Au Congo-Brazzaville, au moins une centaine de jeunes auraient été arrêtés au cours des quatre derniers jours, selon des militants des droits de l’homme qui parlent d’intimidation avant la présidentielle de 2016. Mais la police dément ces allégations et invoque plutôt une simple opération contre la délinquance à l’approche des fêtes du Nouvel An.
Climat de terreur et d’insécurité. Tels sont les mots des militants des droits de l’homme au Congo-Brazzaville qui dénoncent des rafles policières dans les quartiers du sud de la capitale. Au moins une centaine de jeunes, et même davantage, auraient été arrêtés pour avoir milité contre la réforme de la Constitution, qui permet au président Denis Sassou-Nguesso de briguer un nouveau mandat en 2016.
Des arrestations arbitraires, dit le vice-président de la Commission nationale des droits de l’homme. « Ce sont des militants des partis politiques comme l’UDC et Frocad, ceux qui ont défendu l’ordre constitutionnel, ceux qui ont réclamé l’alternance démocratique en 2016, analyse Massengo Thiassé. C’est ceux-là qu’on est en train d’arrêter au fur et à mesure. Nous sommes là au service d’une police politique qui ne tient pas compte des principes démocratiques. »
C’est faux, réplique la police. Son porte-parole, Jules Monkala Tchoumou, parle plutôt d’une opération pour neutraliser des jeunes délinquants : « Parmi les priorités de cette opération, il y a effectivement la lutte contre cette forme émergente de criminalité qu’on appelle communément les « bébés noirs ». Ils sont en train de s’attaquer violemment aux personnes. Il n’y a pas d’arrestations massives ou des violations des droits de l’homme. »
De nombreux policiers sont déployés à Brazzaville. Pour sa part, la police ne donne aucun bilan.
CONFERENCE-DEBAT : COUP D’ETAT CONSTITUTIONNEL ET VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME AU CONGO-B – SAMEDI 9 JANVIER 2016 à 13h00 à Paris – Assemblée Nationale Française
J’ai aussi suivi l’info à la RFI. Mes frères tékés ne comprennent rien, lui qui fait le sale boulot aujourd’hui, il oublie qu’avant lui à ce poste, le griot était un certain Alakoua, un sujet Ngangoulou du clan téké, avant lui un Tsourou de triste mémoire, un Okombi Salissa tous tékés, où sont ils aujourdh’ui?
Sassou n’envoie aux postes ingrats que les tékés pour les pourchasser après. Toi Tsoumou, combien y a t il des généraux dans l’armée sassou-oyo.
Pourquoi ces rafles ne se font que du côté sud, à Talangai où je vis et Nkombo, pullulent des criminels pourquoi ils sont à l’air libre comme le vent. Arrêtez votre tribalisme à ne pas en finir.
Monsieur TSOUMOU ou TCHOUMOU, mon colonel stop, c’est vrai que vous etes encore sous les jupons de Sassou et DENGUET, comment pretente une operation de lutte contre la criminalite » ce phenomene de bebe noir » mais ils sont dans la zone nord de brazzaville depuis toujours pas plus hier soir a texaco, aux environs de 19h, ils ont trouble l’ordre public raquetter et voler munis des couteaux, bouteilles et machettes, Mr TSOUMOU vous les connaissez bien puis que c’est la milice privee de votre chef au service de l’intimidation de vous les avez transporte dans le quartier sud de brazzaville pour avoir un pretexte d’arreter les jeunes innocents, de meme vous avaez les identites de ses enfants de 10, 12,13,14,15,17ans etc… commencez d’abord votre travail tel qu’il vous avez ete forme. Ne mentez pas, tout se sait ici au congo, meme ce que fait le terrorisme de Sassou a qui vous continue a assurer en les derrieres mais penser a demain et a vos progeniture ne vivez pas pour soi meme.
