AVERTISSEMENT: Nous étions convaincus que Sassou était derrière cette manœuvre sur les états généraux et qu’il allait y répondre favorablement au final (car c’est sa propre volonté) et Pigasse vient de nous en donner la preuve irréfutable. L’opposition, enfin !
D’aucuns diront que cet « enfin » est exagéré, superflu, trop excessif pour mériter attention. Peut-être, mais l’emploi d’un tel adverbe n’apparait pas si éloigné de la réalité lorsque l’on considère la longue marche que l’opposition a accomplie au cours des quinze dernières années avant de s’inscrire dans le débat démocratique et de se résigner à jouer le rôle que lui réserve la Constitution de notre pays.
Remarquons, avant d’aller plus loin, que cette démarche lui confère une légitimité que l’opposition dite « radicale », empêtrée dans ses contradictions et paralysée par l’ « ego » surdimensionné de ceux qui parlent en son nom, est fort loin d’avoir. Soulignons aussi qu’elle rend enfin audible le discours que tiennent ses dirigeants et ses porte-paroles sur la place publique, que ce soit dans les travées de l’hémicycle à l’Assemblée nationale, dans les médias, ou devant ses militants.
L’étape décisive de sa réinsertion dans la vie politique de la nation étant franchie il incombe à ceux qui dirigent l’opposition de dépasser leurs querelles pour proposer au peuple congolais un véritable programme alternatif. En sachant, bien sûr, qu’ils ne seront pas en mesure de traduire celui-ci en actes tant que les citoyens ne leur auront pas donné la majorité lors des élections générales à venir, mais en jouant pleinement le jeu démocratique, c’est-à-dire en proposant une alternative crédible à la majorité présente sans pour autant prêcher la révolution, le chaos institutionnel, la guerre des clans.
Le Congo a besoin, aujourd’hui, qu’un débat sérieux, structuré, dépassionné, s’instaure entre l’opposition et la majorité non seulement sur les grands choix de société, mais aussi sur la place que notre pays peut et doit occuper sur la scène internationale.
Engagé comme il l’est dans un combat décisif pour la protection de l’environnement sa voix sera d’autant mieux perçue de l’extérieur que, chez nous, s’engagera un dialogue contradictoire où les forces vives de la nation se feront entendre. Les plus hautes autorités de l’État, cela ne fait pour nous aucun doute, en sont intimement convaincues.
De la concertation d’Ewo est sortie indiscutablement une approche plus rationnelle, plus sage, de la relation entre les partis politiques. Il incombe maintenant à l’opposition de démontrer qu’elle a effectivement la capacité de jouer pleinement son rôle dans la vie démocratique de notre pays.
Les Dépêches de Brazzaville
SAssou un metteur en scène talentueux , franchement comment prendre au sérieux deux faux oppossants , qui reconnaisent sassou comme président de la république , qui ont longtemps étés serviteurs de sassou, DZON comme DG de la BIDC puis ministre des finances de sassou , Moukouéké à servit sassou comme préfet politique dans la LIKOUALA , donc des escros qui sont très complices ! tout ceci relève d’une grande divertion ,que sassou affectionne beaucoup!!!
Etats généraux? Et si l’on s’y mettait sérieusement?
-Par une caractérisation du problème à résoudre: celui de remettre le pouvoir au peuple. C’est-à-dire le retour triomphant des acquis démocratiques au Congo.
-Aussi,faut-il une mise en évidence de l’enjeu et de la portée de ce problème: faire un état des lieux ou le bilan des années funestes de Sassou et son clan.
-Enfin la mise au point du cheminement des principaux axes de réflexion pour l’assainissement politique et juridique du pays.
Il s’agira de poser un acte constitutif au sens premier(tecnè en grec) qui renvoie à l’utilisation de moyens et de savoir-faire appropriés . Mais cette fois-ci la réflexion soit tendue en vue d’une fin sans retour du despotisme.
Le peuple attend un travail qui suppose en finir avec la culture de la françafrique au profit de la maîtrise de techniques politiques adéquates aux libertés privées. Donc pas d’Etats généraux en miettes qui justifieraient un désaisissement des compatriotes et nous éloigneraient encore du développement.
La Diaspora ordonnerait cette oeuvre majeure!
J NIGER , sassou est un tyran jamais il voudrait remettre le pouvoir au peuples , on ne négocie pas avec un dictateur sangunaire et voleur ! le dictateur d’oyo traine beaucoup d’affaires crimes contre l’humanité et crimes économiques ,la démocratie égale justice pour tous , chef du régime d’oyo est bien conscient de cette réalité, il souhaite monarchie , en plaçant son pétit zaroïs kiki en prémière ligne !
réhabilitation des asquis de la démocratie= retour triomphale du Président démocratiquement élu avec tous les honneurs qui lui sont dûs au Congo Brazzaville avec passassion de pouvoirs au prochain qui sera élu démocratiquement. J’ai dit Pascal Lissouba suivie d’une grande sérémonie de deamnde de pardon de Sassou au peuple congolais qu’il a meurtri sur tous les plans afin que celui’ci recouvre sa dignité perdue.
C’est juste E. ELENGA, un dictateur ne remet jamais le pouvoir au peuple. Il craint les sanctions de ce dernier.
D’où d’ailleurs l’impasse dans laquelle vit le pays depuis le coup d’Etat du despote-kleptomane de Mpila.
Quant à LISSOUBA, peut-on cher LUSSAKA, penser qu’il reprendrait son fauteuil en attendant une future transition ? Pas certain!
De même, je me méfie de la notion du pardon. Je préfère celle de la responsabilité. L’obligation à l’égard d’autrui et des générations ultérieures est un devoir. Nous avons nous ,hommes d’aujourd’hui,la responsabilité sans réciproque de l’humanité future. Aussi l’avenir du Congo est-il la première obligation du comportement collectif des politiques.
Chers compatriotes et amis,
Pourquoi perdez-vous votre salive avec cette diversion des états généraux dont l’initiative sort des murs de Mpila ? DZON Mathias ? L’argentier des FDU qui fut le trésorier-payeur des cobras et de tous les mercenaires de Sassou Nguesso. MOUKOUEKE? Lui aussi, comme Kinfoussia, ce sont des girouettes. On a une femme qui bosse avec la femme du prédateur en chef du Congo et on vient faire croire qu’on est opposant. Mon oeil !
Les états généraux sont comparable à la diversion d’EWO. Point n’est besoin de parler de cela. Revendiquons et imposons la tenue d’une CONFERENCE NATIONALE SOUVERAINE BIS. Sinon, RIEN et ce sera donc LA RUE !
Sassou Nguesso avec son clan d’Oyo, est le plus grand criminel et voleur que le Congo ait jamais connu depuis que le pays existe.
Mais ce qui est curieux, c’est que si c’était un président originaire du Sud qui faisait ce que font les pilleurs d’Oyo-Edou, il y a longtemps que les bruits de bottes auraient été entendus dans tout le pays. C’est la preuve que les plus grands CRIMINELS du Congo sont les MBOCHIS DE L’ALIMA (OYO-EDOU).