TSATY-MABIALA et Parfait KOLELAS, taupes de Sassou ou top de l’opposition ? Par Djess dia Moungouansi

Tsaty-Kolelas-Munari-Okombi

Tsaty-Kolelas-Munari-Okombi

« La trahison, dans quelque circonstance que ce soit, ne peut jamais cesser d’être infâme» Louis-Philippe de Ségur

Face à la tyrannie du système Sassou et à  l’imbroglio dans lequel nous barbotons, il nous incombe de  jeter un énorme pavé dans les douves de la politique pour que tous les Congolais, dessillés par les éclaboussures jettent un regard sur ces cloaques.  Ainsi, notre peuple meurtri   par l’effroyable terreur installée par le tyran d’Oyo, saura séparer en toute lucidité, le bon grain de l’ivraie pour  faire le tri de ses quelques dignes fils, décidés à se battre pour s’affranchir des fourches caudines du « gang des barbares ».Malheureusement, je puis l’affirmer sans attenter à la vérité que les postures des deux leaders des deux plus grands partis de l’opposition  Pascal TSATY MABIALA et Guy Brice Parfait KOLELAS, frisent le salmigondis programmatique.

Le Congo, pays de Cocagne transformé en  géhenne

C’est un truisme de le rappeler : en Afrique de l’Ouest, les grands mouvements populaires ont fait florès, en emportant aux mille diables  les dictatures les plus féroces, parce qu’ils étaient animés par une société civile forte,  couplée à une contestation généralisée en lame de fond. Ayant totalement phagocyté l’éclosion de toute société civile puissante au Congo, il ne  restait à Sassou qu’à neutraliser la société politique en dévoyant l’action des grands partis par la terreur. Et si cela ne suffisait pas, la corruption géante viendrait à bout de dernières velléités de résistance.

Les meetings de septembre-octobre 2015, avaient convaincu  Sassou d’une chose : désormais, les leviers essentiels pour anéantir toute la rancœur étouffée par des années de privation, d’avilissement et de brimades infligés au peuple, passeraient par une mainmise sur les chefs de parti. Depuis cette période,  Sassou s’est attelé  à  affiner son œuvre maléfique visant à transformer  le pays de Cocagne qu’est le Congo en véritable géhenne. Il fallait pour cela s’ appuyer  sur les leaders «  mercenarisés »  issus de différentes régions du pays, pour réaliser son funeste projet de mourir au pouvoir. Il reste le maître incontesté d’un scénario dont on peut deviner l’épilogue. Maitrisant plus que quiconque la sociologie du Congo en bon  agent de renseignements, il sait recruter les acteurs les plus talentueux, en ce qu’ils seraient en mesure d’engranger plus de monde : les leaders des plus grands partis de l’opposition.

Pascal Tsaty Mabiala, l’homme qui respecte  scrupuleusement le cahier de charges imposé par  Sassou 

Pascal TSATY MABIALA est le politicien carriériste par excellence. Celui qui sait souffler le chaud et le froid  sans états d’âme, pourvu que ses propres  intérêts  et ceux de ses affidés de la direction de l’UPADS  soient ménagés.

Il sait porter avec maestria, les habits  d’un leader du plus grand parti de l’opposition, capable de fustiger l’autocrate d’Oyo comme lors du meeting de Dolisie du 4 août 2013  qui avait galvanisé son électorat  et fit trembler le camp Sassou; persuadé qu’à partir de cette date, il prendrait toutes ses responsabilités pour bâtir une réelle stratégie de reconquête du pouvoir. Que nenni !

De même, la justesse de son propos du 16 octobre 2015 sur RFI, placé au coin du bon sens et de la combattivité politique,  avait bluffé ses supporters  et le peuple congolais dans une certaine mesure, notamment lorsqu’il avait déclaré : « A partir du 20 [octobre], et notre dernier meeting de Brazzaville, j’espère qu’il se tiendra, nous lancerons la désobéissance civile. C’est-à-dire qu’à partir de cet instant, nous n’allons plus reconnaitre le Président Sassou comme Président de la République ».

Son patriotisme ne résista pas aux coups de butoir des nguiris. Et sa volonté de vouloir faire partir Sassou se transforma en véritable boulet pour l’opposition.  Ses tergiversations lors de la signature de «  La charte pour la victoire » qui concernait les cinq candidats aurait dû nous alerter sur sa félonie. Son âme errait déjà dans l’oyocratie.

Lors de la Conférence de presse du 30 juin 2016, sans doute pour  tenter de justifier son forfait, Pascal  TSATY MABIALA fit exploser le couvercle de l’ignominie par cette impérissable saillie « […] Ce qui excluait  toute violence contenue dans le vocable de désobéissance civile qui est par essence un appel à l’insurrection ». Mais où diable trouve-t-il  des ingrédients de violence dans  la désobéissance civile, l’action  pacifique par excellence ? !.

L’historien Pascal  TSATY MABIALA est sans ignorer que même les élèves du secondaire savent que  Gandhi, Martin Luther King et Mandela, ces trois icônes mondiales ont pu donner leurs lettres de noblesse  à  la désobéissance civile en résistant sans violence à des régimes iniques.

La stratégie du FROCAD –IDC en vue de doubler la CENI de Sassou trouvait son point d’orgue avec la mise en place de la CTE, qui dans toute la transparence, communiquerait des résultats plus proches de la réalité des urnes. Pour être efficace, un effort financier était demandé aux cinq candidats qui avaient signé «  la charte pour la victoire ». Tenez-vous bien ;  alors que MUNARI, OKOMBI et MOKOKO avaient  payé les 5 millions de FCFA exigés pour chacun d’entre eux,  GBP Kolelas et Pascal  TSATY MABIALA déjà dans le collimateur de Sassou ne s’acquittèrent pas de ce montant, en tout cas, pas un seul centime pour Pascal  TSATY MABIALA.

Pour achever de convaincre le dernier carré de ses irréductibles  partisans de sa félonie, il prit  « acte » de la victoire de Sassou avant  d’entériner  cette démarche par la participation aux festivités du 15 aout 2016, boycottées par l’opposition. Le tour est joué…

Kolelas, champion toutes catégories des «  recours »  infructueux

Prisonnier des accords URD-PCT  autrefois signés entre  KOLELAS  père et Sassou, Guy Brice Parfait KOLELAS n’a jamais compris  qu’il trainait là un véritable boulet d’une extrême nocivité qui entraverait son envol politique. Avec un peu plus de jugeote, il aurait compris depuis longtemps que Sassou ne soutiendrait jamais un candidat  autre que celui du PCT pour l’élection présidentielle, ni pour n’importe quelle élection, du reste. Et que l’indépendance politique aurait été la meilleure des attitudes. Mais aurait –il pu être quelqu’un d’autre, lui qui a toujours déclaré urbi et orbi qu’il était le fils de Sassou ? On le sait, les crimes de parricide sont toujours lourds de conséquences sanglantes depuis l’époque de Brutus.

Une fois à l’IDC, une exigence de clarification entre leaders aurait été la moindre des choses. La démission d’Okombi Salissa du PCT serait un préalable pour envisager quelque chose de viable. Nous y reviendrons. Les politiques congolais affectionnent le flou non artistique au point de se départir de l’essentiel.

Pourquoi donc, après avoir battu les flancs lors de la campagne contre le référendum constitutionnel, Guy Brice Parfait KOLELAS est rentré dans une phase d’ambigüité du propos ? « Nous acceptons le verdict, quoique discutable, de la Cour constitutionnelle » avait-il  déclaré de façon laconique, sonnant le glas de  tout espoir de conquête de pouvoir.  Point n’est besoin de rappeler que Guy Brice Parfait KOLELAS  fut parmi les  premiers à déclarer sa candidature à l’élection présidentielle, dans un climat pos-référendum délétère.

Depuis le hold-up électoral du 20 mars 2016, la démarche de Guy Brice Parfait KOLELAS s’écarte inexorablement de ses ambitions  visant la conquête du pouvoir. Nous avons l’impression que celle d’un serviteur de Sassou, à qui   le « Koumbi de Total » avait confié sa progéniture pour la poursuite du « boukoutage », prend le dessus.

Dans cette crise post- électorale, on a l’impression que chaque prise de parole de KOLELAS, chaque acte qu’il pose, renforce le pouvoir de Sassou. Qu’il s’agisse de sa déclaration emprunte d’ambigüité à travers laquelle il affirmait respecter une cour constitutionnelle illégale, en refusant de respecter le résultat des urnes ; ou que l’on évoque la saisine de cette cour alors que ce recours n’est pas suspensif ; on voit bien comment  le ver était déjà dans le fruit.

D’autres actions vouées à l’échec ont été entreprises par Guy Brice Parfait KOLELAS. Il aurait saisi la cour africaine pour contester l’arrêt de la cour constitutionnelle. De même, de qui se moque-t-on quand il demande une enquête parlementaire relative aux bombardements dans le Pool ? Est-ce de la diversion ou de la naïveté ? Mais de quels parlementaires parle-t-il ? Ceux-là dûment nommés par le satrape d’Oyo, incapables d’initier une seule loi visant l’amélioration des conditions de vie des populations ?

Dernière en date, demander l’amnistie du général Jean Marie Michel  MOKOKO à un Président illégal et illégitime est une véritable farce. A moins de respecter les consignes contenues dans …le cahier de charges.

Le démantèlement de la dictature actuelle  n’est  pas une sinécure. La capacité des hommes en charge de la débâtir est le coefficient le plus déterminant dans cette entreprise héroïque. Dans la lutte actuelle, notamment en face d’une dictature qui n’hésite pas à tirer sur son peuple, les  résistants  doivent  être liés par une espèce de « mariage entre les âmes »  pour conjurer ce que l’évêque anglican Jeremy Taylor appelait par « adultère d’amitié » pour parler de trahison.  Le peuple congolais  n’accepte plus de la part de ses leaders,  cet abandon doublé d’une volonté de nuisance et de participation à la manœuvre de malfaisance dirigée par Sassou.  Contrairement à ce que pensent certains supporters de Pascal TSATY MABIALA et de  Guy Brice Parfait KOLELAS, dénoncer leurs errements ne contribue nullement à les affaiblir ; leur rôle,  comme leaders des  grands partis, est plus que jamais déterminant dans leur fief respectif. S’ils ne sont pas en mesure de relever le défi de libération du Congo, ils doivent avoir l’honnêteté de céder  leur place à ceux qui sont plus pétris de patriotisme. Le Congo survivra à eux. C’est le moins qu’on puisse dire…

Djess dia Moungouansi

 

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La vérité dans la bouche de Charles Zacharie Bowao.

Le porte-parole de la plate-forme IDC-FROCAD a franchi le rubicon. Charles Zacharie Bowao a osé. L’ancien ministre de la Défense du khalife d’Oyo, Denis Sassou Nguesso, le philosophe Charles Zacharie Bowao, s’est fait violence. Il a déclamé tout haut les tendances qui se dégageaient de l’observation et de la lecture de la période post-présidentielle.

« On ne sort de l’ambiguïté qu’à ses dépens ». Cette affirmation du Cardinal de Retz ne s’est jamais aussi bien appliquée qu’au magnifique pataquès et emballement médiatique sur les velléités de leadership qui se sont emparées des dirigeants de l’alliance IDC-FROCAD au Congo-Brazzaville. Au lendemain de la présidentielle du 20 mars 2016 remportée frauduleusement par Denis Sassou Nguesso, des peaux de banane, des chausse-trappes et des petits cailloux ont été semés sur le chemin « D’avenir » des uns et des autres, provoquant l’inertie de l’alliance. Aucune action d’envergure n’a pu être menée depuis le mois d’avril 2015. Des messages concordants sur le dialogue ont été adressés au pouvoir controversé de Denis Sassou Nguesso, en ordre dispersé. L’unité de la plate-forme IDC-FROCAD a volé en éclats. « L’union fait la force » dit un adage. Balivernes et sottises, rétorque une frange de l’IDC-FROCAD. Mais qui a dit que les cinq doigts de la main pouvaient à elles seules laver un visage ? C’est faux, un seul doigt suffirait, à en croire ceux qui n’ont d’yeux que pour Parfait Kolélas. D’après eux, leur poulain représenterait à lui tout seul l’opposition (Mwinda.org, 23 août 2016). Les partisans d’André Okombi Salissa se battent bec et ongle pour conserver le rôle de porte-parole de l’IDC. Ils n’entendent pas céder le poste à Guy Brice Parfait Kolelas.

Serge Blanchard Oba, combien de divisions ? Les supporters de Jean-Marie Michel Mokoko clament à cor et à cri que leur leader serait en tête de l’élection présidentielle devant le fils du Nkoumbi de Total. C’est la guerre totale pour le leadership au sein de l’alliance IDC-FROCAD. Face au risque d’embrasement, dont Denis Sassou Nguesso tirerait profit, le coordonnateur Charles Zacharie Bowao a appelé au cessez-le feu, quoique tardif. « Rendre à César ce qui appartient à César » disent les Textes sacrés. La place de leader de l’opposition qui revenait de facto au chef du « Youki » a été reconnu par Charles Zacharie Bowao.
    
Le philosophe s’est demandé : « Qu’en est-il de la posture de Guy Brice Parfait Kolélas ? Il est toujours un des présidents de la conférence des présidents de l’Idc. Il est en ce moment en train de restructurer son parti politique pour affronter les enjeux à venir. Mais, n’oubliez jamais une chose, aujourd’hui, Guy Brice Parfait Kolélas est dans une position politique qui le met au-dessus de toute l’opposition. Cette posture fait que, il ne peut pas se confiner dans une fonction particulière au niveau de l’Idc. Il garde cette position de hauteur qui nous permettra de négocier un certain nombre de choses avec le pouvoir en place, certainement par rapport à ce dialogue que nous sommes en train d’exiger et aussi avec la perspective que nous avons à organiser la deuxième convention de l’opposition congolaise. Donc, il n’a pas été sanctionné comme j’entends dire à gauche ou à droite. La position de leadership de Parfait Kolélas est un atout qu’il faut savoir conserver ».

Pourquoi Charles Zacharie Bowao a-t-il attendu de si longs mois avant de circonscrire l’incendie qui consumait la maison IDC-FROCAD ? Peut-on mener une bataille contre Denis Sassou Nguesso en ostracisant Guy Brice Parfait Kolelas et Pascal Tsaty Mabiala, les deux plus grands pourvoyeurs de militants ? Le patron du « Youki  », qui a éclipsé le MCDDI de Landry Kolelas, est l’homme politique qui draine dans les meetings le plus grand nombre de militants au Congo-Brazzaville. Ne pas le reconnaître, serait une marque de mauvaise foi. C’est cette capacité de mobilisation populaire que redoute Denis Sassou Nguesso. Un clignement de l’œil de Guy Brice Parfait Kolelas peut faire vaciller un pouvoir. Ce n’est pas un hasard si le fils du « Nkoumbi de Total » , qui ne brille pas par sa communication, est au centre de toutes les convoitises. Et, aussi de toutes les critiques.

 La spectaculaire déclaration de Charles Zacharie Bowao représente un camouflet pour les détracteurs de Guy Brice Parfait Kolelas. « Même si elle marche en clopinant, la vérité finit par arriver au but » disent les Latins. Au Congo-Brazzaville, le philosophe Bowao a prêté des béquilles à la vérité, l’âpre vérité. A ce titre L’Oiseau de Minerve* ne s’est pas fait que des amis.

