Plusieurs pays du Continent sont concernés par une éventuelle modification de leur Constitution afin de permettre à un actuel détenteur du pouvoir de continuer à l’exercer. Ces débats dépassent leurs frontières et de grands acteurs politiques tels que le Président américain, Barack Obama, s’y sont invités. Cette question était d’ailleurs au centre de son discours, il y a quelques jours, devant l’Union Africaine à Addis Abeba.
Au Congo Brazzaville, les débats officieux sur ce sujet depuis longtemps étaient ouverts. Toute la classe politique, de l’opposition ou pas, s’était exprimée à ce sujet. Dans la majorité présidentielle, clairement pour le « Oui » et dans l’opposition, tout autant pour le « Non », chacun rejoignait son camp à sa convenance, ou pour le moins par obligation.
Au sein du Gouvernement, précédés de rumeurs, les premiers « couacs » se sont fait entendre : ceux de Parfait Kolélas et de Claudine Munari. Au sein du PCT, pour les plus marquants, ceux d’André Okombi Salissa et de Charles Bowao ont défrayé la chronique alors que dans un même temps Benoit Moundele-Ngolo et Gabriel Oba-Apounou, tous deux proches du tyran, en faisait autant pour le « Non ».
Après le pseudo dialogue de Sibiti, le forum alternatif de Diata vient de se conclure sans accroc dans la voie opposée à celle du précédent.
L’expression de plus en plus forte du « Non » est affirmée sans grande réaction notable par le pouvoir et il faut creuser un peu pour tenter de comprendre la stratégie de l’intimidation qui va finalement se mettre en place.
Le Kani a le droit de vie et de mort sur les siens.
Pour Denis Sassou Nguesso, dans son étroite vision tribale qui n’a jamais cessé de l’habiter, il a permis au Nord de retrouver le pouvoir et le Nord lui doit tout. Tout ! Il ne saurait alors tolérer que le Nord, dont sa famille est à la tête, ne s’écarte du droit chemin. Le sien !
Sassou adore par-dessus tout montrer ses muscles avec ses proches ou les membres de sa famille. Il sait qu’il ne craint rien ou pas grand-chose…
Le premier a en payer le prix du « Non » a été Moundele-Ngolo, son toujours rival, même dans l’élevage bovin ; il a été démis de son poste de Préfet de Brazzaville! Le vieux compagnon de route, Oba Apounou, Sénateur et membre du Bureau Politique du PCT ; il a été interdit de sortie du territoire (comme Rigobert Ngouolali l’ancien ministre et président de l’ARC). Récemment Clément Mierassa avait rappelé l’inconstitutionnalité d’une telle mesure.
Pourtant d’autres siègent encore au Gouvernement comme Parfait Kolélas et Claudine Munari. Cette dernière apparait même, au terme d’un parcours politique rocambolesque, comme un des principaux leaders et soutiens financiers du mouvement de Diata.
Alors pourquoi deux poids, deux mesures dans les représailles ?
Parce qu’en frappant quelques membres de sa famille nordiste élargie, même très élargie, le tigre de papier aux pieds d’argile, tétanise à moindre frais l’immense majorité de la population congolaise. Rappelons-nous l’épisode cruel de la capture de Marcel Ntsourou. Même s’il croupit au fond d’une cellule avec une balle dans le pied, il n’a pas subi le triste sort des Adoua et Motendo qui, avec lui, portèrent le tyran à notre tête.
Le prochain coup d’intimidation majeure sera donné sous peu. Il se prépare minutieusement.
André Okombi Salissa en sera la cible. Plus exactement ses biens, pas sa personne. Il en sera la victime, mais c’est un message qui sera envoyé à tous les autres nantis et barons qui ne supportent plus la domination du tyran, ni celles des enfants et des neveux : « Vous avez obtenus ces biens grâce à nous. Nous vous les retirerons en les détruisant ! »
Le premier à perdre ses biens sera celui qui lui avait permis de gagner bien des batailles. Qui dans le pays prendra les armes pour des maisons démolies ? Mais la leçon portera chez tous les propriétaires, et ils sont nombreux, qui n’oseront plus ouvrir leur bouche !