Lettre à Denis Sassou-Nguesso et à ses alliés : « Nous ne sommes pas tous Néron »
Par Dieudonné Niangouna
Monsieur le Président, je m’insurge. Ne pas s’insurger serait cautionner la grande tragédie qui se prépare et à laquelle personne d’entre nous n’échappera à moins d’en être le bourreau. Ce n’est plus seulement un simple exercice du laisser-aller que traverse actuellement le Congo. C’est la mort du sens qui commence. L’esclavage du peuple congolais à l’état d’effacement total. Monsieur le Président, vous voulez effacer la personnalité du peuple. Et cette disparition morale est l’ultime opération qui provoquera votre ascension vers les rouages de la déification, pensez-vous. Des choses ont été commises et toutes les impossibilités existent sur la terre. Notre devoir en tant que citoyen est d’empêcher toute forme d’autocratie qui signe la mort du genre qui respire. Il ne peut être concevable que toute une génération soit prise en otage par la gabegie, et que, de ce système de « zombification », l’on puisse dénoter un insolent torrent de vertiges, mécanique d’un manège de destruction politique des avenirs, sans que la colère venue du peuple ne questionne nos rapports à l’autorité, à la diplomatie, aux amis et aux amitiés, à la violence, à l’altérité, à la vie elle-même telle qu’elle passe avec ou sans nous, à la mort qui manifestement prend la forme de la peur pour nous rétracter. Nous sommes les « pas contents ! ». Nous disons SASSOUFIT !
Monsieur le Président, en juillet dernier, devant des milliers de Congolais réunis au stade Félix Eboué pour célébrer l’ouverture du Festival Panafricain de Musique (FESPAM), vous m’aviez reçu en m’accordant le Grand Prix des Arts et des Lettres en présence de toutes les chaînes de télévision congolaises. Ce prix je l’ai mérité, par mon entêtement à faire du théâtre un espace du débat social, un lieu de résistance contre toutes formes de léthargie et de politique d’endormissement. C’est pour ce même combat que, quelques jours avant, le 14 Juillet, la France me faisait Chevalier des Arts et des Lettres dans le jardin de la Case de Gaulle. Ce que je combats, avec et par le théâtre, m’oblige comme hier à m’insurger contre cette politique que vous tenez tant à faire persister.
Quels citoyens sommes-nous si nous sommes incapables de défendre des valeurs en lesquelles nous croyons et qui garantissent la souveraineté du peuple et son bien-être. Maintenant, je m’en vais m’adresser au peuple, de quelque horizon que soient les personnes qui composent cette force humaine. Et je dis : « Frères, il nous faut sortir de la peur et de la médiocre conception de la mort qui n’est que l’émission d’une terreur qui avait été mise en place par une politique de non-respect de droits de citoyen pour tuer la pensée ». Refusons cet éloge de la servitude volontaire. N’ayons pas l’âme aussi faible pour nous faire acheter avec de l’argent. Nous ne sommes pas du bétail. C’est fini, la traite négrière. Nous ne pouvons accepter une fois de plus de continuer à nous vendre entre nous et à nous faire acheter pour de l’argent ! À tuer notre peuple et notre avenir pour de l’argent. Montrons aux yeux du monde que nous valons plus que ça ! Que nous sommes des personnes – Nous sommes des BANTOUS ! -, que nous sommes au-dessus de la conception « prostitutionnelle » de l’argent ! Nous ne pouvons quand même pas vendre le pays à la corruption, par la corruption, pour la corruption, en échange de trois deniers.
Ne massacrons pas notre avenir. Ne bradons pas notre existence. Ne spolions pas le destin de nos enfants. Ne prostituons pas le pays ! Il ne peut pas être acceptable que des mascarades d’élections puissent au nom de toutes les corruptions possibles obstruer la voie (et la voix) à la raison, et qu’ensemble nous puissions rester pantois face à ce simulacre désobligeant ! Nous ne sommes pas tous des Néron pour contempler Rome en train de brûler, avec le visage empli d’extase. Nous ne sommes pas venus sur terre pour faire l’apologie de la violence de l’argent ni de celle des armes avec son terrorisme apocalyptique. Nous ne voulons pas la guerre comme nous ne voulons pas que les pouvoirs nationaux ou internationaux continuent à signer l’acte de décès de notre nation pour des intérêts, pour de l’argent couvert de sang ! Respectez-vous ! Respectez-nous ! Respectons-nous ! Peuple congolais, commence par te respecter toi-même ! Ça ne se monnaie pas l’intégrité ! Nous ne pouvons pas laisser vivre le Congo dans cet état honteux des choses ! Ce combat nous concerne tous, Congolais, Africains, Européens, Américains, Asiatiques, Australiens, à l’ère de la mondialisation, car les conséquences des choix économiques, politiques et culturels fondés sur la terreur et le non-respect des lois, nous les vivons tous. C’est bien malheureusement ce qui caractérise aujourd’hui les grandes crises que traverse le monde et que les sept milliards de voisins que nous sommes, subissons ! Prenons tous nos responsabilités face à l’Histoire. Le grand poète congolais Sony Labou Tansi disait : « Nous venons au monde pour nommer. Gare à celui qui nommera sa honte ou sa propre perte ! » Monsieur le Président, je vous ai parlé en parlant au peuple car on ne peut être premier citoyen que par le peuple et pour le peuple. Et le peuple a son dernier mot : SASSOUFIT !
