Il a été donné à nos amis communs Itoua, Mboungou, Tati et Yakamambu l’occasion de constater que la misère ne fait que s’accroitre dans notre pays, à une allure vertigineuse, comme lors de l’épreuve de course automobile, les 24 heures du Mans en France. Cette misère, dit-on, donne de vilaines idées à beaucoup de nos jeunes dont le chômage est devenu leur grand sort commun et certains parmi ces jeunes tombent dans la délinquance jusqu’à devenir des bandits de grand chemin dans nos villes, appelés «bébés noirs» ou «kulunas», nom importé de nos amis de Kin-la-belle, sur la rive gauche du Fleuve Congo.
Entre temps, la police et la gendarmerie a mené une opération baptisée «Opération Coup de poing», lancée le 14 mai 2024, avec dans les premiers jours, des raids massifs dans plusieurs quartiers de Brazzaville. Faisant le point de cette opération lors d’une conférence de presse, le 5 juin, le procureur de la République indiquait que 580 jeunes étaient arrêtés pour diverses raisons, dont 247 remises en liberté après quelques jours de détention et d’interrogatoires, et 18 étrangers refoulés vers leurs pays d’origine. Cette opération a permis une certaine accalmie, mais comme des termites, certains continuent de se manifester et on a enregistré dans la capitale, la semaine dernière, au moins deux assassinats effroyables de paisibles citoyens par des «bébés noirs». Parmi les victimes, il y a un étudiant en master à la Faculté de droit, répondant au nom de Van-Bauer Ibara. Il a été sauvagement tué lundi 12 août vers 20h, à coups de machettes, devant son domicile, dans la Rue Saint-Paul, à Talangaï, par des «bébés noirs», qui ont coupé son pied avant de prendre la fuite avec. Grâce à des témoins, ces bandits assoiffés de sang ont été rattrapés par la police quelques jours plus tard. Une autre victime a été tuée dans la nuit du jeudi 15 août à Moukondo.
A ce rythme, il faut que l’«Opération Coup de poing» continue, en l’améliorant. Elle devrait permettre aux services de renseignement de la police et de la gendarmerie, de constituer un fichier des jeunes à risque, pour vite les repérer, chaque fois qu’ils commettent un délit ou un assassinat. C’est autant dire que la jeunesse mérite d’être prise en main, pour ne pas la laisser dériver dans la culture de la violence. A en croire le Père Jones, un Anglais, « les personnes dans le besoin n’auraient parfois d’autre choix que de tomber dans la criminalité. Car, pour beaucoup de personnes qui sont en bas de l’échelle sociale, vivre honnêtement apparaît impossible ». C’est comme si, ce phénomène était une fatalité. Et non, on peut en sortir.
Le Père Joseph Wresinski, un prêtre français d’origine polonaise, affirme que «la misère commence-là où sévit le non-respect des droits de l’homme. La misère n’est pas une fatalité. C’est une maladie du corps social condamnée à disparaître. La misère est l’œuvre des hommes et seuls les hommes peuvent la détruire. La misère est une violation des droits de l’homme et une atteinte à la dignité humaine ». Car, parmi les droits de l’homme, il y a aussi des droits économiques, sociaux et culturels qui incluent le droit à une alimentation adéquate, à un logement convenable, à l’éducation, à la santé, à la sécurité sociale, à la participation à la vie culturelle, à l’eau, à l’assainissement et au travail.
La Constitution de 2015 actuellement en vigueur dans notre pays fait obligation à l’Etat, à travers l’article 29, « d’assurer l’épanouissement de la jeunesse, en garantit notamment, le droit à l’éducation et l’égal accès à l’enseignement et à la formation, et la scolarité obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans ». Beaucoup de jeunes quittent les bancs de l’école tôt, ils ne sont récupérés par des systèmes parallèles d’éducation ou de formation aux métiers. Beaucoup d’entre finissent tout simplement dans la rue et certains deviennent alors des «bébés noirs» ou «kulunas».
Quant à Itoua, Mboungou, Tati et Yakamambu, ils pensent que la misère n’est pas une fatalité au Congo et qu’en conséquence, il faut lutter contre elle. La lutte contre la misère est un devoir sacré fondé sur le respect de l’égale dignité de tous les êtres humains. C’est en donnant un espoir d’avenir à tous nos jeunes qu’on va les empêcher de tomber dans la criminalité. Là ou des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, il faut s’unir pour la combattre, la refuser et résister à l’inacceptable. Il faut aussi s’unir à respecter l’être humain. Le respect de l’être humain, c’est ce qu’il y a de plus important. Qui plus est, chaque homme porte en lui, un précieux dépôt : l’humanité. A lui d’en être digne et de le faire fructifier, par son audace, par sa confiance et par sa loyauté. Comprenne qui pourra. Au revoir et à bientôt !