Le Kani a le droit de vie et de mort sur les siens et sur leurs biens !
Un autre qui risque de plus ouvrir sa bouche, c’est Jean Pierre Nonault, ex-ambassadeur du Congo, Sénateur de la Cuvette, personnalité marquante du PCT et beau-père de François Soudan, l’époux de la fille Arlette Nonault. C’est un doyen de la vie politique congolaise qui s’était rendu discrètement, il y a quelques jours, auprès du Chef pour lui apporter le conseil fidèlement amical de ne pas modifier la Constitution. Le tyran têtu et dur avec les siens en rejeta fermement l’idée. Dans la nuit du 29 au 30 juillet, l’ancien ambassadeur du Congo se trouvait dans un état critique à l’Hôpital Militaire, probablement empoisonné. On le préparait à une évacuation sanitaire à Paris !
Nous attendons avec impatience les prochains commentaires de François Soudan dans Jeune Afrique.
Emmanuel Yoka, opposé de la première heure à cette modification de la Constitution n’apparait nulle part dans les préparatifs constitutionnels. Le vieil oncle connait trop bien la bête féroce qui dirige le Congo : c’est lui qui l’a façonnée et modelée, mais elle échappe maintenant à tout contrôle. Le futur exilé au Bénin tient à sa peau…
Ces régions que Sassou Nguesso avait intentionnellement opposées se retrouvent toutes deux prises dans le même étau de ses menaces. Le tyran adore éliminer les obstacles un à un. Seule l’union de tous permettra au pays de lui faire barrage et de s’en débarrasser définitivement.
Rigobert Ossebi
Diffusé le 31 juillet 2015, par www.congo-liberty.org
L’article est un papier sans logique. Un classique de pourfendeur
Ce jeu de faux fuyants de l’opposition politique radicale gêne déjà plusieurs de leurs militants. Or les acteurs de ce bord politique ont pour stratégie de survie politique, tout nier et sacrifier la patrie, au nom de leur égo. Les esprits avisés ne peuvent ranger que cette façon d’être sous le vocable de désordre. Ce désordre les dessert aux yeux du peuple congolais qui se pose la question de savoir ce que veulent réellement ces radicaux. Dire une chose et son contraire est une attitude irresponsable qui caractérise souvent des gens irresponsables et qui n’appréhendent pas leur avenir, si ce n’est sous le prisme de l’égoïsme et l’égocentrisme.
L’opposition radicale n’est qu’une écurie des dictateurs
Les lecteurs de la politique en République du Congo sont, généralement estomaqués quand il est question d’épiloguer sur l’opposition radicale.
«Pouvoir au peuple, bonne gouvernance, changement !» Des slogans ou propos clamés très souvent par cette horde d’opposants. Des aspirants aux hautes fonctions de l’Etat qui manquent d’idéal politique. Pis encore le chemin vers l’unité de l’opposition, lui, semble parsemé d’embûches.
Faut-il s’interroger sur la qualité d’opposants radicaux dont dispose le Congo. Le constat est alarmant. Depuis plus d’une décennie on assiste à l’existence d’un leadership au sein de cette opposition, ayant pour doctrine et projet de société le radicalisme. Du front des partis de l’opposition congolaise, au FROCAD, en passant par l’ARD, l’ANR, le Code « A », la CODESA, que de plate formes politiques de cette opposition qui n’ont pu établir véritablement son unité. Pour la bonne raison chacun veut justifier son existence par des raisons, en réalité, alimentaires. Des alliances politiques conclues sans idéal commun, une course pour le leadership de l’opposition.
patriote et Congo ma patrie hors sujet.l’auteur du texte est pourtant clair…
Congo Ma patrie doit être surement un de ces nombreux étrangers à qui l’autre étranger Beninois de Sassou a donné la nationalité pour raconter toujours des conneries quand l’article de Rigobert traite d’un sujet pourtant clair.