Cette stratégie, d ‘intimidation à l’adresse des jeunes du sud ,en vue d’une élection tranquille et biaisée n’entamera nullement la détermination de ces derniers à s’opposer à ces securitates sassouins, car il en va de leur avenir , lequel est totalement bouché .
Le moment venu, nous allons activer les sources d’incendie, pour propager les effets thermiques à
travers toutes les régions du sud pour rendre ce pays ingouvernable , lequel se cherche toujours un président respectant les règles basiques de démocratie .
La jeunesse congolaise notamment , celle du sud, sera le fer de lance de cette révolution politique
qui s’annonce en mars , ce sera, peut être la fin du CONGO unique .
Le Congo a rendez vous en MARS 2016 .CE SERA LE MOIS OU LE CONARD VOLEUR ASSASSIN DE SASSOU TUERA TOUS LES CONGOLAIS DU SUD .
A tous nos députés et sénateurs, à tous nos vaillants soldats, à tous ceux et toutes celles qui gardent encore ces nobles valeurs républicaines: des enfants sont entrain d’être enlevés, torturés dans les geôles privées, des citoyens disparaissent sans scrupules, sans méthodes, loin des procédures judiciaires et vous ne dites rien.
C’était comme ça avec la Gestapo, sauf que le jour où l’on viendra vous arrêter avec les mêmes méthodes staliniennes, ne criez pas. Personne n’est à l’abri si nous ne faisons rien. Les Ntsourou, Yombi, Alakoua, Général Giap, … en savent quelque chose. Ça n’arrivent pas qu’aux autres.
Le silence et l’inaction supposent beaucoup de complicité.
En conclusion, je vous laisse avec cette pensée d’Albert Einstein : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui les regardent faire sans rien faire. »
Bonjour la République.
haaaa les congolais de brazza bolingi nini ko lela na ko lela sassou ne partira que dans le langage de la violence il faux ce organiser pour rendre le pays ingouvernable la alors le regime et sa protection qui est la FRANCE tous vont tomber mais kolela ne nous aportera rien du tout
La petite france dit, nous avons versé du sang, nos parents se sont battus au prix du sang pour arracher la démocratie; Si les Congolais ne meurent pas, qui devra mourir à leur place.
Notre bourreau national est prêt à tout. Il suffit de lire le message devant l’orchestre rififi composé des députés et sénateurs: sa caisse de résonance.
Quel est le Congolais qui est prêt à mourir ? Kamikaze ! Cela ne fait pas partie de notre culture
Et si nous allons aux élections à la manière des Sénégal qui ont barré la route à A. Wade.
Et si la stratégie de l’opposition venait à changer: un candidat unique. Une mobilisation contre la tricherie. Une organisation telle que le pct ne pourra triché, n’est ce pas possible ?
sassou n’a jamais gagné les élections, c’est pourquoi se sachant battu à l’avance, la guerre du 05 juin 1997 a été son salut.
sassou ne pouvait pas battre le professeur, ni ya kolins. Je propose à l’opposition de changer de stratégie.
Les rafles continuent, des gens meurent dans le silence total, la violence appellera la violence, sur ce terrain, le dictateur est imbattable. Il a les armes, les mercenaires, la communauté internationale (la petite france), l’argent.
Si nous avions une armée digne de ce nom, on peut chasser le tyran par la rue, mais ….
Alors, allons aux élections avec un candidat unique. une manière d’arrêter le désordre. Le candidat de l’opposition quel qu’il soit devra battre aisément le boucher d’oyo.