Diag-Lemba
Diffusé le 10 septembre 2024, par www.congo-liberty.org
C’est l’aveu d’impuissance économique, sociale et économique..
Proclamer 2024 , comme année de la jeunesse dénote l’amateurisme dans la gestion des affaires publiques et notamment l’incompréhension de la politique économique..
La politique d’emploi est un des déterminants de la politique économique qui office des problématiques socio- économiques, orientées vers les jeunes..
De ce point de vue,il est étonnant qu’un président de la République fasse de l’année 2024 une année de la jeunesse….
L’année de la jeunesse n’est autre que la politique d’emploi,une des composantes de la politique économique, dont les politiques budgétaires et monétaires sont les matrices…..
Souvenez-vous de ce j’avais dit à propos de nôtre erreur concernant notre politique économique depuis la sortie de la caverne française….
Le banditisme en est un des symptômes,car on n’a rien compris à la nature profonde d’une véritable politique économique…. C’est un paquet hétérogène incluant toutes les aspects de l’économie nationale, issue d’un PIB crédible..
Reprenons l’équation keynésienne Y= C + I +S+ G+ X -M…
À gauche vous avez Y , revenu national et à droite,les agents économiques, c’est à dire la demande agrégée. ,et Y ,offre agrégée..
Pour retrouver la politique d’emploi,il va falloir résoudre la consommation C ,I investissements et soit activer G la dépense publique.
Prenons G , dépense publique……
Ce sont les commandes publiques c’est à dire , la construction des infrastructures diverses qui stimulent l’activité économique d’une nation..
Exemples : la construction des 12 hôpitaux, des déchetteries pour les poubelles, les routes et leur maintenance,les voies ferrées et leurs emplois induits ,les écoles, universités,bref tout ce qui relève de l’État.
Par contre la C , consommation peut faire l’objet d’une initiative publique en augmentant les salaires ou en subventionnant certaines dépenses des ménages, c’est à dire jouer sur la fiscalité des ménages et celle des entreprises,etc ..
Keynes préconise une augmentation des salaires, qu’il appelle » la pmc ou la propension marginale à consommer….
Etc……….au bout il ya de l’espoir.
Chers compatriotes,
Compte tenu de mon hostilité féroce à ce pouvoir, je ne peux en dire davantage sur le développement de mes idées au sujet des solutions macroéconomiques applicables à notre économie nationale..
Désolé pour le pays !!.
a mr diag lemba
meme si ce sont des bebes noirs ils sont droit a une dignite.vous navez pas le droit dexposer leurs parties intimes slips couilles testicules poitrines et poils …. le congo brazzaville est signataire du traite des nations unies sur le haut commissariat des nations unies pour les droits de l’homme. le delinquant a des droits. vous semblez l’oublier.
enfin arretez vos pitreries sur itoua mboungou yakamambu ….ca sent le village. nous sommes en 2024 heure ou les economies du monde se sont entierement digitalisees.en etre encore a votre niveau comme au sortir des independances non mr vous non plus vous ne valez rien!
redigez un article tres universitaire sans vous referer a des patronymies malades.
Lire , tous les aspects .
Le surgissement de ces bébés noirs sur la société congolaise trouve sa justification apodictique au travers de l’absence des institutions arrimées sur l’efficience d’une pensée économique endogène . Autrement dit , le CONGO BRAZZAVILLE n’a jamais initié une réforme économique et financière ,balayant des gadgets de pensée , laissés par le colon .
Commet expliquer que l’on en reste toujours à la gestion centrale des ressources naturelles ,alors celles ci exigent une gestion autonome afin d’en maximiser les profits à l’endroit des populations dont la vie matérielle dépend ?
Quelqu’un pourrait m’informer sur la destination des ressources financières induites par les mines de FOUATI et autres ?
Et si la gestion de ces ressources était locale ,nous aurions constaté un début de développement local des infrastructures sociales , économiques ,techniques et technologiques .
D’où la nécessité de restituer de façon institutionnelle la gestion de nos ressources naturelles aux régions autonomes .C’est la clef de la paix nationale .