Jean Pierre fût mon ancien maître à Etoumbi en 1958 et j’ai bien peur pour lui.
Pourquoi la période de transition politique est la bonne condition sociopolitique au vrai changement au Congo?
IL FAUT D’ABORD UN CHOC DE MORALITÉ, DE JUSTICE ET DE DEVOIR DE MÉMOIRE AVANT D’ENVISAGER UNE QUELCONQUE ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE AU CONGO BRAZZAVILLE !
Le Congo Brazzaville est malade, très malade et jusque dans la chair et le for intérieur des uns et des autres: trop d’intolérance et d’assassinats politiques, trop de crimes de sang jamais punis, trop d’impunité politique, très d’injustice, trop de déni de responsabilités politiques des politiciens de ses 50 dernières années, trop de recyclage politique des mêmes bourreaux politiques et socioéconomiques…
Si une période de transition politique nouvelle commence dès la chute du tyran Denis Sassou Nguesso, le peuple souverain aura donc l’opportunité de régler la problématique du devoir de mémoire et édifier dans l’unité, les conditions d’un vrai changement.
Pourquoi la période de transition politique est la bonne condition sociopolitique au vrai changement au Congo? explication ici http://congo-objectif2050.over-blog.com/2015/07/pourquoi-la-periode-de-transition-politique-est-la-bonne-condition-sociopolitique-au-vrai-changement-au-congo.html
LES PRESIDENTS AFRICAINS PENSENT QUE LES EUROPEENS, LES AMERICAINS ET LES ASIATIQUES SONT DES NULS ET DES BËTES QUI RESPECTENT LES PRINCIPES UNIVERSELS DE LEURS CONSTITUTIONS POUR SAUVER GARDER LA PAIX CIVILE ET
L’EQUILIBRE DE LEURS PAYS ET DE LEURS CONTINENTS.
LE CONGO, LE BURUNDI, l’ANGOLA, LE CAMEROUN, LE TCHAD, LE ZIMBABWE ETC LA LISTE EST LONGUE ET MEME TRES LONGUE.
EN EUROPE, AUX USA, EN ASIE LES LOIS PARLEMENTAIRES SONT APPLIQUEES ET RESPECTEES, POURQUOI PAS EN AFRIQUE?
LOUBSSSOU.
Aux vaillants cadres militaires Congolais et aux anciens de la defense civile,faites descendre du perchoir le corbeau Sassou qui croit le Congo qu’il detruit depuis les decennies et la propriete laissee par son pere Dahomey.Virez vous ce vaurien du perchoir.L’heure du nettoyage et du toilettage de la maison Congo est arrivee
Cher Rigobert, je ne sais pas quelle est l’étendue de vos connaissances sur la politique congolaise. Je trouve que vous assenez de ces vérités sur le Nord qui manque de substances.
Savez-vous que le Nord ne se résume pas qu’à la Cuvette ? Savez-vous qu’en 1976 on a pris en otages à Owando trois individus qui étaient originaires de Kéllé et qu’ils ont été découpés en morceaux, en dépit de la présence dans cette ville de représentants du Pouvoir : Sassou Nguesso et de Yombi-Opangault. La fiction politique autour du Nord et du Sud est devenue prépondérante dans les pensées des Congolais après la grève des étudiants de 1971 et plus particulièrement après la défaite en 1972 de l’aile gauche du PCT. Quand à la fiction du Sud, souvenez-vous de ce qui s’est passé en 1993 à Diata, Mfilou où Martin MBERI (Ministre de l’intérieur) à distribué des armes dans ces deux quartiers pour permettre aux fils des pays du Niari de s’attaquer aux Laris et Kongos.
Faites extrêmement attention quand vous utilisez des termes très sensibles.
@ Bissakera
Moi je n’ai pas un bac + 10,je possède un BEMG,(brevet d’étude moyenne général),et pourtant le texte de Rigobert est claire et explicite.