 Benjamin BILOMBOT BITADYS

Diffusé le 02 septembre 2016, par www.congo-liberty.org

 

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88 réponses à TSATY-MABIALA et Parfait KOLELAS, taupes de Sassou ou top de l’opposition ? Par Djess dia Moungouansi

  1. La Bande Des 4 dit :

    C’est la faute de Pascal Lissouba, le naïf têtu très étourdi, qui a laissé le pouvoir au diable!

    1 véritable connard!

  2. Robert POATY PANGOU dit :

    Mon cher frère « Djess dia Moungouansi »,

    Tu sais j’ai un avantage sur certain d’entre nous.

    En effet après avoir travaillé avec nos Aînés en politique à Brazzaville, j’en ai tiré une grande expérience auprès d’eux.

    Les Aînés m’ont dit beaucoup de choses.

    En vérité, il n’y a aucune haine dans ce que je dis.

    Ce que je dis, Denis SASSOU NGUESSO sait que le « Petit » est dans la vérité. Lui il le sait et il en est conscient.

    NB : Tous nos frères du NORD savent que ce que je dis est vrais.

  3. Robert POATY PANGOU dit :

    Mon cher frère « Djess dia Moungouansi »,

    Jean Marie Michel MOKOKO est très clair dans sa vidéo dont-il reconnait lui-même l’existence.

    Lui Général, formé dans les écoles militaires françaises.

    Quand il dit : « les Sudistes sont Revanchards et Tribalistes ».

    Quelle vérité veux-tu entendre encore, et de qui ?

    Ceci dit ; si toi tu arrives à soupçonner Parfait KOLELAS et Pascal TSATY MABIALA de « taupes » et dont tu ne sais pas pour qui ils le sont, cela suppose pour toi, qu’ils sont la cause du malheur que nous vivons depuis le 05 Juin 1997.

    Voilà deux fils des régions qui ont été détruites lors de la guerre du 05 Juin 1997 que nous prenons maintenant pour des « taupes »

  4. EST IL NECESSAIRE DE RABACHER LES DIVISIONS DE CETTE OPPOSITION AVEC L'ACTUALITE DU GABON? PATRIOTE ATTERRE dit :

    MOI JE DIS NON!
    LE SOULEVEMENT DU PEUPLE AU GABON NOUS REDONNE QUELQUES ESPOIRS!
    LES ANALYSES DE DDM SONT VALABLES MAIS JE CROIS QUE BOWAO A EU LA SAGESSE DE CONTINUER A CROIRE EN KOLELA, MOKOKO MUNARI ET OKOMBI POUR RECUPERER PEUT ETRE BIENTOT TATSY MABIALA.
    ALORS PAS DE TIRS DANS LE DOS…

  5. Robert POATY PANGOU dit :

    Mon très cher « Djess dia Moungouansi »,

    Arrêtons nous un moment.

    Imaginons que Parfait KOLELAS et Pascal TSATY MABIALA avaient demandé à leurs électeurs de sortir dans les rues des villes et les sentiers des villages du SUD.

    Et qu’en suite Denis SASSOU NGUESSO ait lâché les tueurs pour massacrer ces électeurs.

    Alors qu’au même moment personne ne serait sorti ni dans les rues ni dans les sentiers du NORD.

    Que aurais-tu dit de ces 2 que tu prends pour des « taupes » ?

    Mon très cher « Djess dia Moungouansi »,

    Tu as oublié les Disparus du Beach ?

    Tu oublié que les enfants Kongo ont été tué et brûlé ?

    Tu as oublié que dans le Pool, la Bouenza, le Niari, la Lékoumou, le Kouilou ; les Mamans, les jeunes filles ont été violées ?

    Tu as oublié Djess, que les Maris et Pères ont été humiliés lors des viols sur leurs femmes et leurs filles ?

    Bref; tous ces faits, se sont Parfait et Pascal qui les auraient commis ? NON. NON. NON

  6. Robert POATY PANGOU dit :

    Mon cher frère « Djess… »,

    N’avions-nous pas accusé Bernard BAKANA KOLELAS d’avoir fait massacré les jeunes ?

    N’avions-nous pas accusé Pascal LISSOUBA de ne pas avoir su éviter cette du 05 Juin 1997 ?

    Et maintenant Parfait et Pascal nous fait éviter les massacres des pauvres enfants, voilà comment nous les traitons aujourd’hui.

    Dans tout ça que sont : DZON, OKOMBI SALISSA, MOKOKO, SASSOU NGUESSO, YHOMBI, MIERASSA…?

  7. Bakala Telema dit :

    Benjamin,
    Sincèrement, il n’y a pas pire qu’un aveugle que celui qui refuse de voir.

    Kolelas, leader, dis-tu? Non! Kolelas et Tsatsy Mabiala ont failli. Ils ne sont pas des leaders, mais plutôt des canailles qui fructifient leurs fonds de commerce avec Sassou comme client principal.

    Après avoir refusé d’envoyer les enfants à l’abattoir qu’ont-ils fait d’autre pour défendre le peuple meurtri? RIEN! Au contraire, ils se sont encanaillés de plus bel. Aucune proposition, aucun contre projet. Rien! Rien de rien. Seul Bowao qui se débat comme un beau diable pour porter la voix des sans voix.

    Bref, Benjamin, tu déçois gravement. Je me demande si ton propos est plus guidé par le sentiment que par la raison.

    Anyway, Tsatsy Mabiala et Kolelas, à moins qu’ils soient attaqués pour leurs origines Kongo ou Téké, ces deux individus doivent être rangés dans les placards de la politique. Ils n’ont aucune épaisseur, aucune stratégie , aucune vision. Tout ce qui les intéresse c’est la santé financière de leur PME respective: UPADS et Youki.

  8. UNITE dit :

    UNITE dit : On a pas besoin de sortir de sciences politiques pour comprendre la réalité de la politique au Congo. Nous n’avons pas besoin de diviser l’opposition si celle-ci existe réellement au Congo. Mais nous avons besoin de leur rappeler qu’ils sont comptables des jeunes morts lors des meetings du Non au changement de la constitution. Un leader politique qui fait le jeu de son adversaire en occurrence Sassou est criminel au même titre que Sassou. Pourquoi sortir les enfants des autres lors des meetings auxquels vous n’y croyez pas? Pourquoi les faire tuer, alors que vous savez pertinemment qu’il y a une entente entre vous, pour que Sassou reste au pouvoir? La situation du Gabon a édifié tout congolais qui a encore un brin d’amour pour ce pays.

  9. Bakala Telema dit :

    @ Robert Poaty,

    Oui, Parfait et Pascal ont fait le bon choix de ne pas envoyer les enfants à la boucherie après le hold-up électoral de sassou. Et après? La suite, c’est quoi? La vie s’arrête à tourner? C’est ça leur projet de société?

    Dites-nous, quels actes ont-ils posés pour enquiquiner sassou après le hold-up électoral de ce dernier?

    Non! Je ne vous suis plus. J’ai défendu ces deux quand ils étaient attaqués injustement ici pour avoir refusé d’envoyer les enfants à l’abattoir. Mais, la vie politique doit continuer. Or, tout ce qu’ils nous ont montré c’est la soumission envers Sassou, le principal client de leurs PMEs respectives.

    Au Gabon, on voit comment l’opposition refuse de se soumettre à Bongo sans user de la violence; et le peuple suit ses leaders. Au Congo, c’est le silence total de la part des leaders des deux grands partis.

    En tout cas, je ne vous suis plus.

  10. Le républicain. dit :

    Djess dia Moungouansi, toi et tes semblables qui voyez des taupes partout, alors que vous n’avez jamais condamnés la gérance néfaste du pays par Lissouba qui a ramené Sassou au pouvoir, êtes tout simplement des idiots utiles du pouvoir dictatorial de monsieur 8%.

    Robert POATY PANGOU a raison de vous remettre sous le nez les revélations d’un général de la republique aujourd’hui icône des amnésiques de votre accabit, traitant les sudistes de trouillards, revanchards et tribalistes, alors que c’est tout le contraire ( la majorité des nordistes épousant cette fausse idée).

    Vous jouez contre votre camp pendant que les autres jouent groupés avec efficacité. Vous êtes des politiciens sans vision , ni stratégie, alors laissez à ceux qui s’y connaissent de faire les choses correctement.
    Vous pensiez faire partir Sassou Nguesso avec une hypothétique désobéissance civile avec une population appauvrie, qui tire le diable par la queue, ne sachant pas quoi se mettre sous la dent?

    Evidemment, c’est facile étant en France, après avoir mangé sa sémoule et ses makossos, de critiquer les initiatives entreprises par Guy parfait Kolelas. Vous reconnaissez tout de même qu’il ne s’est pas tourné les pouces comme vous.

    Tout en reconnaissant les maladresses dans la communication très approximative de Kolelas, ce dernier à toujours par la suite apporté un démenti clair, lorsque ses propos tendaient à avaliser une victoire éléctorale de Sassou.
    Cependant, il serait complètement absurde de ne pas se rendre compte et d’admettre que malheureusement, monsieur 8% est le président de fait du Congo.
    Sassou Nguesso prend des décisions qui engagent le Congo. Il nomme et fait accréditer auprès des pays étrangers des ambassadeurs qui représentent notre pays.
    C’est dans cette optique que si j’avais un conseil à donner à l’opposition, il serait de mener une action auprès de ces pays à travers les ambassades présentes au Congo qui serait de leur dire spécialement que « vu l’usurpation manifeste des résultats éléctoraux par Sassou , nous opposition ne reconnaissant pas sa victoire, nous ne nous sentons pas engagés et le Congo avec, par des engagements que vous auriez à prendre avec ce monsieur que nous considérons comme nuls et non avenus ».

    Par ailleurs, si Sassou a pu emprisonner votre champion Moukoko, qu’attendiez vous de kolélas? Qu’il ordonne ou exige sans condition la libération du général? Ou alors, vous vous attendiez à ce qu’il demande à ses partisans d’aller liberer le vaillant officier superieur à la maison d’arrêt?

    A tous ceux qui pensent bien faire en discréditant les principaux opposants capables de mobiliser les foules, alors que les autres ne représentent que leur famille, sachez que vous faites le jeu de Sassou, qui lui ramassera les morceaux sans aucun effort.
    A bon entendeur salut!

  11. Robert POATY PANGOU dit :

    Mon cher « Djess » ,

    Tu as oublié qu’en 1992 qu’il y a eu un ACCORD UPADS-PCT pour vaincre le MCDDI.

    Tu as oublié qu’en 1997, c’est le MCDDI qui protège l’UPADS quand le PCT, son allié de 1992 est en train de lui arracher l’éléphant qu’ils avaient tué ensemble.

  12. Robert POATY PANGOU dit :

    Mon cher « Bakala Telema »,

    Donnes-moi la suite du 20 Octobre 2015.

    Donnes-moi la suite des bombardements récents dans Brazzaville-SUD et dans le Pool.

  13. brikx dit :

    Respecter aumoins kolela. Sans lui, il n’ya pas d’opposition au congo et ca tous nous le conaissons. Soutenons Kolela car il est le seul espoir a nous congolais. N’oublier pas que les elections c’est dans 5 ans seulement donc c’est maintenant qu’il nous faut etre uni au pres d’un leader comme Kolela.

  14. Le républicain. dit :

    Loko Balossa dit : »Mon frère Djess souvient toi les kolélas ont toujours jouer un rôle trouble dans la vie politique congolaise , son père Bernard est venu à la rescousse de sassou avec les accords URD et PCT , pourtant sassou était carbonisé au sortir de la conférence nationale »

    J’ai une bonne nouvelle pour vous monsieur Loko Balossa, l’aducanumab est un anticorps contre la maladie d’Alzheimer, il permet un ralentissement du déclin cognitif. Je vous le recommande afin d’éviter de dire des inepties.

    L’histoire est tétue monsieur, mais c’est l’histoire! Alors asseyez vous, croisez vos bras, taisez vous et écoutez attentivement.

    Après que monseigneur Kombo ait manoeuvré avec maestria la mise hors- jeu sans effusion de sang de monsieur Sassou Nguesso pendant la conférence nationale, puis le peuple en reléguant celui-ci en 3ème position aux elections présidentielles de 1992 organisées de main de maitre par andré Milongo ( tiens tous du pool, est ce un hasard?), nous assistions avec satisfaction à la mort politique de monsieur Sassou Nguesso.

    Pourtant, ce n’est pas Kolélas qui remettra en selle Sassou nguesso mais bel et bien
    Pascal Lissouba avec les accords secrets de libreville.

    « Le président BONGO, qui a épousé quelques mois auparavant la fille du président SASSOU, poursuit M. LE FLOCH PRIGENT. est bien conscient du péril qui peut s’installer dans le pays qui a le maximum de frontières communes avec le Gabon. Il suggère alors, pour combattre M. KOLELAS dans la majorité ethnique du Congo, un émigré qui avait été premier ministre et qui est alors professeur à l’Institut Pasteur, Pascal LISSOUBA. Pascal LISSOUB\est pour M. BONGO un cousin. Le président BONGO demande à son beau-père de passer un accord avec Pascal LISSOUBA et demande à ELF de soutenir la campagne présidentielle de Pascal LISSOUBA de manière à éviter que M. KOLELAS ne gagne. Je ne sais pas qui a appelé l’autre, mais ceci se réalise à Libreville lors d’une rencontre entre M. SIRVEN et M. BONGO ».

    http://www1.rfi.fr/actufr/articles/037/article_20564.asp

    Les archives existe monsieur Balossa Loko. Il faudra d’abord les détruire afin de pervertir la vérité.

  15. SASSOUFIT,DEGAGE dit :

    @Le républicain

    Merci pour cette archive,on étouffe jamais la vérité,elle fini toujours par s’éclater.

    C’est très facile pour eux de venir taper sur les Kolélas

  16. ISIDORE AYA TONGA dit :

    Merci Djess dia Moungouansi et encore 1000 fois merci pour l’esprit critique – car celui ou celle qui n’accepte pas la critique n’avancera. Oui, la critique ou l’esprit critique aiguise ou déguise l’intelligence…. la créativité, l’innovation et l’éveil de la pleine conscience…

  17. Londi dit :

    @Robert Poaty,

    Très cher frère, t’est-il arrivé de construire un raisonnement sans y intégrer des arguments désuets et en dehors de toute évolution politique moderne. Le congolais qui a compris que le tribalisme n’est qu’une arme inventée par les assoiffés du pouvoir, aspire vers un système politique basé sur des convictions idéologiques, économiques et sociales. Avant les événements de 59, il n’y avait pas l’ombre d’un tribalisme ou régionalisme. Le tribalisme est arrivé avec le colon, diviser pour mieux régner. Cette conception a fait de millions de victimes, au Rwanda où le colon belge a joué sur la prétendue supériorité des Tunis sur les Hutus, au Congo Brazzaville où on a construit la même ligne de démarcation entre les mbochis et les Bakongos pour transposer au Congo les luttes des partis politiques français. Vous revenez souvent sur la fameuse cassette de Mokoko. Souffrez que je dise que l’on veut plus faire la politique comme cela. Je soutiendrai toujours le candidat transéthnique et transrégional parce qu’il ne me convaincra pas par l’émotion mais par la raison et le sens de ce qu’il aura proposé. Avez-vous fait l’autocratique des leaders comme Kolelas père qui vont lier des alliances de circonstance pour casser du sucre sur le peuple qui lui a fait confiance ? Des jeunes sont mortsur, sacrifiés sur l’autel des ambitions. Pourquoi, diable, les mecs comme Kolelas font perdre du temps au peuple en lutte ? Pourquoi Kolelas, par sa communication alambiquée relance Sassou à chacune de ses déclarations ? Pourquoi son ambition démesurée ne voit-elle pas le sang qui coule dans ma maison, mon village, ma ville ! Se prépare-t-il pour les législatives en lançant un nouveau mouvement ? La plate-forme IDC-FROCAD est une structure de lutte, une structure qui doit nous conduire vers la victoire. Est-Il le moment de divertir les gens quand tout autour de nous les peuples en lutte se mobilisent ? Serons-nous les derniers à prendre conscience de la mère des batailles qui s’annoncent avec nos amiservices, les Gabonnais, les Congolais de la RDC, les Tchadiensyndicats et bientôt peut-être les Angolais ? Nous allons leur servir nos divisions nord / sud, mbochis / bakongos, etc. ? N’est-ce pas ridicule ? En agissant comme vous le faites vous devenez les alliés objectifs de Sassou. Aboyez toujours, la caravane passe.
    Arrêtez, s’il vous plaît, de nous bassiner avec des propos sans vision politique réelle. Le sud ne peut gagner sans le nord et vice-versa. Nous devons lutter pour une unité effective pour être plus forts. Il faut une mobilisation des esprits pour faire comprendre à Sassou que nous ne marchons dans son piège. Il construit sa force sur le tribalisme, eh ben, il est temps de lui montrer que cela ne marche pas.
    Il faut arrêter de faire la politique à la papa. Regarez dans des pays africains, en dehors de l’Afrique centrale, les choses bougent. Le tribalisme n’est qu’un instrument du pouvoir et de pouvoir.
    Bonne soirée !

