Bien plus que l’information, la désinformation et la propagande sont le socle du pouvoir tyrannique qui s’est instauré, au fil des décennies, au Congo. Les informations, parfois contraires, souvent se télescopent. Il faut faire alors un travail de tri ou de décryptage avant d’oser en tenir compte, les reprendre ou les contredire.
Le plus vieux des magazines d’information du Continent, qui se dit toujours « Jeune Afrique », est une source parfois crédible avec des sujets bien développés ; pour tout les pays africains sauf, SAUF, pour la République du Congo !
Le récent double numéro 2833-2834 fait quasiment figure de cas d’école. Pour notre pays doit-on insister !
A tout seigneur tout honneur, il ne s’agira pour le moment que de François Soudan.
Le pendant de Jean-Paul Pigasse, un clone parfait pour la rhétorique pro-Sassou, également se prétendant Congolais de cœur – qui plus est marié à une de nos sœurs -, était tellement excessif dans sa dévotion à l’endroit de notre tyran qu’il nous a toujours semblé superflu de le moquer. Jusqu’à ce numéro double avec son éditorial « Un naufrage africain », dont tout interdisait la raillerie, tant le titre que le contenu, liés aux drames quasi-quotidiens des migrants qui tentent d’entrer sur le territoire de l’Union Européenne. Etions-nous dans l’erreur à son sujet ? Lui avions-nous trop hâtivement collé une étiquette de pro-Sassou inconditionnel qu’il ne méritait peut-être pas ?
Ses mots étaient forts. Sans ambigüité aucune, il condamnait tous nos leaders africains. Une seconde lecture de l’article : « Au rythme où nos chefs d’Etat se mobilisent, il y aura bientôt autant de migrants que de sardines au fond de la mer. » « Chefs d’Etat », avait-il même osé écrire ; le vaillant François Soudan, le téméraire, incluait automatiquement Saint-Denis Sassou-Nguesso dans sa condamnation… Et le regard de s’attarder sur la photo montage qui mettait, en bas de page, tous nos présidents, du pire au moins pire, sur la même barque gonflable motorisée. Tous étaient aisément reconnaissables : Idriss Deby, Alpha Condé, Ouattara, Zuma, Mugabe, Biya, Obiang etc….!
Ha ! Mais où se cache donc Sassou ? Cherchons encore… Pas de Denis Sassou Nguesso ; pas même sa maudite coiffe que l’on apercevrait derrière une tête !
Soudan connait bien l’homme qu’il sert et son bienfaiteur, au moins de l’épouse Arlette Nono. Sassou ne saurait être mouillé avec tous ses pairs, en plus dans une même barque, au sens propre comme au sens figuré ! La populace, la proximité même de Chefs d’Etat, insupportent le bonhomme. Le mégalomane congolais s’est construit un aéroport international privé à Ollombo, alors le coller dans cette barcasse eut été une insulte que François Soudan s’est bien gardé de proférer.
Décidément les nord-africains, à l’instar du servile Jean-Pierre Elkkabach, sont bien crédules envers le premier tyran et esclavagiste du continent, Denis Sassou Nguesso!
Exonérer totalement Sassou Nguesso du drame qui se joue en Méditerranée enlève le peu de crédibilité qui restait à l’éditorialiste et au torchon qui l’emploie.
Rigobert OSSEBI
Sassou a été le seul à en parler sur une radio de grande écoute et à l’heure de grande écoute grâce à ses amis de droite businessmen maçons. C’était très opportuniste mais il l’à fait.
Maintenant JA marche au pognon. C’est connu.
Oui,Soudan Francois laisse le beninois Sassou a cote parce que ce griot de jeune afrique est le mari d’une certaine pute appelee arlette soit disant niece de la fripouille d’edou.Ce griot-pigeon qui mange dans la main du criminel d’oyo ne peut aucun cas son copain avec lequel il pille le Congo.
Numéro 416 – Changement de constitution – Sassou Nguesso offre 20 milliards de F cfa à Nkurunziza pour tenir PDF Imprimer Envoyer
CHANGEMENT DE CONSTITUTION
Sassou Nguesso offre 20 milliards de F cfa à Nkurunziza pour tenir
Denis Sassou-Nguesso aurait suivi, heure par heure, minute par minute, seconde par seconde, le coup d’état, finalement, avorté, qui a failli avoir raison de l’entêtement du président du Burundi, Pierre Nkurunziza, à briguer un troisième mandat. Ce dernier fait partie des chefs d’Etat considérés comme noyaux durs, et dont l’objectif est de rester, à la tête de l’Etat, par tous les moyens, y compris, anti-constitutionnels. Si Sassou, au Congo, souhaite, activement, changer de régime, en faisant adopter une nouvelle constitution, Nkurunziza, lui, a une lecture personnelle de celle-ci, qui ne tient pas compte des Accords d’Arusha.