Le drame qu’il y a à façonner les dictateurs, c’est qu’arrivés au sommet, se croyant tout permis, ils ne gouvernent plus, mais règnent sur le pays et les hommes. C’est exactement ce qui arrive aujourd’hui au Congo où Denis Sassou-Nguesso, sa modification constitutionnelle entérinée grâce en particulier au soutien explicite et inique de François Hollande, entend soumettre tous les principes à sa volonté. Certain de pouvoir annihiler toute velléité d’opposition, en recourant à ses sbires et ayant l’ensemble de la communauté internationale en poche, il n’entend donc plus attendre la fin de son actuel mandat pour s’offrir le troisième. Comme pour narguer davantage ses adversaires, il assure vouloir organiser les élections durant le premier trimestre de 2016, au lieu d’attendre en juillet, comme cela était prévu.
Avec cette posture martiale de Denis Sassou-Nguesso, on peut se risquer à prédire un futur sombre pour le Congo et les Congolais. Parce qu’en dépit de toute la volonté, ce n’est pas après 72 ans et un total cumulé de 31 ans au sommet de son pays que l’on peut réussir des miracles. Surtout si l’arrogance, l’adversité et la provocation sont les seules armes dont on se munie. Bien entendu, quand on a le contrôle de toutes les forces de répression, les chances de l’opposition ne sont pas particulièrement grandes. Mais la toute-puissance a son revers. Une gestion basée exclusivement sur la terreur ne peut enfanter le développement et la prospérité. Il ne peut en sortir que paupérisation, précarité, exacerbation des inégalités sociales, frustrations accumulées et crises récurrentes. Malgré toutes les richesses que revendique le Congo, c’est le destin lamentable qu’il peut espérer du projet de Denis Sassou Nguesso.
Reclus dans une sorte de bulle qui le prive du sens de la réalité, le président congolais est en proie à une mégalomanie qui l’amène à se penser comme un messie, sans lequel le Congo s’écroulerait. C’est l’état mental de tous ceux qui veulent demeurer présidents à vie. En plus, il s’efforce de démontrer qu’au-delà de son âge avancé, il est encore plein d’énergie. Mais il s’agit d’une mise en scène. Dès qu’il rempilera tout de suite, la réalité reprenant le dessus, la sénilité fera progressivement son œuvre. Petit à petit, il cessera d’être le véritable président du pays pour être le pantin que des collaborateurs peu scrupuleux exploiteront pour faire main basse sur les richesses du pays, et au détriment des populations dont le sort ne s’améliorera guère. La Guinée a déjà connu cette triste réalité avec Lansana Conté dont la maladie avait été mise à profit de manière éhontée par les clans opposés qui l’entouraient. Et c’est un peu ce à quoi l’Algérie est aujourd’hui confrontée avec Bouteflika qui fait davantage office de figurant symbolique, que de président ayant la plénitude de ses facultés mentales et physiques.
Tirant les leçons de ces exemples et se laissant tant soi peu inspirés par la belle histoire que les Burkinabè écrivent en ce moment, les Congolais ont encore la possibilité d’empêcher une si sombre perspective à leur pays. Mais il faut oser avouer que le prix à payer n’est pas mince. Il n’y qu’à voir ce que le Burundi vit aujourd’hui pour s’en convaincre. Mais quand on a le malheur d’avoir une dictature féroce et une communauté internationale qui se laisse acheter, on n’a pas trop le choix. Malheureusement !
Boubacar Sanso Barry
Taisons-nous, ou alors battons-nous contre ce négrier. Mais de grâce, arrêtons de gémir à chaque actions posées par la dictature. Les communiqués de presse, on en a marre, marre, et marre. Ce n’est pas en balançant des mise en garde à 6500km du lieu de crime, que les assises nationales seront écoutées. Quel est leur véritable poids politique localement? Qui peut croire qu’un simple communiqué peut arrêter le négrier de Brazzaville? Pauvre buveur de bière que nous sommes! Ça par contre, on sait très bien le faire. Ah! Si! on s’habille très bien nous les congolais. D’ailleurs, on est reconnu pour ça! On aime faire la fête aussi. Nous sommes devenus les champions de la chrétienneté. Mais je ne vois aucunes amélioration dans l’attitude des congolais. Plus on prie, plus on est mauvais et médiocres. C’est bizarre. Quelle naïveté ! C’est vraiment rageant!