  18. Eyomas dit :

    Djess, vous voyez des taupes partout, Parfait Kolelas est droit dans ses bottes, il a la tête sur les épaules , les pieds sur terre .Benjamin Bitadys et Bowao ont raison , le reste que du blabla, vous , vous proposez quoi?

  19. Safou safouesse dit :

    Nous ne sommes pas une nation
    au contraire des gabonnais et autres, trop tribalistes

  20. Bakala Telema dit :

    Le républicain,
    Le repris de justice qu’est lefloch prigent est votre référence? Hier, il était pour sassou contre Lissouba; mais aujourd’hui, n’est-ce pas le même que l’on voit avec les lissoubistes,dont Marc Mapingou, contre Sassou.

    N’est-ce pas ce même qui arma les milices cobra et Ninja en 92-93 pour opposer les Kongo contre eux parce que Lissouba exigeait la renégociation des contrats pétroliers?

    Ce monsieur, nous l’avons vu lors du procès stalinien de l’affaire Oxy quand témoignait à charge contre Lissouba, n’est-ce pas. Aujourd’hui, c’est le même qui casse du Sassou.

    aux autres,

    Dites-nous, quels actes a posé Kolelas ou Tsatsy Mabiala face aux massacres des populations au Pool?

    Dites-nous, quels actes a posé Tsatsy Mabiala ou Kolelas face aux scandales financiers qui éclaboussent chaque jour Sassou et sa famille?

    Les salariés sont licenciés chaque jour et leurs droits bafoués, que disent Kolelas et Tsatsy Mabiala?

    Les milices de Sassou privent les congolais de leurs droits, que disent vos deux leaders?

    Et vous les appelez des leaders? Foutaises et autres balivernes!

    Ces messieurs sont aussi nuls que Sassou leur principal client qui fait vivre leurs PMEs appelées UPADS et Youki. Ces messieurs n’ont pas l’étoffe de politiciens. Ce sont des commerçants.

    Sassou enferme en prison ses opposants à l’exemple de Mokoko et Makaya. Il ne laisse jamais en liberté ceux et celles qui peuvent lui faire de l’ombre. Les téméraires ont payé le prix fort; et Kolelas et Tsatsy Mabiala ne sont pas faits de cette étoffe.

  21. OYESSI dit :

    Djess, merci de toujours critiquer pour que les fanatiques des uns et des autres sachent à quoi s’en tenir. De notre opposition, j’ai toujours dit que le ciel allait s’éclaircir au fur et à mesure que les nguiris de sassou feront leur effet.

    @A mon frère le républicain,

    Lissouba n’est pas étranger venu d’ailleurs et vous écrivez n’importe quoi en disant……. « émigré qui avait été premier ministre et qui est alors professeur à l’Institut Pasteur, Pascal LISSOUBA. Pascal LISSOUB\est pour M. BONGO un cousin. »
    Lissouba est de père Congolais Zébi et de mère je crois zébi aussi mais ayant eu un des parents Gabonais.
    Lissouba n’est pas aussi un cousin à Bongo dont les parents Mbérés ou Mbétis c’est selon viennent d’OTABA à 5Km de kéllé dans la cuvette de l’ ouest si vous connaissez un peu votre pays.
    Au Gabon une partie de ce village s’est retrouvée entre Akiéni et Okondja et s’appelle maintenant OTALA. En quoi Lissouba et Bongo Omar sont cousins même si les Zébis et les Mbérés, Mbétis ou Ombamba peuvent se comprendre.

    Bongo et Lissouba se connaissent depuis longtemps.

    Bongo a commencé ses études Primaires à ZANAGA, les terminé à l’école professionnelle devenue collège et Lycée technique par la suite. Il a travaillé à Brazzaville après son service militaire au Tchad et milité dans le MSA d’ Opangault avant de regagné le Gabon en 1962 après avoir eu sa fille Pascaline avec une femme du Niari.

    « Pourtant, ce n’est pas Kolélas qui remettra en selle Sassou nguesso mais bel et bien
    Pascal Lissouba avec les accords secrets de libreville » écrivez vous.
    Quels accords de Libreville? Signés avec qui? M. LE FLOCH PRIGENT est un taulard qui s’est enrichi sur le dos du Congo et du Gabon qui peut bien raconter sa vie après avoir tout perdu.

    Vous dites tellement des conneries au point d’oublier que c’est justement avec la complicité de Bongo que sassou est revenu au pouvoir en 1997. C’est par Lékoni via Franceville que le carburant et les armes transitaient pour alimenter les cobras de sassou. Bouya était à la manoeuvre depuis l’Angola et les ravitaillements se faisaient par l’aéroport Internationnal de MWENGUE à Franceville.
    Depuis Franceville les militaires Gabonais dont une partie était constituée des Congolais Mbochis uniquement supervisés par Edith Bongo née Sassou se chargaient de convoyer les colis jusqu’à Lékoni. De là Nguesso Willy était chargé de superviser le transit de la marchandise vers Brazzaville via Kébara , Lékéty Okoyo, Boundji Oyo. Sassou a d’ailleurs retenu la leçon parce qu’une fois revenu au pouvoir, il a vite construit son aéroport personnel à Ollombo.

    Et quand vous dites qu’ « Après que monseigneur Kombo ait manoeuvré avec maestria la mise hors- jeu sans effusion de sang de monsieur Sassou Nguesso pendant la conférence nationale ».

    J’en ris et je puis vous dire que c’est plutôt vous qui devez alors vous assoir, croisez vos bras, et vous taire pour écouter attentivement car vous voulez réécrire l’histoire même recente.

    Kombo est le vrai fossoyeur de la CNS pour avoir mis sous le coude la décision n° 1 de la CNS demandant d’arrêter sassou sur le champ pour avoir été le seul et unique responsable de la mort de Ngouabi et toutes les tueries qui ce sont passées sous le CMP. Les membres du Bureau de la CNS l’ont suivi par respect de l’autorité épiscopale. Dès lors la CNS était plombée. Pour réhabiliter sassou, Kombo n’a trouvé mieux que le lavement des mains pour laver sassou de ses péchés.

    Pour recompense, sassou l’a empoisonné depuis Oyo où l’homme d’église, avide d’argent allait rencontrer sassou à Oyo lors de ses passages. Aviez vous vu la famille de Kombo accepter que Kombo soit enterré à Owando? Pourtant, il était normal que Mgr soit entérré dans son diocèse comme il est de tradition dans la réligion catholique.

  22. ISIDORE AYA TONGA dit :

    ANTHROPOLOGIE2.0: ANTHROPOLOGIE DEUX POINTS ZÉRO OU INTERNET ET RESEAU GLOBAL: JEUNES, ADULTES, VIEUX ET VIEILLARDS AFRICAINS, SI VOUS LAISSER LIBRE COURS AUX DICTATEURS AFRICAINS A DEVOIR GÉRER VOTRE CERVEAU – VOUS AUREZ PERDU: VOTRE DIGNITÉ, VOTRE LIBERTÉ, VOS LIBERTÉS FONDAMENTALES, VOS DROITS FONDAMENTAUX, LA CONDITION HUMAINE ET PIRE ENCORE LA RESPECTABILITÉ INTERRACIALE DES AFRICAINS DANS LE MONDE. DANS LES CAS CONTRAIRES, VOUS L’AUREZ INDIVIDUELLEMENT ET COLLECTIVEMENT COMPRIS – ISIDORE AYA TONGA https://www.youtube.com/watch?v=gMjPJ2Ybd2c

  23. Anonyme dit :

    Bonne analyse Djess, quant à Poaty Pangou c’est toujours le même discours de l’état du sud Congo, il oublie qu’en attaquant Mokoko il renforce Sassou. Merci Djess tu dis la vérité, Parfait Kolelas et Tsaty Mabiala ont renforcé sassou.

  24. Cataqueue dit :

    Cela se confirme bien ici, qui sont les AIGRIS de tous les temps qui écrivent si souvent sous le label « Anonyme », ils se refroidiront en sueur, paradoxal, ensemble avec les mêmes démasqués malhonnêtes ridiculisés naguère, et démagos fichés de toujours, qui exhibent ici un toupet misérable et veulent nous apprendre cette fois-ci, ce que c’est ‘la critique’, plutôt sentimentale, alors qu’ils supportent mordicus le général piaillant guerrier, sans l’ultime ni la moindre critique tout court, malgré ce qui aurait fait de lui sous d’autre cieux civilisés, un véritable feu de paille, un mort né politique, après sa spectaculaire prestation révélatrice, de régionalo-tribaliste convaincu, dans la video du siècle…

    Non seulement que ces mécontents râleurs éphémères semblent ne jamais disposer de miroirs pour se regarder en face et esquisser leur autocritique, mais en plus, se permettent de vouloir traficoter l’histoire par tous les moyens même si les documents originaux, l’image et le son authentiques confirment pourtant bien les faits. Que néni!

    Alors, ces pauvres diables qui avaient annoncé les couleurs à la dernière conférence nationale même, en pleurant à grosses gouttes sous la mélancolie après l’élection du premier ministre de la transition, Monsieur André Milongo, se sont rangés depuis la débacle du mandat présidentiel suivant, en compagnie de quelques deux pelés et trois tondus du Sud, aux imposteurs NORDISTES, pour « taper » continuellement sur leurs propres frères, prétextant une certaine rationnalité mais, qui au fond, n’en est une du tout, sauf la rancune. La vérité est que, comme leur nouveau champion, homme providentiel l’a bien démontré, sans torture, ces grincheux éternels, sont en revanche eux-mêmes, des HAINEUX congénitaux qui ne peuvent supporter les enfants du Pool profond revenir aux affaires. Toute gesticulation qu’ils utilisent pour donner une fausse impression ou connotation du contraire, n’est qu’une simple et ignoble stratégie pour amadouer encore les morons perdus qui n’ont toujours rien pigé à ce jour, près de quatre, s’il vous plait, 4 décennies, du pouvoir NORDISTE, après…

    Pas étonnant donc, que l’on arrive à l’initiation du concept tel que l’ESC, éventuellement pour être sur la voie d’en finir définitivement avec la barbarie et les barbares du haut de la hampe. Et dans ce contexte, les complaisants dans la servitude contemporaine, avec leur sentiment amer, obssedants, seront libres de rejoindre leurs alter-egos au Nord-Congo, pour s’y sentir mieux s’ils le souhaitent, loin de leurs « détestables » frères.

    Franchement, se laisser manipuler indéfiniment par des SINGES, vraiment, il faut le faire, au 21è siècle, après tout!

    Heureusement qu’il y a encore des pondérés qui voient clair et net, du genre RPP, Le Républicain, Pesa_Imbua, Eyomas, et tous les autres équilibrés qui ont vu loin et ont profondément compris les enjeux critiques de l’heure.

    En définitif, PLUS JAMAIS, les votes des sudistes (sans les Lissoubistes phobiques indécrotables!), ne seront PLUS négociables pour un NORDISTE quelconque, chialant guerrier soit-il, postulant à la magistrature suprême jusqu’à nouvel ORDRE.

    A bon entendeur, allez au diable!

  25. Gabio dit :

    Anonyme,

    Poaty Pangou sait ce qu’il fait sur le net comme travail. Il joue le role qui lui a ete assigne, lui et Tony Moudilou. Ce role consiste a forcer les « nordistes » a serrer les rangs derriere sassou en leur fesant croire que les « sudistes » ne les aiment pas et sont prets a les tuer tous au nom de la vengence contre le clan sassou. Ainsi ils sont charges de constituer un fief artificiel a leur patron dans la partie que ces deux tribalistes inveteres qualifient de « nord » selon leurs criteres c-a-d un postulat.

    Poaty Pangou doit etre bien remunere par le clan de l’usurpateur du pouvoir pour son travail inlassable de diversion sur internet. Ce dernier temps, il est rejoint par un de ses cousins, le tres celebre diplome des sciences po, qui ne cesse de presque nous supplier d’appeler son maitre par president, voir cher ou grand leader.

  26. Pasteur D. MIZELE dit :

    OYESSI dit :
    03/09/2016 à 00:33

    Réaction:
    Je suis le pasteur D. MIZELE.

    Merci, vous avez la possibilité de faire un bon essai.
    L’homme oublie vite et croit que tout le monde a oublié.

    Dites nous:
    suite à l’article 52 et 53 de la constitution française, une fois un groupe demande L’INDEPENDANCE,

    question:
    quelle est la procédure, ou quelle est la prochaine étape?
    Voir constitution (fr)
    http://www.sudcongo.com/s/docs/site/esc

    Ce que je ne comprends pas, c’est que Mr Robert POATY PANGOU abandonne L’État du Sud Kongo pour d’abord aller rechercher l’indépendance du « Congo » et que l’article 53 Lui donne une porte de sortie.
    l’Assemblée fr doit se prononcer.
    Dites nous…

  27. sitou Mpaka dit :

    Poaty Pangou est un fanatique des fils Kolélas , il prend des ordres chez parfait et Landry , je l’ai vu il y’a quelques mois avec Landry Kolélas dans un bar d’argenteuil , je l’ai est pris en photo ! Voilà quelqu’un qui fréquente une famille parrainée par sassou ! Mon cousin Robert discours est discrédité. Robert t’as beau jouer le jeu de sassou , mais à pointe -noire chez toi , le général la emporté à 75% , parce que les congolais ne sont pas dupes !!!

  28. Le fouineur dit :

    Djess.
    C’est bien tout ça. Mais concretement
    on fait quoi pour libérer Mokoko?

  29. Médisance Racontar dit :

    @ Kouloumouna-kouloumouna abiobiobiobiobio, kouloumouna-kouloumouna Gabio – biobiobiobio,

    Qui dit:

    {{Ce role consiste a forcer les « nordistes » a serrer les rangs derriere sassou en leur fesant croire que les « sudistes » ne les aiment pas et sont prets a les tuer tous au nom de la vengence contre le clan sassou.}}

    OH MAN! Constastez vous-mêmes, cette fourberie pathologique que l’on ne cesse de mentionner, et qui habite nombre de ces esprits mesquins con-go-laids, qui s’emmêlent les pinceaux pour accuser, toujours gratuitement les tiers, de ce qu’ils sont eux-mêmes, tous seuls.

