Le fait politique est un fait poli, reposant sur une escroquerie comme la canaille du PCT en a le secret. Le fait politique est un fait pourri. C’est ce que les fripouilles du Parti Congolais du Travail s’apprêtent à consommer et à faire ingurgiter aux autres à Owando, lieu de sépulture de mama Mboualé et de Ngouabi-fils. Owando c’est le Sarajevo du Congo, la ville où la suite d’un attentat au tipoye, la guerre civile de 1997 à Brazzaville se déclencha. Owando, bastion du complotisme mbochi. La concertation que Sassou appelle de tous ses vœux dans l’ancien Fort-Rousset est un attrape-gogo qui tient davantage de l’illusion perdue que de la perte de temps. Ce divertissement auquel invite le camarade-général Sassou ne sera plus que de l’histoire ancienne quand lui et ses frères iront aux milles diables tôt ou tard, plus tôt que prévu. Mais depuis quand des députés (des représentants du peuple) existent-ils au Congo ? Depuis que ces malotrus possèdent leur patente en faux et usage de faux ? Assurément. Je n’appelle pas député un petit zouave comme Kiki qui passe son temps à se gratter le rectum au lieu de soigner sa constipation.
Tout d’abord y’a n’a marre de cette pseudo opposition qui considère Sassou Dénis comme président ! En réalité c’est faire l’apologie du génocide et de la médiocrité. Voilà le côté crapuler du personnage de Sassou Dénis et ses opposants . Arrêter d’humilier les Congolais ! C’est le professeur Bertrand Badie qui dit , c’est l’humiliation qui est le moteur de l’histoire .
Le fait politique est un fait poli, reposant sur une escroquerie comme la canaille du PCT en a le secret. Le fait politique est un fait pourri. C’est ce que les fripouilles du Parti Congolais du Travail s’apprêtent à consommer et à faire ingurgiter aux autres à Owando, lieu de sépulture de mama Mboualé et de Ngouabi-fils. Owando c’est le Sarajevo du Congo, la ville où la suite d’un attentat au tipoye, la guerre civile de 1997 à Brazzaville se déclencha. Owando, bastion du complotisme mbochi. La concertation que Sassou appelle de tous ses vœux dans l’ancien Fort-Rousset est un attrape-gogo qui tient davantage de l’illusion perdue que de la perte de temps. Ce divertissement auquel invite le camarade-général Sassou ne sera plus que de l’histoire ancienne quand lui et ses frères iront aux milles diables tôt ou tard, plus tôt que prévu. Mais depuis quand des députés (des représentants du peuple) existent-ils au Congo ? Depuis que ces malotrus possèdent leur patente en faux et usage de faux ? Assurément. Je n’appelle pas député un petit zouave comme Kiki qui passe son temps à se gratter le rectum au lieu de soigner sa constipation.
Tout d’abord y’a n’a marre de cette pseudo opposition qui considère Sassou Dénis comme président ! En réalité c’est faire l’apologie du génocide et de la médiocrité. Voilà le côté crapuler du personnage de Sassou Dénis et ses opposants . Arrêter d’humilier les Congolais ! C’est le professeur Bertrand Badie qui dit , c’est l’humiliation qui est le moteur de l’histoire .