Ce qui suppose une utilisation accrue de toutes les compétences diasporiques et nationales pour livrer une bataille économique et financière au service de l’économie nationale , à l’image de l’Allemagne .
L’économie Allemande est tributaire des dynamiques économiques des landers ,où seule compte l’activité économique , au détriment de la rhétorique politique .
C’est le pragmatisme ALLEMAND !!!.
Notre défi ,c’est de nous mettre au niveau de ceux qui ont réussi dans des domaines aussi particuliers que ceux pris par le Nigeria et l’Allemagne .
Si vous tenez le baratin vivre- ensemble pour vrai ,en dépit de la folie financière de la vieille classe politique congolaise ,vous vivrez dans la mouise ad vitae aeternam .
La charge sociale de la nation congolaise se décline en type d’hommes : certains souhaitent vivre des finances publiques sans le moindre effort ,en violant les entrailles du trésor public et d’autres ont préféré la sorcellerie à défaut d’avoir des parrains au sommet de l’Etat .
C’est aux régions libérées des chaines PCTISTES de faire émerger une économie digne de ce nom .
Il eût été facile et raisonnable que ce régime injecte des liquidités dans les poches des congolais pour booster une économie nationale atone….
En soi , cette action économique d’origine politique , c’est à dire de l’orientation de la dépense publique vers la consommation par l’octroi d’un surplus d’encaisses monétaires aux ménages.. C’était le bon sens cartésien,en termes économiques. Et nous n’en serons pas là..
D’où le souhait de la rupture avec cette myopie économique qui caractérise ce régime, laissant sur le carreau des miliers des congolais..
Comme l’avait dit,en 1980 ,un certain Bakabadio Louis , » la problématique majeure de ce pays réside dans la répartition du revenu national..
Justement, l’idée de Keynes,selon laquelle c’est la politique de la demande qui crée la politique de l’offre.ou la théorie de Jean Baptiste Say « : l’offre crée sa propre demande ». ..
Or , la demande, c’est la consommation qui est un des piliers du dynamisme des entreprises, c’est à dire de l’offre…
L’étude du marché nous indique toujours la quête d’équilibre entre les deux courbes, c’est à dire la demande et l’offre..
Une injection des liquidités dans l’activité économique en faveur de la population, aurait amené à poser de manière durable les jalons d’une économie crédible,en dépit du manque de la politique monétaire dont on sait l’importance dans une économie nationale…..
Toute dépense des ménages créé un fragment de richesse aussi pour kes entreprises que pour l’État en termes de fiscalité….
Si l’État alloue un revenu social à un congolais, remplissant les critères d’éligibilité à la sécurité sociale ,il est toujours gagnant en bout de chaîne.
Car , le bénéficiaire de cette allocation va consommer,et cet acte porte trois valeurs : la satisfaction du besoin primaire, comme manger, la fiscalité ou TVA pour l’État,et le revenu gagné par l’entreprise… C’est ce qu’on appelle » le cercle vertueux » de l’économie…..
Mais cette vertu économique est conditionnée par une organisation efficace de l’économie nationale, notamment la visibilité des flux financiers par lesquels passe tout cet argent….
D’où l’intérêt de mettre à plat tout le système bancaire, récepteur des encaisses monétaires des ménages et des entreprises.
Bref ,il y a du boulot !!. Comme quoi , le Congo Brazzaville est vierge des réformes innovantes de ce siècle….Et Nietzsche dira « : le nihilisme économique et financier ».
Et en plus , j’ai poussé mon audace intellectuelle en posant la question à mon professeur d’économie que j’ai rencontré à la gare de l’est.
Y-a-t-il une politique économique sans politique monétaire ?.
Mon vieux prof agrégé d’économie et de droit a failli me gifler.. N’eut été mon gabarit , j’en aurais pris une …
Aaaah , le Congo Brazzaville !!. Incroyable !!…..Et pourtant,en face de nous,ils en ont une.
Oui ,la RDC a une politique économique , répondant aux standards économiques internationaux.. Allez y apprendre la macroéconomie !! Mawaaa…
Le CFA, piloté par la banque de France, n’a aucun impact sur l’économie nationale,car son taux de change constitue un obstacle à nos exportations.
Oui , mais quelles exportations ???… C’est le nœud Sassouiste….
