République du Congo : la société chinoise Wing Wah Oil accusée d’intoxiquer des habitants au gaz

« Ce sont des conditions terribles, le brut monte et nous retombe sur le corps ! » La société chinoise Wing Wah Oil qui exploite des gisements de pétrole est accusée par des habitants de laisser échapper du gaz dans les villages aux alentours.

Source : TV5

Ce contenu a été publié dans Actualités du Congo, Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

11 réponses à République du Congo : la société chinoise Wing Wah Oil accusée d’intoxiquer des habitants au gaz

  1. Prince Albert dit :

    Mais dans quelles conditions misérables vivent les Congolais 64 ans après l’indépendance ? Les Nouveaux colons sont les Nguesso associés aux Chinois. L’uniforme des collabos sont en costumes et en chaussures sur-mesures ! A la chute du régime ils défileront en caleçon !

  2. Val de Nantes. dit :

    Toujours des chinois au chaud !.
    À quand une expertise Congolaise dans les domaines techniques, technologiques ?
    Ce pays a-t-il formé des ingénieurs ??.
    Oui ,j’en suis la preuve vivante. Mais du fait de mon patronyme incompatible avec le pouvoir, je ne peux espérer exercer mes compétences techniques au service de mon pays. Et il n’en existe plusieurs cas similaires, c’est le vivre-ensemble,mode Sassou, où, c’est le cadre mbochi, qui a droit à tout….
    Les leçons patriotiques que nous avons tirées de cette periode sombre de l’histoire politique de notre pays, c’est la gestion divisée de notre économie nationale par régions fédérées ou régions regroupées. C’est la naissance du fédéralisme au Congo Brazzaville, conséquence de notre mentalité, attardée sur l’amour patriotique de notre pays…
    Le fédéralisme intelligent advient au Congo Brazzaville pour des raisons économiques, sociales et politiques.
    C’est l’histoire politique de notre pays, qui exige de nous un changement institutionnel pour mener à bien le projet de développement économique dont chaque pays se croit porteur.
    Il convient donc aux fils éclairés de se remettre en question pour échafauder des scénarii économiques , politiques et surtout institutionnels pour sortir de la pauvreté ancestrale dont certains tirent un juteux bonheur matériel. En témoigne la gouvernance chaotique de Sassou, garantissant à sa famille une richesse inestimable.
    Oui ,le fédéralisme, c’est l’éclosion des talents inexploités par les régions,longtemps brimèes ,par le pouvoir central voleur..
    C’est un régime politique,où la tribu se dilue dans un écosystème économique dans lequel le seul objectif à atteindre est la valorisation économique de la région pour la résolution des problématiques séculaires auxquelles le pouvoir central n’a jamais répondu…
    Le fédéralisme, chers compatriotes, c’est une addition du capital physique, humain,les ressources naturelles et les connaissances techniques et technologiques au service de la région, peu importe qu’elle soit fédérée ou pas . L’important c’est d’essentialiser l’addition des diverses ressources dont pourrait bénéficier une région afin d’y créer une richesse régionale…
    Pourquoi, cette addition ??.
    Eh oui ,c’est le secret de la richesse à l’échelle d’une nation.. C’est la croissance économique qui mesure le PIB et donc le revenu national..
    Comment en disposer ?!
    Par l’addition de ces ressources. Celle suppose que le pays ou la région s’est fixé un but : le bonheur national.
    Comment l’atteindre ?
    Par la productivité.
    Alors c’est quoi cette notion ??.
    C’est la quantité des biens et services produits par heures travaillées..
    Chers compatriotes,.
    Tout y est !!.
    À l’image de l’église , qui ,in petto, garde secret le nom du futur pape,dois- je aussi en faire autant ?? …
    Réponse : Après le départ de Sassou.

