En disgrâce et acculé de toute part en France sur le plan judiciaire, le dictateur Denis Sassou Nguesso n’a pas trouvé mieux, que d’invité Kemi Seba à Brazzaville dont le seul moteur idéologique est sa haine anti-française, pour ensuite l’interpeller par ses services de sécurité et le relaxer aussitôt ce 31 mars 2025, afin pense-t-il, de faire plaisir à la France.
Tout cela n’est que comédie et théâtre, car, si le Congo de Denis Sassou-Nguesso qui est un Etat policier ne voulait pas recevoir Kémi Seba qui venait de Kinshasa, ce dernier n’aurait pas pu embarquer pour Brazzaville.
Kémi Seba a probablement conclu un pacte de non-agression avec les services secrets de Sassou-Nguesso, et n’avait pour seul objectif que faire du buzz à travers sa fausse arrestation. Notre frère Kémi Seba doit comprendre et savoir que la priorité des Congolais est de chasser Sassou-Nguesso du pouvoir et non des diatribes creuses sur le franc CFA.
A ce sujet, des intellectuels africains sérieux comme les économistes togolais Kako Nabupko et l’ivoirien Nicolas Agbohou ont rédigé une littérature critique abondante sur cette ancienne monnaie des colonies françaises. Par ailleurs, pourquoi interpeller Kémi Seba, lorsqu’on sait qu’il n’aurait rien appris à ce sujet aux Congolais et que sa conférence ne portait pas sur les crimes de sang et économiques de Sassou-Nguesso qui l’a invité à Brazzaville ?
Dans ce voyage touristique de Kemi Seba au Congo-Brazzaville, le seul véritable « gagnant » est Sassou-Nguesso qui en instrumentalisant Kémi Seba, espère retrouver les bonnes grâces de la France…et ce communiqué de l’Ambassade de France en est illustration.
Alors, merci Kémi Seba pour ta distraction et ton MATALANA comme disent les Congolais !
La Rédaction Diffusé le 31 mars 2025, par www.congo-liberty.org
La lettre de menace du dictateur Sassou Denis au Juge Serge Tournaire et aux dix mille français résidant au Congo


Comment la barbarie Mbochi autorise l’entrée de Kemi Seba à Brazzaville ? Sachant que le très sulfureux jeune Gavet est entretenu par le fils Sassou Denis ! Semble t’il que c’est l’ambassadeur de France qui appelle Sassou Denis pour arrêter son chantage envers la France.
Ah ces jeunes africains chômeurs dans la seule option est la politique.
Les congolais sont vraiment légers, maintenant ils attendent qu’un béninois manipulé par le bourreau de l’alima vienne les libérer.
Tout est à prendre, tant qu’on peut distraire les congolais zoba…
Les clivages idéologiques Nord/Sud, Est/Ouest, ne doivent plus aujourd’hui faire débat, car la nouvelle génération a compris le véritable objectif à atteindre. Place au vrai panafricanisme de Combat. Cela dit, ces nostalgiques esclavagistes impénitent, que cherchent ils encore, en ce 21 ème siècle. Partout, sur le continent, les mouvements panafricains authentiques s’activent (l’affaire du siècle de l’arrivée de l’activiste Kemi Seba au Congo via le Beach N’Gobila) à chasser ces gens étranges qu’Antoine Glaser même avait bien décrit, dans un ouvrage intitulé: « Arrogant Comme Un P’tit Francais En Afrique ». Ainsi, notre lettre ouverte questionnante, à la justice néocoloniale de Paris est la suivante: bonjour « manu le dissolu » et autres jacobins des macdonald, colonisateurs zélés de la france cougare prédatrice. Quand est ce qu’allez vous mettre en examen madame brigitte trogneux (les enquêtes journalistiques révélatrices de l’afro-américaine Candace Owens une originaire du Bassin du N’Côôngo), pour escroquerie en bande organisée et dissimulation aggravée ? N’était ce pas l’une des raison inavouée de l’absence de la première dame francaise au Congo, durant la visite d’emmanuel macron à Brazzaville, le 3 mars ? Sachez le, messieurs les gaulois « Têtu » (du nom d’un magazine politique macroniste très prisé dans les banlieues dortoires) à la barbe rose que votre potion magique colonialiste agréssive et provocatrice est périmée. Les congolais ont l’acquité nécessaire, pour savoir démasquer sous la perruque trogneuse l’imposture identitaire qui a cours à l’elysée, depuis la venue au pouvoir du faux mouvement politico-illusionniste qui est En Marche diatancée, au sein de la diaspora africaine frivole non panafricaine. Alors, où était jean-michel ? Nous sommes en droit de savoir qui est il/elle (ou le fameux pronom « iel » tel qu’on désigne à présent par contraction les énigmatiques personnes douteuses de ce genre) réellement, ce monsieur. D’autant plus qu’il y avait de la castel, pour tout le monde, dans les n’ganda rwandais fantasmatiques de Kinshasa et Kinkala… Là-bas, dans la belle contrée pooloise, cette bière gauloise frelatée à 1000 FCFA (une monnaie de servitude d’inspiration nazie à abolire en toute Urgence Panafricaine) n’est pas prête d’y détronnée la dive dame-jeanne de n’tsââmba. Enfin, qu’avez vous fait de si judicieux au Mali ? Allez donc vous battre en Ukraine, contre la Russie poutiniènne triomphante, au lieu de distraire les africains, avec des histoires fantaisistes. Chers amis franchouillards trouillards, la récréation, en Afrique, est terminée. Qui est jean-michel trogneux ? Montrez le nous. Les africains exigent la vérité.