Cher BISSAKERA,
Franchement, je ne sais pas ce que vous repprochez à Rigobert dans ce texte pourtant dépourvu d’amalgames.
Je suis par contre d’accord avec vous quand vous dites que le nord ne se résume pas qu’à la Cuvette. Il faillait ajouter Cuvette Centrale et quand vous parlez des décapités d’Owando, je suis triste car j’ai perdu un meilleur ami de l’école dans le lot.
Oui en 1976, les Mbérés ont été tués à Owando sous l’instigation de Sassou et Yhomby envoyés par le Président Ngouabi pour mettre l’ordre et quand les deux arrivent à Owando, ils autorisent purement et simplement à la foule de KIA EWOHOOO, c’est à dire de tuer et les Mbérés ont été tués pour venger un Kouyou mort à Etoumbi pour une affaire non élucidée.
Les peuples de la Cuvette de l’Ouest connaissent très bien que les Kouyous,encore plus les Mbochis ne les aiment pas. Ewo, chef lieu de la Cuvette de l’Ouest est la seule au nord qui ne soit pas rélié à Brazzaville par le goudron et ce n’est pas demain qu’on verra le goudron à Ewo.
Si le goudron a pu arriver à Etoumbi c’est grâce à ECOFAC pour le parc d’Odzala et non par le bon vouloir de SASSOU pourquoi il n’a pas continué jusqu’à Kéllé? Celui passant pas Boundji jusqu’à la frontière Congo est un projet intégarteur Africain et non celui de Sassou.
C’est pourquoi, je suis très triste de voir les peuples de la Cuvette de l’Ouest remercier SASSOU pour comme un DIEU après avoir tout détruit pendant les 32 ans de son pouvoir satanique. Ils oublient que sous Youlou,Massamba Débat et Ngouabi, on roulait jusqu’ Etoumbi, Kéllé,Mbomo, EWO sans problème car il y avait des sections des travaux Publics partout.
Qui a fait disparaître ces structures? Ce n’est pas SASSOU? Si les jeunes qui n’ont connu que Sassou comme président, nous savons qui ne sommes petits frères de SASSOU que de 2, 3 ou 4 ans savons ce que tous les présidents qui sont passés à la tête du Congo ont fait. SASSOU n’a crée aucune société, il n’a su que les détruire. Hydro Congo, RNPC, ONIVEG,CIDOLOU,LINA CONGO, et tant d’autres.
Que les compatriotes du Nord se disent qu’ils ne sont pas les sujets de Sassou et clan. Qu’ils sachent que le combat qu’ils mènent est dirigé contre un despote, un fraudeur et diviseur de la Nation qui veut tuer à jamais l’image d’une Afrique en marche vers le mieux.
Que la peur ne les habite point, mais que la prudence des serpents soit l’une des armes. Et s’ils ont l’occasion d’arrêter le putschiste, le peuple ne pourra que se réjouir de ce travail.
Aucun sang de Congolais ne doit point être versé, à cause du viol de la Constitution par un président usurpateur.
Plus jamais de pardon pour tout dirigeant tueur dans toute l’Afrique!!!!
A Isidore AYA TONGA de Makoua universaliste congolais : Vos propos sur la transition politique au Congo B, nous conduisent inexorablement vers une révolution, dont l’étymologie renvoi au changement radical. C’est peut-être la seule issue.
Les nordistes ne sont plus naïfs , comme m’a raconté le Général Mokoki , pourtant qui à combattu les sudistes pour la cause nordistes , sassou n’a jamais eu confiance en lui , finalement il le fait surveillé par Mouani qui est Mbochi , puis le remplace par ce dernier à la tête du commandement de la Gendarmerie ! Depuis Mokoki est ministre pour s’occuper du fleuve congo , un poste Bidon ! Cet le cas de Tassoua , Motando , Essongo Léonard et Dzon Mathias qui ont étés tous remplacer par les Mbochis , sassou c’est le président des Mbochis . En aucun il représente le nord ! Même Lissouba a eu un premier ministre et un ministre de l’intérieur du nord! Chose que le Kani d’oyo ne peut faire.
