Ghys Fortuné BEMBA DOMBE
La prophétie auto-réalisatrice du Président Joe Biden du mois de février 2022 sur l’Ukraine a aussi bien bouleversé les habitudes que révélé, non seulement la manipulation des médias et le bâillonnement de la liberté de presse, mais aussi la possible désintégration du monde et la détermination de certains dirigeants à redéfinir les règles du jeu. Les cas du Congo-Brazzaville (3è producteur de pétrole au sud du Sahara), des U.S.A, de la France, etc., que nous éluciderons, sont éloquents. Mais, en prélude, planchons sur l’historique des booms pétroliers dont a bénéficié, M.Denis Sassou-N’Guesso, ainsi que sur les miettes du troisième boom, distribuées par le pouvoir de Brazzaville à des tiers, depuis le déclenchement de la guerre, en février 2022, entre la Russie (soutenue par la Chine) et l’Ukraine (soutenue par l’Occident).
Historique des booms pétroliers dans le monde
Le 8 septembre 1978 éclatent des émeutes à Téhéran (Iran). Ces émeutes, connues sous le nom de « Vendredi noir », sont violemment réprimées. C’est le début de la Révolution iranienne qui s’achève par la fuite du Chah d’Iran, Mohammad Reza Pahlavi, le 16 janvier 1979.
Premier boom pétrolier
En raison de ces bouleversements politiques dans un des principaux pays producteurs de pétrole (Iran), la production mondiale diminue, provoquant ainsi une hausse du prix du baril de pétrole. Dans la foulée, le prix du baril de l’« Arabe léger », qui est de moins de 13 dollars en septembre 1978, atteint 35 dollars en mai 1979, et culmine à plus de 40 dollars à l’automne de la même année. À Rotterdam (Pays-Bas), les prix des produits finis flambent, passant, entre fin octobre 1978 et fin juin 1979, de 200 à 400 dollars par tonne métrique, pour le « Supercarburant », et de 130 à 380 dollars par tonne, pour le « Gazole ».
Dès le début de la crise iranienne, les groupes pétroliers français (notamment ELF) prennent la décision de remplacer Jacques Joachim Yhomby Opango à la tête de la République Populaire du Congo (actuelle Congo-Brazzaville) par leur pion, Denis Sassou-N’Guesso, qui avait été choisi avant même les assassinats de 1977 (dont celui du Président Marien Ngouabi, prédécesseur de Jacques Joachim Yhomby Opango).
L’embellie durera jusqu’en 1985, avant que les prix du pétrole ne retombent, et que le Congo ne croule sous le poids du 1er Plan quinquennal (1982-1986). Un plan conçu dans une incompétence notoire, par M. Sassou, et qui fut été mal géré.
Second boom pétrolier
En 2005, le pétrole retrouve de réelles couleurs, avec une moyenne annuelle qui atteint 50 dollars par baril. Durant une dizaine d’années, les cours progressent, jusqu’à dépasser les 120 dollars par baril. Malgré cette embellie, le Congo s’enfonce dans des dettes, et les populations, qui n’en bénéficient pas, basculent dans l’extrême pauvreté jusqu’à nos jours. L’effacement des dettes du Congo envers le Fonds monétaire international (FMI) par le Directeur général de cette institution financière, Dominique Strauss Kahn (DSK), à hauteur de 5 milliards de dollars, ne relèvera pas le sort des populations congolaises.
Troisième boom pétrolier
Après 6 ou 7 années de vaches maigres, durant lesquelles le prix du baril de pétrole était descendu en dessous de 50 dollars, les cours ont oscillé entre 60 et 80 dollars ces dernières années (2020 et 2021). Dès le début de l’année 2022, les tensions entre la Russie et l’Ukraine commencées jeudi 24 février ont, petit à petit, propulsé les cours du baril de « Brent » à 119 dollars.
Conséquences sur les recettes de l’État congolais
La moyenne du prix de « Brent » pour l’année 2021 se situait à 70,68 dollars. Cela a permis à l’État congolais de bénéficier d’une augmentation conséquente de ses revenus, grâce au « Profit Oil » prévu dans le Contrat de partage production (CPP).
