blesse.
a lepoque il n y avait pas de service medical a la presidence.marien ng nest pas mort par balles son corps etait intact disons entier.sauf qu il avait la gorge quasi tranchee du fait de b kikadidi.
b kikadidi setait rendu a la presidence sur mandat d’al m debat et de ramener marien ng en lieu sur car selon al m debat le commandant marien ng etait en danger.
al m debat etait instituteur de formation il ne connaissait donc pas l’Etat.onn ne peut pas aller chercher un chef detat et le mettre a labri dun danger.vous avez pense a l’emoi au niveau africain et mondial?
question
durant ce temps de cachette qui devrait assurer la focntion presidentielle? letat est une continuite.et comment le commandant marien ng devrait lexpliquer au parlement congolais? et comment mr al m debat devrait lui meme lexpliquer au parlement congolais et aux missions diplomatiques accreditees a brazzaville?
CETTE AFFAIRE NE DOIT PAS VOUS FAIRE RIRE PLUSIEURS COMPATRIOTES DEMEURENT TRAUMATISES.NOUS LES AIDONS A EVACUER CE TRAUMATISME.
MOUEBARA MON OEIL
Cher Mouebara,
Aidez l’opposition à s’organiser plutôt que de passer votre temps à dénoncer un pouvoir politique qui vous lit mais qui ne vous entend pas. Sur congo-liberty les tribunes sont libres, les auteurs anonymes comme vous ou d’autres (puisque vous avez usurpé le nom de Mouebara Emilienne, la mère du président, pour vous exprimer) doivent avoir un ton qui explique mieux les solutions pour débarrasser le Congo de la corruption, du vol et l’évasion fiscale.
Je vais essayer, sans vous donner de conseils sur la méthode, de vous demander d’organiser les oppositions au PCT. La vie politique congolaise est un puits sans fond au sein duquel des crocodiles consentants ou pas se battent pour le pouvoir politique et pour les privilèges qu’il donne. Nous nous plaignons tous à travers ce site congo-liberty de l’enrichissement éhonté de certains caciques du PCT qui refusent, lorsqu’ils sont au pouvoir, de travailler à l’amélioration du bien-être des populations congolaises.
Nous avons au Congo des ressources naturelles très importantes, nous ne savons pas les exploiter parce que scientifiquement, techniquement et technologiquement nous sommes faibles, incapables, certains diraient faignasses. Dont acte, qu’on me prouve le contraire.
Le Congo est confronté à un problème de corruption à grande échelle dans tous les domaines (agriculture, industrie, services) mais surtout à une mauvaise redistribution des richesses qui favorise la captation de la rente pétrolière et minière par certaines, alors que d’autres vivotent comme ils peuvent.
Quel est le discours de l’opposition face à cette situation ? Quels sont les leaders de l’opposition capables d’entraîner la population? Nous sommes les premiers à dénoncer l’apathie des populations. Cette dénonciation est un peu osée de ma part, j’en conviens, car les populations congolaises ont peur de ce qu’il s’est passé en 97 avec la guerre civile.
Je termine. Je n’ai rien contre l’opposition mais le double jeu de certains membres de cette opposition qui rallie trop vite le président Sassou au nom de la théorie réseautale de la mangeoire, commence à devenir lassant. Le Sénégal n’est pas le Congo et le Congo n’est pas le Sénégal, les opinions publiques ne sont pas structurées de la même façon. Il ne s’agit pas de raser les murs mais d’organiser une pensée pour l’action, si action il doit y avoir car c’est bien de parler au nom du peuple mais si on ne fait rien, rien ne se passe.
Le phènomène Denis Sassou Nguesso c`est une expèrience de faillible politique contre la nation Congolaise et pour la diversitè du peuple Bantu.
Denis Sassou Nguesso c`est le sommet du nèocolonialisme qui est une politique pour la pratique de la pauvretè èconomique contre notre peuple souverain.
De ma part, c`est une prise de conscience qui me permet à mieux tracè une politique pour la prospèritè de toute la nation, indèpendant de n`importe quelle ethnicitè.
Sous la fausse gouvernance de Sassou Nguesso, la majoritè du peuple Congolais n`ont pas encore vècu la pratique de l`article 22 de la dèclaration universelle des droits de l`homme de l`ONU qui rèsonne ainsi
Je cite
Toute personne en tant que membre de la sociètè à droit a la sècuritè, elle est fondèe a obtenir la satisfaction des droits èconomiques, sociaux et culturels indispensables a sa dignitè et au libre dèveloppement de sa personnalitè, grâce à l`effort national et à la cooperation internationale, compte tenu de l`organisation et des ressources de chaque pays.
Fin de citation
Le nèocolonialisme, c`est une politique contre l`interêt du peuple souverain. La politique du PCT c`est un etat de mendier de l`argent pour la gouvernance d`un pays souverain placè dans le CEMAC par la France pour les intèrêts de la France.
Il s`agit d`absurditè. C`est une forme de faillible, et manque de la prospèritè èconomique pour la majoritè du peuple de la nation.
A bon entendeur..❤️❤️❤️☀️☀️☀️⭐️
Pendant combien de temps , Sassou va -t-il manipuler les institutions factices,improductives , liberticides du Congo Brazzaville ??