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Un an après le « printemps arabe », le président français Nicolas Sarkozy doit être plus ferme avec les autorités de Brazzaville : « C’est une complaisance de la part des autorités françaises. De la même manière qu’on a traité le régime de Mouammar Kadhafi, de Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak, le pouvoir de Sassou devait être traité et devait subir des sanctions ». Continuer la lecture









