Mingwa BIANGO affirme que le sentiment anti-français en Afrique de l’Ouest (Mali, Burkina-Faso, Niger…) n’est pas le même que celui au Gabon ou au Congo-Brazzaville en Afrique centrale.
En effet, dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, il est la conséquence de l’échec de l’Armée française à travers l’opération Barkane à éradiquer des Djihadistes dans la zone sahélo-saharienne.
En revanche, au Congo-Brazzaville et au Gabon, les populations reprochent à Paris son soutien indéfectible à des pouvoirs dictatoriaux aux commandes de pays pétroliers immensément riches, où toute la richesse nationale a été privatisée au profit des clans au pouvoir, au détriment des populations qui croupissent dans une misère indescriptible !
La Rédaction
Diffusé le 03 mars 2023, par www.congo-liberty.org
LE PRESIDENT MACRON COMME LE PAPE JEAN-PAUL II, NE DORMIRA PAS A BRAZZAVIILE
Diagnostic juste mais incomplet : Y a-t-il un sentiment anti français au Congo ou au Gabon? Non pour ce qui est du Congo, pour le Gabon je ne sais pas. Au rebours il y a un vif sentiment anti-oligarchie française au Congo comme au Gabon. L’oligarchie française n’est un fidèle reflet de la société française même si elle détient le monopole des richesses, des média, et du pouvoir médiatique . C’est ce qui fait la force de la bourgeoisie : ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier : au congrès CGT de Lille en 1904, Jules Guesde l’avait déjà souligné. Par ailleurs, Mingwa Biango a oublié de souligner le fait que dans un cas comme dans l’autre, ces régimes ont été installés par le gouvernement français.
Cher frère Mingwa, moi je parlerai d’un désamour pour le cas du Congo et du Gabon . Autrefois les congolais ont appelé leurs enfants Chirac , Mitterrand ou encore Jospin comme mon neveu qui se prénomme Chirac. Mais comme le répète mon jeune frère que l’ennemi du mensonge c’est le temps. Les congolais reprochent aux autorités Françaises leurs soutiens indéfectibles au régime barbare Mbochi de Sassou Dénis qui leurs affament . Alors ces Mbochis vivent en dehors de toute réalité financière .Le pire c’est illuminé de Sassou Dénis qui atteint l’âge canonique veut être remplacé par son fils avec l’adoubement de la France.
Comme tout le monde sait, au millieu de la semaine qui s’achève, Emmanuel Macron a prononcé une allocution prélude à sa tournée de trois jours en Afrique centrale, notamment au Gabon, en Angola, au Congo Brazzaville et en RDCongo. Au Gabon, alors que les contrats ont été signés sur l’environnement, les hydrocarbures et l’éventuelle réorganisation (réduction des effectifs dmilitaires français) de la base militaire française déployée depuis les années 60 dans le pays des Bongo, et en Angola où l’agriculture, l’élevage sans oublier les contrats en hydrocarbure, au Congo Sassou Nguesso n´était que préoccupé pour un problème sa succession par son fils en demandant au Président français de l’addouber pour faire de lui le cas écheant nouveau chef de l’Etat congolais comme chez les Eyadema, les Bongo et les Deby. Pendant ce temps au Congo voisin le chef de l’Etat français est attendu pour condamner sans ambiguité l’Etat rwandais agresseur. Voilà l’etat d’esprit de Sassou Nguesso! Les autres traitent des problèmes importants pour préparer leurs pays aux nouveaux défis. chez nous au Congo Sassou Nguesso homme d’esprit mesquin est préoccupé par le pouvoir.
Je rehausse les avis de @ Kayemba jp ,car nous vivons une sorte de colonialisme déguisé , maquillée ,peinte en noir pour nous endormir par le biais des négriers , installés par la France… C’est la négrophobie alimentée par personne interposée.
On n’y voit que du feu.