    Dites-nous « gentilhomme », c’est aussi Poaty Pangou qui s’est rendu autrefois à Oyo, chez les profanes MBOCHIS, appelés sages, reunis autour d’un imposteur cancre-absolu avec apparat de fumier ou fumiste, pour leur implorer en MBOCHI, s’il vous plait, de supporter [SON] pouvoir et le [LEUR] qui serait menacé par les ‘compatriotes’ de la partie australe du pays, ou devrais-je dire, circonstanciellement, du village? HEIN, Mungabio?

    Seras-tu honnête, rien que pour ton amour propre pour une petite fois?

    Qui a dit: qu’il faut retourner sa langue sept (7) fois, avant de raconter des bobards?

    TOCARD!

  30. Parafifi dit :

    Les con-go-laids ETAIENT dupes: ils ne le sont PLUS, au Sud.

    Les enfoirés, font toujours la minorité dans la société.

    Vive l’ESC!

  31. Anonyme dit :

    Que nous apporte un general aujourd’hui emprisonné, inaudible, inopérant dans la lutte? Nous avons tous cru au general pour sa prétendu stature militaire Saint Cyrienne et internationale. Mais que peut un general sans Armée? Que peut un general tout aussi tribaliste que les autres (cf. Cassette vidéo et arrangement entre lui et Sassou pour enterrer l’affaire), qui a failli faire capoter la transition politique de 1991-1992? Un Espoir qui a fait pshhhht! Pour quel résultat? Nous avions besoin de lui le jour de la désobéissance d’octobre 2015. Il est arrivée trop tard. Il faut passer à autre chose. La lutte continuera sans lui.

  32. Anonyme dit :

    SASSOU NGUESSO NE PARTIRA PAS COMME CA SAUF LES PIEDS DEVANT, VOUS AVEZ COMPRIS…

    ARRÊTEZ DE PLEURER, FAISONS SEULEMENT UNE COLLECTE DE FOND CLANDESTINE POUR ARRÊTER QUELQUES FUSILS DE PRÉCISION CHIRURGICALE. ET LA SUITE ON CONNAIT, DES SNIPER POUR NEUTRALISER JDO, SASSOU, NDENGUET, OBARA, MBOULOU, MABIALA, ETC.

    AVEC 15000 EUROS SEULEMENT, LE SERVICE D’ACHAT DE CES FUSILS, LEUR TRANSFERT ET PUIS LE SOLDE DES SNIPERS EST RÉGLÉ.

    AGIR AGIR ET AGIR MAINTENANT

  33. LE CONGO2016 dit :

    MOKOKO, KOLELAS, MABIALA, MOUNARI, ILS DOIVENT PRENDRE DES LEÇONS CHEZ JEAN PING, QUANT ON REPRÉSENTE LE PEUPLE ON RESTE FERME JUSQU’A LA FIN. PAS ENVOYER LE PEUPLE A LA MORT ET A LA FIN SE RANGER VERS L’OPPRESSEUR C’EST UNE TRAHISON GRAVE.
    JEAN DÉCLARE LE VENDREDI JE SUIS LE PRÉSIDENT.

  34. OYESSI dit :

    @ Mon frère LE CONGO2016,

    Pour vous MOKOKO, KOLELAS, MABIALA, MOUNARI, sont pareils? Mokoko a refusé de reconnître que sassou a été élu. Vous savez ce que le dictateur en a fait puisque Mokoko a préféré aller en prison que de capituler. La brave Munari continue à lutter dans un espace vérouillé par sassou et la France.
    KOLELAS et MABIALA ont reconnu la victoire de sassou volée au peuple congolais. Ils sont libres et continuent de dérouler leur plan tracé de commun accord avec leur complice sassou sur le dos des Congolais.
    Puisque vous parlez de Ping, les données ne sont pas les mêmes et je peux en débattre avec vous sur ce qui se passe au Gabon. Regardez seulement comment la France a réagi sur le cas Gabon alors qu’au Congo il y a eu silence de mort pendant que sassou tuait et tue dans le pool. Qui ne sait pas qu’au Congo sassou a été battu comme Ali l’est au Gabon, à la seule différence qu’au Gabon l’élection est à un tours.

  35. Anonyme dit :

    SASSOU NGUESSO NE PARTIRA PAS COMME CA SAUF LES PIEDS DEVANT, VOUS AVEZ COMPRIS…

    ARRÊTEZ DE PLEURER, FAISONS SEULEMENT UNE COLLECTE DE FOND CLANDESTINE POUR ACHETER QUELQUES FUSILS DE PRÉCISION CHIRURGICALE. ET LA SUITE ON CONNAIT, DES SNIPER POUR NEUTRALISER JDO, SASSOU, NDENGUET, OBARA, MBOULOU, MABIALA, ETC.

    AVEC 15000 EUROS SEULEMENT, LE SERVICE D’ACHAT DE CES FUSILS, LEUR TRANSFERT ET PUIS LE SOLDE DES SNIPERS EST RÉGLÉ.

    AGIR AGIR ET AGIR MAINTENANT

  36. BERI dit :

    la politique doit s’extirper des intrigues et du mensonge La politique doit se défaire des rumeurs. Mon cher Djess D’un côté nous avons un coordinateur du FROCAD-IDC qui reconnait la nécessite d’avoir en son sein ( l’opposition) GFP KOLELAS contre tous ses prophètes de malheurs qui véhiculent autant d’inepties que des solutions. Revenir sur des faits qui ont été longuement médiatisés n’est pas une solution . C’est plutôt un retour arrière. D’autant plus les éclaircissements ont été apportés depuis. Seulement , je constate que nous sommes partis dans une logique de positionnement partisan D’un côte les uns cassent du MOKOKO et de l’autre ils cassent du KOLELAS. Dans cet exercice malheureusement nous ne serions pas d’accords. Surtout que ton argumentaire est truffé d’information infondée.Nous pouvons de fournir le reçu du versement des 5 millions par le candidat KOLELAS Seulement ça servira a quoi? Ton idée est toute faite et ça se lis dans ton exposé tu es partisan du tout sauf KOLELAS. Il se trouve que nous avions déjà perdu 6 mois dans cette gueguerre stupide. Le combat de maintenant est d’ailleurs , il est dans l’organisation d’un vrai rapport de force contre sassou, il est dans la remobilisation du peuple, il est dans la refondation d’une opposition stratégique, il est dans la clarification des actions a mener , il est dans la définition de la place de chacun dans cette opposition ( comme l’ont fait nos frères Gabonais est se mettent tous derrière PING) Mais surtout pas en ressuscitant les vieux accords dont GBP KOLELAS n’est pas l’instigateur , il est aujourd’hui un homme libre , je dis bien libre car il a entamé sa renaissance politique depuis sa déclaration a la présidentielle. Il construit avec son futur parti l’idéal d’un nouveau Congo. Aussi vos attaques ne changeront rien vous le savez et je le sais. Soit nous trouvons un terrain d’entente pour composer ensemble ou nous soit nous continuerons a patauger dans la boue. La morale de cette opposition est pourtant simple et claire a mon sens , l’ambiguïté tue la confiance. Personne ne demande a OKOMBI par exemple de quitter le PCT ? Qui demande a OBA BLANCHARD des comptes sur son escapade au gout amer pour aller soutenir la triste politique du  » vivre ensemble » Mon cher Djess tu le sais autant que moi que toutes cette classe politique surtout les cinq candidats ne sont pas des enfants baignés dans l’honnêteté. Ils sont autant faux les uns des autres seulement nous sommes devant une réalité ou il nous impose de faire le choix. Le choix qui nous est proposé aujourd’hui c’est d’aller vers la convention de l’opposition ou tout sera débattu est clarifié. Mais tourner en rond de la sorte n’est pas crédible pour nous qui devrions apporter un peu de lumière dans cette maison Congo qui ne cesse de s’assombrir. La vraie bataille c’est la bataille du Congo pour le Congo surtout pas la bataille des leaders

  37. Le républicain. dit :

    OYESSI, Je ne sais pas ou tu as fait tes études, mais une leçon de grammaire s’impose.
    Pascal Lissouba a aucours d’une longue periode de sa vie, avait émigré en France, l’as tu oublié?
    « Un émigré est une personne qui sort de son pays, qui le quitte pour vivre dans un autre pays ».
    Est ce vrai ou pas? De qu’elle connerie parles tu?

    Contrairement à toi et autres Djess, je n’oubli pas les vrais ennemis du Congo et de notre démocratie.
    Ce que j’ai écrit de Loïc Le Floch Pringent est une transcription des auditions de ce dernier au cours du procès Elf (sources RFI). C’est du serieux, ce ne sont pas vos élucubrations de ngandas, tels que ton analyse vaseuse sur monseigneur Kombo.

    Tu dis:  » Kombo est le vrai fossoyeur de la CNS pour avoir mis sous le coude la décision n° 1 de la CNS demandant d’arrêter sassou sur le champ pour avoir été le seul et unique responsable de la mort de Ngouabi et toutes les tueries qui ce sont passées sous le CMP. Les membres du Bureau de la CNS l’ont suivi par respect de l’autorité épiscopale. »

    OYESSI, il faut rester dans le factuel, et non dans la fantasmagorie, c’est le problème des intellectuels schizophréne comme toi. Les partisans des « il n’y a qu’à ou nyaka ».
    Sans la dexterité de monseigneur Kombo, on ne parlerai pas de transition, ni d’elections présidentielles transparentes en 1992 . Les faits, rien que les faits…

    Toi tu voulais que la conference nationale tenue par des civils, ordonne l’arrestation du général d’armée Sassou Nguesso!
    Je ne serais pas surpris d’apprendre que c’est toi qui avais conseillé à Lissouba, d’aller interpeler un suspect à la résidence de Mpila de Sassou Nguesso le 5 juin 1997.

    Monseigneur Kombo nous avait épargné des morts inutiles, Lissouba et Sassou ont endeuillés le Congo et le pool a payé un lourd tribut.

    Bakala Telema, tu ne penses pas que tu en demandes trop à Kolelas?
    Dans ton for intérieur, tu sais que c’est le seul à mobiliser les foules surtout à brazzaville, car les autres ce sont que des opposants de bureaux et des postes ministeriels.
    Par conséquent, un peu de respect pour cet homme.
    Je suis d’autant plus à l’aise en parlant de lui, car, j’étais partisan de Milongo et aux dernières élections presidentielles, si je pouvais voter, j’aurai opté pour Moukoko, qui me semblait être le mieux à même d’apaiser nos frères du nord afin qu’ils n’aient pas peur d’aller en démocratie avec un des leurs à la tête du pays.
    Emprisonné depuis, Moukoko ne sert plus à grand chose, d’ailleurs, il n’avais pas de plan B dommage!
    Nous devons donc être unis, etudier de nouvelles stratégies, afin de dégager Sassou de là.
    Curieusement, au lieu de se concentrer sur Sassou, c’est Kolelas qui devient la cible.
    Est ce que en y reflechissant à deux fois, penses tu que tout cela soit cohérent?

    Supposons que parfait kolelas, veuille rejoindre le Camp de Sassou, penses tu que la meilleure façon, c’est de le stigmatiser? Ne penses tu pas que c’est la meilleure des manières de l’envoyer tranquillement dans les mains de celui ci?
    A mon avis, il faut être beaucoup plus subtile que ce que tu fais avec plusieurs de tes amis. Charles Bowao dans le post de Benjamin BILOMBOT BITADYS est beaucoup plus intelligent que vous tous réunis. Se priver d’une personne de l’envergure de kolélas, s’est rajouter de la difficulté à l’équation de dégager monsieur 8 % du pouvoir.

  38. Pasteur D. MIZELE dit :

    Rassurez-vous, GP Kolelas sera le Co-président du POOL.
    Il faut cinq Co-présidents: un par TERRITOIRE si les sondages se confirment.
    L’heure est de préparer le peuple du Sud Kongo à voter. Donc, un calendrier va s’imposer…

    Nous sommes en attente des résultats et des documents/lettres.
    Vous félicitons les hommes en « armes » qui protègent le Sud Kongo.
    Le rois n’est pas mort. Vive le Roi.

  39. Londi dit :

    @Pasteur D. Mizele,

    il est toujours très utile de préciser les mécanismes par lesquels vous allez organiser ce référendum dans un pays soumis à une restriction de déplacements politiques ? Quelles en sont les modalités ? Sur quel fichier électoral, celui vérolé par le petit dictateur de Brazzaville ? Quelle logistique ? Quelles sont les acteurs internationaux, observateurs, qui vont encadrer ce référendum limité au Sud du pays ? Quel est le niveau d’implication de l’ONU ? Que doit-on faire pour éviter les scénarios dun Soudan du Sud, de l’Érythrée, du Yémen, etc. ? Sur la base de agenda ? Au moment le peuple se bat pour sa délivrance, il est criminel de le divertir avec des promesses sans lendemain.

  40. BOUENZA dit :

    JE NE SUIS PAS KONGO!

  41. Pasteur D. MIZELE dit :

    BOUENZA dit :
    03/09/2016 à 15:48

    Réaction:

    « JE NE SUIS PAS KONGO! » Tout le Sud Kongo est « Kongo » mais tout le monde ne va pas discuter dessus…
    Merci pour la vérité.

  42. UNITE dit :

    UNITE dit : Au moment où les gabonais se battent pour se libérer de la dictature d’une famille, regardons les images de leur manifestation dans Paris, et réfléchissez. Le Congo ne se limite pas au pool et à Oyo. D’ailleurs dans le pool, tous ne sont pas Kolélas, dans la Bouenza, tous ne sont pas Tsaty Mabiala, dans la cuvette centrale, tous ne sont pas Sassou, même dans son Oyo, il a fallu qu’il triche pour imposer son fils Kiki.
    L’heure est trop grave en Afrique Centrale avec ces dictateurs qui ont décidé de tricher, de tuer leurs populations, ou d’emprisonner leurs opposants, pour qu’on perde le temps à encenser X au profit de Y, ou à jouer aux tribalistes, alors que ceux qui sont morts ont pour certains des pères du nord et des mères du sud, vice versa. Sassou le champion de la division, ainsi que les tribalistes acquis à sa cause pour la conservation de son pouvoir doivent savoir que : LE PEUPLE CONGOLAIS N’EST PLUS DUPE.

  43. Pasteur D. MIZELE dit :

    Londi dit :
    03/09/2016 à 15:42

    Réaction:
    Merci Mr/Mme Londi. Que Dieu vous bénisse.
    Il y des documents officiels qui définissent tout ce que l’on va faire.
    Il faut suivre le déroulement des faits entre la France et L’État du Sud Kongo. Nous sommes pour la paix. Il ne faut pas toujours confondre les temps et les lieux.
    Nous prions Dieu pour la paix, pour la séparation et enfin pour notre unité dans le Seigneur.

    L’ONU peut suivre après, bien qu’il soit au courant de toute notre démarche. C’est la France notre problème. Et là, avec la France, nous travaillons. L’INDEPENDANCE est déclarée ce 21
    05.2016, alors à la France de marcher selon l’article 53.
    C’est aussi ça, la démocratie, l’intelligence et la sagesse.

    Nous travaillons.
    Seule la lutte libère.

    SI ON VEUT GAGNER, ON RESTE SÉRIEUX ET DÉTERMINÉ.

    Paix et grâce.

  44. Pasteur D. MIZELE dit :

    Beaucoup de personnes pensent à la guerre. Non! Le problème du Congo Brazzaville est spirituel. Il faut faire très attention. L’erreur de mettre le drapeau jaune, rouge et blanc avec le rouge en haut est spirituelle.

