La Cour pénale internationale a été officiellement créée le 1er juillet 2002 et elle n’a été compétente pour statuer, qu’à compter de cette date, sur les crimes commis. Ainsi, le Rwanda, les guerres des Balkans passaient à la trappe, avec celles que Denis Sassou Nguesso avaient menées contre sa propre population.
Le boulet du canon était passé bien près, mais la leçon avait été comprise et apprise. Les affaires délicates, dont celle des Disparus du Beach, quasiment enterrées, le tyran sanguinaire n’avait plus qu’à compter, en famille, ses milliards d’euros ou de dollars volés.
Alors, lorsqu’il a fallu sortir une fois encore les armes, aussi bien le père, Denis Sassou Nguesso, que le fils, Denis Christel, se sont ingéniés à ne pas laisser leurs empreintes sur les crimes qu’ils étaient décidés à commettre afin de rester à la tête… du tiroir-caisse ! La terreur et l’exode des populations des quartiers sud de Brazzaville, les bombardements dans le Pool avec les massacres, une fois encore, des populations ; d’autres qu’eux s’en montreront responsables !
L’armée congolaise s’est bien gardée de participer à ces opérations, comme celles menées pour intimider, avec mort d’hommes et de femmes, les Congolais de Pointe Noire et du Kouilou. Restent les marionnettes désignées par Denis Sassou Nguesso qui iront en porter le chapeau devant la Cour pénale internationale à La Haye…
Jean-François Ndenguet, malgré son passeport fourni gracieusement par Interpol, sera assuré d’être en tête de la liste. La Police c’est lui ! En même temps qu’un pathétique Raymond Zéphirin Mboulou qui n’hésite pas en tant que Ministre de l’Intérieur de prendre toute la responsabilité des tricheries électorales, des interdictions de manifester et surtout toutes les répressions commises par sa police et les milices du pouvoir qu’il tolère ouvertement sur tout le territoire. Sassou aura beau jeu de se décharger sur eux et ils ne seront pas les seuls.
Willy Etoka, bien connu pour être l’homme de paille dans les affaires pétrolières de Denis Christel Sassou Nguesso, n’a pas hésité une seule seconde à se mouiller complètement pour sa poule aux œufs d’or. Depuis quelques semaines, il abrite dans un de ses immeubles de 10 ou 12 étages à Pointe Noire, dans le quartier du Wharf à l’angle de l’avenue Alice Valette, plus d’une centaine d’hommes qui ont la fâcheuse manie de sortir armés et cagoulés. Ce ne sont pas des militaires. Sont-ils ceux qui quadrillent la capitale économique et pétrolière dans des pick-up BJ Toyota blancs, rendus célèbres par Daech ? Ou alors ces hommes appartiendraient à la milice de Romuald Tchikambou alias Moubenda ? Ce dernier les aurait logés à l’Hôtel Extasy de Gaétan Nkodia. Tous ces mercenaires n’ont qu’un seul objectif commun, par la terreur et l’intimidation, redonner le contrôle de Pointe Noire au tyran de l’Alima.
Dans le Pool, quatre MI-17 assurent les opérations de bombardement et de mitraillage. Le village de Ntumi, Soumouna, à 45 km au Sud de Brazzaville a été arrosé copieusement par ces hélicoptères pilotés par des Ukrainiens et des Kirghizes. Rien à voir avec l’armée Congolaise. Au sol, des vidéos ont été prises par des « civils proches du pouvoir» auprès de la chapelle du Pasteur, sans âme qui vive, et sans la moindre victime aux alentours. Un théâtre d’opérations sans aucun doute bien nettoyé pour effacer toute trace de potentiels crimes contre l’humanité. Les tueries sont permises que si seulement elles sont accompagnées d’un nettoyage. Pas de corps retrouvés, pas de génocide, pas de crime contre l’humanité ! Des charniers sont utilisés et beaucoup de corps sont jetés dans les rivières et dans le fleuve. Tous ces corps seront retrouvés et filmés !
Le Général de Brigade Nianga-Ngatse-Mbouala, Conseiller Spécial et parent du tyran de la République congolaise et Commandant de la Garde Républicaine, serait le seul à la tête d’un contingent militaire opérationnel qui peut s’en prendre directement à la population civile, notamment avec les 100 fusils de snipper commandés l’année dernière en Afrique du Sud.
Le député de la première circonscription de Moungali, Hydevert Mouagni ne recule devant rien dans son soutien au président déchu, en réalité, par les urnes. Chassez le naturel, il revient au galop ; cet ex-Cobra mis au vert en France, à Saint Denis, après un parcours judiciaire chaotique a été ramené au Congo par Denis Christel pour le lancer dans la politique mafieuse du pouvoir. Comment s’étonner qu’il ne reprenne ses anciennes manières ? Mais cette fois-ci contrairement à 1997, il sera en tête d’affiche et largement médiatisé. Souriez Hydevert ! Vous êtes filmé !
Thierry Moungala, le propagandiste en chef, couverait sa propre troupe de miliciens, les Finders. Le Procureur Oko Ngakala réalise l’exploit de dissimuler derrière sa minuscule silhouette tout l’appareil judiciaire congolais, y compris celle immense d’Emmanuel Yoka qui a bien trop honte de se mettre en avant dans ce simulacre de Justice. Firmin Ayessa boira le calice jusqu’à la lie. Originaire de Makoua, comme le Général Mokoko, il doit coûte que coûte défendre le père de ses petits-enfants, ce qui lui augurera de bien mauvais jours dans son fief à défaut de la Cour Pénale Internationale.
Aussi incroyablement que cela puisse paraître, tous ces personnages normaux, voire insignifiants individuellement, sous l’influence du catalyseur Denis Sassou Nguesso, constituent l’appareil de répression et de terreur de tout un pays et de sa population. La médiocratie instaurée par un tyran, lui-même poule mouillée, est encouragée dans cette fuite en avant sanguinaire, par une communauté internationale mollassonne et muette devant elle.
Ces pantins qui ordonnent les bombardements des populations civiles pacifiques et désarmées sont tellement peu sûrs d’eux qu’ils ont envoyé depuis longtemps femmes et enfants se mettre à l’abri, pour la plupart en France.
Ces « Abdeslam Salah » de pacotille, prompts à s’attaquer à des personnes sans défense, auraient eu leurs ardeurs bien calmées si l’havre de paix Schengen avait été refusé à leur famille avant qu’ils ne déclenchent leurs actes terroristes et génocidaires. Il aurait été bon également de réfléchir à l’encouragement criminel qu’un passeport français ou belge représente, pour certains, avec la confortable garantie d’un asile européen quelque soit le crime commis dans le bourbier congolais.
Ce ramassis d’incompétents doublé d’irresponsables ferait bien de se remettre rapidement dans la voie de la raison et du dialogue pacifique et fraternel. Pour maintes raisons, nous ne sommes pas en 1997, ni en Mai 1999 des Disparus du Beach. Les mêmes, qui ont échappé alors aux sanctions, se retrouvent à rejouer les premiers rôles. La Diaspora qui s’étoffe et se renforce de jours en jours ne les laissera pas s’échapper. Les juristes, les lobbyistes, les soutiens politiques, les médias, les réseaux sociaux sont prêts et les preuves s’accumuleront. Les criminels n’auront où aller. Même, comme ils s’en vantent, « en costards sur mesure », ils seront alors livrés pieds et poings liés à la CPI…
Rigobert Ossebi
Diffusé le 13 avril 2016, par www.congo-liberty.org
Il faut que la peur change de camps et coller à la culotte tous ceux qui de près ou de loin s’accoquineront avec le tyran de l’Alima (Congolais et Etrangers) il faut leur mettre la pression, leur pourrir la vie, les dénoncer, leur mettre la honte, ne plus leur laisser un seul espace ou ils puissent se sentir en liberté.
La parole c’est libérée au pays il ne faut plus qu’elle s’éteigne.
Lorsque l’on veut détruire une tour soit on l’écrête par le haut soit qu’on la mine par le pied pour la faire tomber.
exemple,
Pour l’intronisation du maître d’Oyo lorsque le lieu sera connu le 16 avril, lançons des appels anonymes vers toutes les autorités du pays et les ambassades étrangères en annonçant qu’un attentat va avoir lieu.
Je ne pense pas que la CPI soit la principale préoccupation de ce tyran.
Autrement, il ne se permettrait pas de reconstituer des écuries de la mort pour semer la terreur dans le pays, particulièrement les départements du Sud.
Pour un vieux routier de la mafia connaissant les rouages de la France-Afrique, il doit plutôt travailler sur des réseaux d’influence, sensibles aux pétrodollars, qui vont lui laisser le temps de créer les conditions de sa succession.
Ainsi, pourra-t-il avoir l’assurance de quitter ce monde sans avoir à s’inquiéter de la CPI.
Il faut donc s’attendre à davantage de répression contre tout ce qui peut constituer un obstacle à la conservation du pouvoir au sein d’une famille, sous les applaudissement du clan mboshi, premier bénéficiaire de tyrannie.
Car, en matière des faits, il y a suffisamment d’éléments à charge qui pourraient dès à présent constituer matière à poursuite devant la CPI.