En effet, en dessous de 50 dollars, le Congo, propriétaire de la Société nationale des pétroles du Congo-SNPC- ne bénéficiait que des 12% des redevances, ainsi que des maigres parts de l’État dans les 10 à 11 cargaisons enlevées mensuellement au Terminal de Djeno. « Les cargaisons étaient fixées à 920.000 barils. Or, il a été constaté que 9 tankers, sur les 10 qui venaient charger à ce terminal, étaient, en réalité, des supertankers d’une capacité de 2 millions de barils ; la plupart venant directement de Chine et retournaient en Chine après avoir seulement déclaré un chargement de 920.000 barils. Mais cela est une autre histoire…» regrette un expert.
Donc, en dessous de 50 dollars, le Congo recevait environ 2 cargaisons par mois (soit une quarantaine de millions de dollars par cargaison). Cela représentait environ 80 millions de dollars par mois.
En 2021, avec le passage du « Profit Oil » au-dessus de 50 dollars, 60 à 70% de la différence de prix entre le seuil de 50 dollars et le prix de vente du baril revenaient au Congo (soit l’équivalent d’une cargaison). En clair, il est revenu au Congo 3 cargaisons mensuelles à un prix moyen de 70 dollars. Soit un total de 193 millions de dollars mensuels (920.000 x 3 x70 ). Ce montant représentait plus de deux fois les recettes des années précédentes.
Aujourd’hui, le Congo perçoit 60 à 70% du « Profit Oil » sur un prix du Brent fixé à plus de 100 dollars par baril. Cela représente donc environ 5 à 6 cargaisons de pétrole en sa faveur. Dès lors, les recettes pétrolières de ce pays se situent (sur la base d’un baril fixé à 100 dollars) entre 460 et 550 millions de dollars par mois !
La redistribution des miettes
Selon plusieurs sources, M. Sassou et son fils Denis Christel (ministre de la Coopération internationale) géreraient personnellement l’argent du pétrole congolais. Ils auraient lâché des miettes pour les Congolais coincés dans les affrontements en Ukraine. Chose que nie certains étudiants. La réalité, depuis le 25 février 2022, avec ces miettes, la Commission de crise interministérielle, élargie aux chancelleries et consulats, mise en place à Brazzaville par le Premier ministre congolais Anatole Collinet Makosso, statue, à travers divers angles, sur ce dossier dont s’est saisi partiellement, la Pologne, le H.C.R et des associations qui prennent actuellement en charge, les populations arrivant de l’Ukraine. Certains membres de cette commission ont été envoyés dans différents pays proches de l’Ukraine, pour entrer en contact avec les Congolais bloqués dans ce pays en guerre. Bien avant la mise en place de cette commission, M. Sassou et son fils, auraient injecté des miettes de recettes pétrolières dans le financement de la Formation qualifiante, par le biais du Fonds national d’appui à l’employabilité et à l’apprentissage (FONEA) et de l’Agence congolaise pour l’emploi ( ACPE), pour inciter des gens de se former et les cerveaux qui sont à l’étranger à rentrer travailler dans leur pays. Hugues Ngouélondélé, ministre congolais de la Jeunesse, des sports, de l’éducation civique, de la formation qualifiante et de l’emploi, en collaboration avec l’Organisation de la gestion des étudiants et stagiaires, poseront, en mars 2022 à Paris (France), les jalons du Bureau d’information qui recruterait les experts congolais dont, les entreprises ne trouvent pas au Congo.
Malheureusement, tout compte fait, de nombreux observateurs pensent que, jusque-là, « les miettes que lâchent, M. Sassou et son fils Denis Christel, ainsi que, Denis Gokana et Bruno Jean Richard Itoua, ne sont qu’une goutte d’eau perdue dans la mer ». Voilà pourquoi, le commun des mortels se demande s’il faut toujours laisser la gestion du Congo aux mains des autorités égoïstes, pillards qui n’ont rien fait des deux premiers booms pétroliers. Pire, les dirigeants ne parlent pas de la hausse du baril.
Ghys Fortuné BEMBA DOMBE
Diffusé le 04 mars 2022, par www.congo-liberty.org
Ceux qui étaient déjà nés en ce temps se souviendront comme si c’ était hier.
Le coup d’état du 5 février 1979 pour ravir le trône prêté momentanément à leur ami Opangaut Yhombi Joachim un hélicoptère Antonov larguait les tracts sur les faubourgs qui tiennent lieu de ville de Mfoa accusant Yhombi d’avoir tout volé.Ces mêmes accusateurs se sont mis à table depuis lors à mettre le pays en coupe réglée.C’etait leur objectif principal se servir et servir leurs maîtres quand Mr Ngouabi par naïveté les avait emmenés au cœur du pouvoir.