Ce que le Congolais doit savoir.
Sassou et son clan ils sont des terroristes au service d’un système, ils ne reçoivent que des ordres. Qui donne les ordres?
Il faut faire une analyse du monde pour le savoir.
Les USA reste la plus grande puissance mondiale économiquement car le dollar reste la money d’échange, et militairement par le nombre des bases militaires a travers le monde.
La Chine est devenu le pays qui procède la grande liquidité monétaire dans le monde (c’est le pays qui prête a tout le monde, et en plus l’usine du monde entier.
La Russie, après avoir métrisé la technologie des rockets elle est devenue la plus grande puissance nucléaire, elle précède des missiles balistiques battant le raccord de la porter (l’écart avec l’objectif).
Elle est aussi passée, le grand importateur de l’énergie dans le monde.
LA PREMIÈRE LOI DE LA THERMODYNAMIQUE, LA CONSERVATION DE L’ÉNERGIE, EN D’AUTRE THERMES (ON NE PEUT NI CRÉER NI DÉTRUIRE DE L’ÉNERGIE ON NE PEUT QUE LA TRANSFORMÉE)
Cette loi ramène l’homme primitif car la dépendance de l’énergie est incontournable.
Le monde est pleine transition.
OU EST LA France DANS TOUT CELA, ELLE OCCUPE LE 4 OU LE 5 RANG DANS LE MONDE MAIS COMMENT?
Elle est peut être la plus grande puissance militaire dans EU, mais ou est l’économie de la France
C’est sa l’existence des cancres comme sassou et son clan.
Alors, nous savons ce qui nous reste à faire. Gripper l’économie des multinationales en la sabotant. On sait tous que la France doit son rang de puissance grâce aux béni oui oui francophones d’Afrique. D’ailleurs, elle demeure en Afrique avec la bénédiction des États Unis. Si les 14 pays francophones d’afrique décident de quitter unanimement la francophonie, le FCFA de manière unilatérale, l’économie française s’écroulera dans deux matins. Notre libération ne tient qu’à nous. Mais 500 ans d’esclavage, 200ans de domination coloniale, plus 34 ans d’escavage depuis les indépendances, ont peut être eu raison de notre capacité de révolte, au moins que je ne me trompe. Mais seul le peuple congolais à la réponse.
Le sujet n’est jamais évident, vu la polémique qu’il suscite parfois. « L’émotion est nègre la raison est Hélène », a dit le grand sage et penseur africain. A l’approche d’une pèriode sensible marquée par les fêtes la force publique doit accomplir sa mission régalienne. Allons voir du côté des francais, après les récents événements de Paris. Dans le cadre de la lutte contre le militantisme incivique aux relents terroristes on en vient à évoquer la déchéance de la nationalité, en cas d’atteinte à la sécurité nationale. La radio RFI (radio france intox ? Il suffit de couper le son…) se gardera toujours de le révéler aux auditeurs en Afrique. A situation exceptionnelle des mesures exceptionnelles. Je désapprouve une telle politique peu efficace de la part de la france, tout en mesurant l’urgence mêlée au sentiment d’insécurité qu’éprouve le fragile peuple français terrorisé. Sur notre continent sévissent aussi des groupes terroristes, dont la nébuleuse Boko Haram, qui semblent être au service des puissances impérialistes.
Maintenant que le Frocad et l’Idc ont accepté la nouvelle constitution de petit satan, je me demande quel est le but de ces rafles? À la guerre, quand l’adversaire dépose les armes, faute de munitions et surtout de stratégie, les combats doivent cesser.
Au Frocad et à l’Idc, je dirai d’arrêter votre comédie. Vous devez dire la vérité aux congolais à savoir votre capitulation devant petit satan. Hier, votre posture était de dire non au changement de la constitution; aujourd’hui, vous avez changé d’avis en acceptant d’aller aux élections de mi-mars que va organiser le premier tricheur du Congo actuel. Où est la constance et la logique dans nos positions? Il n’y en a pas!