  3. Val de Nantes. dit :

    Avec le fédéralisme, c’est la garantie de travailler chez soi. À défaut de n’être pas pris ailleurs pour des raisons tribales..
    En effet , les régions se verront dans l’obligation de faire travailler toutes compétences confondues pour le bien être des enfants de la région et du pays.. Donc ce serait idiot de prioriser un cadre local , alors que la région a bien besoin des cadres ayant des compétences accolées à la tâche..
    Ce serait une équation à double tranchant : soit on abroge le tribalisme, pour le bien de la région, soit on y reste ,quel qu’en soit le prix . . C’est l’une des caractéristiques du fédéralisme…
    Chers compatriotes,
    Après avoir longuement réfléchi, nous n’avons pas encore acquis le sens profond du patriotisme et le fédéralisme en est l’antidote..
    Ne nous voilons pas la face . Notre sociologie politique procéde de nos coutumes et us durement ancrées dans nos gènes. D’où la précaution de ( puzzler ) l’économie nationale afin de créer de manière autonome une économie nationale, fruit d’une addition des économies régionales dynamiques…
    Arrêtons de nous mentir sous l’autel d’un vivre-ensemble hypocrite et malsain. Soyons nous mêmes , c’est à dire reconnaître les failles ontologiques et anthropologiques qui nous différencient..
    Dire que le mbochi perçoit la gestion de la res publica de la même façon que le kongo est une pitrerie ,un délire.
    La réalité de la perception sur ce sujet est différente, d’où la montée du tribalisme au Congo Brazzaville.Car peu de congolais en comprennent la cause.
    La cause en est purement économique, la politique n’en est que son paillasson..
    Que chaque région fasse des efforts économiques,avec le soutien institutionnel, pour résoudre localement les nombreuses problématiques qui s’y trouvent..
    Tout est question volonté et de patriotisme…
    Le Nigeria doit nous servir de leçon politique fédérale…Et les résultats, qui en résultent,en termes de paix sociale et économique, sont moins toxiques que ceux des congolais, abonnés à la dictature et au chaos socio économique…
    Au Nigeria,la liberté d’entreprendre a effacé les dissensions politiques nationales tant les décisions économiques locales contribuent à favoriser l’émergence des classes moyennes pourvues d’un certain pouvoir d’achat..
    Comment comprendre qu’il y ait tant des cadres à l’étranger ??..
    Le Nigeria,avec son fédéralisme intelligent et libéral, s’est mis à l’abri des fortes turbulences politiques qu’il a connues par le passé , similaires à celles du Congo Brazzaville…
    C’est l’expression d’une économie de marché dont les profits touchent ceux qui se battent tous les jours pour croître leur richesse ou patrimoine.. Le fédéralisme Nigerian est un Doliprane pour cette population qui a souffert des crimes politiques..
    Nous ne sommes pas unis sur le respect des deniers publics, autant diviser l’économie nationale sur la base d’un modèle économique fédéral….
    Arrêtons d’être hypocrites ! Avançons..

  4. Samba dia Moupata dit :

    Sassou Denis par ces images nous montrent qu’il n’a rien a foudre des vies kongo, sa préoccupation première c’est brader le brut en foulant aux pieds les normes environnementales, en revanche recevoir du cash chinois pour faire perdurer sa barbarie ! Ça S’appelle la colonisation sauvage des Mbochi en pays kongo.

  5. Val de Nantes. dit :

    Que les militaires républicains olinguisent leur comportement professionnel pour libérer le Congo Brazzaville des mains impropres,indignent de Sassou.Le Congo Brazzaville en est fatigué. L’ambiance mortifère, qu’affiche ce pays,maudit ,honni par les démons du Pct ,est symptomatique d’un vide au sommet de l’État.. D’où la justification de l’avènement d’un système fédéral, où, les régions, sevrées des effets nocifs du présidentialisme vaquent à leurs occupations économiques, comme si de rien n’était..
    Oui ,il faudrait absolument libérer les régions, afin des villes proches de Brazzaville, à l’instar de Kinkala et autres soient reliées par un train Ter , pour servir de mobilité professionnelle et sociale entre cette ville et les habitants de cette région..
    Il en sera de même pour ceux qui vivent autour de Pointe noire…
    C’est l’un des aspects innovants de la contribution fédérale à l’amélioration des conditions de vie de nos compatriotes…
    Faisons de nos régions des sources dynamiques de création des richesses,des lieux de vie irréprochables ,des cadres de vie , similaires à ceux que vivent bon nombre des membres de la diaspora congolaise…..
    Voir Dolisie,Mouyondzi,Kayi ,Djambala ,etc, ressembler à des gros villages , à défaut d’être des vraies villes ,est une impuissance intellectuelle….
    Cette conception urbaine des villages, érigés en ville, trahissent notre indifférence pathologique à la notion de ville…. D’où l’idée de faire de nos régions les berceaux des économies régionales,dont les potentialités minières et agricoles, présagent des opportunités diverses de création des richesses..
    C’est ainsi que nous souhaitons que les militaires s’inspirent de l’exemple du Gabon pour extraire le Congo Brazzaville de ce régime finissant et agonisant….
    Tout est question de volonté nationale d’une libération de notre pays,sous le seul motif de bien vivre-ensemble…
    Car , pour l’heure, la vie paisible au Congo Brazzaville,y est absente, du fait d’un manque criard d’examen de conscience nationale..
    Cette dislocation du patriotisme contribue à prolonger de façon, complice et consensuelle ce régime ultra tribal et voleur ..
    Que pouvons-nous attendre d’un président qui n’en est plus,sous les effets de la vieillesse ??…
    L’ heure d’olinguiser est arrivée !!. Et le peuple en saura gré à celui qui s’olinguisera….
    Et@ val de Nantes rejoindra le Congo ,avec dans sa besace des jolis cadeaux techniques et économiques…..

