Au Congo, le baccalauréat se déroule en deux phases. Le premier tour se fait par écrit. A l’issue des épreuves, les élèves ayant obtenu une moyenne supérieure ou égale à 12 sur 20 étaient déclarés admis dès le premier tour.
Le second a été institué pour repêcher les élèves moyens. Mais ce deuxième tour est actuellement mal perçu dans l’opinion.
« Il y a tout un système de corruption installé autour des épreuves orales », a reconnu la ministre en charge du dossier.
Cette décision apparaît ainsi comme une manière de lutter contre la corruption dans le milieu de l’éducation.