Ces images, péniblement à voir , nous incitent à repenser un modèle économique qui satisfasse tous les congolais, où qu’ils soient…
Difficife d’y être indifférent, quand on sait que ce régime est coutumier des dépenses ostentatoires , alimentaires et festives. En témoigne le futur mariage de Gonimba et de Joujou à Paris.. C’est le caractère Dionysiaque de régime, Ultra anti patriotique..
D’où un effort pour nous congolais de repenser un archétype économique, qui responsabilise chaque région dans la gestion des ressources naturelles, humaines..et surtout économique et financière…
Pourquoi ces images pénibles ??.
C’est tout simplement l’échec d’un personnel politique, qui n’a rien compris à l’économie..
Quand Sassou décréte « : une année de la jeunesse » , c’est un aveu de médiocrité, d’incompréhension de la politique économique d’un pays…Sassou et ses conseillers économiques sont priés de revoir leurs cours en économie pour se convaincre que la politique économique possède en elle la politique d’emploi..
C’est la politique d’emploi qui fait office de la politique de la jeunesse en termes d’emploi.
Or , cette année de la jeunesse, promise par Sassou, dépend de l’activité économique du pays, puisqu’il est question de créer 100000 emplois sur tout le territoire, donc le problème est hautement économique….
C’est dans l’économie et donc dans la politique économique que se trouve la solution aux problématiques de chômage, d’emploi,de formation que rencontrent ces jeunes..
La politique d’emploi est un marqueur de la politique économique d’une nation,car elle traduit une préparation intelligente de la retraite par répartition, qui est générationnelle..
Voilà, chers compatriotes, la raison pour laquelle,il est vraiment temps que Sassou quitte ka scène politique pour donner au Congo Brazzaville la chance de reprendre le chemin du développement économique, longtemps obturé par sa conception tribale voleuse et criminelle du pouvoir..
Les solutions idoines y relatives sont d’une simplicité limpide .il suffit de repenser un modèle économique ,qui place les régions au centre des décisions économiques locales..
A Gnoka alias Noko alias DSD alias R alias bec jaune alias Petit David alias Marie Blanche alias Ortega Daniel alias Marie Charlotte Opimbat alias Marie Gilbert Accrombessi alias Marie Francoise Valerie alias Luis Fonseca alias Paul bremer alias Ray Taylor alias Seraphin Matata Ponyo Mapon alias grandpretrerabittan alias judicael derlin zinsou alias paolo ramos alias safi saied safi alias Charlie Tshilombault alias Guy Jao Batantou Bitakwira alias Murielle Mbemba Gombo alias Marie Odette Shungu Wembadio alias Marie angele hassan ali.Tu es un indecrottable imposteur comme votre chef de la mafia d’Oyo.Trouves toi un travail digne au lieu de pondre tous les jours les inepties on ligne.
C’est le général Mayelé ,qui disait si la police dans un pays Africain où les droits humains sont inexistants n’arrive pas à assurer la sécurité, c’est qu’il faut chercher les complices dans cette même police. Sassou Denis avait nommé Ndengué un braqueur pendant 27 ans à la tête de la police, ce dernier a nommé ses petits braqueurs dans les différents commissariats dans tout le pays et l’ont s’étonne de l’insécurité . Sassou Denis a toujours récompensé les criminels à l’instar de Boka Basile alias Matia Matia de guerre né en 1964 à Edou près d’Oyo que chante Roga Roga le musicien Mbochi, un criminel qui sème la mort et la désolation dans le pool et ce garçon a été nommé exceptionnellement Général de Brigade .
Pétrole contre Faye Monama !!. Ils ont fait du Congo Brazzaville leur caf ( caisse d’allocations familiales)… C’est triste !
L’avenir du Congo Brazzaville est très ombrageux tant le pétrole reste le principal élément de diplomatie économique entre le Congo Brazzaville et ses partenaires commerciaux.. Suivez mon regard !!.
Mais convoquons Nietzsche pour nous prêter sa volonté de puissance, comme une énergie de nous surpasser pour être des ( surcongolais) ….
En attendant qu’un Zarathoustra congolais descende de sa montagne pour nous livrer des nouvelles valeurs morales….
» Dieu est mort » au Congo Brazzaville, dixit Nietzsche,car les valeurs et principes d’action qui régissent ce pays sont nihiliste. Ils nous demandent de regarder le ciel,au lieu de nous intéresser à la gouvernance de la res publica….
Ce pays ne rassure point sur la fin ce régime,les enjeux économiques, dont le pétrole est le fer de lance dans nos rapports avec la communauté internationale, sont la boussole de la vie des congolais…..