Mais, le cas de la Cote d’Ivoire nous donne à penser que la sensibilité aux crimes relevant de la CPI est à géométrie variable.
Si j’étais l’avocat de Gbagbo, je relèverais l’inertie de la CPI face au conflit électoral actuel au Congo et à la situation catastrophique qui s’en suit.
Au Congo, il s’agit d’un cycle de violence connu, dont certains actes font déjà l’objet de poursuite pour crime contre l’humanité (disparus du Beach).
Au regard du dossier Gbagbo, le pédigrée criminel du régime sanguinaire du Congo, traversant des époques, est sans commune mesure.
Car, jamais on a vu en Cote d’Ivoire, des opérations de Police engageant des hélicoptère pour aller bombarder une rébellion fictive, sans somation, dans des zones peuplées, où des témoins feraient état des obus tombés sur des écoles en plein cours, comme à Kindamba.
Pour cela, il ne faut pas se leurrer, le salut des congolais ne viendra que de leur courage et non de la communauté internationale ou des girouettes de l’opposition.
Certains de ces opposants sont des opportunistes démagogues, profitant du vote souvent guidé par l’appartenance ethnique, pour donner une impression de popularité, tout en sachant que le tyran ne se laissera pas son fauteuil à un scrutin contrôlé de bout en bout.
Pour certains opposants, le but de ces manœuvres et de se mettre en position de négociation d’une situation postélectorale, comme cela se dessine déjà, avec des coups de fil rendus publique par la presse.
En conclusion, chaque congolais doit prendre sa responsabilité devant l’histoire, pour combattre ce régime moyenâgeux, tenus par des hommes sauvages, confondant chefferie tribale et république.
Cette prise de conscience doit conduire chacun à réfléchir à des actions ciblées contre ce pouvoir, sans ménager aucun moyen mobilisable.
Pour un régime qui ne tient que par la force et la corruption, le seul moyen d’y mettre fin, c’est de commencer par « couper sa tête ».
L’EX-PRESIDENT CONGOLAIS, LE GÉNOCIDAIRE,LE CHEF REBELLE, Mr 8%, LE GRAND MAÎTRE FRANC-MAÇON CONTINUE DE TUER DES FEMMES, DES ENFANTS, DES VIEILLARDS, DES PAUVRES PAYSANS A HUIS CLOS AVEC LA COMPLICITÉ DE LA FAMEUSE COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE.
Quelle sadisme!!! Pauvre KONGO! le MESSIANISME , NOTRE FORCE ET NOTRE MALHEUR….
Oui, il est plus que temps de poursuivre ces criminels devant toutes les juridictions compétentes (CPI, Cour africaine’africaine, etc.). Ces crimes sont imprescriptibles et nous devons nous organiser, chacun dans son champ de compétences, pour monter tous les dossiers à présenter auprès de ces différentes institutions. Pour ce faire, rassemblons toutes les preuves compromettantes (photos, documents écrits, témoignages, etc.). La diaspora en a les moyens et les compétences. Nous avons, au sein de la diaspora, des structures (CNT, CNRT, etc.) pour organiser et impulser cette initiative. Chacun d’entre nous doit parrainer une structure de lutte locale en leur fournissant les moyens nécessaires pour mener la tâche de collecte des informations par une participation financière pour mieux les aider dans les problèmes relatifs à la logistique. J’expose ce point parce que je suis personnellement en relation avec une de ces mouvements de lutte que j’aide dans la limite de mes moyens qui ne sont pas énormes mais toute lutte a un coût. Ces jeunes risquent leur vie au quotidien. Je pense que les actions parlent mieux que les mots.
Utiliser des muscles comme mode de gouvernance politique , c’est ramener le pays à l’ère préhistorique .L’économie de la connaissance , est le résultat du cerveau bien formé .J’ai l’impression de voir un pays tomber à la renverse .La médiocratie est devenue l’apologie d’une génération perdue , livrée aux mains d’une horde des salopards .
Que pourrons nous dire aux africains , en voyant ces images primitives ,dont certains pays n’en ont plus aucun souvenir ?
On parle de l’émergence , pour donner de la valeur à l’intelligence issue de l’économie du savoir , le pays nous montre des images abjectes qui nous ramènent en enfer , avec l’impossibilité de s’en sortir , si toutes choses par ailleurs .
Ces images de l’holocauste de l’ère contemporaine , amplifient notre inquiétude de ne voir point évoluer notre pays qui , par des comportements irrationnels , ensauvage et animalise nombre de nos compatriotes QUI CROIENT SERVIR LA BARBARIE POUR S’ ENRICHIR.
Le bonheur doit être la conséquence d’un effort intellectuel , à défaut d’hériter de ces riches parents , et non la construction diabolique d’un bonheur , tiré frauduleusement des finances publiques .
Le problème du CONGO , c’est mieux définir la notion de l’argent public et toutes les obligations y afférentes , et l’argent privé qui est le fruit des efforts personnels .
L’exemple , en la matière , devrait venir du sommet , mais que constate t ‘on ?;
On tue pour domestiquer l’argent public , QUELLE HONTE ???????
En d’autres temps, l’armée avait fini par mettre fin à la dérive de la défense civile devenue une milice qui terrorisait la population à Brazzaville. Ce qui avait porté Ngouabi au pouvoir en 1968.
Où est Okoi pour mettre fin aux dérives de la milice de sassou à laquelle il a placé Nianga Bouala et Ndenguet.
Quoi qu’on dise Okoi doit savoir qu’il sera bien sur la liste de la CPI car je ne peux comprendre qu’une armée républicaine se taise pendant qu’une milice et des mercenaires sont entrain de massacrer tout une partie du peuple sans la défendre.
Des pauvres paysans se font massacrer gratuitement par quelqu’un qui en réalité n’est plus président parce qu’il a perdu les élections.
Une violence gratuite que rien ne justifie. On lance des hélicoptères Apache contre des civils au seul motif que leurs votes ne correspondent pas à l’ attente d’un dictateur. Du jamais vu même dans la Russie de Staline ou en coréen du nord.
Que reste t-il comme possibilité aux paysans pour se défendre? Normalement cette tâche devrait revenir à l’ armée d’assurer la sécurité des citoyens. Hélas! C’est l’ armée avec l »aide des mercenaires et des multinationales qui massacrent son peuple.
Je crains que la meilleure solution se retrouve dans la constitution américaine qui donne la possibilité á chaque citoyen de se défendre.
LA CONSCIENCE EST LA LUMIÈRE DE L’INTELLIGENCE POUR DISTINGUER LE BIEN DU MAL (CONFUCIUS).
OKOI ÊTES VOUS DE CEUX QUI COMME ADADA ONT INCINÉRÉ LEUR CONSCIENCE A LA FRANC-MAÇONNERIE DE LA CUPIDITÉ ET DE LA CLEPTOMANIE?????
OKOI, ce général de pacotille nommé par excès de tribalisme , n’en est pas un ,il y a un dol , une erreur de carrière .
Un militaire républicain de haut rang , doit à la vérité patriotique démissionner , pour ne pas cautionner ces crimes contre l’humanité .
LA CPI , se devra de recevoir , par trains entiers des criminels sanguinaires , issus de CONGO BRAZZA , car le nombre des criminels se mesurera au nombre des années passées au pouvoir par l’oyobeekois SASSOU .
La conception et la perception du pouvoir par le clan NGUESSO , sont d’une nullité frisant le niveau zéro .
Et, pourquoi pas , la conception de la vie , en tant que telle , par ce clan , mérite une séance de psychologie comportementale .
Que veut dire , pour ce clan , la valeur de la vie ?
La valeur humaine ?
L’argent public ?
L’honneur ?
Le pays ,?
Leur avenir ,?
La souffrance,?
L’indifférence ,?
Ce sont des questions psychologiques auxquelles , ce clan serait conduit à répondre , pour intégrer dans l’exercice des responsabilités qui sont les leurs , la part de la souffrance , donc de l’amour de l’autre , pour son épanouissement intégral .
Je me demande dans quel pays vivons-nous. Ces gens se baladent dans la ville, encagoulés et sans que cela n’émeuve les responsables de ce pays ? Qui ne dit mot consent. Demain que l’on ne se pose pas la question qu’est ce que les mbochis ont fait. Ces actes de barbarie indicible seront à mettre dans le compte des mbochis puisque ce sont les mbochis qui sont à la tête de l’appareil sécuritaire du Congo. C’est toujours les mbochis qui ont les clés du trésor public pour alimenter les milices qui tuent des Congolais. Aujourd’hui le pool, demain à qui le tour ? Le peuple en est témoin.
Le plus grand criminel est aussi le plus grand peureux. Le tueur a très peur de l’arme.
Mais demain, que ces mbochis aient le courage de ne pas pleurnicher (béno na ngolo bidilou).
C’est facile de dire, tous les mbochis ne sont pas aux affaires, c’est facile de dire qu’il y a des gens du sud (moungalla, moudoudou, bakabadio, mvouba, mabiala,enfants kolélas, koumba et cie) à coté de sassou mais quand l’Allemagne nazie avait été vaincue, c’est toute l’Allemagne qui avait subi le sort des vainqueurs.