Dans une entrevue à Sadio Kanté, Kolelas disait que vous attendiez les résultats des négociations menées par la communauté internationale et que les élections seront organisées sur la base de la constitution de 2002. En début de semaine, c’est Kinfouissa qui disait que vous n’allez plus négocier avec petit satan. De qui vous vous moquez? De vous-même ou des congolais? Ah, j’oubliais, les conditions politiques sont dures au Congo et que vous ne pouvez rien. Ah, l’excuse toute trouvée. Même dire la vérité devient dure dans votre bouche?
Écoutez congolais, Frocad et Idc ont accepté la constitution de petit satan. Ils veulent se présenter à ses élections sur la base de sa constitution pour laquelle il vous a assassiné en octobre et continue de vous assassiner et emprisonner. Frocad et Idc vous mentent comme dès le début. Ne les suivez pas, car vous êtes en face d’une deuxième trahison de leur part après celle du 27 septembre 2015. Ils vont aux élections sous la constitution de 2015. malhonnêtes qu’ils sont, ils vous cachent cette vérité.
Kolelas vous dit qu’ils ne veulent pas vous envoyer à l’abattoir. Il vous ment. Le boucher viendra vous chercher en 2016 pour vous conduire à l’abattoir. C’est la seule chose qu’il sait faire de sa vie. Malheureusement, en 2016, le boucher sera mis hors d’état de nuire. Et ce n’est ni le Frocad ni l’Idc qui vous sauvera du boucher. Vous allez être l’artisan de votre propre libération avec l’aide des éclairés.
Soyez exigeants congolais! Ne remplacez pas des kleptocrates par des apprentis kleptocrates. N’oubliez pas que qui a menti, mentira; qui vole un œuf, volera un bœuf; qui a pactisé avec le diable, pactisera de nouveau avec lui.
Je sais que le fils de satan a apporté l’enfer sur notre terre, je vous souhaite tout de même de passer des joyeux temps de fêtes. Que 2016 soit l’année de la délivrance et de la fermeture totale des portes de l’enfer que petit satan nous avait ouvertes à notre pays. Que Dieu nous bénisse et bénisse notre pays, sauf petit satan et sa bande de satanino.
@Fouégo , qu’est-ce que l’opposition a à gagner ou à perdre en participant à l’élection de mars? A mon avis, elle perdra toute crédibilité qu’elle a pu mettre en son actif après le boycotte du referendum qui fut un succès rappelons-le, car reconnu par tous y compris la communauté Internationale. Déjà si aujourd’hui ce qui devrait être une constitution pour une nouvelle république est devenu une sorte de kleenex, mon cher Fouégo, demander à l’opposition d’aller à l’élection de mars, tout comme semble-t-il le fait MUNARI et Cie voudrait tout simplement dire que la communauté internationale s’est trompée dans son appréciation de tout ce qui s’est passé au congo.
Mais enfin, nous avons tous écouté le discours de ce monsieur à l’assemblée disant que c’est une victoire et une preuve de maturité de son peuple. Il a oublié que son gouvernement même de façon implicite avait reconnu quatre personnes tombés par balle du fait même de cette forfaiture , pas même un semblant de condoléances.
Qu’est-ce que l’opposition dira au peuple au lendemain de sa défaite aux urnes, ce qui est évidente? Devrions nous continuer le combat? Et de quel combat il sera question encore? De l’alternance? De l’anti- constitutionnalité ? De la lutte de libération du pays? Non, ayons une conviction dans la lutte qui est menée.
D’ailleurs, crois-tu aux leaders qui composent cette opposition d’être capables de gérer ce pays même après un cauchemar de scénario victoire aux urnes de l’opposition? Moi, je n’y crois pas.
Il n’y a qu’une transition qui pourrait restaurer un état démocratique dans ce Congo mis en pièce détachée par le régime actuel.
Prions que quelqu’un prenne le devant de la scène et épargne le pays du pire.
Dans d’autres cieux, j’ai vu des vaillants soldats même du grade de Lieutenant, Capitaine, Commandant sortit du néant et débloqué une situation qui dure à trop.
Je sais que bcp des nos haut gradés généraux et colonels sont surveillés de près mais pour la quasi majorité est à la manivelle de cette barbarie, nous savons tous les raisons.
Je me souviens de ce que disait notre Glorieux Seigneur à ses disciples : Il n’est pas donné aux hommes de connaître le jour ou le moment, c’est l’affaire de Dieu.
