Après 27 ans de règne sans partage et un pays exsangue dans tous ses secteurs d’activités, M. Sassou Nguesso n’a pas rechigné à faire une fois de plus des promesses à un peuple qu’il ne représente pas, et ne l’écoute pas non plus.
Dans le monde virtuel et imaginaire de M. Sassou Nguesso, il s’imagine des défis à savoir l’ amélioration de l’offre de santé et d’électricité, l’assainissement des principales agglomérations urbaines, l’ industrialisation du pays avec l’éclosion de diverses PME et PMI, la poursuite de l’endettement du pays en finançant par emprunt chinois « les grands travaux d’infrastructures » dans le domaine de la navigation fluviale et de l’activité agro-pastorale. Bref, tout ce qu’il n’a pas fait en 27 ans de dictature.
De l’augmentation de 10% du salaire minimum payé aux agents de l’Etat, soit une augmentation de 6.000 francs CFA; la majoration de plus de 100% des allocations familiales versées mensuellement par l’Etat aux enfants à charge des fonctionnaires; l’augmentation de 50% des bourses des étudiants qui étaient de 30. 000FCFA dans les facultés de l’université Marien Ngouabi.
Chaque peuple mérite ses dirigeants et nous espérons vivement qu’à la fin de cette année 2012, les vœux qui seront adressés au peuple congolais, seront ceux d’un président élu démocratiquement.
Pour cela, il faut que chaque congolais où qu’il se trouve, contribue à la chute du pouvoir de Brazzaville.
Diffusé le 01 janvier 2012 par www.congo-liberty.org