  6. Val de Nantes. dit :

    Lire , indignes.
    Chers compatriotes,
    J’ai fait un rêve !. Celui d’un Congo Brazzaville ,renaissant .. Telle la réminiscence de Platon,le Congo Brazzaville se souvient de son passé glorieux, où la tribu ne fut pas la préoccupation politique….
    C’est à nous de façonner notre pays, à l’instar de la pensée philosophique de Kant au sujet de son approche épistémologique…
    Effectivement, selon lui , l’esprit façonne le monde et non l’inverse.. Autrement dit, c’est aux congolais, épris de liberté,de paix ,de donner des codes de développement économique à notre pays…Donc ,il est question d’en faire l’objet de notre pensée,esprit pour en modifier toute la structure géographique et économique.
    Et aussi de paraphraser un certain Franz Brentano qui théorisait que : » Toute conscience est conscience de quelque chose ». C’est à dire que notre conscience est toujours dirigée vers la perspective de développement économique de notre pays…
    Ainsi , nôtre conscience est toujours intentionnelle …. Sacré Brentano !!.

  7. Val de Nantes. dit :

    Faire du développement économique de notre pays un point d’honneur à la misère séculaire, qui cisaille le quotidien des congolais, depuis la sortie de la caverne française. Un supplice de Tantale consenti !!.
    À commencer par la définition de la politique économique.
    Pourquoi ?
    Oui , nous avons été bernés par la rhétorique économique et financière de la France, où l’essentiel de la maîtrise des institutions financières a été dissous dans une espèce de casseroles trouées d’où rien ne sort ,qui satisfasse l’économie nationale..
    Il faudrait revenir sûrement sur les bancs de l’université pour remettre en question notre approche de politique économique médiévale…
    J’insiste sur cet aspect fondamental concernant les caractéristiques intrinsèques d’une véritable politique économique..
    D’abord lévons une certaine ambiguïté : le gouverneur de la banque de France rejoindra ces collègues de la BCE ( banque centrale européenne) pour décider des mesures économiques au sein de l’UE , c’est à dire la baisse éventuelle des taux d’intérêt du fait de la baisse tendancielle de l’inflation , autour de 2%.Et bien des sujets autour de croissance économique et des conséquences éventuelles de l’élection présidentielle aux USA,etc .
    Alors, question !
    Monsieur NGondo, directeur du trésor public, est il souvent associé aux décisions économiques qui régissent l’ensemble des économies de l’Afrique centrale ?
    Si oui ,quels en sont les impacts sur l’économie nationale congolaise, sachant qu’aucun congolais ne dispose d’un compte d’épargne et de dépôt pour booster l’économie nationale au moyen des investissements,fruits de l’épargne Congolaise ?.
    C’est la fameuse équation économique d’origine keynésienne Y= C+ I .
    Or cette équation n’est valable que si l’on dispose d’une politique économique assise sur le budget et la monnaie….
    Et c’est sur ce dernier point que le bât blesse. .Pas de monnaie.Mais une béquille pour marcher , c’est à dire le CFA..Et c’est le problème !.
    J’ai du mal à intégrer le CFA dans l’équation keynésienne Y= C+ I ,car je n’en ai pas la maîtrise, ni la capacité à en émettre.. D’où la vérité nécessaire d’une présence active de la banque centrale congolaise pour gérer l’écosystème économique et financier de l’économie nationale..
    On ne délégue pas la faculté de produire de la monnaie à une nation ,car la monnaie est l’instrument de l’indépendance économique et financière d’un pays..
    Le cemac et la Bdeac sont le prolongement de notre servitude monétaire pour ménager de façon coloniale les intérêts de la France au sein de l’Afrique centrale.