L’émotion est negre, l’a raisin est Hélène. Je déteste cette phrase de Senghor. Mais le comportement des opposants congolais va dans ce sens. Tout le temps dans l’émotion. Un homme politique doit maîtriser ses émotions et réagir avec tacte et finesse. Même si les africains apprennent que la France n’en a rien à faire des binationaux et qu’elle peut s’en débarrasser selon son bon vouloir, cela ne changera rien à l’heure soif infinie de plaire à l’ancien maître colon esclavagiste. Je vous le dis: 500 ans d’esclavage, 200 ans de colonisation, et 34 ans d’esclavage néocoloniale ont fait des ravages dans l’esprit des congolais. On en est croire que cet état mental qu’à generé toutes ses agressions, font parti de notre culture. Nous ignorons jusqu’à ce que nous sommes réellement.
Analyse objective de Bakala Téléma, c’est bien au moment que j’étais en train de conclure ma réponse à Fouégo que je découvre votre message.
Je comprends maintenant en guise de conclusion que: L’opposition a tout donné et ne pourra plus rien faire, je rejoins nombre des nos compatriotes en premier chef Félix Mkounda – Alain MABAKU qui s’insurgeaient déjà contre cette opposition à son impréparation face à l’enjeu de l’heure.
Je réitère ma pensée de croire que » SEULE UNE TRANSITION BIEN GERE SAUVERA CE PAYS ».
Je veux peut être choqué certains, mais je pense perso qu’il faille à l’avenir dissoudre le PCT, MCDDI, UPADS – RDPS et tous ces vieux partis apparentés. Ils sont comptables de cette situation d’impasse que traverse le congo; Des nouveaux partis devraient voir le jour pendant cette transition que je réclame de longue durée. Elle aura pour missions entre autres de:
De pacifier le pays, tous ces partis en fait ne sont assis que sur une base ethnique;
De créer une vraie armée au service de la république et au côté du peuple;
PENSONS AUSSI A FAIRE UNE LISTE EXHAUSTIVE DES PERSONNES QUI NE DEVRAIENT PLUS FAIRE DE LA POLITIQUE DANS CE PAYS, IL EST TEMPS DE LES ENVOYER A LA RETRAITE, ILS NE VERRONT PAS DE BON ŒIL LA SITUATION DE CE PAYS S’AMELIORE .
haaaaa ba congolais bokozela mais ne pleure plus l’heure viendra ou le congo sera libre de la FRANCE. car le plan est en marche les Francais von perdre L’afrique dans quelque annee , nkurunziza va tomber , et sera le tour de la grande bataille de faire tomber le regime de kabila si Kinshasa tombe totalement dans les mains anglo americain alors la voiie de prendre le congo et le Cameroon sera a la merci des americains la France na pas des visions pour L’afriique voila pour quoi il seront surprise du projet americain wait and see
Sassou incarne la fraude et le despotisme ! Qu’il aille au diable!!
Bonne fête de Noël à tous!
Le Congo lucide et fraternel triomphera du démon Sassou! La lutte contre le Mal et le désordre moral continue sans relâche.
J aimerais me coucher aujourd hui et ne me réveiller qu a la veille des élections présidentielles. Je suis très fatigué.
Analyses.. analyses… palabres… tergiversations … littératures… et pendant ce temps Sassou et ses sbires du pct travaillent et mettent en place leur stratégie pour garder la main mise sur le pays.
On ne va pas encore « s’auto-expliquer » à longueur de commentaires ce que tout Congolais sait ou devrait savoir.
Aujourd’hui nous devrions tous n’avoir qu’un seul mot d’ordre et stratégie qui est le départ de sassou et porter cette parole inlassablement aux yeux du monde et des médias internationaux.
Arrêtons de nous trouver des excuses.
Le Congolais veut mais attend que les autres fassent.
C’est sur qu’à ce niveau nous sommes loin d’être à la hauteur du Burkina.
Lu pour vous dans le Figaro.
Dieudonné Niangouna se heurte au président congolais Denis Sassou-Nguesso. L’auteur dramatique, acteur et metteur en scène dénonce le pouvoir de l’homme politique qui dirige depuis 31 ans le Congo Brazzaville et qui vient de changer la constitution, après un référendum controversé, pour être réélu en 2016.