La vidéo du dictateur sassou Nguesso en mode Dallas
Le CONGO NGUIRISÉ, en mode DALLAS
Mr BISSAKERA ou Mme BISSAKERA,le corbeau Sassou doit descendre du perchoir comme il s’entete a le faire,alors je lance un appel solennel a nos vaillants cadres militaires et a nos vaillants anciens de la defense civile de faire descendre du perchoir l’homme le plus idiot de sa generation en usant la force brute.Dissimer plus de 140000 Congolais pour les remplacer par la population etrangere(les libanais,les pakistanais,les indiens et nos frères de l’Afrique de l’Ouest)trouvez vous cela normal Mr ou Mme BISSAKERA.Le texte de notre Compatriote Ossebi est clair et lipide comme l’eau.Que nos braves et vaillants fassent le nettoyage et le toilettage de notre maison Congo que le corbeau Sassou,sa famille,ses amis et courtisans ne cessent de detruit.
Pour quoi leur liquidé s’il s’oppose a la modification de la constitution? selon moi il font que donné leur point de vue en tant que patriote républicain ?il n’y a aucun combat mais plutôt tout peut changé si chacun d’entre nous le veut, tout citoyen congolais a désormais le droit et devoir légitime et sacré de défendre dans la dignité et l’honneur la souveraineté de son peuple contre la tyrannie des instincts.
Arlette NONAULT, dont le vénérable père s’est rendu au palais, est madame SOUDAN, Il doit subir les assauts de la tigresse qui est « son é -pousse ». Ses analyses dans JA sont sélectives,partiales et ses articles indigests. Arlette, est selon la rumeur, le membre du BP du PCT, qui a eu la géniale idée de modification qui risque de nous valoir une autre guerre.
Quand à répondre à la question sur l’éventuel empoisonnement des frondeurs au chabgement?
Cela, ne fait l’objet d’aucun doute si le camp d’Arlette gagne..
@Anonyme
Arlette a toujours été la serpillère des Nguesso et particulièrement des neveux dans sa jeunesse. Ils ne s’en sont jamais cachés surtout à la résidence de l’ambassadeur dans la banlieue parisienne
@oYESSI
Le goudron d’Ewo-Boundji-Bzv a pris du retard parce que les gens d’Ewo ont voulu que les travaux débutent à Ewo vers Boundji. Or partir de Boundji déjà goudronné aurait facilité la logistique …. comme au Congo il ne faut pas trop attendre … eh ben c’est arrêté à 25 kms de Boundji….. C’est aussi cela le Congo.
@ Louvounou,
Comme vous êtes louvounou égale lokuta, vous ne dites que louvounou. Je ne savais pas que pour goudronner une route il faut forcément commencer par là où s’arrête un goudron.
Youlou avait goudronné d’ Inoni jusqu’ à Etsouali, le goudron commençait où? Ngouabi avait goudronné d’ Obouya en direction d’ OWANDO, c’était à la suite de quel goudron?
Les gens d’Ewo n’avaient rien imposé,et pourquoi le goudron s’est arrêté à 25 km de Boundji en pays Mbochi alors qu’il s’agissait de facilter la logistique?
Non , ce n’est pas aussi celà le Congo. C’est plutôt celà le manque de considération que SASSOU a depuis longtemps à l’égard des peuples de la Cuvette de L’Ouest. Et ceux des fils nguirisés de la cuvette de l’ouest du pouvoir SASSOU en paieront un jour le prix pour avoir aider SASSOU et son clan dans sa sorcellerie.
Je viens d’apprendre beaucoup de chose en lisant certains commentaires.Je ne savais pas que dans la Cuvette Ouest les populations souffraient aussi.Vraiment je retire mes insultes sur les Nordistes.Si je comprends bien ,Sassou est un etranger qui est venu detruire le Congo.