    Le seul fait que nos transactions commerciales soient l’objet des spéculations politiques, par le prélèvement obligatoire des dîmes sur nos échanges commerciaux , à dire les réserves monétaires retenues par la banque de France, constitue un crime économique et financier au détriment de notre développement économique et financier.. D’où la nécessité de rebâtir une politique économique intégrant la politique budgétaire et monétaire….
    Voilà de manière lapidaire les premières saillies d’une réflexion économique, fondée sur le pragmatisme économique conformément aux pensées de Keynes et de Milton Friedman…
    Car ,qui peut comprendre qu’un pays n’ait pas une politique d’épargne,avec les taux d’intérêt y afférents, pour investir dans l’économie nationale, notamment auprès des ménages et des entreprises, c’est à dire des agents économiques ??…
    Quel est le taux de bancarisation de la société congolaise??.
    Cette anomalie économique et financière date depuis la sortie de la caverne française, où le sauvage congolais demeure condamné à la servitude monétaire, fixée par la France.
    De quoi convoquer Étienne de la Boétie pour nous en apprendre davantage sur la désobéissance civile, économique et financière……
    Je suis comme Franz Brentano : » ma conscience est toujours conscience de l’évolution économique de mon pays ». Une obsession intellectuelle !!.
    Je propose à minima des idées novatrices au lieu de piquer dans les caisses de l’État..
    La grandeur de l’être congolais, c’est d’avoir le respect de la res publica.. Autrement dit la moralité d’une action, c’est de la rendre universelle ,dixit Kant.
    Alain Delon est mort et enterré sans biens immobiliers, mobiliers,etc .
    « Vanité des vanités ».!!!….

  8. Anonyme dit :

    Val de Nantes a quand vos livre?au fait les 14000 milliards vous qui savez tout ils existent ou pas ?si oui comment peut-on avoir une telle somme et ne pas payer ses dettes?pensez vous que les créanciers feront a nouveau confiance a l’ état?s ils s en rendaient compte?et tout vos projets c’est pour quand ? d’ailleurs je pose la même question a tout les doit disant chevalier blancs du Congo les 14000 milliards dont vous nous avez rabâche les oreilles et la vue ou sont ils c était du Pipo attention a ne pas ressembler a ceux que vous insultée en permanence

  9. Val de NANTES dit :

    lire , dissoute dans une espèce .
    Cher@anonyme ,
    A défaut d’un livre sur la macroéconomie ,j’ai ,dans ma besace , un projet macroéconomique inédit applicable au CONGO POST SASSOU .Ce sera un régal !!.
    Les 140000 milliards , est- ce un éléphant à dix pattes ?
    Attendons de voir !!!l’audit financier ,après le pouvoir de SASSOU ,nous en apprendra davantage sur cette chouette de minerve congolo – financière .
    A moins de convoquer HEGEL tout de suite !!!.

  10. Anonyme dit :

    le fils du pays
    Tous ces Yaka Noki Noki creation de Ngouabi Marien et ses comparses au pouvoir dans les annees 70 ont les oreilles dures.Pour la premiere fois dans sa vie la fripouille ivoiro beninoise devenue Mboch d’Edou-Oyo qui volait deja les deniers publics sous son bienfaiteur et promoteur Ngouabi accepte devant les cameras des journalistes etrangers de l’existence de 14 milles milliards de cfa et qui sont planques quelque part probablement dans les paradis fiscaux ou les tombes mais a la grande surprise ses perroquets en grande majorite des Mbochis analphabetes,semi analphabetes et egares continuent a nier cela.Franchement vous etes la honte du peuple noir.

  11. Anonyme dit :

    comment savez vous qu ils existent dites simplement sans insultes?s ils vous plait les congolais qui ne sont pas payes aimeraient savoir pour a coup sur se revolter

Laisser un commentaire