En marge du Sommet Etats- Unis/Afrique, tenu, à Washington, début août 2014, Denis Sassou Nguesso et Blaise Compaoré, à l’époque, président du Burkina Faso, avaient constitué un bloc de granit, pour mieux résister aux assauts de la communauté internationale, de leurs oppositions et des peuples africains, qui demandaient leur départ du pouvoir. Premier à tenter le diable, Blaise Compaoré s’est vu éjecter de son pouvoir, comme un nouveau venu dans l’arène. Resté seul, Sassou, très effrayé à l’idée que ce qui est arrivé à son homologue burkinabé, n’arrive pas qu’aux autres et qu’il devenait, par la force des choses, la cible la plus spectaculaire que tout le monde vise, il a pris des dispositions particulières pour apporter son concours au président du Burundi, Pierre Nkurunziza, dont l’ambition, est, aussi, de se maintenir au pouvoir, en piétinant la loi fondamentale. Selon des sources crédibles, il lui aurait fourni de quoi corrompre toute personne, au Burundi, susceptible de marcher à contre courant, de son projet. Une somme de 20 milliards de F CFA (30 millions d’euros) aurait, ainsi, été convoyée par vol spécial, au départ de l’aéroport international d’Ollombo, dans le Nord du Congo, pour les besoins de la cause. Ce pactole qui a servi pour « retourner » les membres de la Cour constitutionnelle (en dehors de son vice-président qui a dû fuir le pays pour ne pas se compromettre), de la Commission électorale, certains hauts gradés de l’armée et de la police, ainsi que des dignitaires du parti CNDD-FDD. Cet argent alimenterait aussi, les Imbonerakure, milices du CNDD- FDD, qui sèment la terreur et la désolation, à visage découvert, à travers le pays. Sassou n’en est pas à sa première initiative. En 2013 et 2014, après la victoire de François Hollande, il s’était mis à arroser de milliards de F CFA, à des titres divers, la plupart des chefs d’Etat d’Afrique de l’Ouest en bons termes avec le maître de l’Elysée.
Découvrez la suite dans le numéro 416 d’Afrique Education
SOudan François oublie une chose. Pendant la méditerranée est devenue un cimetière, Sassou, depuis 1997, fait charrier dans le fleuve Congo, entre Brazzaville et Kinshasa des milliers de Congolais, qu’ils soient de la RDC ou de son pays. Il a oublié qu’entre Brazzavile et Kinshasa se trouve le cimetière du dictateur, avec certains squelettes enfermés dans des conteneurs…
Cher Rigobert, merci de nous eclairer sur le role sombre que joue JA et Mr. Soudan en ce qui concerne le Congo-Brazzaville en particulier et notamment les interventions des Francafricains pour le compte du regime de Brazzaville. Hier soir 02 Juin 2015, au journal de TV5 Afrique j’ai ete sidere et ahurit de voir Francois Soudan invite de Linda Giguere faire la propagande du pouvoir de Brazzaville et prendre en derision l’opposition politique du Congo avec un language des plus meprisables. Pour lui, apres sa recente rencontre avec Sassou Nguesso, il veut faire passer le message comme quoi tout est joue au Congo Sassou est le seul qui maitrise le Congo dont les opposants ne sont qu’apres les postes dans un futur gouvernement Sassou et leur part du gateau, il n’ya pas d’opposants veritablements patriotiques. Il est alle meme jusqu’a soutenir que les Etats Unis doivent arreter leur opposition aux modifications constitutionnelles et que la politique en Afrique c’est une questions de petits tribus qui doivent s’entendre. Ce Monsieur doit savoir qu’il ne parle pas au nom du Congo ou du peuple Congolais qui croupi dans la misere et se bat pour se debarrasser d’une dictature. Ce journaliste affairiste dont la femme Arlette Soudan Nonault, soit dit en passant, parente du soit disant Ministre Ibovi et conseillere de la Presidence au Congo ne fait pas du journalisme ethique, il travail pour le compte de Sassou Nguesso et c’est deplorable que France Television et TV5 lui donnent le plateau pour deverser le venin de sa propagande noseabande pour Sassou Nguesso et le PCT qu’il qualifie de d’analyse politique. Les opinions de Mr. Soudan sur le Congo ne comptent pas parcequ’il est en conflit d’interet et si il avait la moindre probite, la moindre conscience ou un peu de vergogne la meilleure chose qu’il devait faire c’est de la fermer, et de se taire. D’abord il commmence par un article Brazza n’est pas Ouaga et aujourd’hui il vient sur un plateau soutenir que Sassou Nguesso est le seul capable de diriger le Congo, qu’en sait-il, il ya des intellectuels congolais de par le monde capables de diriger correctement le pays, en lieu et place de d’un Etat corrompu, dictatorial et republique bannaniere dont le regime actuel a fait du Congo. Ces vieux Francafricains sans vergogne qui ne sont meuts que par les interets, les profits et les fers de la trompe de Mr. Soudan et Jean Yves Olivier tous confondus devraient etre des personna-non grata au Congo et autres pays Africains au risque de se retrouver pendus sur un »croc de boucher » un jour comme l’avait dit Sarkozy.Ce sont des profiteurs qui vivent au depend des dictateurs et tyrans Africains et ils tirent sans cesse l’Afrique vers le bas quand les peuples Africains aspirent a la democratie, la liberte et le progres social. Je demande un boycott de ce torchon de journal qu’est Jeune Afrique dont les opinions et les postures dans leur forme et fond ne refletent pas les aspirations de la jeunesse africaine. Ne lisez plus Jeune Afrique chers amis!!!