Admettons que »: Dieu soit mort »comme le dit Nietzsche, il nous revient d’inventer nos propres valeurs pour sauver notre pays..
Ce concept Nietzschien, d’origine prophétique, nous fait comprendre que le Congo Brazzaville ne maîtrise plus son propre avenir,celui ci dépend de plusieurs facteurs qui dupent l’apparence d’un pays libre .
En plus du pétrole,il y a le problème de l’or congolais qui échappe au trésor public congolais…
Ce sont là ,les deux principales matières premières qui perturbent le sommeil des congolais depuis des lustres..
Où se trouve l’or congolais ??.
Est -ce que vous avez qu’en additionnant l’or et le potentiel du pétrole et du gaz congolais l’on peut indexer notre nouvelle monnaie sur ces matières premières ??…
C’est la principale raison qui fait que le Congo Brazzaville n’ait pas la faculté de créer une banque centrale et donc de laisser filer l’or dans les mains des étrangers..
Pourquoi,il nous faut cet actif monétaire ?…
Économiquement, l’or rassure.. Et financièrement,il est une valeur refuge c’est à dire que si les taux d’intérêt d’une banque centrale baissent,les investisseurs préfèrent achètent de l’or , comme valeur de refuge pour garder la valeur de leurs investissements..
Et l’or , détenu par un pays, combat une dépréciation de l’unité monétaire de la monnaie attaquée sur le marché des changes..
Regardez le France a une dette publique qui s’élève à 3100 milliards d’euros dépassant largement les 60 % du PIB , définis par les critères de Maastricht.
Mais la France dispose au sein de la banque de France un stock important d’or.
Et d’où vient cet or ??.
La France continue d’emprunter sur les marchés financiers en dépit des taux d’intérêt importants , augmentant la charge de la dette..
Il faudrait aussi savoir que la dette française est détenue à 60% par les étrangers investisseurs.. Ce sont les obligations d’Etat détenues par ces investisseurs moyennant des taux d’intérêt importants.
C’est l’enjeu de détenir de l’or dans notre trésor public à défaut d’avoir une banque centrale…. C’est un pistolet automatique !!.
C’est bien de parler du pétrole,mais un autre élément capital, qui détermine la vitalité économique d’un pays, c’est l’or…..( actif monétaire et valeur refuge). Attention !!.
Je vous rappelle une chose : Pendant la crise des subprimes , Sarkozy avait vendu plus de 500 tonnes d’or pour rebooster l’économie française..
Réfléchissez !!!.
Lire ;sont nihilistes .
Vous savez qu’en additionnant .
La France .
Oui , au vu de ce qui est arrivé à notre frère MONAMA , nous sommes vraiment des esclaves malheureux ….
Existons- nous vraiment dans ce cosmos ,dans cette immanence , nimbés des gros prédateurs financiers ?
Peut être qu’à la longue ,il faudrait Nigeriser notre comportement politique pour essayer d’obtenir un supplément de respect .
Comment accepter qu’un pays ayant proclamé les droits de l’homme et du citoyen puisse fouler aux pieds cet esprit humaniste sous l’autel du pétrole ?.
Alors , c’est aussi un de ces maux que peut surgir une réflexion approfondie sur la diversification concrète et non théorique de nos ressources naturelles .
Pendant combien de temps allons- nous mourir pour le pétrole ?
Si on en est là ,c’est parce que nous avons renoncé à construire une économie , mettant en valeur tout le potentiel économique dont jouissent nos régions pour nous contenter d’une seule rente qu’est le pétrole ….
C’est le nerf de guerre nationale et internationale dont nous n’avons jamais la maitrise…..
C’est une équation dont nous n’arrivons pas à résoudre les inconnues .
Qu’avons nous fait de nos études ?
Faudrait- il faire sauter la digue SASSOU pour nous arrimer à une meilleure gestion de l’économie nationale ?
J’éprouve une honte à me savoir appartenir à un pays qui dit avoir formé tant des cadres pour des résultats économiques catastrophiques et ahurissants .
Résultat : une incompréhension totale de la macroéconomie .
J’ai récemment lu un ouvrage écrit par un sénégalais qualifiant PAUL KAGAME de leadership de cette partie perdue de l ‘AFRIQUE du fait de son réalisme politique et économique .
Oui ,il vole en RDC ,mais quel voleur intelligent et DEVELOPPEUR !
Est- ce que l’inverse aurait été vrai ? Sassou en est la triste preuve .