1. ALORS, le jour où le village de SASSOU sera touché (CE N’EST PAS A SOUHAITER, ni souhaitable), il pourra voir la tristesse de tous les Congolais et leur donner la paix. Les Congolais veulent la paix.
2. Il faut créer un site et laisser les personnes de toutes les générations donner les informations sur ce qui se passe. Afin de suivre dans le futur les dossiers, le site Internet, avec un nom de domaine est nécessaire, et il y a déjà des volontaires pour la création, le suivi et la récolte électronique des informations.
La meilleur méthode est l’envoi des photos avec précision (commentaire). Le collecte des informations doit être anonyme mais précise. Si une personne veut informer sans l’anonymat, elle sera libre de le faire.
Que les familles sur place portent plainte auprès des institutions locales. Porter plainte ensuite à la CPI.
Le site donnera la procedure à mesure que les dossiers avanceront.
NOTRE CONSTITUTION DOIT DONNER LA POSSIBILITÉ A CHAQUE CITOYEN DE SE DEFENDRE POUR SAUVER SA VIE.
POURQUOI CERTAINS ONT LE DROIT DE PORTER DES ARMES POUR TERRORISER LE PEUPLE ET D’AUTRES NON?
ÇA SERA PEUT-ÊTRE LE DEBUT DE LA LIBERTÉ POUR LES AFRICAINS QUI SE FONT TERRORISER PAR LEURS GOUVERNANTS.
Dites moi pourquoi le Messie Mokoko n’ouvre pas un deuxième front pendant qu’on bombarde dans le pool. J’ai du mal à comprendre.
Que les Congolais du .nord de mobilisent au moins pour aller le délivrer de là où il est pour qu’à la suite qu’il vienne au secours des populations du Pool. Que nenni. Tout ce ce que les Mandzimba et autre mokokoistes trouvent a faire est la cyber résistance. Diantre.
Bowao a bien été Ministre de La Défense.
Ehouanho Mandzimba a bien été directeur de Cabinet au même ministère
Mokoko le Moïse est bien General
Vous n’allez pas me faire croire que tous les militaires qui les ont servis sont des lâches.
Non il se passe quelque que les cadres et militaires du Nord nous cachent.
A voir les réseaux sociaux qui continuent de protéger Mokoko, il y’ anguille sous roche.
Autrement ça ne serait pas possible.
Un libérateur qui se retrouve lui meme en Prison. On ne trouve rien a redire et pendant ce temps on tape sur kolekas sur Tsaty Mabiala.
Et si ce qui se passe n’est juste que le combat larvé des tendances
Poity Pangou / Ehouango Madzimba
Pour ma part je n’ai jamais douté un seul instant que tous les nordistes sont liés par un pacte. Il a ete stupide, une bêtise pour les sudistes de PN de penser que Mokoko n’était pas Nordiste.
N’est ce pas qu’ils vous ont eu,
Le Nordiste défendra toujours les intérêts du Nord.
Ou est votre Moise aujourd’hui.
Il est où ce fameux General qui déclarait à P/N que si j’avais été là en Octobre, il n’y aurait ps eu ayant de morts.
Il est ou aujourd’hui.
On le disait cachè dans une ambassade. Il en est sorti et là tranquillement il est au miel pendant que certaines populations qui ont voté pour lui trinquent dans le pool.
Ne me dites surtout pas qu’il est en prison comparé à nos parents qui déambulent…
Papa ou t’es? chante Stromae
Moise Mokoko où t’es ??????
Nous on crève .
Moise ou t’es ????????
Pr avoir dit non Sassou nous poursuit
Moise où t’es ???????
Alarming reports of human rights violations in the Republic of Congo – Zeid
GENEVA (13 April 2016) – Statement by the UN High Commissioner for Human Rights Zeid Ra’ad Al Hussein on the situation in the Republic of Congo:
“Very alarming reports have been coming out of the Republic of Congo regarding an apparent Government security operation in an area of southern Brazzaville known as “the Pool”. Since the March 20 presidential election, there have been reports that security operations have been conducted against opposition leaders and supporters who allegedly attacked a police station and areas in the southern part of the capital on 4 April. The Government has announced that 17 people died in security operations, including three members of security forces, with several others wounded.
There have been reports of mass arrests and torture in detention, as well as the killing and displacement of people from the Pool. The reports have been difficult to verify, given a lack of access to the area by independent actors. I urge the Government to ensure that humanitarian actors are urgently able to access the Pool and to ensure that security forces act in full accordance with the Republic of Congo’s obligations under international human rights law. Any incidents involving the use of force, particularly lethal force, by the security forces must be thoroughly, promptly and impartially investigated. All those arrested and detained must not be ill-treated. They should either be charged and brought before a judge, in line with international due process standards, or be swiftly released.
I call on the Government, political leaders and their supporters to endeavour to resolve all differences peacefully and within the law, and to eschew violence in the exercise of the rights to freedom of expression, association and peaceful assembly.”
ENDS
For more information and media requests, please contact Rupert Colville (+41 22 917 97 67 / [email protected]), Ravina Shamdasani (+41 22 917 9169 / [email protected]) or Cécile Pouilly (+41 22 917 9310 / [email protected])
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Rapports alarmants sur des violations des droits de l’homme en République du Congo – Zeid Ra’ad Al Hussein
GENEVE (13 avril 2016) – Déclaration du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, sur la situation en République du Congo:
« Des rapports très alarmants émanent de la République du Congo sur une opération de sécurité menée, semble-t-il, par le gouvernement dans une zone située dans le sud de Brazzaville et dénommée le Pool. Depuis les élections présidentielles du 20 mars, des rapports font état d’opérations de sécurité menées contre des chefs de l’opposition et leurs partisans, qui auraient attaqué un poste de police et certaines zones dans le sud de la capitale le 4 avril. Le gouvernement a annoncé que 17 personnes avaient péri lors de ces opérations militaires, dont trois membres des forces de sécurité, et que plusieurs autres personnes avaient été blessées.
Des informations font également état d’arrestations massives et de cas de torture en détention, ainsi que du meurtre et du déplacement de personnes originaires du Pool. Ces rapports sont difficiles à vérifier en raison du manque d’accès à cette zone par des acteurs indépendants. J’exhorte le gouvernement à garantir que les acteurs humanitaires puissent avoir accès sans délai au Pool et que les forces de sécurité agissent en parfaite conformité avec les obligations de la République du Congo au regard du droit international des droits de l’homme. Tout incident impliquant l’emploi de la force par les forces de sécurité, en particulier si elle a des conséquences mortelles, doit faire l’objet d’une enquête approfondie, rapide et impartiale. Aucune personne arrêtée et détenue ne devrait subir de mauvais traitement. Par ailleurs, toute personne arrêtée et détenue devrait être soit inculpée et comparaître devant un juge, en accord avec les standards internationaux en matière de procédure régulière, soit être rapidement relâchée.
J’exhorte le gouvernement, les responsables politiques et leurs partisans, à s’efforcer de résoudre tous leurs différents de manière pacifique et dans le cadre de la loi, et à éviter tout recours à la violence dans l’exercice de leurs libertés d’expression, d’association et de rassemblement pacifique. »
FIN
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Quant à savoir pourquoi l’armée ne fait rien devant ces exactions criminelles, alors que des militaires en bas ont bien conscience que ce qui se passe n’est pas normal, c’est que Okoi est un ancien milicien et sassou nguesso a son dossier entre ses mains. Okoi n’est pas Mokoko… Okoi a déjà cédé à la tentation tribale, a mis de côté Saint-Cyr, et c’est bien plus cela qui l’a conduit à ce poste. Voilà pourquoi il freine l’armée dans son souhait de mettre fin à la tyrannie contre le peuple.
Les mbochis , se disqualifient à ne pas verbalement violenter ,les actes de barbarie que commettent leurs fils .L’histoire a horreur du vide , ce ne sont pas des allemands qui chassèrent hitler du pouvoir , ce sont les russes .
Cette posture passéiste , a éternellement fait passer les allemands pour des criminels en puissance dormante .
Cette similitude est applicable à tous les mbochis , au regard des yeux desquels , cette barbarie est dirigée contre une espèce qui leur est étrangère , et de ce fait n’occasionne aucun secours de leur part .La complicité tacite est la plus virulente sur le plan moral , car il sert de caisse de résonance , pour le bourreau qui se croit tout permis .
La responsabilité historique est établie , dés lors , il y a consentement sur un sujet ,dont on peut facilement imaginer des conséquences historiques .
Tous les mbochis ne sont pas aux affaires certes , souffrez que je vous dise , le congolais lambda dans sa trajectoire de revanche sociale , fera difficilement le distinguo , ce serait hypocrite de ne pas y penser .
D’où , l’impérieuse nécessité , pour les mbochis , de préserver un avenir post SASSOU peu douloureux , car à l’allure où vont la haine et le désir de la partition du pays ,j’ai peur qu’il n’ y ait plus de mbochis , vivant dans les grandes villes du sud , plus particulièrement à PONTON où ils occuperaient des emplois en déphasage avec leur compétence .
ATTENTION AU RETOUR DES FLAMMES .
LA PAIX NATIONALE c’est mieux qu’une PAIX ( signifiant la jouissance éternelle des mbochis ).