Une prise de position affirmée haut et fort dans une lettre ouverte, adressée début décembre au président, qui a remis en question la tenue du festival international de théâtre Mantsina sur Scène qu’il dirige. Sa 12e édition, qui se tient depuis le 10 décembre dans la capitale du pays, à Brazzaville, a ainsi été compromise par une interdiction de se produire dans les salles et établissements publics.
Rebaptisé Mantsina sur rue?
Mais «loin d’abdiquer devant la bêtise et l’arbitraire», le festival a résolu de se produire en-dehors des murs et d’investir les rues. «Un spectacle déambulatoire pour la plus grande joie des Congolais et un acte de résistance», lit-on dans un communiqué diffusé le 21 décembre. «Il faudrait peut-être à la suite de ce coup d’éclat rebaptiser le festival en Mantsina sur rue», s’interrogent d’ailleurs, non sans ironie, les organisateurs.
Jusqu’au 30 décembre, le festival Mantsina sur Scène rend hommage à Sony Labou Tansi, poète et écrivain congolais qui dirigea notamment la célèbre troupe de théâtre Rocadu Zulu, à Brazzaville. Des dizaines de représentations, performances et lectures en son honneur ou dédiées au théâtre au sens large ont donc été reprogrammées sur les places publiques, dans les jardins, les cours, les marchés… «Partout où grouille la vie», a déclaré Dieudonné Niangouna.
@ BAKALA TELEMA »
Vous allez être l’artisan de votre propre libération avec l’aide des éclairés. »
Après avoir lu votre post, cette phrase a retenu mon attention. Je suis seulement curieux de savoir si nous avions encore des « éclairés dans ce pays qui peuvent réellement nous délivrer de SANTAN d’oyo.
Quand je vois notre opposition que tu décris si bien manquer de stratégie et se regrouper en camp IDC et FROCAD alors qu’elle est supposée mèner le même combat,quand j’entends Munari dire qu’il ne leur reste que d ‘aller aux élections avec un seul candidat de l’opposition sachant que chaque membre de l’opposition campe sur son égo, c’est se moquer des congolais qui les ont suivis.
Regardez bien la composition de l’IDC et du FROCAD,pourquoi Kolélas ne dénonce pas l’accord MCCDI/PCT, pourquoi Okombi ne démissionne pas du Pct en continue à être le député élu de ce même pct? La logique aurait voulue qu’il démissionnât pour provoquer une élection partielle dans sa circonscription.Il ne faut pas vouloir de quelque chose et faire son contraire. Okombi ne peut combattre sassou et rester au pct. Le faire c’est tromper les congolais car il n’ ya pas de logique. Bowao, en contradiction avec ses camarades a démissionné du pct pour être en harmonie avec ses convictions.
Tout comme Kolélas, continuer à entretenir une alliance avec un parti que tu combats est illogique et trompeur.
Aller aux élections avec quelle constitution? Sassou y va avec celle qu’il vient de fabriquer. Elle n’est reconnue ni du FROCAD ni de l’IDC ni de 90% des congolais. Alors, de qui se moque t – on?
Mais à dire vrai, si ce n’est vraiment un trompe œil, sur quel point de projet de gouvernance le pct a de commun avec mcddi? Mberi avec Sassou? Yhombi avec Sassou? et si je disais aussi OKOKO et Sassou? Okombi et Kolela? La liste serait longue et infinie.
SENTONS- NOUS HEUREUX JEUNES PATRIOTES RASSEMBLES A L’IDEAL D’UN CONGO – UNI ET PROSPERE, QUE CE QUI ARRIVE EST DANS UNE CERTAINE MESURE UN MAL NECESSAIRE (TOUT EN NOUS INCRINANT DEVANT LES DEPOUILLES DE CEUX DE NOS FRERES ET SOEURS TOMBES), CETTE EPREUVE A PERMIS DE DEMASQUER TOUS LES LEADERS POLITIQUES DE CE PAYS.
C’EST A NOUS D’ENTRER DANS L’HISTOIRE, PRIONS, PRIONS ET PRIONS TOUJOURS UN SUJET DE JOIE EST A VENIR;
Joyeux Noël à tous !