Mr Ngouabi a ouvert le boulevard aux pirhanas d’Alima,ces bêtes hybrides mi poissons mi souris qui le rongeaient les pieds depuis 1969 jusqu’à organiser son assassinat en Mars 1977 qu’ils mettront sur le dos des innocents.
Que dit ROUSSEAU : » La grande richesse est inadmissible .
Il condamne le luxe .Alors que les SASSOU et NGuesso justifient le luxe par des arguments diffus (la richesse ,c’est la nouvelle civilisation de cette famille dans ce qu’elle a de plus raffiné ,jouissif )
Rousseau y verrait le signe d’une famille amorale : de quel droit ,ils voudraient absolument être riches et vivre dans l’opulence ,alors que , à leurs portes ,le peuple implore et souffre ?.
Ont ils l’estomac plus large ,la cervelle mieux faite ,travaillent -ils davantage ?
Poser des telles questions ,c’est y répondre .
Et Gandhi ajoute : Et pourtant , le Congo est assez petit pour satisfaire les besoins de tous mais trop grand pour contenter les désirs de chacun .
C’est la grande différence entre désir et besoin .
Le besoin est naturel ,comme manger .Mais le désir est expansif et pathologique car il s’agit le plus souvent de satisfaire des plaisirs infinis .D’où il est synonyme de manque .
Vouloir manger un caviar est un désir ,car on peut vivre sans manger du caviar ,contrairement à l’eau qui est un besoin vital à la vie .
Je recommanderais à cette indigne famille nantie des voleurs insatisfaits que : tout ce qui est humain finit par revêtir un sens dérisoire . Vanité des vanités .
La guerre en UKRAINE est un cadeau béni venu du DIEU POUTINE .C’est voltaire qui disait de DIEU ,s’il n’existait pas , il fallait le créer .l’occasion pour les NGUESSO de prier que cette sale guerre perdure et qu’ils s’en mettent plein les poches .
Au peuple congolais de consulter médécin NIETZSCHE pour une ordonnance portant une prescription paradisiaque intitulée : arrière monde ,c’est à dire le monde christique introuvable tenant de la métaphysique .
L’ici bas congolais congolais leur appartient ,car ils ont bien compris la nature du message de ce philosophe qui déclara « :DIEU est mort « pour le peuple congolais ,qui a abandonné les plaisirs terrestres entre les mains des NGUESSO et espèrent les rattraper au paradis .
En gros les NGUESSO sont des « zarathoustra « . Eh oui ,ils vivent de la réalité matérielle que leur offrent les avantages de l’exercice du pouvoir politique .
Les institutions congolaises permissives et génitrices des monstres politiques constituent ,à leurs yeux ,ce qu’il y a de mieux sur terre .
D’où cette réflexion sarcastique de NIETZSCHE » le PLATONISME est un christianisme « .C’est la devise vitaliste (vie ) du peuple congolais . Autrement dit : » les NGUESSO sont dans le concret et le miséreux peuple congolais dans l’abstrait (platonisme et christianisme )..
Naîfs que nous sommes !!!.
Ce manque de « culture de prévention » nous perdra .
Mon frangin @le fils du pays.,
Vous dites « :Ces accusateurs sont passés à table ». Exactement, c’est le motif premier du politicien congolais quand il consent à assumer les fonctions publiques…Ces gens sont sans moralité sont les foussoyeurs de notre pays…
C’est pourquoi ,mon frangin ,il ne faut faire confiance à personne,car les intentions cyniques et cachées sont supérieures à la bonne morale…
Ce rebond pétrolier a permis à Sassou Dénis de rappeler de très nombreux jeunes gens Mbochis , qui étaient en attente d’intégré les centres d’entrainements des milices . Tsobitso , Billolo, et le centre de l’île Mbamou inauguré par Nianga Bouala Ngatsé Adoua . On tout cas ces centres tournent en plein régime , ces jours ci ! Voilà la préoccupation première de Sassou Dénis
Le martyre du peuple ukrainien est similaire à celui du peuple congolais, la seule différence réside dans la médiatisation. L’une est visible et l’autre est invisible validée par des puissances dont la France…Le boom pétrolier est un gage de survie de ce régime dont l’existence est justifiée par le pillage récurrent des revenus pétroliers…
Aussi faudrait il rappeler que le pouvoir de Brazza s’inspire largement des méthodes de gouvernance politique et économique de Mouscou, c’est à dire des méthodes de privation des libertés et économiques, d’où le retard économique qu’accuse Mouscou sur beaucoup de pays européens de l’ouest…
La rente pétrolière est l’alpha et l’oméga de Sassou ,il y va de sa survie politique..Car le pétrole est la raison de sa présence au pouvoir depuis plus de 40 ans….