SI L’ AVENIR EST DEVENU, POUR LES MBOCHIS ,SOURCE DE PEUR , ce n’est plus une vie .
Certains commentaires, ici, confortent Sassou dans sa stratégie de division. C’est ici la clef de l’anéantissement de toute l’opposition et de toute velléité de conquête de la dém tant désirée par le peuple martyr. Le devoir de l’intellectuel doit être d’élever les consciences et non de flatter tout ce qui est le plus vil chez l’être humain. Accepter la situation est pénible surtout quand on est des régions bombardées, c’est mon cas, est-ce pour autant qu’il faille verser dans un tribalisme ou régionalisme créé de toutes pièces par des individus assoiffés du pouvoir. Je vous rappelle que personne ne gagnera en excluant tout un pan de la population pour le simple motif qu’il est du nord où du sud. Toutes celles ou tous ceux qui versent dans ces théories fumeuses font le lit du tyran. La haine de l’autre ne peut être bonne conseillère. Nous avons le devoir de dépasser ces clivages et réunir les conditions d’émergence d’un Congo uni. Cette conviction nous poussera à faire des choix rationnels, dénués de tout subjectivisme dans nos prises de position. Ici, ironie du sort, tous ceux qui restent droits dans leurs bottes sont les fils du nord, j’ai cité : Mokoko, Charles Bowao qui fait un travail formidable dans des conditions difficiles, Okombi Salissa. Leur attitude et comportement montrent que l’unité du pays est possible. C’est peut-être l’occasion de dépasser ces clivages artificiels qui n’ont aucune réalité politique prouvée. Au nord on ne vit pas mieux qu’au sud et vice-versa. Les leaders qui mettent en avant leur appartenance éthnique ou régionale ne le font que par soif du pouvoir. Nous assistons progressivement à la désagrégation de leur intégrité politique, ils sont en train de créer les conditions d’abdication en rase campagne pour sauvegarder leurs intérêts acquis et en conquérir d’autres encore plus juteux. Je suis de Madzia et tout ce qui se passe le touche profondément mais je reste lucide que le meilleur leader reste Mokoko parce que cela me fait plaisir de voir un leader du nord se faire applaudir par les populations du sud. C’est, peut-être, un début de prise de conscience. Le leader qui prétend parler au nom des populations martyrisées du pool va engager une procédure de saisine de la cour africaine. Sait-il seulement que cette procédure peut prendre des mois ? Qui peut garantir l’indépendance d’une structure qui est l’émanation des mêmes chefs d’état qui martyrisent les peuples au Congo, au Tchad, au Cameroun, en Angola, en Guinée équatoriale, au Gabon, etc. ? Que va-t-il se passer durant les longs mois d’attente que va certainement prendre cette procédure ? On laisserait la liberté à Sassou de continuer à tuer, cette fois-ci avec la bénédiction de la communauté internationale parce que pendant ce temps, Sassou aura fini d’asseoir son pouvoir auprès de toutes les organisations nationales et internationales ? Une vérité à ne pas oublier, la diplomatie a peur du vide. Bon gré malgré tout le monde finira par se contenter et s’accommoder de ce pouvoir.
Alors, ne jouons pas aux apprentis sorciers en mettant sur le tapis des concepts éculés comme le tribalisme et le régionalisme. Nous devons agir dans l’unité et conforter le leader qui reste fidèle à ses engagements, le Général Mokoko. Kolélas et Mabiala ont failli, qu’ils en assument les conséquences où qu’ils aillent chercher le fruit de leur forfaiture auprès de celui à qui ils laissent un boulevard. Ils se sont disqualifiés et je suis persuadé qu’ils ne portaient pas vraiment un projet national. Nous avons une longue bataille à mener, il nous faut protéger notre leader qui devient naturel, Mokoko. La force et l’engagement du peuple seront ses armes pour mener ce combat.
J’en profite, ici, pour dire à tous ces jeunes combattants désabusés (j’en ai eu quelques uns sur viber) parce qu’ils sentent abandonnés par les leaders ayant fait défection de continuer la lutte et de se rendre massivement au meeting de Claudine Munari, boulevard Alfred Raoul, le 15/04. La lutte continue avec les vrais leaders. Le temps ne joue pas pour l’opposition mais pour Sassou. Ici nous avons un duel, plus d’amateurisme dans la com et leadership. J’ai toujours défendu l’unité pendant toute la phase électorale mais je ne veux pas cautionner des ambitions stériles pour le combat que nous menons.
ESC et Tous ceux qui se demandent par est passé Moïse, je me joins à vous pour solliciter la réponse de ce pauvre fétichiste d’OYESSI, qui se prenait pour Einstein, croyant avoir découvert le Terminator qui terrasserait l’éléphant à coup de bulletins de vote.
Je me souviens avoir mis en doute cette hypothèse, en précisant que Mokoko avait plus de chance d’inquiéter le tyran en remettant son treillis, et en préparant les populations du nord à l’insurrection.
Par la remise du treillis, j’entendais l’activation des réseaux dans une armée dont il a eu le commandement à une époque et tenue essentiellement par des ressortissants de sa tribu.
Aujourd’hui, force est de constater qu’il n’a pas été stratège en comptant sur la mobilisation de l’électorat, essentiellement du sud, alors que la situation est avant tout militaire et qu’il s’agit de réduire le pouvoir de nuisance d’une milice tribale.
Mokoko sait mieux que quiconque, que sans sa milice tribale, Sassou n’est qu’une poule mouillée.
Alors, pourquoi n’avoir pas anticiper pour laisser le champ libre à un peureux qui armé jusqu’à dent afin d’éviter tout ce qui peut l’approcher ?
A OYESSI, le Yaya et le girouette de Bakala Telema de nous répondre. Car, ce que nous avons dit craindre avec l’élection est en face de nous: les populations du Pool qui trinquent sous l’impuissance de Mokoko.
Bakala Telema qui redevient l’avocat des girouettes, après avoir été celui de MPOUELE, jurait encore il y a quelques jours sur Mokoko qui serait selon lui le seul vrai opposant.
Il a désormais trouver les nouveaux Messie qui ont fait le bon choix de repartir vers le tyran sous prétexte de protéger la population.
L’habit ne fait pas le moine. La tenue ne fait pas le militaire.
C’est pas parce que okoï est sorti de saint-cyr que c’est forcément un bon officier. Ça se saurait.
Okoi ou la plupart des officiers Congolais sont des tigres en papier parce-que la connaissance des armes ce n’est pas le courage. Le courage ne s’enseigne pas.
Qu’ est ce qui vous dit qu’il ne va pas prendre la fuite dès qu’il entendra la première balle sifflée. Il montre les muscles parce qu’en face c’est des paysannes qui ne sont pas armées La carrière est une chose, le sacrifice en est une autre.
https://m.youtube.com/watch?v=Ee8rG8Vb_Wc
@Val de Nantes,
il n’y a pas qu’Oyessi, il y a aussi Londi qui défend et soutient le Général. J’ai développé mon point de vue dans mon précédent post. Je souhaite ardemment la victoire du peuple en lutte. Je ne me reconnais pas intellectuellement dans vos expressions, mbochis, laris et tutti quanti. Je pense qu’il faut prendre de la hauteur et se projeter vers un Congo uni. Là est l’unique solution. On ne doit plus se déterminer par rapport à une appartenance éthnique ou régionale. Agir ainsi revient à faire le lit du tyran. Mokoko n’a pas trahi son engagement là où d’autres plongent le peuple dans des procédures fumeuses. On ne chasse pas un dictateur par des procédures juridiques mais par la lutte, la résistance et l’engagement sur le terrain. Mokoko ne s’exprime parce qu’il ne veut pas contribuer à la confusion ambiante provoquée par les amateurs et éthnocentrés de la politique. Charles Bowao, porte-parole, rassure une communauté nationale et internationale déboussolée par des prises de position irresponsables. Toute la presse titre : « l’opposition congolaise se désunit » grâce à Kolela et Mabiala. Le silence est d’or, la parole d’argent. Rassurez-vous le silence de Mokoko porte plus que les gesticulations verbales d’un Kolela ou d’un Mabiala.
A Londi
Vous avez fait une belle analyse, mais une analyse intellectualiste. Malheureusement la réalité à la peau dure. Sur le terrain c’est autre chose. Quand une famille est décimée par la faute d’un clan, le rescapé de la famille ne fait plus l’analyse que vous vous faite du pays. Avant tout, le Congo n’est pas une nation (regarder les nominations aux plus hautes fonctions de l’Etat, que des mbochis), il faut d’abord créer les conditions idoines pour que la nation Congo existe, c’est pour ça que je vous demande, est ce qu’un ressortissant du sud du pays aurait-il glaner au nord autant de suffrages que ceux obtenus par Mokoko par les populations du sud ? Ne faisant pas la politique de l’autruche. La question du nord et du sud doit se poser afin que les uns et les autres prennent conscience que ça ne sert à rien qu’on se massacrent. Il faut le dire et à haute voix que nos frères du nord jouent le double jeu. Pendant longtemps, on a laissé faire, au nom de l’unité nationale, mais plus aujourd’hui.