    Il faut prier, c’est l’heure des 10 Tribus perdues.
    Il faut aimer vivre en paix. Dieu créateur est amour et paix.
    Paix et grâce.
    Pour info:
    Il y a jeûne et prières à sec (sans manger ni boire) de 9 au 18 septembre 2016 pour le pays.
    C’est avec Dieu qu’il faut rechercher la paix.
    Participez vous aussi.

  45. Pasteur D. MIZELE dit :

    Pour info:
    Il y a jeûne et prières à sec (sans manger ni boire) du 9 au 18 septembre 2016 pour le pays.
    C’est avec Dieu qu’il faut rechercher la paix.
    Participez vous aussi.

  46. Gabio dit :

    Pasteur D. MIZELE

    « Tout le Sud Kongo est « Kongo » mais tout le monde ne va pas discuter dessus… »

    Donc Makoko (Onkoo) et Ngalifourou de Mbe dans le Pool sont Kongo, Ankoula Bernard alias Kolelas Bakana du village Ntsouele, Lissouba, Ouosso Emille, Charles Madzou, Martin Mbemba, Marcel Mbani, Laurent Bisse (jornaliste)… sont donc tous « Kongo » selon la logique formelle du pasteur D. MIZELE de Mbanza Kongo.

    Je croyais qu’il etait pasteur pour le vrai, mais bon, les kongologues ne sont t-ils pas consideres comme pasteurs de la kongologie, cette secte qui voit du « kongo » partout, meme sur Venus? Dans le passe, ce genre de pasteurs nous avaient revele que HONG KONG etait un nom kongo, que le monde entier etait kongo et que tout chemin menait a Mbanza Kongo San Salvadore.

  47. Pasteur D. MIZELE dit :

    Gabio dit :
    03/09/2016 à 17:05

    Réaction:
    Bonjour monsieur Gabio.
    Marchons dans la paix et surtout le respect.
    Dieu t’aime, aime les autres.
    Ce qui est spirituel doit le demeurer. Faisant attention les uns, les autres.
    Nous pouvons discuter après un rendez-vous.

    Paix et grâce.

  48. kongo dit :

    En réalité il y’ a chez les congolais comme ce Mr Djess dia Moungouansi qui ici joue un rôle de distracteur ,ce genre de réflexion c’est juste pour distraire la galerie ,derrière son ordinateur c’est facile faire des accusations sans fondement ,tout ça pour reste dans le débat tribale nord sud
    A mon avis il faut changer de stratégies ,maintenant il faut parler des projets ,des idéaux de la vision pour le Congo et sur ce terrain les représentant du pct sans en manque d’arguments et non rien à défendre sauf mégestion

  49. OYESSI dit :

    @ Le républicain,

    Je ne sais réellement pas si vous comprenez ce que vous écrivez. Pour vous quand on a émigré une fois dans sa vie celà revient à dire qu’on est devenu étranger dans son pays.

    Quant aux transcriptions de Loïc Le Floch Pringent auxquelles vous faites allusion, je ne m’y attarde pas sur ce que dit quelqu’un qui a fait la prison et qui a fait des va et vient entre sassou et Lissouba. Si vous donnez quitus à un tel personnage, moi non.

    « Sans la dexterité de monseigneur Kombo, on ne parlerai pas de transition, ni d’elections présidentielles transparentes en 1992 . Les faits, rien que les faits » écrivez vous. Voici les faits car vous écrivez ce que vous voulez.

    Mgr KOMBO a été l’allié de sassou pendant cette CNS et bien après jusqu’à ce faire empoisonné par ce dernier car KOMBO en connnaissait trop. C’est lui qui a plombé la CNS avec ses rappels à Dieu tout le long des débats où il a été démontré que sassou était le vrai mal congolais et çà continue jusqu’à ce jour.

    Si celle ci a pu se tenir, c’est parce qu’on avait un syndicat fort à cette époque aidé en celà par un Chef d’état Major, le général Mokoko qui n’a pas suivi sassou. Je vous rappelle un seul fait: quand les protagonistes à la tête des partis n’ont pas voulu se mettre d’accord pour le début de la CNS, Mokoko les a enfermé tous à l’état major et leur a donné un delai de 24 heures pour qu’ils s’entendent sinon il prenait le pouvoir avec les militaires. Ainsi la CNS a pu démarrer.

    « Toi tu voulais que la conference nationale tenue par des civils, ordonne l’arrestation du général d’armée Sassou Nguesso »

    Si vous ne connaissez pas ce qu’on appelle rapport de force, sachez qu’avec l’écroulement du mûr de Berlin et du bloc de l’est, les rapports de force n’étaient pas en faveur de sassou qu’on a copieusement injurié pendant la CNS. Que pouvait faire sassou qui était abandonné de tous? Rien.

    Je persiste et signe que vous écrivez n’importe quoi. En 1990 sassou était -il Général d’Armée comme vous l’affirmez? Aviez vous oubliez que les décisions de la CNS étaient exécutoire? Voulez vous que je vous communique la décision n° demandant que sassou soit mis aux arrêts?décision non exécutée par le fait Kombo qui nous a plutôt servi le lavement des mains?

    Pour terminer et si vous ne le savez pas, retenez que le 5 Juin 1997,je n’avais pas à conseiller Lissouba d’aller troubler le sommeil de sassou qui en fait savait par son ami Mbéri qu’on viendra chercher Engobo Bonaventure et Aboya deux voyous qui avaient tué des militaires en service commandé dans la cuvette.

    Après avoir mis son dispositif en place en armant sa milice et ses mercenaires, il s’est réfugié à Kinshasa chez sa belle mère dite mama Poto, en attendant de voir comment çà allait se passer.

    Non, je n’ai pas fait des études, c’est pourquoi j’écris dans ma langue maternelle sauf que quand on a été à l’école comme vous, on ne tutoie pas quelqu’un qu’on ne connaît pas. Nous n’avions pas gardé les chèvres ensemble même si on débat sur les mêmes sujets.

  50. Bakala Telema dit :

    Cher Kongo,

    Vous dites :  » A mon avis il faut changer de stratégies ,maintenant il faut parler des projets ,des idéaux de la vision pour le Congo et sur ce terrain les représentant du pct sans en manque d’arguments et non rien à défendre sauf mégestion »

    C’est ce que je déplore aussi chez mes parents Kolelas et Tsatsy Mabiala. L’opposition ne se résume pas seulement à être candidat à l’élection présidentielle. C’est une fonction qui s’exerce de tout temps, élection ou pas.

    Chez mes parents, Kolelas et Tsatsy Mabiala, c’est comme s’ils sont bloqués en métaphase II depuis le hold-up de Sassou. Quand vous posez la question sur leur emploi du temps par rapport au vécu des congolais, on vous rétorque que c’est trop leur demander. Diable! C’est quoi le rôle de l’opposition si ce n’est de marquer à la culotte la partie d’en face?

    Leur silence, pour moi, est l’expression d’un vide abyssal en matière de projet pour le Congo. Ils font la politique pour la politique au lieu de placer le Congolais au centre de leurs pensées et actions, si pensées et actions il y a chez eux.

    Regardez Julius Malema, en Afrique du Sud. Pas un jour ne passe sans qu’il demande des comptes au kleptocrate local qu’est Jacob Zuma, qui est englué dans de multiples scandales economico-financiers et l’incompétence caractérisée. Or seul Dieu sait que Sassou est plus que Zuma en matière de scandales de tout genre. Que font les chefs des deux plus grands partis politiques du Congo? Ils regardent ailleurs.

    Vous vous voulez que le peuple continue à appuyer ces commerçants qui préfèrent fructifier leurs PMEs dont Sassou est le principal client?

    C’est fini!

  51. OYESSI dit :

    @ Le républicain

    Allez sur Zenga mambu, archivé à cette date vous trouverez l’acte 1 de la CNS exécutoire signé de Kombo qui s’est assis dessus par la suite.

    Un assassin ne peut pas incarner une Nouvelle République

    Article publié le : 28/02/2016

    Auteur: Didier ONKA

    On ne peut pas changer l’Histoire, mais on ne devrait pas non-plus la méconnaître volontairement ou non. C’est un crime.

    La Conférence Nationale Souveraine a fait le bilan du Congo de sa création jusqu’à l’année 1991. Dans ce bilan, il est clairement établi que l’homme qui a le plus assassiné ses compatriotes, le plus grand assassin de tout les temps, c’est l’homme qui a occupé le poste de ministre de la Défense et de la Sécurité en 1977. Cette personne se nomme Denis Sassou Nguesso.

    Oui, l’homme que certains membres du clan d’Oyo veulent faire apparaitre aux yeux des congolais comme l’incarnation de la Nouvelle République est le plus grand assassin congolais du siècle dernier et les jeunes générations doivent le savoir.

    Retrouvez l’article sur facebook (cliquez sur le lien):Facebook Zenga Mambu Congo-Brazzaville

  52. LE CONGO2016 dit :

    KOLELAS TU PEUX EN DEVENANT CHEF DE L’OPPOSITION LES PROBLÈMES DU CONGO SONT RESOLUS?
    DES BÊTISES DES VRAIS BÊTISES, APRÈS QUE T’AI MIS CHEF DE L’OPPOSITION IL VA TE TUER C’EST SA TA FIN. UN OPPOSANT NE SE DÉTOURNE PAS DE SES VALEURS, DÉFENDRE LE PAYS. LES FRANÇAIS JOUENT AU FANFARONS AU GABON ILS APPELLENT ALI DE RECOMPTER LES VOIES, QUI A DONNÉ CES FAUX RÉSULTATS A ALI N’EST PAS LES FRANÇAIS? IL EST TEMPS DE CHANGER L’AFRIQUE CENTRALE QUI N’EST RIEN D’AUTRE LE LAIT ET LE MIEL DE LA France.
    REGARDE JEAN PING IL NE CHANGE PAS SA POSITION, TU VEUX DÉFENDRE QUELLE POPULATION AU MOMENT OU SASSOU EST EN TRAIN DE DÉTRUIRE LE POOL.
    BOWAO, MOUNARI, MOKOKO, MAVOUNGOU MABIO, MIERASSA, NTSATY MABIALA, VOUS DEVREZ SUIVIRENT L’EXEMPLE DE JEAN PING, IL CONTINUE DE SE DÉCLARER VAINQUEUR DES ÉLECTIONS, CAR CECI C’ES LA VARIÉTÉ DE LA France VEUT CACHER AU MONDE ENTIER.
    IL EST TEMPS DE RENTRER DANS LE MÊME BATEAU DE LA LIBÉRATION DE L’AFRIQUE CENTRALE.

  53. LE CONGO2016 dit :

    UN HOMME INTÈGRE NE CHANGE PAS
    KOLELAS TU PEUX EN DEVENANT CHEF DE L’OPPOSITION LES PROBLÈMES DU CONGO SONT RESOLUS?
    DES BÊTISES DES VRAIS BÊTISES, APRÈS QUE T’AI MIS CHEF DE L’OPPOSITION IL VA TE TUER C’EST SA TA FIN. UN OPPOSANT NE SE DÉTOURNE PAS DE SES VALEURS, DÉFENDRE LE PAYS. LES FRANÇAIS JOUENT AU FANFARONS AU GABON ILS APPELLENT ALI DE RECOMPTER LES VOIES, QUI A DONNÉ CES FAUX RÉSULTATS A ALI N’EST PAS LES FRANÇAIS? IL EST TEMPS DE CHANGER L’AFRIQUE CENTRALE QUI N’EST RIEN D’AUTRE LE LAIT ET LE MIEL DE LA France.
    REGARDE JEAN PING IL NE CHANGE PAS SA POSITION, TU VEUX DÉFENDRE QUELLE POPULATION AU MOMENT OU SASSOU EST EN TRAIN DE DÉTRUIRE LE POOL.
    BOWAO, MOUNARI, MOKOKO, MAVOUNGOU MABIO, MIERASSA, NTSATY MABIALA, VOUS DEVREZ SUIVIRENT L’EXEMPLE DE JEAN PING, IL CONTINUE DE SE DÉCLARER VAINQUEUR DES ÉLECTIONS, CAR CECI C’ES LA VARIÉTÉ DE LA France VEUT CACHER AU MONDE ENTIER.
    IL EST TEMPS DE RENTRER DANS LE MÊME BATEAU DE LA LIBÉRATION DE L’AFRIQUE CENTRALE.
    https://www.theguardian.com/world/2016/sep/03/gabon-tensions-ease-but-high-police-presence-after-disputed-election
    http://www.aljazeera.com/news/2016/09/gabon-opposition-leader-jean-ping-won-election-160903041118321.html
    http://qz.com/771404/violence-breaks-out-in-gabon-after-controversial-presidential-election-results/
    http://europe.newsweek.com/gabons-growing-crisis-495326
    https://www.amnesty.org/en/latest/news/2016/09/gabon-security-forces-must-stop-using-excessive-force-amid-postelection-tension/

  54. Bakala Telema dit :

    Quand nos ancêtres constatèrent que la traite des esclaves déstructurait nos sociétés, beaucoup s’élevèrent pour s’opposer aux rois qui vendaient les leurs aux négriers en contrepartie des miroirs, bouteilles de vin et autre pacotille.

    Quand le blanc constata que l’exploitation des sols africains était plus profitable que le commerce des esclaves, plusieurs de nos ancêtres s’opposèrent à la colonisation.

    Après la lutte contre la colonisation, nombreux s’élevèrent pour obtenir nos indépendances. Le blanc parti, nos parents mirent en place des partis uniques. Il se trouva que certains d’entre eux étaient contre le parti unique et luttèrent pour qu’il disparaisse.

    Aujourd’hui, tout au moins au Congo, au regard du comportement de la classe politique, on se demande à quoi se résume le combat politique. Pourquoi les gens s’engagent en politique?

    Tout le monde veut être président, ministre, député ou que sais-je encore. Mais pourquoi faire? Pour résoudre quoi? Rien, si ce n’est pour garnir son portefeuille et feindre d’occuper son temps. Si le contraire était vrai, comment expliquer que le Congolais ne soit pas au centre du combat de ces politiciens?

    Pas un seul individu ne se bat pour des idéaux comme le firent nos ancêtres qui luttèrent contre le commerce des esclaves ou la colonisation. Ce qui compte, c’est le compte en banque. Garnir son compte en banque, manger, boire, s’amuser avec les femmes est devenu le projet de société. D’où ces positionnements incompréhensibles et inaudibles de la part de certains.

    La politique c’est comme le commerce. Au commencement, il y a un besoin du marché à satisfaire. On crée un produit ou un service pour satisfaire ce besoin. On met en place une structure pour mettre en marché ce produit et faire le suivi après vente. La satisfaction du besoin du consommateur devient la raison d’être de la compagnie.

    Mais constate-t-on chez nos politiciens? Au commencement, c’est leur besoin d’enrichissement personnel au détriment du grand nombre. Ils créent des structures politiques pour s’accaparer du pouvoir et ainsi faire main basse sur les deniers publics et autres sources d’enrichissement. La patrimonialisation de l’appareil politico-economique devient leur projet de société et leur raison d’être.

    C’est triste de le dire. Mais avec les progrès de l’éducation, les congolais ne sont plus dupes de ce jeu à somme nulle qui les place en dehors du jeu des politiciens qui se servent d’eux comme des marchepieds.

    Le jour où un congolais mettra la satisfaction des besoins de ses compatriotes au centre de son combat politique, Sassou ne dormira que d’un seul œil ou ne dormira plus du tout. Mais comme ceux qui se disent de l’opposition courent après la santé de leur compte en banque, il peut dormir tranquillement car, c’est lui qui a les clés de la bourse qu’ils veulent.