D’ailleurs ,Marien n’en était il pas mort ?.
La nature profonde ou l’essence d’un régime holiste ou totalitaire est l’absence de raison,car comment concevoir une pensée unique, comme pensée officielle dans la perception de l’exercice du pouvoir politique ?.
Ce sont des régimes où le peuple a du mal à dire du mal du mal … C’est l’apologie du mal .
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Comme,je l’ai dit plus haut : nous manquons « de culture de prévention »dans la conception de nos institutions…La mort brutale de Marien NGouabi et l’organisation de la Conférence nationale étaient l’occasion ultime de prémunir le Congo des institutions intelligentes empreintes des précautions institutionnelles visant à sanctuairiser contre toute forme de dictature. Au lieu de ça ,ces vieux politiques avaient priorisé leur libido dominatio pour se construire une richesse familiale tirée des revenus publics.
Oui ,on a été naïf , ignorant ,en voulant faire confiance à des gens qui n’avaient rien plus que nous ,si ce n’est celui de gouverner le Congo afin de jouir de tous ces biens..
La bataille politique au Congo a un nom : la richesse..Le reste relève de la sophistique politique , c’est à dire de l’enfumage des esprits…
Trouver un politicien congolais qui fasse de la politique un sacrifice patriotique c’est à dire qui n’ait aucunement l’idée diabolique de s’enrichir relève du divin…
Pour casser ou anéantir cette forme de domestication des richesses nationales,le système fédéral en est l’antidote…
Nous nous sommes résolus à avoir confiance dans les idées plutôt que dans la moralité douteuse des politiciens congolais…
Il faudrait repartir le revenu national entre tous les territoires du pays pour susciter des investissements économiques, seule garantie, pour supprimer à terme les iniquités sociales qui s’y trouvent.
En un mot : que les régions deviennent des berceaux économiques et financiers .L État central n’a rien à y faire….Car il n’y a pas des Présidents providentiels…
Comme l’avait su dire un conférencier au temps de la connerie nationale : « c’est le pays à eux « .
Et pourtant bon visionnaire et prédicateur,les congolais n’ent ont pas tenu compte …
Le pire était devant nous. ..
l’Odyssée du peuple congolais est sans fin . Voilà un peuple , averti par des fées ,des signes annonciateurs des possibles cataclysmes politiques,mais qui curieusement ,s’ingénie à se trouver des raisons absconses pour justifier la nécessité d’avoir au sommet de l’Olympe un président de la république.. « Il nous faut un chef « .quel chef ,mais enfin !!!.
Résultat : Un abonnement gratuit à la misère absolue.
Comment réclamer la constitution de 1992 , sachant que nous sommes en 2022?.
En qoui , différe – t elle de la popote constitutionnelle préparée uniquement aux goûts carnassiers de Sassou ?.
Notre pensée institutionnelle était elle ensevelie sous les cendres de la connerie nationale ?
Une pensée sans laquelle ,le Congo ne vivrait il plus ?
Non ,le Congo est pris dans un monde globalisant où les exigences de toutes sortes méritent une remise à jour de notre façon de penser nos institutions…
Il nous faudrait une dynamique institutionnelle qui tienne compte de tous les enjeux du moment.
La nostalgie n’est pas une option politique.
Chers compatriotes,
Ne vous trompez pas d’objectif ; ce dont le Congo a vitalement besoin, c’est la prospérité économique et non un chef .
Un chef , d’accord , pourquoi faire ?.
Répartir l’argent vers les régions ne requiert pas de chef …Si avoir des chefs ,comme l’est Sassou ,alors bonjour , la misère éternelle…
Non et non ,pas de chef au Congo. Ce sera entre nous , tranquilles ,peeepélé .Pas d’avc ,pas de chichi. On n’en mourra point !.
Que font les orphelins ?.Mais enfin !!. . Essayons de sortir de l’âge de la minorité ;kant nous en aurait terriblement blâmés…
Beaucoup d’hommes politiques congolais sont orphelins ,ne vivent ils pas bien ?.Bien qu’ils soient des voleurs ,il n’en demeure pas moins qu’ils vivent sans parents.
Au niveau du pays ,on peut s’appliquer cette métaphore sentimentale dans l’espoir de vivre sans trop de soucis au quotidien.