Ne pas la poser, c’est faire preuve d’hypocrisie. Curieusement ce sont les gens du sud qui ne veulent pas que la question se pose. Le tribalisme, il est vrai existe, facebook l’a démontré, des propos virulents ont surpris plus d’un Congolais, finalement l’ami, le parent qui est avec vous tout le temps est un intégriste hors pair.
L’ex président sassou s’est appuyé sur cette branche qui a toujours existé, c’est pour ça que nous avons l’obligation de dénoncer les complots basés sur la tribu, cette fuite en avant, cette brèche que sassou s’engouffre pour diviser et rester au pouvoir par les armes ad vitam æternam.
@LE LEKI , une petite validation .
Pendant que vous tenez de longs discours, sachez que depuis cette nuit, les bombardements ont repris sur Soumouna et depuis 9h ce matin, les hélicoptères ont été appuyés par des troupes au sol. Continuez toujours de parler, qui d’ancien président, qui de nation ou du tribalisme… sur place il se déroule bien quelque chose de bien plus édifiant quant à la naissance de la nation, le renforcement du tribalisme, et la position inconfortable d’un président que l’on dit « ancien », alors qu’il ordonne à l’armée et fait massacrer des pauvres gens qui n’ont rien demandé à qui que ce soit…
SASSOU parti et vous verrez que les clivages Nord / Sud s’apaiseront d’eux mêmes, mais il faut faire vite car si cela perdure la rancoeur des uns et des autres risque de laisser des traces.
OKOI a fait la guerre contre l’armee nationale en 1997 en tant que milicien cobra sous les ordres du rebel putschiste sassou. C’est une petite personne sans foi ni esprit republicain.
MONDJO, NTSIBA, NDENGUE et tous ceux qui constituent le fameux haut commandement tribal du tricheur battu pour la seconde fois des le premier tour etaient tous des miliciens cobras.
Ne demander pas a un cobra comme OKOI de nous aider. Ses collegues cobras s’arment a partir des casernes dirigees par OKOI, il ne dit rien donc il consent.
OKOI fait partie du systeme repressif et tricheur, n’attendons rien de lui. Au contraire, il doit etre combattu au meme titre que son maitre a manger et devrait s’expliquer lui aussi devant les tribunaux. Les vrais officiers comme MOKOKO, ETA ONKA, LOUEMBE… avaient refuse de se meler a la guerre insensee lancee par le tricheur sans honte contre le regime elu en 1997.
Londi, il y a des silences qui sont coupables, quelque soit la bonne foi de la personne.
Quand on est face à des événements que connaît le Pool, tout esprit de bon ne peut se résigner pour exprimer sa consternation.
Nous avons affaire à un manipulateur infatigable qui veut installer une peur du moukongo chez les nordistes, pour garantir une inertie de cette partie de la population dans sa folie de conservation du pouvoir.
Dans ces conditions, même sans armes, le général peut utiliser la parole pour faire entendre au monde entier les cris de ceux qui errent dans la nature, en fuyant une orgue de barbares.
Il est aussi le mieux placer pour dénoncer cette utilisation de la ruse comme moyen de conservation du pouvoir en continuant à dire aux mbochis de ne pas contribuer à l’œuvre de division qui risque de sceller à long terme les efforts de construction d’un pays dépassant les clivages ethniques.
Vouloir privilégier sa condition personnelle dans ces moments sombres de l’histoire du pays ne peut témoigner de la grandeur d’un homme.
Les soutiens extérieurs du général devraient contribuer à l’aider à donner de la voix à la lutte de libération, afin de ne pas paraître comme un complice, en bénéficiant des conditions incompatibles à ce que subissent les pauvres paysans désarmés du Pool.
Si le général était parti aux urnes en croyant gagner à la régulière, sans un plan B, alors, il serait préférable qu’il la boucle physiquement.
Autrement, que ses équipes agissent pendant qu’il est cerné, dans une situation plus confortable que celle de Paulin Makaya, Ntsourou, Mboukadia…
Arlette ma soeur, je valide.
@LUBU .Tout à fait , les sudistes semblent posséder le monopole du pardon , alors qu’en face que voit on ?
Un SASSOU , qui a carrément officialisé , la partition du pays , en nommant à des postes de haut commandement militaire et policier, rien que çà ,des hommes issus de sa tribu .
Pour quel but , ME DIREZ VOUS ?
Pour la conservation du pouvoir ethnique , dont le rapport circule sur la toile , vous y trouverez , toute la philosophie , élaborée par SASSOU , pour uniquement domestiquer le pouvoir dans les mains de la tribu MBOCHI .
Au terme ,de la lecture de ce document de trois pages , vous aurez froid dans le dos .
Vanter les vertus de l’union , qui n’en a pas rêvé .
Non , je refuse d’être un borgne , pendant que j’ai mes deux yeux , et un petit moteur de réflexion , je ne peux faire l’économie des maux dont souffre mon pays .
Je peux en citer trois ;;; Le tribalisme , Le vol des deniers publics ;;et la franc -maçonnerie .
Je refuse de prendre la place du pape , pour prôner l’amour dans les coeurs des gens , qui n’en ont que faire .
Tout le comportement politique de SASSOU , se résume en une phrase laconique ; la division , pour mieux régner .
Partant de ce postulat , il nous revient de trouver des palliatifs , qui nous permettraient de nous mettre à l’abri , de cette politique envahissante à multiples colorations .
Chacun de nous , interroge son cerveau , pour chercher à solutionner les problèmes qui se posent à notre pays , et dont on connait aisément le responsable .
Le vrai intellectuel , ne se veut pas moutonnier , mais celui qui ose se démarquer singulièrement des solutions préétablies .
La survie d’un peuple ne s’accommode du pardon récurrent .
Depuis la nuit de temps, il ya des batailles comme des guerres qu’on gagne ou on perds en avance. Tout comme il ya dans un moment prècis de la lutte des peuples il ya un homme providence qui peut dénouer une sitution qui se disait impossible.
Quand les Nazis rentrent dans Paris et en deviennent maître, il a fallu un Charles De Gaulle pour appeler à le résitance. Pour celà il lui a fallu compter par exemple sur un Gouverneur Eboué et divers réseaux de compatriotes qui ont repondu à son appel sans quoi, mains nues, sans réseaux,sans compatriotes, qu’aurait pu faire De Gaulle? Rien.
Brazzaville,naguerre capitale de la France libre, aujourd’hui délaissée et devenue le refuge d’un sanguinaire au nom de sassou, de père inconnu à qui la France a donné quitus de s’armer, de tuer,sans que cette France qui nous doit tant ne dise mot.
Peu d’entre nous qui venant verser ici qui, notre tribalisme cachée ou visible, qui pour un positionnement pour tel ou tel de sa tribu ou de sa région ne sont pas compatriotes et ne se rendent pas vraiment compte de ce qui se passe dans le pool où nos compatriotes se font tuer à l’arme lourde.
Au lieu que sassou et Toumi règlent leur différent ou leur deal tissé depuis 1997/1998 où Toumi a accepté de sassou d’être son allié moyennnant nguiris dans l’extermination des populations du sud plus précisement celes du pool.
Deal dans lequel Morel, ancien manoeuvre à l’ATC, devenu Maire de Makélékélé avait installé son QG à Nganga Lingolo avec mission de signaler le passage de tous les cadres du pool à tuer dont la liste avait été établie par le grand cobra.
Installé au Gabon à l’époque où il est passé par sans famille pour excroquerie, sieur Chris Walembot, marié à une Gabonaise du Haut Ogooué était le relai de Toumi et Sassou pour le ravitaillement par hélico en provenance du Gabon de la part du beau fils et de la fille du cobra. Ne vous étonnez donc pas que naturellement, Walembot devienne le directeur de cabinet de Toumi et qu’il aille à Sibiti pour occuper un poste dans le bureau de leurs assises.
Peuple du pool en particulier et du sud en général, ne pensez pas que notre malheur vient du nord même si le satan sassou, fils adultérien de Mouébara qui sert de code pour exterminer les populations du sud est du nord.
Non, notre malheur vient des politiques véreux du nord comme au sud. La liste de ces traites du peuple est très très longue.
C’est pourquoi, ceux qui s’en prennent à Mokoko ici, pour ne citer que lui se trompe largement. Aux abois par l’arrivée de Mokoko dans l’arène politique congolais, sans parti, sans armes, rien que par sa simplicité,sassou ne sait plus à quel saint se vouer parce qu’habiué à fabriquer des opposants moyennant nguiris pour l’accompagner dans ses bases besongnes.
Kolélas vient de baisser sa culotte en reconniassant la victoire du maître, en appliaction du scénario écrit d’avance entre acteurs, pourtant, ce Kolélas est bien qualifié pour le deuxième tour.
Lui,préfère les seconds rôles. Tsaty Mabiala, un autre charlot, reconnais Sassou comme président élu pour monnayer son futur poste de député. C’est connu.
En dehors de l’héroine Munari au sud Congo, Makaya qui est injustement groupit à sans famille, il ne reste que Mokoko, Okombi, Bowao au nord Congo pour ne pas reconnaitre le tricheur sassou comme président élu et dénoncer avec véhémence le génocide qui est entrain de se dérouler sous les yeux des fils de cette partie du congo sans qu’ils ne disent mot pour sauvegarder leurs intérêts personnels.