    Soyons exigeants. Évitons de suivre les gens du simple fait qu’ils seraient de la même région que nous.

  55. Revelino dit :

    Quelqu’un a dit : « la fin d’une histoire, ça n’existe pas. Il y a seulement un moment où on quitte le récit. Et c’est notre histoire désormais. »

    Ce qui me fait de la peine, mes chers ainés, frères et sœurs, c’est que nous n’avons pas d’histoire. Ce que j’essaye de vous dire à tous, c’est que nous n’avons pas d’histoire à raconter, nos politiques n’ont pas d’histoire à nous raconter, de sorte que nous soyons fier de ce que nous sommes. Chacun essaye de tirer la couverture à soi en s’appuyant sur sa tribu comme si cela est une fin en soi. Tout se résume à notre appartenance ethnique. Aucun effort de dépassement de soi n’est entrepris afin de construire puis de raconter une histoire dans laquelle chacun trouve un motif de satisfaction à se dire que je suis congolais et ceci sur des bases objectives. Il m’est difficile, pour ne pas dire presque impossible, de prendre pour modèle des politiques. Car ils n’ont pas d’histoire à me raconter. Une histoire qui fasse que je puisse être fier d’être congolais. D’aucuns diront que ce ne sont que des hommes. Cependant, en politique, la constance est la plus grande des valeurs. Il est souhaitable de se tromper en étant soi-même plutôt que de se renier en étant rien, vide, comme un roseau et ballotté dans toutes les directions car inconstant, sans repère, sans valeur, sans idéal et donc sans Histoire à raconter.

    Etre leader oui mais pour quoi faire ? Je m’interroge sur ce désir fugace à vouloir être leader pour des motifs dont on ignore les motivations. La quasi-totalité de la classe politique du pays sont des voleurs, pour certains des criminels. Ont-ils déjà exprimé le moindre remord ? Les humiliations, les privations qu’ils font subir au peuple en pillant les deniers publics, en les privant du minimum vital sont d’une rare cruauté que l’on puisse imaginer dans la vie d’un individu. Ils se sont construits des fortunes colossales, des patrimoines énormes mais cela au détriment du peuple qui tire le diable par la queue. Ont-ils déjà exprimé la moindre repentance à l’égard de ce peuple ? Peu importe le dirigeant ou le poste qu’il a occupé, ils ont montré une telle cruauté qu’on a du mal à imaginer qu’ils puissent être magnanimes à l’égard du peuple.

    Nous voulons accorder à l’opposition d’aujourd’hui le bénéfice du doute. Mais cela ne se fera pas sans qu’ils fassent amende honorable en dénonçant toute forme de cruauté que le peuple subit aujourd’hui mais surtout en parlant de leur propre turpitude quand ils ont eu à occuper des postes qui leur ont permis de construire des fortunes colossales au détriment du peuple. Il n y a pas d’élévation sans sacrifice. On est absout de ses péchés en les confessant et non le contraire. A bon entendeur …

  56. kongo dit :

    Cher Bakala Telema
    Bonne réflexion Cher Bakala Telema, ok mais j’ai lu et relu votre texte aucune proposition désolé mais les peuples qui pensent que leur salut viendra des autres c’est à dire d’un groupe de personnes se trompent
    et l’exemple sud-africain que vous présentez excuse-moi ,encore là il ya derrier ce personnage Julius Malema un peu d’opportunisme et l’autre Mmusi Maimane Chef de l’Alliance démocratique derrière il y a des blancs qui veulent reconquérir leurs privilèges
    je vais être sérieux avec moi-même ,le temps de peaufiner mes idées je vais me lancer dans l’écriture de un texte avec mes proposition ,vous verrez que personnes et j’en suis sure et certaine ,alors personne ne va vouloir débattre et discuter sur ce texte je suis un peu pessimiste mais en verra

  57. kongo dit :

    lire (encore là il y a derrière )
    (d’ un texte)

  58. Bakala Telema dit :

    Waouw! Revelino!

    Alors là, bravo! J’espère qu’ils apprécieront.

    Ces gens n’ont vraiment pas d’histoire à nous raconter. Tout ce qu’ils font ne suscite que dégoût. Aujourd’hui, je voyais à la télé le guignol de Sassou à Kinshasa où il cherchait à s’acheter une respectabilité en s’invitant comme médiateur dans la crise pré-électorale de la RDC.

    Sincèrement, est-ce que ce monsieur sait ce qu’il fait et pourquoi le fait-il? Un individu qui refuse le dialogue chez lui et qui veut l’imposer chez autrui. Est-il vraiment crédible? Et dire qu’il y a des gens qui croient en ce monsieur.

    Bref, le politicien congolais doit se ré-inventer.

  59. Bakala Telema dit :

    Kongo,

    Merci. Je serai le premier à commenter votre texte à venir.

  60. Robert POATY PANGOU dit :

    A mes deux chers frères « Le républicain et Oyessi »,

    Je viens de vous lire très attentivement.

    Quand vous allez me, je pense que vous allez être content voire très content.

    Vous venez d’évoquer des faits très importants.

    « Le Républicain » a totalement raison de défendre Monseigneur NKombo, autrement dit c’est qui vais le faire.

    Vous savez, on dit souvent ceci à quelqu’un qui a pris une décision salvatrice que : « VOUS AVEZ PRIS UNE DÉCISION SAGE ».

    Une « DÉCISION SAGE » ou une « SAGE DÉCISION » ne toujours pas signifier ; éviter la guerre ou faire la guerre.

    Ainsi :

    – Prendre la décision de faire la guerre va être considérée comme une décision sage dès lors qu’à la fin, l’Ennemi a été vaincu. Si l’Ennemi n’est pas vaincu, cette décision va être considérée comme décision folle.

    – Prendre la décision pour éviter la guerre va être considérée comme une décision sage dès lors qu’à la fin cette décision nous permis d’épargner les dégâts inutiles en vies humaines et en matériels.

    Voilà pourquoi, il ne faut pas condamner celui est chargé de décider.

    En effet, il faut retenir que au moment où quelqu’un prend une décision, il ne sait pas si cette décision va avoir une issue « BONNE ou MAUVAISE ». Il ne sait pas.

    Aujourd’hui après les faits que vous décriez l’un comme l’autre, nous pouvons affirmer que Monseigneur Ernest NKombo a totalement eu raison de ne faire faire arrêter Denis SASSOU NGUESSO.

    Pourquoi ?

    C’est le 10 Juin 1991 qui a tout résolu. Le 10 Juin 1991 date dont vous connaissez tous les deux l’effet historique.

    Posez-vous la question de savoir : à quoi a servi cette date du 10 Juin 1991 ?

  61. Robert POATY PANGOU dit :

    A mes deux chers frères « Le républicain et Oyessi »,

    Bref la « DÉCISION SAGE » ou la « SAGE DÉCISION » est celle qui nous permet de constater que nous avons éviter les Querelles et le SANG.

    Le 15 Octobre 1958, par décision du MSA de Jacques OPANGHAULT le Congo aurait pu éviter de connaître ce qu’il continue à connaître aujourd’hui si Fulbert YOULOU avait emboîté le pas à OPANGHAULT.

    Le 15 Août 1960, si le Référendum était tenu, nous n’aurions plus aujourd’hui à vivre ce que nous vivons jusqu’à ce jour.

    Voilà les faits sur lesquels je vous invite vous deux à réfléchir afin que vous compreniez le sens profond sur vos accusions réciproques.

    Les faits sont là :

    Le Congo étant une fabrication du Colon, alors il ne pourra jamais être Uni. Jamais.

    Le Peuple doit se prononcer sur les Accords de Matignon. C’est la condition pour l’Indépendance. Confère Constitution du 04 Octobre 1958.

  62. Pierre MOUKALA dit :

    Quelques observations après la lecture des deux textes:

    L’opposition incarnée par l’IDC FROCAD a lamentablement échoué et son coordonataur et porta parole devrait être le premier à tirer les conclusions qui s’imposent.

    L’IDC- FROCAD a cessé d’exister, dès l’instant où il n’ya pas eu consensus sur la participation à l’élection présidentielle du 20 mars 2016.

    Une frange de l’opposition a choisi d’accompagner le « dicta-tueur » aux urnes, sans une stratégie de défense des résultats sorties des urnes.

    Malgré la rhétorique philosophique de celui qui a voulu nous faire croire que l’IDC-FROCAD ne se laisserait pas voler la victoire, et que tout serait mis en œuvre pour faire respecter la volonté du peuple, la réalité est que tout cela n’était que des cris de détresses.

    Par conséquent, quand Bowao se résout à reconnaître le leadership de Kolelas dans l’opposition, ce n’est que la continuité de la descente aux enfers, dans la mesure où l’on ne peut accorder du crédit à un homme n’ayant pas été en mesure de défendre sa prétendue victoire au simulacre de scrutin.

    De plus, à entendre le discours de celui à qui l’on veut faire jouer les premiers rôles dans l’opposition, on ne relève aucun signe de combativité, face à une dictature qui tient par la coercition.

    La capacité de drainer les foules peut être considérée comme un facteur de leadership dans une opposition de façade, dont le seul objectif est de créer des conditions de se faire remarquer par le tyran.

    Cependant, drainer les foules n’est pas toujours un signe de charisme, dans des pays où les populations sont désabusées et prêtes à s’accrocher à tout ce qui peut leur donner l’espoir de tourner la page de la tyrannie.

    Mais, sans une vraie stratégie de reconquête du pouvoir, tout cela fini toujours par une désillusion.

    Il suffit d’observer ce qui se passe de l’autre coté du fleuve Congo, avec un Tshisekedi très populaire, mais incapable de fléchir la marche forcée de Kabila vers un nouveau mandat.
    Après que Kabila ait adopté la méthode Sassou en imposant un dialogue, malgré sa popularité, Tshisekedi se trouve dans une position aussi ridicule, consistant à accepter la médiation d’un bandit de grand chemin, comme DSN, qui n’est autre que « la ruse et la manipulation faites Homme ».

    Il suffit d’écouter les déclarations des opposants zaïrois, faites à l’issue de la rencontre avec le tyran DSN pour comprendre que certains hommes politiques africains marchent sur la tête.

    Aussi drôle que cela puisse paraître, ceux qui récusent Edem Kodjo, Vital Kamerhe, acceptent la médiation du chef de file d’Oyo Haram.

    En conclusion, je ne pense pas qu’il faille attendre quoi que ce soit des PAKO, TSATY ou BOWAO qui ont donné des faux espoirs à une population souhaitant tourner la page des 32 ans de larmes et de goût du sang des autres.

    • Interview après la rencontre avec le tyran, maître dans la privation de liberté et en organisation de faux dialogues, qui s’invente un nouveau délire, dans un conflit qui risque de faire disparaître Brazzaville en quelques minutes , par l’invasion d’une orgue de Kuluna en tout genre :
    https://youtu.be/Ql-S1wgU9eM?t=133

  63. Anonyme dit :

    A Londi,

    Londi merci pour tes analyses sur Poaty Pangou, ce monsieur joue contre nous, son rôle c’est de faire peur aux frères et sœurs du nord, c’est ce que sassou souhaite, Poaty Pangou est une catastrophe

  64. Robert POATY PANGOU dit :

    Jean Marie Michel MOKOKO est en prison. Pour quelle raison exactement ? Avions-nous oublié son problème personnel avec son Ancien employeur Denis SASSOU NGUESSO ?

    N’oublions pas que c’est Denis SASSOU NGUESSO qui le nomme Chef d’Etat Major Général.

    N’oublions pas que c’est Denis SASSOU NGUESSO qui le nomme au grade de Général.

    N’oublions pas que c’est Denis SASSOU NGUESSO qui le nomme comme Conseiller.

  65. OEIL DE LYNX dit :

    POATY PINGOUIN assume bien sa mission de CHARGE DE RÉUNIFIER LES NORDISTES DERRIÈRE SASSOU.

    CHAPEAU! Mais çà fait longtemps qu’il est démasqué par les vrais patriotes!
    VENDEUR DE FLEURS DU MAL!

  66. Robert POATY PANGOU dit :

    Parfait KOLELAS annonce sa candidature dès Août 2012.

    Jean Marie Michel MOKOKO nous a permis de comprendre que tout le NORD s’était rangé derrière un seul homme en la personne de Denis SASSOU NGUESSO.

    Jean Marie Michel MOKOKO savait pourquoi c’est dans le SUD qu’il est allé concentrer son temps.

    C’était juste pour prendre les électeurs tout en sachant que le NORD était déjà acquis aux seuls Candidats du NORD.

    Dès le 22 Mars 2016, les Sudistes qu’il traite de revanchards et de Tribalistes se rendent compte qu’on les trompé.

    Jean Marie Michel MOKOKO qui connaissait les hommes (militaires) et le métiers n’a jamais appelé ces hommes là pour qu’ils prennent leur responsabilité.

    Parfait KOLELAS nous permis qui était Jean Marie Michel MOKOKO.

    Pendant que MOKOKO avait été annoncé pour le 19 Octobre 2015 mais il n’y était jamais apparu.

    Le 20 Mars 2015, parfait KOLELAS était dans Brazzaville SUD avec ses militants et nous connaissons tous la suite.

    Le SANG et les pleurs au SUD.

    La boisson et la joie dans le NORD.

  67. Anonyme dit :

    Les congolais du nord n’ont pas attendu RPP pour être des benni oui oui du pouvoir actuel. Ils n’ont pas attendus RPP pour être uni derrière leur champion. Souvenez-vous du 20 Octobre 2015. Qui est sorti dans la rue, et lesquels sont restés chez eux à siroter des bières? Où était votre Moïse, ce jour précis où nous avions besoin de son leadership et de sa carrure de militaire general d’armée pour faire face aux larbins Armée du pouvoir en place. Après le 20 mars 2016, lorsque le general Mokoko lance la désobéissance civile, où étaient ces partisans pour prendre la direction de la contestation populaire. Ah oui, sa stratégie, c’était de se servir des sudistes qu’il traite de tribaliste – revanchards, comme chers à canons. Les leviers du pouvoir se trouvant à Brazzaville, il est donc évident que le Moïse de certains compatriotes comptait sur l’électorat du Yuki pour faire le sale boulot. Quelle hypocrisie mes frères. Et on s’étonne d’avoir comme president, le tyran d’oyo. Comme l’a dit quelqu’un sur ce forum, le peuple congolais reste introuvable. Trouvons – le au lieu de passer votre temps à diffamer.

  68. UNITE dit :

    UNITE dit : Aucun d’entre nous n’est maître de la volonté populaire. Sassou a cru que tout roulerait sur les rails. Hélas pour lui, son soutien à Ping, la résistance d’Ali; la crise qui arrivera également de nos voisins de la RDC compliquera la gestion de sa tricherie.
    Personne aujourd’hui ne peut prédire l’avenir. Cette population congolaise qui s’est vue flouée sa victoire, par des opposants qui sont venus accompagner Sassou à cette élection, ne maîtrise plus rien. Le Congo ne se limite pas à trois quartiers du sud de Brazzaville.
    Laissons le temps au temps, laissons la crise financière continuer à aggraver cette pauvreté, ces licenciements en série, ce chômage qui sévit au niveau de la jeunesse. L’avenir nous dira ce qu’il en adviendra.

