Comme nous le savons tous, l’armée de Sassou Nguesso, est non seulement à caractère tribal, mais aussi pléthorique. Elle se caractérise surtout par le fait, qu’il y a plus d’officiers supérieurs que d’hommes de troupe.
Pour satisfaire toute sa clientèle militaire, et comme cela rejoint la stratégie de neutralisation des officiers militaires qui est la sienne, Sassou Nguesso a multiplié les directions et sous directions, au sein des Forces armées congolaises « FAC ».
Les explosions des dépôts d’armes de Mpila du quatre (4) mars 2012, ont mis à jour, que le régiment des blindés est sous l’autorité de trois (3) directions différentes :
La direction centrale des armements et munitions (DCAM), dirigé par le colonel Claude Mopita, un proche de Charles BOWAO.
Le régiment blindé (RB) est sous le commandement du colonel Yvon EPASSAKA , un proche de Charles Mondjo.
Le bataillon des chars légers (BCL) compte à lui, est sous l’autorité du colonel SAHOUS, un proche de Jean Dominique Okemba , chef des services secrets, et soit disant neveu de Sassou Nguesso.
Tous ces officiers militaires sont d’abord des hommes d’affaires chevronnés, affairistes et millionnaires, car ayant le monopole de tous les marchés de l’armée congolaise. Ces officiers que l’on ne voit jamais dans les casernes, représentent d’abord leurs patrons ci-dessus cités.
A l’heure où les congolais demandent des comptent à Sassou Nguesso , qu’ils considèrent comme principal responsable de l’apocalypse du 4 mars 2012, ayant fait des milliers de morts et de blessés, la stratégie du dictateur, est de vite trouver des boucs-émissaires.
L’armée étant devenue le principal employeur du pays, des centaines de jeunes recrues militaires étaient dans la caserne des blindées de Mpila pendant l’explosions, et manquent à l’appel. Le bilan est donc malheureusement plus lourd que l’officiel, qui ne compte que deux cents morts.
Aujourd’hui, le ministre délégué à la défense Charles BOWAO , le chef d’état-major Charles MONDJO , et Jean Dominique Okemba, se rejettent la responsabilité de la gestion des dépôts d’armes, qui entraînerait une faute des services, de l’un ou de l’autre.
Comment peut-il en être autrement, la chaîne de commandement militaire étant un monstre à plusieurs têtes !
Personne ne sait qui administre quoi, et les inspecteurs des FAC, à qui Sassou Nguesso a demandé de faire une enquête, puisque lui-même ne croyant pas à la thèse officielle du cour-circuit, ne savent pas, à qui s’adresser.
Le clan Mbochi de MONDJO et OKEMBA, obtiendra-t-il la tête de BOWAO natif de la LIKOUALA ?
Sassou Nguesso aura-t-il le cran de débarquer BOWAO, au risque de mécontenter encore plus les KATANGAIS « natifs de la Likouala », qui n’ont pas digéré la mort « plus que suspecte » du général Yves Motando, le 11 janvier 2011 ?
Par Bari ma Mbinda, pour www.congo-liberty.org
Diffusé le 16 mars 2012
LA responsabilité de ce drame MPILA ,est l’affaire des deux sassou et okemba , en réalité au congo le gouvernement ne sert à rien , sinon la peusdo géopolitique selon sassou , en effet sassou gouverne en famille son fils kiki qui s ‘occupe du pétrole, claudia l’appareil médiatique du pays , son neuveu BOUYA les grands travaux fictifs et JD OKEMBA le super ministre de la défense et l’intérieur , ce dernier est un sous officier de marine qui à échoué à la formation d’officier de marine à toulan dans le var (france).comment sassou un pétit instituteur adjoint et okemba pétit sous officier de marine peuvent s’occuper de l’armément lourde alors qu’ils ont pas la formation réquise !!!
Comme l’a si bien dit l’auteur, le seul et véritable responsable est Sassou Nguesso. Le reste n’est qu’enfumage. Bowao n’est qu’administrateur, et n’a jamais tué personne. Il fait partie du système, et à ce titre, il devra aussi rendre des compte un jour.
beaucoup de famille, qui avaient des enfants stagiaire au camp des blindés, n’ont toujours pas de nouvelles de leurs enfants.
Le premier drame du Congo c’est l’incompétence de ses dirigeants
Le second c’est leur bêtise et leur cupidité au niveau maximal
Le troisième c’est leur méchanceté viscérale voire animale
Sassou a au jourd’hui le meme dileme que Ngouabi, un pas en avant il tombe
un en ariere il tombo que faire ? eyi youkoukou na palais ya Mpila miele ekomi pilipili.