Que tous sachent que ce qui se passe dans le pool en ce moment est une affaire personnelle entre Toumi et sassou qui n’a rien à avoir les élections perdues par sassou. Ils ont repndront un jour avec leur complices.
Pour terminer, je ne dirai pas que Mokoko est notre Moise, mais au moins, il peut être pour nous, quelqu’un qui peut rassembler tous les congolais du sud au nord et peut incarner notre espoir pour que le congo retrouve la sereinité d’autant.
Et si les congolais du sud au nord lui ont fait tant confiance, c’est n’est pas pour rien. Nous devons donc continuer à le soutenir. On ne gagne pas toutes les batailles avec les fusils tout comme la paix n’est pas le fait de faire taire les armes. Nous ne sommes pas en paix depuis le coup d’état de sassou qui pille le congo au seul bénéfice de son clan. Quant un père de famille ne peut rependre correctement aux besoins de son foyer, il n’est pas en paix.
De gaulle a gagné sa bataille et sa guerre non seulement par son carisme mais aussi avec l’aide des compatriotes qui se sont mis à son service. Mokoko peut l’incarner pour nous. Chassons
sassou du pouvoir et le reste nous verrons si Mokoko est un tribaliste comme sassou qui ne dort, ne boie, ne rit etc que nord pour diviser.
@arlette tu es admise du coup ( Bac pays) AVEC MENTION
@ Mr Ossebi,c’est toujours un plaisir lire vos articles.
Vous avez dit l’armée ne participe pas a la decimation de nos populations seuls les miliciens de Nianga Mbouala et d’autres.Ce qui tient le Congo de l’armée et d’autres groupuscules armes,tous ne sont que les milices qui gardent et sauvegardent les puits de pétrole,d’autres richesses naturelles du Congo,le cartel d’Oyo et le valet de l’empire français.Non,le Congo ne possède pas d’armee l’appel lance par le General Jean Marie Mokoko est reste vide a fait le flop,une preuve irréfutable qui confirme que le Congo n’a pas une armee.Les officiers de pacotilles qui polluent notre territoire sont tous muets,aucun ne lève sa voix ni son un petit doigt pour dire enough is enough(comme diraient les Anglophones).Pour l’instant seul Jean Marie Mokoko (militaire)qui condamne les massacres de nos populations au sud du pays.Memes les milices qui sévissaient dans les années 90 et empêchaient Mr Lissouba de travailler semblent être toutes récupèrees par l’idiot d’Edou-penda et sont a son service.La communauté internationale avez vous dit,ce machin corrompu concu de toutes pieces aux services des empires,il ne faut meme pas y penser car la france l’employeur de la fripouille d’edou a l’influence la dessus,l’empire français muet parce que son valet-gouverneur noir ,bollore et ses multinationales tous en mission avancée au Congo sont a l’oeuvre.
Rien de bon n’est venu hors de l’Afrique dixit le dicton populaire,il revient aux Congolais de réunir leurs intelligences,leurs moyens(surtout militaires) et se mettre debout comme un seul homme pour virer du Congo le cartel d’Oyo et son commanditaire-employeur(la france).
Je reste constant parce que convaincu qu’on vire pas les pantins par meetings ni les protestations aux mains nues,ce n’est pas de la finesse procéder de cette maniere.On vire les valets et les empires avec la force brute des canons.
De Mokoko.
Les Sudistes sont tribalistes et les nordistes sont des guerriers.
Vous aurez du mal a nous la faire oublier cette phrase.
Laisser tranquille Kolelas et Tsaty Mabiala.
Sassou a bien bombarder Ikonongo chez Anga. Avait-on entendu un seul Mbochi se plaindre?
Et c’était qui le CEMG de l’époque?
Un homme du Sud?
Mokoko est dans la combine.
Tous les initiés savent que lui et Obara se parle tous les jours.
Tous les initiés savent que Bowao est sous contrôle de Mboulou.
Arrêtez la comédie.
Tuez, tuez , continuez de tuer. Puisque ceci vous procure une jouissance.
J’ai la Haine.
A ta ndélé.
lire; ….celles du pool….un autre charlot reconnait sassou….injustement croupit…ils en repondront…sales besognes…en application….d’antant et non d’autant….un père de famille ne peut repondre….( toutes mes excuses pour les coquilles)
@OYESSI, vous vous trompez largement en disant qu’il n’y a aucun rapport entre ce qui se passe dans le Pool et les élections.
Vous feriez peut-être mieux de prolonger votre hibernation.
Le fait que Sassou choisisse le jour de la convocation du conseil constitutionnel pour simuler une attaque, prolonger les opérations jusqu’à la prestation de serment, si ce n’est pas une coïncidence troublante, alors, on peut être amené à penser à un raisonnement par la ruse, pour brouiller les pistes.
L’attitude de Ntumi pendant les évènements de 1997 est connu de tous, même les anciens ninjas temoignagent souvent qu’ils se faisaient tirer sur le dos.
Il y a eu également pas mal d’articles de M. Nkouta pour éclairer la lanterne.
Cependant, il ne faut pas se servir de ces événements, pour justifier ou expliquer un acte prémédité, aux fins de détourner l’attention de l’opinion publique et casser dans l’œuf les velléités de résistance des congolais, avec le Pool en locomotive.
Quand on a pas compris cela, vaut mieux se branler, plutôt que de tenter de noyer le poisson, pour ne pas traiter la question de l’impuissance du général.
Nous reconnaissons tous le rôle qu’il a joué en apparence, pour casser l’image vendue par Sassou en se présentant comme le learder naturel du Nord.
Cependant, dans un contexte où les risques d’après élections étaient connus, il ne pouvait se limiter à un simple rôle de candidature de témoignage.
Comme pour chaque action, nous ne pouvons juger qu’au bilan.
Sur ce point, le résultat est qu’il n’est pas à ce jour en capacité de faire le contre poids à la machine à tuer des sauvages guerriers, nourris au pétrole du Kouilou et descendus des pirogues de l’Alima.
Pour la prochaine fois, essayer de la jouer modeste et de ne pas monter vite sur vos chevaux, en voulant se présenter comme l’élite du Nord qui sait tout, car nous venons tous pour partager des sentiments, émotions ou réflexions, sans prétendre être les meilleurs du monde.
LES MILICIENS DE NDENGUE ET CEUX FORMÉS À TCHAMBITSO N’ONT PAS VU PASSER NTUMI NI MOKOKO.
Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, Ntumi et auparavant Mokoko ont pu se rendre compte que Ndengué et Sassou ont formé plus de miliciens enclins à tuer, violer et piller.
À preuve, Ntumi, tant desesperement recherché dans le Pool par ces miliciens, qui detalent comme des lapins au moindre coup de pétard, a pu s’ extraire tranquillement des leurs griffes. Frédéric Bintsamou, alias pasteur Ntumi, a pu faire détruite sur son passage les engins et voitures positionnés à Soumouna.
D’où la reprise des bombardements ce matin dans le Pool. Au moment où nous rédigeons ce poste, Ntumi et certains de ses gens qui l’on précédé, se trouve quelque part au nord. Ne me demandez pas où? Une chose est certaine, le front risque de se deplacer du Pool à…?
D’après mes sources, Ntumi a bien traversé Brazzaville, en plein jour, sans que les miliciens de Ndengue, yeux bouffis de sommeil et de drogue, s’en apercoivent. Mamééh!!!. Lors de ce passage, il a pu reparer des cibles…
Les gens de Ntumi ont failli opérer un rapt sur Lylian Ndengué, le fils du « général d’opera », ainsi que aime à l’appeler le veillant colonel Ntsourou. N’eût été le bon sens de Ntumi, qui a leur intimé l’ordre de ne pas s’attaquer à un enfant innocent, Lylian qui sortait naïvement de la banque SG aurait pu être enlevé. Ntumi s’ interesse, apprend t-on, plus aux grosses légumes. Qui doivent payer tôt ou tard les atrocités qu’elles font subir aux fils du Pool.
Avec l’entrée clendestine de Ntumi dans le septentrion, les prochains jours s’ annoncent difficiles pour tout le monde. Aussi bien pour Sassou et ses gens que pour le pasteur de Vindza.
Quant au général Mokoko, Ndengué a dit à Sassou que JMMM se trouvait tantôt à l’ambassade des Usa, tantôt à la chancellerie française, quand ce n’était à la Case de Gaulle, et même à l’hôtel Saphir, en compagnie de l’ambassadeur du Gabon.
Une thèse par ailleurs corroborer par Komidor NJIMOLUTH, ambassadeur du Cameroun au Congo, conseiller officieux de stratégies politiques de Sassou. Dieu seul sait que MOKOKO circulait tranquillement à Brazzaville, alors que les miliciens de Ndengué fouillaient tranquillement les 100-100 dans les grandes artères de la capitale congolaise. Comme toujours, il ne manquait pas de demander, d’un air triste, aux occupants des véhicules : »la bière chef! »
L’USURPATEUR NE DOIT PAS AVOIR UN SEUL MOMENT DE RÉPIT JOUR COMME NUIT. LES ATTAQUES DOIVENT SE FAIRE SUR TOUS LES FRONT JUSQU’À SA CHUTE FINALE.