  69. Crack Boom Huuuuhhhhhh dit :

    ** En conclusion, je ne pense pas qu’il faille attendre quoi que ce soit des PAKO, TSATY ou BOWAO qui ont donné des faux espoirs à une population souhaitant tourner la page des 32 ans de larmes et de goût du sang des autres. **

    Pierre MOUKALA, lui, oublie convenablement de souligner dans ce contexte généralisé, Munari et Okombi, peut-être moins gênants autrement dans l’impact, mais pas par hasard, car c’est pour se couvrir de mentionner parmi les pièces détachées, la pièce « maîtresse », oui vous l’avez devinez comme vous pouvez le voir, de visu: Marie Mokoko…

    Dans ces conditions, je m’en vais alors vous en rappeler pour la énième fois, le cartésianisme relatif, noir sur blanc, en une une (1) toute petite phrase, après les brillants prédécesseurs ci-dessus; QUI ou QUOI est réellement Marie Mokoko, dans ce carcan:

    _Marie Mokoko, est expressément, intentionnellement, ce tout dernier {[(« oPPOSANT d’OCCASION »)]}, Ô-Ô, le principal ACTEUR recruté en dernier lieu, de cette pièce sauvage de THEATRE, par le belzébuth MBOCHI lui-même, qui l’avait copieusement fabriqué pour la circonstance, afin de réussir son très risqué hold-up constitutionnel, et son anticonstitutionnel mandat présidentiel de tous les dangers, un de plus, de rang indeterminé; POINT!

    Bonus:
    Allez, je recommence; QUELLE était DONC, la RESOLUTION FAMILIALE entre les deux frères NORDISTES, qui décidèrent jadis de manger le SINGE sale en FAMILLE, à la suite de la vidéo du siècle, pour ne pas la révéler à ce jour??? !!! HEIN – QUOI? Allo, Agent Double 008!?

    Et pourtant, tenez-vous bien, ils crient tous ici: DEMOCRATIE – ALTERNANCE! Mais alors, le peuple n’avait-il pas le DROIT de savoir, avant les élections de la honte? Vrai ou faux?
    Démocratiquement!

    Où sont même prétendument, les articles fulgurants et assommants à ce jour, sur cette question très névralgique, relative à un COUP D’ETAT*, qui n’a jamais trouvé de réponse honnête, à cette minute?

    (Oh, pardon, « on réglera tous ces problèmes plus tard; il faut laisser le temps au vent et les moyens de sa défense à, Marie, son excellence l’imposteur guerrier particulier; `l’essentiel` étant ailleurs »…) ‘and’ Bla—–bla—–bla—–bla—–bla—–bla—–bla—–BLEU!

    Ah, les mômes, ne somnolez PLUS s’il vous plait, réveillez-vous: 1968—-2016 = WOUAAAAAAAAAAAWHHHH!

    Après avoir lâchement assassiné le Cardinal Emile Biayenda, coucou les re-voilà qui veulent crucifier sans se gêner, à titre posthume, Monseigneur Ernest Kombo, le jour même de la canonisation de Mère Teresa. Pitoyables menuisiers, j’allais dire, maçons en gestation.

    Excuses; excuses; excuses; excuses; excuses…

    Au lieu des calomnies incessantes et sans lendemain sur certains, ouf les mêmes, agissez seulement, VOUS, pour lier l’ultime à l’agréable, au minimum, non!

    QUI est tribaliste? Marrant!

    2 petits pois, 2 haricots!

    Même les chintok ont refusé de dérouler le tapis rouge à Hussein Obama: « c’est notre aéroport après tout, nous sommes libres », ont-ils retorqué aux yankees remontés…
    Lui-même, Hussein, était réduit de sortir par la petite porte à l’arrière du jumbo jet AirForce One. Hi hi hi, la fin s’annonce pathétique.
    MAWA!

    * COUP D’ETAT: tout ce qu’il a pu établir, hélas après le sectarisme enduit, dévoilé publiquement, c’est de faire chanter depuis, ces sudistes naïfs contagieux:

    ~% Tu m’as déçu chouchou, ce serait très ignoble, vraiment tu m’as touché dans tout mon coeur, on ne votera plus pour toi.
    Ah-aahh, tosi toyebi eh-eh, toyebaki te eh-eh-eh, nionso bolobaka eza ya lokuta.
    To ndimi ya solo to mikosamaki, na mokili oyo oh, confiance ezali te.
    To ko kanga matoyi ya mbala oyo ah dis ye, eh, COCO… %~

    Bon dimanche!

  70. Crack Boom Huuuuhhhhhh dit :

    Lire: (…deviné*); je crois!

  71. Revelino dit :

    @ Bakala Telema

    Lorsque j’ai mis ma modeste contribution, je n’ai pas fait attention à votre contribution. Une fois lue, je l’ai apprécié à sa juste valeur. Je vous dis simplement merci. Continues ! Il est salutaire pour notre pays.

    Quand tu dis, je te cite : « le jour où le congolais mettra la satisfaction des besoins de ses compatriotes au centre de son combat politique, Sassou ne dormira que d’un œil ou dormira plus du tout ». Vous avez touché du doigt le mal qui ronge la classe politique du pays toute tendance confondue. C’est pourquoi, j’ai dit que « les politiques n’avaient pas d’histoire à nous raconter ». Au final, c’est eux qui sont le centre du village et le peuple qu’ils sont censés servir leur marchepied pour atteindre le centre, leur désir absolu. Ces messieurs les politiques se sont construits des fortunes immenses sur le dos du peuple. Et aujourd’hui, ils veulent se construire une virginité politique en mettant sous le boisseau leurs turpitudes passées. C’est nenni.

    Ça me fait de la peine de voir des gens se battent pour soutenir tel ou tel politique sans avoir le recul nécessaire. D’aucuns soutiennent Jean Marie Mokoko et d’autres Parfait Kolélas et ils se battent comme des chiffonniers pour savoir qui des deux a été le premier lors de ce funeste élection présidentielle et aussi pour savoir qui est dorénavant le leader de l’opposition. Comme si cela était essentiel pour le peuple qui tire le diable par la queue depuis des décennies à cause des turpitudes d’une classe politique incapable de mettre au centre du village les préoccupations du peuple en reconnaissant, au temps que faire ce peu, leur manquement du passé. On apporte des soutiens inconditionnels à des gens qui ont passé leur temps à se construire des fortunes immenses en dépouillant le peuple sans le moindre remord. Et ce qui est dérangeant, c’est qu’ils s’en sont fiers. Je m’interroge sur l’opportunité de tel soutien. Ont-ils déjà exprimé le désir de rendre justice à ce peuple qu’ils ont dépouillé de tout des décennies durant ?

    Bakala Telema a dit une chose essentielle à mes yeux : « soyons exigeants. Evitons de suivre des gens du simple fait qu’ils seraient de la même région que nous ». De ce point de vue, comment peut-on soutenir des politiques qui ont dépouillé le peuple dans un passé récent sans leur demander de faire pénitence en reconnaissant le mal qu’ils ont fait au peuple lorsqu’ils avaient à occuper tel ou tel poste ? Devrai-je soutenir Mokoko simplement parce qu’il est du Nord, de Makoua ? Devrai-je soutenir Parfait Kolélas parce qu’il serait du Pool ? Et c’est tout. Vraiment ! Vraiment ! Où est le dépassement de soi si on n’est pas capable d’avoir le recul nécessaire pour critiquer ses gens peu importe ce qu’ils représentent ? Débarrassons-nous des scories qui nous empêchent de nous élever et de construire puis de raconter une histoire dans laquelle chacun a une place essentielle pour ce pays. Le Congo est mien, le Congo est votre et le Congo est un tout harmonieusement agencé afin que chaque enfant de ce pays trouve une raison essentielle à son existence. Je suis le produit de l’éducation de plusieurs individus qui ont jalonné ma vie. Je suis le produit du Congo.

    Le Congo est mien, le Congo est votre et c’est là l’essentiel.

  72. Revelino dit :

    A mon cher frère Kongo

    Bakala Telema n’a pas apporté un catalogue de solutions à ces gens. C’est aux politiques de faire preuve d’imagination afin de pouvoir apporter les solutions idoines à la misère du peuple entretenue depuis des décennies par cette classe politique dénuée de tout remord. Que les politiques commencent par reconnaitre tout le mal qu’ils ont fait au peuple en les volant et dire qu’ils restitueront la totalité de leur fortune et patrimoine construits sur les deniers publics. Et je pense que le peuple trouvera les raisons de croire en eux. Il n y a pas d’élévation sans sacrifice.

  73. OYESSI dit :

    @ OEIL DE LYNX dit : 04/09/2016 à 12:14

    D’accord avec vous, RPP est démasqué depuis,mais nous ne serons pas nombreux parmi ceux des nordistes à aller caresser le nez de sassou. RPP peut continuer à faire son sale boulot.

  74. OYESSI dit :

    @ RPP,

    « N’oublions pas que c’est Denis SASSOU NGUESSO qui le nomme au grade de Général » dites vous.

    Il fallait ajouter qu’un cancre comme Mokoko ne pouvait mériter ce grade parcequ’un Nianga Bouala, NDenguet, Okemba alias JDO et bien d’autres de la milice de sassou valent mieux que Mokoko. Parfois il faut éviter de continuer à injurier les intelligences du Congo parce que les nguiris vous attendent à chaque éclat sorti de votte bouche.

    Pouvez vous me dire quel est le curcus scolaire de ceux que je viens de citer?

    Et comment un ancien instituteur a pu devenir Général d’Armée par simple baguette magique. Quel est le réel curcus scolaire de sassou? Pouvez vous me le dire?

    Voici quelqu’un qui se dit parachutiste et qui a une peur bleue de sauter d’un avion, d’où le départ de son conflit avec Anga qui avait demandé expressement un exercice de saut pour le ridiculiser.
    C’est bien d’être un général d’Armée,si c’est pour tuer qu’il a ce grade, il le mérite bien.

  75. OYESSI dit :

    @ RPP,

    « Jean Marie Michel MOKOKO savait pourquoi c’est dans le SUD qu’il est allé concentrer son temps.

    C’était juste pour prendre les électeurs tout en sachant que le NORD était déjà acquis aux seuls Candidats du NORD »

    Vous dites vraiment n’importe quoi. Mokoko est arrivé dans cette éléction au pas de course après avoir subi toute la mauvaise foie de sassou et ses amis.

    Il a commencé sa tournée dans le sud Congo à Pointe Noire et l’a terminé au nord à Makoua en passant par Djambala, Gamboma, Owando où il a été interdit de faire son meeting pour le lui autoriser à la tombée de la nuit où il a pu s’adresser à son électorat. Le temps de fermeture étant arrivé, il n’a pu continuer sa tournée au nord où ses partisants l’attendaient¨même si le travail avait été déjà fait par son équipe.

    Où aviez vous vu qu’il a concentré son temps au sud? Et à qui il est allé prendre des électeurs qui étaient gardés pour un candidat bien prècis.

    Dites moi si dans la loi électorale du congo il est dit que le nord n’est reservé qu’aux candidats du nord. Si quelques candidats se sont repliés dans leur fief éthnique, ce n’est pas le fait Mokoko car personne, sauf sassou et son PCT ne leur a interdit d’aller battre compagne dans tout le Congo.

    Kolélas qui a fait une partie de ses études à Itoumbi était pourtant attendu en mémoire de son père prisonnier des camarades rouges dans cette localité. Il aurait pu engranger quelques voix car il compte beaucoup de ses anciens collègues d’école qui ont soif du changement. Mais il a préféré le repli identitaire dans son pool.

    Tsaty Mabiala, Kignoumbi Mbouissi et Kolélas se sont repliés dans leur habitat où ils peuvent parler en langue indigène comme s’ils ne voulaient être président rien que pour leur tribu. Anguios, Engambé est allé se chamiller avec le Préfet d’Impfondo qui avait reçu les consignes de ne permettre à personne de parler sur les terres ancestrales de sassou et son pct et après s’est ballader dans son jet à Ouesso.

    Okombo Salissa a fait comme Tsaty Mabiala et Kolélas et n’ a parlé qu’à ses parents à Djambala et dans son village à Lékana avant que sassou ne mette ses chiens de garde derrière lui.

    La brave Munari n’a pu faire sa causerie à Owando que grâce au Préfet de la cuvette, son ancien collègue de terminale à Savorgnan de Brazza qui s’est fait remonté les bretelles par la suite pour avoir autorisé l’opposition à parler.

    Est ce la faute de Mokoko? Vous qui travaillez pour le compte de sassou, vous avez surement les résultats des urnes du nord congo. Pouvez vous nous dire les % acquis par les candidats du Nord à cette élection et combien d’électeurs leur étaient reservés?

    Vous aviez une manière intelligente de distiller le venin dans vos propos sans les développer pour tromper les exprits mesquins comme le vôtre. Vous perdez votre temps .car nous connaissons cette méthode à la soviétique chère au clan sassou et ses amis du PCT;

  76. OYESSI dit :

    lire. mauvaise foi; se chamailler; s’est balladé dans on jet;

  77. Chassez Le Naturel, Il Revient... dit :

    Si l’on vous dit que le bossu ne voit jamais sa bosse, sans reflet miroité, nos intellos « francopholes » confus, tenteront aussi de se justifier du contraire, tant bien que mal.

    Le galop ?
    « Puisque l’exemple part de l’allure du cheval… On peut imaginer changer de monture, au fur et à mesure de notre chasse. Après plusieurs essais, que l’on croit meilleurs, les uns que les autres. On peut se demander deux choses : est-ce qu’on veut vraiment changer de nature, ne fait-on pas des demi-tours… qui nous retarderaient ? Et le « cheval », qui ne se poserait pas toutes ces questions, qui ne feraient qu’obéir à ses maîtres, arriverait avant. Peut-être faut-il penser que certains instincts, ne sont pas mauvais, au fond. Et que d’autres penchants seraient plus à combattre, et que là, on trouverait une allure de guépard, qui arriverait avant le cheval ? Après plusieurs essais, évidemment. »

    Atterrant !

    Bonne soirée.

    Crack Boom Huuuuhhhhhh_

  78. OYESSI dit :

    Si au moins les gens pouvaient avoir le courage de dire ce qu’ils pensent réellement, on saurait à quoi s’en tenir. Mais se cacher derrière les chevaux, quelle affaire !!!!

  79. Interprète dit :

    Ah bon !
    Que ne comprenez-vous donc pas là-dessus, même avec votre niveau, de ‘courageux’ ?
    Okay, dites-nous alors votre patois maternel, pour une éventuelle traduction.
    Quelle histoire confuse !

  80. SALE SALE ET SALE AFFAIRE dit :

    POURQUOI SASSOU NGUESSO SOUTIENT-IL M. JEAN PING ?
    Lire très attentivement le point de vue impartial de la majorité des Gabonais.
    INTRO : La politique, si tu veux la faire, il faut voir beaucoup plus loin que la moyenne des personnes. Il faut voir très loin et chercher à être très bien informé ; ce qui permet de prendre les décisions en connaissance de cause.
    Alors, voici ce qu’on ignore et qui va éclairer plus d’un Gabonais voire plus d’un Africain intéressé par la situation qui prévaut en République Gabonaise. La vérité sur les grands enjeux concernant le Gabon et les convoitises extérieures au détriment du peuple gabonais.
    Le principal soutien financier, politique et bientôt probablement militaire de Jean PING s’appelle Denis Sassou Nguesso.