Cher Mighty,
Nous sommes tous dans la lutte, lecteurs et rédacteurs.
Merci de nous suivre et de nous avoir rejoints en nous apportant des informations de qualité.
Tous ensemble nous vaincrons.
Fraternellement.
Rigobert
MES CHERS COMPATRIOTES
POUR CEUX QUI ONT EU A SUIVRE LE JOURNAL AFRIQUE DE TV5 HIER MARDI, CE QUE CE FRANCOIS SOUDAN A DIT SUR LE CONGO C’EST GRAVE. TOUTEFOIS, NE NOUS ETONNONS PAS DE FRANCOIS SOUDAN, IL A UN DOUBLE CORPS FACE AU CONGO, 1*/ IL EST L’EPOUSE DE NONAULT LA NIECE DE SASSOU, TOUT PARIS LE SAIT. 2*/ FRANCOIS SOUDAN EST AUSSI L’AGENT DE RECOUVREMENT DE JEUNE AFRIQUE, C’EST LUI QUI VA A KINSHASA, BRAZAVILLE, ABIDJAN, ETC… POUR RAMASSER L’ARGENT CHEZ LES DICTATEURS QUI PAYENT DES PAGES DE JOURNAUX……
Si vous avez suivi cet interview de ce bouffon de Soudan et etes debite comme moi ecrivez a Mr. Philippe Milon chez TV5 Paris son courriel phillippe.milon@tv5monde.org
On peut aussi se demander pourquoi Mme Fatima Beyina-Moussa, DG d’ecair, est en couverture de la denière édition de « Brune ».
Quoiqu’il en soit, cette brave dame est maintenant en route pour une semaine de travail à Cuba tous frais payés, en compagnies du DC d’Ecair Mr Yves Nannique (surnommé le Prince de Monaco) et du bien-connu sur ce site Nicolas Négoce alias Itoua.
ah si j’étais copain avec la DG, peut-être que la famille restée au pays aurait plus souvant la lumière.
On ne peut pas s’ etonner des articles de Soudan sur le congo à travers jeune afrique, dans un numero de ce journal qui etalait les diplomes obtenus par les presidents africains et les pays de leur obstention j’ai été surpris de trouver le nom de Sassou dans la categorie des presidents titulaires d’ un doctorat obtenu en france. Sachant qu’ en 1961 il a obtenu son bepc et apres une courte formation militaire en centrafrique, algerie , france celui -ci etait deja rentré au congo en 1963 , alors Soudan peut- il nous preciser en quelle année sassou a obtenu ce fameux doctorat et dans quelle université de france ?
AUX COMPATRIOTES
Tous les leaders de l’opposition devraient s’insurger du comportement de ce griot de Soudan qui se permet de parler du Congo à l’endroit des politiques du pays sur la place de Paris ou de l’occident. Le combat n’est pas que comme le font certains c’est-à-dire faire le diagnostic que tous nous connaissons, mais aussi mener une bataille de communication, il ne manque pas de compétences en la matière, et sur la place de paris où sont les opposants il y a bien des chaines qui accepterons vous recevoir; pour faire la contre information de manière que la presse étrangère sache ce qui se passe au Congo. TOUNGAMANI, NDOBA,,,,et les autres attendent quoi pour démentir sur ce qu’avance ce monsieur qui se nourri de l’argent du Congo (Soudan)?
Il a fait rigoler dans un autre numéro de son torchon où il a évoqué plusieurs veuves de présidents en oubliant royalement Céline Ngouabi dont on a aucune nouvelle et de qui on attend toujours sa version de la journée du 18 mars 1977.
Franchement.
Qui lit encore cette pravda? Ce qu’écrit cet hebdomadaire est nul et non avenu. La crédibilité d’une presse se mesure aux sources de son financement… Suivez mon regard…
Que ce blanc aux relents esclavagistes (il profite bien des nègres) et néocolonialistes (il croit toujours que l’Afrique appartient à la France) aille expliquer l’Afrique aux français surtout pas aux nègres. Par ce qu’il se tape une nègresse qu’il se croit nègre comme les nèges devenus français se croient plus blanc que blanc.
Siata pata!