DEPUIS LE 20 MARS ET MALGRÉ L’ARSENAL EN SA DISPOSITION, IL SAIT QUE 4 MILLIONS DE PERSONNE N’ATTENDENT QU’UNE OUVERTURE POUR LE FAIRE PRENDRE SA RETRAITE….LooooooL !!!
La fin est proche…
SI J’AVANCE SUIVEZ-MOI,
SI JE RECULE TUEZ-MOI,
SI JE MEURS VENGEZ-MOI !!!
Vive le Congo, Vive la Liberté, Vive le peuple congolais !!!!!
@ ESC,
Je veux bien qu’on arrête la comédie puisqu’il y a beaucoup de comédiens sur la toile comme vous. Puisque vous surffez souvent sur le tribalisme. Je souhaiterai que vous me donnez la définition du guerrier. Si être guerrier c’est se plaire à faire la guerre, je ne vois pas en quoi le sud discutera au nord ce fait et en vouloir à Mokoko qui semble t-il l’a dit.
N’a t-il pas raison? Qui a toujours amené la guerre dans ce pays, n’est pas le nord? 1959, 1997/1998 et aujourd’hui, ce n’est pas le nord qui a provoqué toutes ces guerres. En bon militaire Mokoko n’a fait qu’un constat et a dit la vérité qui n’est toujours pas bon à dire comme d’habitude, on l’a pris pour plus nordiste que congolais.
Réfléchissez avant d’écrire et ne voyez pas le diable partout. Nous écrivons ici en français et il faut faire un effort de restituer les mots que nous utilisons dans leur défintion.
Quant vous n’acceptez pas que le sud est tribaliste, je suis désolé.Si le tribalisme est cette organisation sociale fondée sur la tribu, je ne vois pas en quoi je serai injurié si on me traite de tribaliste. Dans tout le pool par exemple que parle t-on? C’est le Kongo, les batékés devenus laris parlent kongo,pas le Kouni,le bembé, le Mbochi, le vili,.
La seule invective que l’on puisse faire à Mokoko si cette phrase est de lui c’est de faire la confusion de traiter tout le sud tribaliste.
Péjorativement pris, pourquoi s’en offusquez? Pour ceux qui ont fréquenté Savorgnan de Brazza dans les années 60/70 savent qu’il était difficile sinon impossible d’avoir comme copine une fille de Bacongo si tu n’étais du coin. Le béto na béto signifie quoi?
Pour le reste, continuez à avoir la haine, mais ton a ndélé n’arrêtera pas les filles du sud de se marier au nord pour des raisons évidentes de s’enrichir puisque tous les voleurs de la république sont de ce côté là. Célà non plus m’empêchera mes frères du sud d’être complices depuis la nuit des temps de sassou pour leurs propres intérêts.
Au lieu de rentrer dans la dynamique qui veut chasser sassou du pouvoir pour libérer le congo, vous riquez de rester seul à prêcher la haine qui n’est qu’un combat d’arrière garde qui ne vous grandit pas.
Bonne chance cher Monsieur.
Le domicile de notre très chère Claudine Munari vient d’être encerclé par les sbires de sassou nguesso. Relayons l’information partout et agissons.
Le lâche sassou nguesso dans sa lancée d’intimidations continue macabrement son plan du hold up électoral
El Manisero,
Je n’ai pas le science infuse. Toumi n’a pas était candidat à l’élection présidentielle et tout le monde sait que ce ne sont pas les Nijas qui ont tué à Bacongo et Makélékélé. Pourquoi pourchasse t- on Toumi qui ‘a pas contesté l’éléction de sassou?
Je ne sais pas tout et ne joue pas à l’élite du nord. Si la force de mes arguments vous gênent opposez moi les vôtres et on continuera à débattre.
Toumi n’a pas été…. et n’a aps contesté …..
En 1997 , le sud a tendu la joue gauche à sassou , pour une raclée abominable , en 2016 ,ce même sud , tend la joue droite , pour la même pénitence .
IL se trouve toujours , dans le sud , des hommes bien pensants pour pardonner à SASSOU tous ces crimes qu’il commet avec une aisance divine .
Non , je ne suis pas de ceux qui , sous prétexte d’une fausse unité nationale , n’osent pas émettre la moindre idée , de porter un coup de canif , à cette union factice .Le désir de mieux vivre est un sentiment naturel et ne saurait être interprété comme a – patriotique .
Demandez à ceux de nos parents qui sont entrain de perdre leurs proches , dans ce génocide , leur avis sur l’unité nationale , ils vous diront ne pas appartenir à ce pays qui les a vus naître .ils ne pensaient plus revivre les affres de la guerre de 1997 , mais par la force d’un monstre insatisfait des délices d’un pouvoir mécréant .Ils revivent ce cauchemar sans en connaitre la raison .
Faire la leçon d’unité nationale , à celui qui aura passé toute sa jeunesse , à BRAZZA où , l’amitié est pluriethnique , c’est le serpent qui se mord la queue .
Mais , il y a des valeurs fondatrices de la vie , que nous devons absolument respecter .
J’en connais , durant leur enfance , qui n’ont connu qu’une amitié mono -ethnique mais ,pour faire jolie, aujourd’hui , certains passent pour des tricoteurs permanents de l’unité nationale mise en lambeaux , par le tyran d’oyobeek .
Je crains qu’ils prêchent dans le désert , tant le cadavre est en état de coma avancé .
Le sujet est ô combien sensible , mais la sensibilité se dissout dans la douleur .
attention lire…. Brazza nord …
Claudine Munari encerclée suite à son appel à un grand rassemblement de la paix et de l’Union Nationale…la démocratie à la mode nouvelle démocratie de DSN…André Okombi Salissa encerclé, Guy Brice Parfait Kolelas encerclé, le Général Mokoko encerclé…je suis moi-même encerclé, pisté, suivi…sans que personne ne puisse nous dire ce qui nous est reproché!
Le pouvoir n’arrivera pas à nous faire taire. Je vous l’ai dit, j’irai jusqu’au bout, pour les congolais, pour le Congo.
Le pouvoir veut interdire notre rassemblement. Pourquoi tant d’inquiétude de la part de gens qui prétendent que Denis Sassou Nguesso a été réélu à plus de 60%?
Un président élu à 60% devrait être serein.
Rassemblement de la Paix et de l’Unité Nationale le vendredi 15 avril 2016 à 14h00 au Boulevard Alfred Raoul.
#sassoufit
Les congolais auront-ils le droit aux résultats écrits des élections? Il semblerait que les tricheurs en chef se soient pris les pieds dans les tapis et ne s’y retrouvent plus dans leurs calculs…Ils n’arrivent pas à produire des chiffes cohérents.
Personne ne pourra dire qu’il ne savait pas que des massacres étaient en cours dans le Pool. Une enquête aura lieu, même si cela prend du temps. Les responsables devront tous rendre des comptes devant la justice, et cela pour chacun des morts sans exception.
#sassoufit
A CEUX QUI SE POSE ENCORE LA QUESTION DE SAVOIR POURQUOI LA FRANCE SOUTIEN SASSOU DANS FOLIE GENOCIDAIRE, VOICI LA RAISON PRINCIPALE.
La Franc Maçonnerie dont Sassou est le pape en Afrique centrale à infesté le PS ce qui explique le silence macabre du gouvernement Français.
Listes des Francs Maçons du Gouvernement.
– François Hollande (président de la république), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader.