    Au plan financier :

    Madame Marie Paule PING née MBOUSSOU DIOLA, l’épouse de Franck PING, le fils aîné de Jean PING, et Madame Danièle Sassou Nguesso née MBOUSSOU, l’épouse de Denis Christel Sassou Nguesso, sont deux sœurs de même père et de même mère. Leur mère n’est autre que l’actuelle présidente du Sénat gabonais, madame e de Lucie Mboussou née Milebou-Aubusson.
    Denis Sassou Nguesso qui s’est toujours cru plus malin que tout le monde finance discrètement Jean PING via des sociétés chinoises dirigées par le Franck PING. C’est ainsi que l’ogre de l’Alima a octroyé à ce dernier le juteux marché de la construction du fameux Village Olympique de Kintélé ayant servi aux Jeux Africains de 2015 à Brazzaville, pour un montant de 125 millions de dollars US. Naturellement, la facture a bien sûre été réglée par la SNPC de Denis Christel Sassou Nguesso, le mari de la petite sœur de l’épouse du fils PING.
    D’autres marchés ont été attribués par l’ogre de l’Alima à la société chinoise représentée par Franck PING, notamment le tronçon de la route de deux voies, longue de 169 km, qui relie Ketta à Sembé. Montant de la facture payée au fils PING : plus de 101 milliards de francs Cfa (dont 56,65% supportés par le Congo et 43,35% par le Fonds africain de développement). Cette route a été inaugurée en grande pompe par l’ogre de l’Alima le 11 février 2016 en pleine campagne présidentielle.

    La Synohydro Corporation Limited représentée par le fils PING avait obtenu également le juteux marché de l’extension du Port autonome de Brazzaville.

    Tout homme averti sait que l’octroi de tous ces importants contrats à une même et seule société représentée par le beau-frère de Kiki (le petit nom de Denis Christel Sassou Nguesso dit le pétrolier) n’est ni plus ni moins qu’une manière déguisée pour Denis Sassou Nguesso de soutenir financièrement Jean PING.

    Au plan politique :

    Tout d’abord il faut savoir que Denis Sassou Nguesso a toujours agit en intelligence avec un très célèbre écrivain français(*) dans la rocambolesque et abracadabrantesque histoire de la filiation d’Ali Bongo, qui serait d’origine biafraise et aurait été adopté par notre défunt Frère Omar Bongo Ondimba, passé au Grand Orient en 2009.

    La vérité est que dans cette affaire, le principal informateur de ce grand et célèbre écrivain français n’est autre que l’ogre de l’Alima. L’objectif visé était d’empêcher Ali Bongo d’être candidat à cette élection présidentielle du 27 août 2016, conformément à l’article 10 de Constitution du Gabon. Il faut préciser que Denis Sassou Nguesso et ce célèbre écrivain français sont très proches (ainsi que Robert Bourgi qui veut lui aussi à tout prix la tête d’Ali Bongo).

    N’ayant pas réussi leur coup de l’invalidation de la candidature d’Ali Bongo, Denis Sassou Nguesso est passé au plan B, c’est-à-dire obtenir coûte que coûte le ralliement des principaux candidats de l’opposition gabonaise à Jean PING.

    Comme à son habitude, il n’avance jamais à découvert, il avance toujours masquée. C’est ainsi que par l’entremise de son vieil ami Zacharie Myboto (qu’il avait d’ailleurs ouvertement soutenu en 2009 contre ce même Ali Bongo), il a fait discrètement pression sur les deux principaux ténors de l’opposition gabonaise, à savoir, Guy Nzouba Ndama et Casimir Oyé Mba, pour qu’ils retirent leurs candidatures et appellent à voter Jean PING contre Ali Bongo (dans le même temps, Robert Bourgi et et le célèbre écrivain français utilisaient la fille Chantal Myboto épouse Gondjout pour faire également pression sur son père dans ce sens).

    Dans cette élection présidentielle gabonaise le calcul politique de Sassou Nguesso était de placer à tout prix Jean PING en face d’Ali Bongo pour une raison évidente : leur lien de famille (PING étant le père des deux enfants de Pascaline Bongo) ferait que tous les déçus d’Ali Bongo au sein de la famille Bongo et dans le Haut-Ogooué voteraient volontiers pour l’ex-beau-frère. Et surtout, ce lien familial pourrait rassurer Ali Bongo qui, avec les conseils de sa sœur Pascaline, accepterait ainsi plus facilement de laisser le pouvoir sans chercher à s’y accrocher en usant de la force.
    Mais en bon prince machiavélien, Denis Sassou Nguesso a surtout en tête un autre calcul beaucoup plus subtil et beaucoup plus personnel. S’il cherche à se débarrasser à tout prix d’Ali Bongo (57 ans) et placer Jean PING (73 ans) à la tête du Gabon ce n’est certainement pas pour les beaux yeux de ce dernier et encore moins parce qu’il veut aider le peuple du Gabon à mettre fin au long règne de la dynastie Bongo. Bien au contraire.
    En effet, alors que lui-même, Denis Sassou Nguesso, peut désormais se maintenir au pouvoir à vie, après 32 années d’exercice de pouvoir sans partage, et après avoir massacré son propre peuple, comment peut-on comprendre son obsession à vouloir faire en sorte qu’Ali Bongo Ondimba ne soit pas reconduit dans ses fonctions alors qu’il ne règne que depuis 7 ans ?
    Et quand on sait qu’il envisage de léguer le pouvoir en héritage à son fils Denis Christel Sassou Nguesso, on ne peut pas croire que Denis Sassou Nguesso soit guidé par de bonnes intentions « d’aider » les Gabonais à mettre un terme à l’emprise du clan Bongo sur le Gabon. Un tel argument ne tient pas debout, car aucun Gabonais ne peut dire que Jean PING n’est pas un membre à part entière du clan Bongo.
    La vérité est que Denis Sassou Nguesso rêve secrètement de voir dans 7 ans (alors que Jean PING aura 80 ans) son petit-fils Omar Denis Bongo ondimba, fruit de l’union de feu Omar Bongo Ondimba et la défunte Edith Lucie Bongo née Sassou Nguesso, diriger le Gabon pendant que son fils Denis Christel Sassou Nguesso, lui, dirigera le Congo.

    Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que pour l’ogre de l’Alima, son vrai problème ce n’est pas d’aider les Gabonais à mettre un terme à l’hégémonie du clan Bongo au Gabon. Son problème, c’est qu’il veut continuer à contrôler le Gabon comme il le faisait sous l’ère Omar Bongo par l’entremise de sa défunte fille Edith Lucie. En plus, il considère que son petit-fils Omar-Denis Bongo Ondimba, est, selon lui, plus légitime pour diriger le Gabon que ne l’est Ali Bongo qu’il appelle d’ailleurs en privé le Biafrais.

    En chassant Ali Bongo Ondimba du pouvoir au Gabon pour le remplacer par Jean PING (qui lui sera totalement redevable), Denis Sassou Nguesso veut tout simplement couper une branche de la dynastie Bongo, celle représentée par Ali Bongo pour mieux préparer la conquête du pouvoir par l’autre branche du clan, celle de son petit-fils Omar-Denis Bongo-Ondimba, le seul héritier légitime à ses yeux pour régner sur le Gabon. C’est autant dire que les plus « idiots » dans cette affaire ce sont les Gabonais et Jean PING le premier, car il semble ne pas comprendre cette ruse et cette manipulation de l’ogre de l’Alima.
    Certes, jusqu’à présent le soutien de Denis Sassou Nguesso à Jean Ping portait essentiellement sur sa participation au financement de la campagne électorale de ce dernier, mais le pire reste à venir.
    En effet, selon nos informations, son soutien à Jean Ping pourrait très rapidement se muer en une politique ouvertement interventionniste après le déclenchement de la guerre civile post-électorale qui se profile à l’horizon au Gabon.
    En clair, son soutien à Jean Ping n’exclut pas l’appui et l’entraînement de combattants de l’opposition gabonaise dans sa base militaire privée de Tchambitcho, non loin d’Oyo, au cas où la crise post-électorale actuelle donnerait lieu à une guerre civile au Gabon.
    Alors, à présent, après ces révélations que vous et nous ignorions sans doute, nous souhaiterions que le sang des Gabonais ne coule pas à cause du cynisme et machiavélisme d’un homme nommé DENIS SASSOU NGUESSO ET FILS. Le Gabon et le Peuple Gabonais doivent-ils être les jouets de personnalités de moralité peu recommandable comme cela se passe au Congo-Brazzaville ?
    En conclusion, soutenir aveuglement et sans discernement M. Jean PING au nom d’une prétendue défense de la démocratie et de l’alternance, c’est faire preuve de naïveté et d’amateurisme politique.

    L’EQUIPE DU RESEAU CONGO-MFOA

  81. DAVID dit :

    @ Republicain
    @Oyessi
    Je ne me sens plus le gout de participer a des disputes sur ce site mais je me suis arreté sur vos echanges.
    Vous pouvez apprendre de l autre sans meprise je pense et tente juste d aider: Oyessi est tres proche de la verité. Il ne faut pas toujours prendre pour absolue verité ce que les français declarent sur nos differentes rencontres d avec eux.

    Oui Lissouba est bien de Tsinguidi et ses parents sont biens de congolais. Il est Zebi et n a aucune parentée biologique avec Bongo quouque lui-meme Lissouba declarait « mon cousin Bongo ».
    Bongo a regné au gabon soutenu par les Zebis qui sont majoritaires au gabon aux cotés des Pounou ou bapounou et des Fans. Il a donc de nombreux parents au gabon, les frontieres ayant ete tracées dans l interet du maitres sans tenir compte des rapports socio-ethniques qui pouvaient exister chez nous.

    Je regrette juste que la position du congolais face a la france ne veut pas evoluer. Que devrons nous faire face a la france?

    Merci.

  82. Robert POATY PANGOU dit :

    Mon très cher « OYESSI »,

    Le Grade de Général est Administratif c’est-à-dire que une fois vous avez avancé normalement jusqu’au grade de Commandant, voire de Colonel, celui de Général est de la volonté du Commandant en Chef de l’Armée c’est-à-dire du Président qui le fait pour des raisons subjectives ou objectives.

    Autrement dit le SUD allait avoir plus de Généraux que le NORD.

  83. Robert POATY PANGOU dit :

    Mon très cher « OYESSI »,

    vous faites bien de citer les généraux « Nianga Bouala, NDenguet, Okemba alias JDO »

    Malheureusement vous comprenez que Jean marie Michel MOKOKO a été nommé Général par le même Denis SASSOU NGUESSO et pour les mêmes raisons.

    Dans un régime dictatorial quand on est nommé Chef d’Etat Major Général de l’Armée, cele traduit très profondément la complicité qui existe entre le Dictateur et celui qu’il décide de nommer à ce poste stratégique de l’Armée.

    Le Chef d’Etat Major Général de l’Armée a toujours été un Homme de Confiance et pas toujours un Homme de Conscience.

    Une seule obliger est exigée : il doit être du Métier c’est-à-dire un Homme d’Arme point.

  84. Robert POATY PANGOU dit :

    ERRATUM :

    Lire : Une seule obligation est exigée : il doit être du Métier c’est-à-dire un Homme d’Arme point.

    Je répète ceci : que dans un régime dictatorial quand on est nommé Chef d’Etat Major Général de l’Armée, cela traduit très profondément la complicité qui existe entre le Dictateur et celui qu’il décide de nommer à ce poste stratégique de l’Armée.

  85. Londi dit :

    @Robert Poaty,

    je pense, désespérément, que vous êtes indécrottable. Vous aviez dit que vous avez fait un peu de la politique au Congo, n’est-ce pas ? Voyez-vous, cette façon de faire la politique s’identifie plus à du clientelisme basé sur des officines tribalistes et régionalistes. Eh bien, nous voyons où le pays est rendu par ce genre de politique. Par vos interventions, je vois le chemin qui nous reste à parcourir pour unifier le pays. En effet vous êtes un allié objectif de Sassou. Vous n’avez pas assez de recul historique à l’échelle de l’Afrique ou du monde. Toutes les velléités de partitionnement d’un pays se sont soldées par des catastrophes humanitaires, assimilables à des pogroms. Vous vous rappelez-vous de la crise du Biafra qui avait les mêmes motivations que vous. Les Ibos, conduits par Ojuku, ont souhaité créer leur état parce qu’Ils ne souhaitaient plus vivre ensemble avec les Haoussas et les Yoroubas. Vous vous rappelez-vous la crise humanitaire que cela avait provoqué ? Entre 1 million et 2 millions de morts par la guerre et l’embargo sur la région imposé par le pouvoir central de Gowon ? L’histoire ne se répète pas mais elle nous repasse les plats dans lesquels nous resservons les mets d’aujourd’hui. Les mets peuvent changer mais l’ambition des hommes demeure. Nous savons tous que depuis que le monde est monde, l’homme a toujours eu soif du pouvoir, l’ambition d’être puissant. Il ne faut donc pas flatter des patriotismes débridés dont on n’est pas sûr qu’ils vont apporter des solutions durables. Nos anciens héros n’ont pas seulement lutté pour la moitié d’un pays mais pour tout le pays. Vous n’avez jamais lu ou entendu Matsoua se limiter à une lutte limitée essentiellement au Sud du pays.
    Vous lancez des bouts de réalité historique, histoire écrite souvent par les Blancs pour valider certaines situations actuelles. Un peu plus de modération et de réflexion vous conduiront à de meilleurs sentiments qui vous permettront de comprendre l’urgence de la situation. Utiliser les mêmes méthodes ou les exaspérer ne contribue qu’à renforcer la stratégie du petit dictateur de Brazzaville. A ce moment là vous portez une forte responsabilité qui va à l’encontre des aspirations profondes du peuple.

  86. Dodé Makélélé dit :

    Mais quelles foutaises encore!!!

  87. Robert POATY PANGOU dit :

    Mon très cher « Londi »,

    Oui, je suis « indécrottable ». C’est juste. Cela marque ma constance et puisque je le fais avec franchise et honnêteté, alors c’est une bonne chose pour tous ceux qui me suivent.

    Vous parlez « du Clientélisme basé sur des officines tribalistes et régionalistes ». Mais bien sûr, il faut que cela soit ainsi pour avoir les « pieds sur terre » et avoir la maîtrise de quoi l’on parle.

    Je suis de Tchitondi(Holle), je ne vais pas aller demander à l’Homme de Bétou dans la Likouala, de venir me construire une Ecole Primaire chez moi.

    Pour construire l’Ecole Primaire à Tchitondi, je dois le faire avec les gens du Village.

    Dans cette réalité, où se situe le mal ?

  88. Londi dit :

    @Robert Poaty,

    Frère Poaty,

    quelles sont vos priorités dans l’engagement politique qui est le vôtre ? Le départ de Sassou, la construction du fameux état du sud aux contours politiques flous ou les 2 à la fois ?
    Je continuerai à vous combattre dans le contexte d’un débat démocratique et dans le respect de votre intégrité humaine et intellectuelle parce que je pense que vos idées sont toxiques et votre argumentaire péremptoire. Je pense réellement que vous n’avez pas suffisamment évaluer les risques qu’une démarche comme celle-ci comportent. Interrogez donc l’histoire des peuples qui se sont ou voulu s’engager dans cette voie.
    Prenez le temps de vous y pencher pour arrêter de prendre vos désirs ou fantasmes pour des réalités. Ne prenez pas le risque de diviser un peuple en lutte contre un dictateur sanguinaire. Avoir les pieds sur terre ne veut pas dire s’ostraciser. Le monde se construit logiquement de l’individu au village, du village à la ville , de la ville à la région, de la région au pays et du pays au monde. Ce parcours se fait sur des ouvertures successives et la compréhension de l’autre qui devient successivement ton voisin avant de devenir ton concitoyen. Cette évolution se fait parallèlement au développement intellectuel et à la capacité de vivre ensemble .
    Bonne journée !

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