Et sachez aussi que ce KAGAME dispose d’une banque centrale et donc de sa propre monnaie .Ce qui valide ma rhétorique monétaire sur la politique économique introuvable au CONGO BRAZZA . On n’y est pas . Et De Gaulle n’aurait pas gobé pour la FRANCE .
KAGAME ET LE RWANDA plus riches que le CONGO BRAZZA .Incroyable !!!.
Et avec quelles richesses naturelles ?
CONGO MAWAAAAA§§§.
Suivez ces scénarii et réfléchissez !
J’ai 2000 euros pour faire des investissements, mais je vais miser sur quatre agents économiques, c’est à dire quatre entreprises ou quatre ménages..
Prenons les ménages :
Chaque Entreprise se voit doter dnune somme de 500 euros ,soit :
M1= 500 euros
M2= 500 euros
M3 = 500 euros
M4 = 500 euros.
Voilà la répartition de mon investissement dont j’attends une création de richesses et des bénéfices.
M1 , doté de ce capital, produit des mangues transformées en valeurs ajoutées et les emplois induits du fait de cette activité agro alimentaire ,etc
M2 , produit des brouettes,des pelles, bref du matériel destiné aux bâtiments,avec des emplois induits, comme les vendeurs des matières premières
M3 produit des pattes d’arachides au moyen d’une unité de production, incitant les agriculteurs à produire davantage des arachides, donc emplois induits .
M4 n’a rien produit ou si peu .
Alors, pendant combien de temps M4 doit assister honteusement à l’émulation économique à laquelle se livrent les autres entreprises, sachant qu’au bout de cinq ans,i chaque année, il y a un contrôle de la gouvernance économique de cet investissement ??.
M4 doit elle réagir ou être à la merci des nouveaux investisseurs ?
Telle est la philosophie du modèle économique fédéral.
En effet,ces entreprises se comprennent comme des régions au sein du fédéralisme, où elles sont invitées à créer des richesses à partir du capital alloué par l’État fédéral.
C’est simple à comprendre,il suffit d’y mettre un peu de volonté.
Toutes les régions du Congo ne peuvent être dotées du pétrole,mais elles ont des ressources naturelles autres que le pétrole,sur la base desquelles elles peuvent créer des richesses…
Arrêtons d’infantiliser ces régions ,sous le prétexte fallacieux de dotations inégales des ressources naturelles.. Toutes les régions se valent économiquement,il suffit d’exploiter à bon escient ce dont elles sont dotées..
Dans la forêt de Bavière en Allemagne,il n’y avait pas des Mercedes,Bmw etc ce sont des hommes qui ont produit ces véhicules, donc cette richesse.
Une région congolaise , quelle qu’elle soit, peut s’offrir une richesse à partir de l’économie immatérielle, numérique,etc . D’où l’importance de former des techniciens, ingénieurs pour pallier le manque des ressources naturelles stratégiques.
Marc Zuckerberg n’a pas eu besoin des fûts de pétrole pour devenir milliardaire,il a utilisé son cerveau .
Si vous formez les gens et vous les laisser végéter en Europe, vous aurez automatiquement les résultats misérabilistes de vos conditions de vie. .
La région M4 se doit de se mettre au niveau des autres régions pour relever son niveau de vie. Il n’y a d’excuse à fournir du fait d’un manque des ressources naturelles La péréquation financière agira sur tous les leviers des décisions économiques majeures prises au sein de la région.
1 euro investi doit produire 2 euros,tel est l’esprit du capitalisme et donc de l’investisseur.
La bonne dette publique est celle qui produit des bénéfices à long terme…
L’excuse du manque de pétrole ne marche pas.. Tous les landers allemands n’ont pas le même PIB ,mais ils ont un PIB suffisant pour être riches ..
Réfléchissez !!!. Seuls comptent le travail et l’abnégation…
Merci !!.
le fils du pays
@Val de Nantes
Vous avez tout dit dans un langage simple.
Au Congo on parle beaucoup du petrole et de la dependance du pays d’exploitation des ressources naturelles c’est a cause de la france qui a vu le beninois Sassou Denis devenu Mbochi comme son eternel fidel serviteur et agent capable de paralyser toutes les initiatives positives que les Congolais peuvent prendre pour avancer.
Au temps de Massamba Debat on ne parlait du petrole.Il a travaille sans regarder le petrole.Voila pourquoi il faut absolument chasser du Congo ce beninois et tous ceux qui le soutiennent dans sa folie.