Pour aimer l’autre , encore faudrait il s’aimer soi même …Élire un président de la république,après Sassou , c’est un oubli de soi ou un manque d’amour de soi …Mais enfin.
Arrêtons de cadeauter des congolais en leur confiant un poste stratégique que celui de président de la république pour des résultats chaotiques…
Mais enfin ! . Pour une fois ,fâchons – nous en disant stop à la bêtise. .
Il n’y a rien de mieux que de vivre sans président.. Chacun vaque à ses occupations ,sans divin sur la tête …Pas de stress ,pas de tribus ,pas de Nianga Mboula etc .
L’ ataraxie , comme diraient les stoïciens…
Rapprochez vous de ces penseurs antiques , ennemis des soucis inutiles…
Président , Président , pourquoi faire ?..Pour piller ?.
Pas de président , c’est voté !!. c’est bon .
Si Voltaire , reconnaît l’importance de Sassou ,pardon de Dieu ,donc Piutine , Bakounine lui répond : »même si Dieu (Sassou) existait ,il faudrait le supprimer « . Sacré Michel Bakounine.
Pourquoi ?.
Si Dieu (Sassou) est , alors le peuple congolais est esclave. Car le peuple congolais peut ou doit disposer de sa liberté de conscience ; donc Sassou ne doit pas être…
La pensée Voltairenne de Dieu justifie le besoin pour les congolais fanatiques de Sassou , et s’étant enrichis sous son régime , pour qui l’existence de Sassou (Dieu) est un pain béni..
L’ autre partie du peuple et notamment sa majorité opte pour l’analyse de Bakounine…
Voilà deux conceptions antagonistes de notre façon de voir la gouvernance nihiliste de Sassou.
Ainsi , l’empereur de la mal gouvernance dévient par un coup de hasard très heureux ,un poutinolâtre . Dictature feroce contre le peuple oblige .
Mais derrière cette association des écervelés du pouvoir ,se cache l’immense plaisir de renflouer les comptes dans les paradis fiscaux…
Le petit russe ,plus jeune que Sassou ,ne croyait pas si bien faire,tant les bénéfices de cette guerre filent directement vers les comptes paradisiaques pour modéliser les plans de préparation de sa succession au sommet de l’Olympe…
Un surplus budgétaire, synonyme d’évaporation massive des finances publiques vers les pays asiatiques et arabes, nouveaux Eldorados des voleurs et leurs proies …
Eh oui , ils préparent des coup fourrés sur le dos maculé des congolais dont l’empathie est un passeport pour des crimes financiers à tout va…
Que demain ,ces juristes nous vendent encore l’idée d’un président de la république , omniscient, omnipotent,et voleur pathologique.Et ça , c’en est fini avec la naïveté congolaise.
Les congolais ont choisi la voie de l’orphelinat présidentiel…
Tolébi ,na bissooo !!.
La présidence au Congo a viré à l’escroquerie nationale…Toboyiii.
Sassou doit partir du pouvoir pour le bien collectif des congolais,car il y va de leur bien être et donc de la qualité de leur vie.
Déjà se figurer un président au Congo depuis plus de 40 ans rend malades bon nombre de nos compatriotes pour qui la présidence au Congo s’est muée en une arnaque familiale…
Ce ressenti devient psychologiquement invivable et engendre des névroses dont certains auront dû mal à se remettre ..
Les conséquences de échecs de ces juristes en carton,qui n’avaient pas su anticiper cette dictature féroce ont de quoi ternir leur magistère sur ce domaine.
D’où la proposition d’associer tous les savoirs à la rédaction de nos futurs textes institutionnels , mâtinée d’esprit de prévention contre toute potentielle dictature…
J’invite tous les congolais ,au vu des souffrances atroces imprimées au Congo par Sassou, à l’orphelinat présidentiel, autrement dit faire le deuil de la présidence de la république au Congo,sous sa forme actuelle….
Prenons soin de nous mêmes en nous inspirant des pensées magistrales de Kant ,dont l’une nous invite à « : avoir le courage de nous servir de notre entendement. » ou en latin « sapere Aude ‘.
C’est Malebranche qui disait « :Celui qui n’a pas vu Dieu, n’a rien vu « ..Je dirais plutôt à mes compatriotes « :celui qui n’a pas lu ,n’a rien compris »…
C’est Montaigne qui rendait hommage aux livres en plein siècle des lumières, sans lesquels, nous serions toujours des esclaves de la pensée de l’autre.
NB : celui qui n’a pas pensé renonce à sa liberté individuelle…
Merci.