– Jean-Marc Ayrault (premier ministre) : en 2008, maire de Nantes, il fait voter une subvention de 400 000€ destinée à la rénovation et à l’agrandissement du local servant aux réunions de 7 loges maçonniques
– Manuel Valls (ministre de l’intérieur), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Christiane Taubira (ministre de la justice), franc-maçonne membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Pierre Moscovici (ministre de l’économie et des finances), ancien membre de la LCR (Ligue Communiste Revolutionnaire) et Young Leader
– Najat Vallaud-Belkacem (ministre des droits des femmes), Young Leader
– Arnaud Montebourg (ministre du redressement productif), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader
– Michel Sapin (ministre du travail), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF)
– Vincent Peillon (ministre de l’éducation nationale), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF), ancien membre du Comité communiste pour l’autogestion
– Jérôme Cahuzac (ancien ministre du budget), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Yves Le Drian (ministre de la défense), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Stéphane Le Foll (ministre de l’agriculture), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Marylise Lebranchu (ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique) franc-maçonne, ancienne membre du PCMLF (Parti communiste marxiste-léniniste de France)
– Anne-Marie Escoffier (ministre déléguée chargée de décentralisation), franc-maçonne membre du Parti Radical de Gauche et de la Grand Loge Féminine de France (GLFF)
– Fleur Pellerin (ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique), Young Leader
– Benoît Hamon (ministre délégué à l’économie sociale et solidaire et à la consommation), franc-maçon
– George Pau-Langevin, (ministre déléguée à la réussite éducative), franc-maçonne
– Michèle Delaunay (ministre déléguée aux personnes âgées et à l’autonomie), franc-maçonne
– Frédéric Cuvillier (ministre délégué aux transports), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Marc Mancel (conseiller de la ministre George Pau-Langevin), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF)
– Christophe Chantepy (directeur de cabinet de Jean-Marc Ayrault), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Alain Simon (contrôleur général au ministère de l’économie), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Alain Vidalies (Ministre en charge des relations avec le Parlement), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Aquilino Morelle (conseiller de François Hollande), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader
– Cédric Lewandowski (directeur de cabinet de Jérôme Cahuzac), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Victorin Lurel (Ministre délégué en charge de l’Outre-Mer), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Renault Vedel (directeur adjoint de cabinet de Manuel Valls), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Alain Bauer (conseiller officieux de Manuel Valls), franc-maçon haut gradé, ancien Grand Maître du Grand Orient de France (GODF)
– Yves Colmou (conseiller de Manuel Valls), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
Les francs-maçons du Sénat :
– François Rebsamen (président du groupe PS au Sénat), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Pierre Sueur (sénateur PS du Loiret et président de la commissions des lois), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Claude Domeizel (sénateur PS des Alpes-de-Haute-Provence), franc-maçon du Grand Orient de France
– Gérard Collomb (sénateur maire de Lyon), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Michèle André (sénatrice PS du Puy-de-Dôme), franc-maçonne, vice-présidente de Fraternelle Parlementaire et membre de la secte maçonnique du Droit Humain
– Robert Navarro (sénateur PS de l’Hérault), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
Les francs-maçons à l’Assemblée nationale et dans les collectivités locales :
– Henri Emmanuelli (député PS des Landes), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Christian Bataille (député PS du Nord), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Pascale Crozon (députée PS du Rhône), franc-maçonne, vice-présidente de la Fraternelle Parlementaire
– Pascal Terrasse (député PS de l’Ardèche), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Oliver Dussopt (député PS de l’Ardèche), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Brigitte Bourguignon (députée PS du Pas-de-Calais), franc-maçonne
– Odile Saugues (députée PS du Puy-de-Dôme), franc-maçonne
– Patrick Menucci (député PS des Bouches-du-Rhône), franc-maçon de la Grande Loge de France (GLDF)
– Paul Giacobbi (député du PRG de la Haute-Corse), franc-maçon de la Grande Loge de France (GLDF)
– Jean Le Garrec (ancien ministre PS), franc-maçon, président du Cercle Ramadier, membre du Grand Orient de France (GODF)
– Philippe Guglielmi (premier secrétaire fédéral du PS de Seine-Saint-Denis), franc-maçon, ancien Grand Maître de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Jacques Queyranne (président de la région Rhône-Alpes), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Philippe Foussier (rédacteur en chef de la revue de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains), franc-maçon du Grand Orient de France
– Jean Glavany (député PS des Hautes-Pyrénées), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Marie Cambacérès (député PS du Gard), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Michel Baylet (sénateur PRG du Tarn-et-Garonne), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jack Lang, franc-maçon
– Daniel Vaillant (député-maire à Paris), franc-maçon
– Harlem Désir (Premier Secrétaire du Parti Socialiste), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive
Des Congolais à l’ONU en Suisse pour déposer un mémorandum sur la barbarie du régime de Brazzaville.
https://www.youtube.com/watch?v=cdoaHhz3ZKc&nohtml5=False
La CPI en instance. Tuer, torturer, arrêter, humilier. Vous êtes fichés les gars.
Je comprends bien le point de vue sur les persécutions, les vexations et les humiliations que le sud subit depuis des années mais vous en êtes aux conséquences pas aux causes. Un bon diagnostic doit s’inscrire dans le processus « Quoi ? Pourquoi ? Comment ? » en se limitant qu’à ces 3 questionnements, comme le disait mon ancien Directeur au petit séminaire de Mbamou (malheureusement aussi sous le feu de Sassou), l’Abbé Maloubi en latin « Quid ? Cur? Quomodo ? ». Tout le monde peut répondre à la première question : le tribalisme et d’ici découle la réponse à la deuxième question : le maintien au pouvoir pour enfin déboucher sur le comment : un instrument aux mains d’un tyran. La conséquence est la recherche forcenée de la matérialisation de ce phénomène. Pour cela, le tyran, en chef d’orchestre, fait jouer une partition sur l’air : le kongo est l’ennemi du mbochi. Il faut lui reconnaître le fait qu’il n’en est pas l’auteur (ses qualités nulles en solfège certainement ne lui auraient pas permis d’écrire une partition aussi bien réglée), il faut pour cela remonter aux premières heures de lutte pour l’indépendance sous l’impulsion du colon qui voulait, pour arriver à ses fins, diviser pour continuer à influer sur les décisions politiques, économiques et même sociales au Congo. Donc, ici, le maître d’œuvre est Sassou. C’est lui qui tient la baguette. Vous voyez, après plus de 50 ans nous en sommes encore à discuter d’un terme dont vous n’entendrez jamais parler dans les sociétés européennes ou américaines. Ce terme a été utilisé pour ces sociétés occidentales, au 10e siècle, lors des hordes barbares des tribus du nord, parlant des Vickings. A cette étape de notre évolution nous devrions parler des choix politiques basés sur les propositions des partis politiques. Ceci, bien sûr, découle naturellement de l’existence d’une nation. Cette nation devrait être l’ultime objectif de notre développement politique, économique et social. C’est ici que les choses deviennent intéressantes. Mokoko, du nord, est plébiscité au sud. Il est, peut-être, le pont qui nous permettrait de poser la première pierre de cette nation que nous appelons tous de tous nos vœux. Tous les politiciens dont le seul programme est l’appartenance à une tribu ou région doivent intellectuellement s’effacer parce qu’ils nous ramènent 50 ans en arrière. Ceci est la seule motivation qui me fait valider la candidature de Mokoko.
Pourquoi il ne parle pas ?
Je sais et j’ai constaté que l’opposition a une plateforme dont le porte-parole est Charles Bowao, excellent communiquant, un véritable maestro de cet art si difficile à maîtriser. Mon point de vue est que c’est à lui que revient la charge de communiquer pour mieux maîtriser la stratégie de com de l’opposition. Cette opposition ne s’adresse pas qu’aux congolais mais aussi et surtout à la communauté qui, je le pense vraiment, est une des clefs de sortie de crise. Toutes les structures, même le gouvernement de Sassou, ont un porte-parole. C’est celui-ci qui expose les differentes décisions du gouvernement par des points de presse. Vous n’avez pas entendu parler le tyran. Moungalla remplit ce rôle.
Enfin, comment voulez-vous former une nation quand vous passez votre temps à stigmatiser le voisin du nord où du sud ? Je me suis retrouvé au moyen séminaire de saint Jean, à Brazzaville, nous étions de Mbamou, de Loango et de Makoua et tout s’est toujours bien passé. Nous devons construire cette nation qui ne cherche à éclore. Nous devons tous condamner les dérives d’une dictature qui n’agit que pour ses propres intérêts en plaçant les bonnes gens aux places stratégiques pour pérenniser son système, en l’occurrence ce sont les gens de son clan. Nous devons le dénoncer mais il ne faut pas se tromper d’ennemis. Mon ennemi c’est Sassou et son système mafieux qui prend, et le peuple du sud et celui du sud en ôtage. Je suis persuadé, perdu à Owando, une mère t’accueillera et t’hébergera sous son toit, toi, enfant du sud. Alors vas-tu taxer cette mère de tribalisme ? Elle n’en est même pas consciente.
Je suis de ceux du sud qui applaudissent Mokoko, c’est une preuve de maturité politique. C’est la bonne direction à suivre. Cela me convient.
Tout notre respect doit aller à ceux qui se battent difficilement sur le terrain.
.
Le congolais est incorrigible. Facile de faire la révolution derrière un clavier.
bandes d’idiots nous sommes la risées de l’Afrique, en entendant toutes les inepties qui se disent j’ai honte d’être Congolais …..et gardez vote sassou .
@OYESSI, essayez plutôt de vous focaliser sur les sujets que vous devriez connaitre le mieux.
C’est déjà une bonne chose que nous vous ayons aidé à relativiser l’effet Moïse et à le replacer dans un contexte de recherche de consensus, en non de la providence salvifique.
Dans un cadre non militarisé, en l’absence d’une armée de substitution qui constitue la force de frappe tribale de l’Oyocratie, la candidature de Mokoko n’aurait pas fait de vague.
Aujourd’hui, nous en sommes encore au stade d’espérer le voir au premier plan de la lutte contre le tyran, si ce n’est celui de lui venir au servir dans sa situation actuelle.
Vous dites :
1- Réfléchissez avant d’écrire et ne voyez pas le diable partout.
OK
2- Vous ajoutez :
« Dans tout le pool par exemple que parle t-on? C’est le Kongo, les batékés devenus laris parlent kongo,pas le Kouni,le bembé, le Mbochi, le vili,. »
Cela revient à dire que vous ne connaissez pas votre pays parce que :
– tout le Pool ne parle pas kongo
– Vous devez apprendre à distinguer ou à faire la différence lari-kongo et téké du Pool
Comme vous avez su le dire, asseyons d’aller à l’essentiel, qui consiste à trouver le moyen de mettre fin au pouvoir clanique.
Mais, de grâce, évitons les mélanges de genre.
Autrement, à force d’approximation sur des sujets dont on a pas la maîtrise, on abouti à des conclusions fantaisistes.
Petit rappel :
Guy Serge BOUANTSA dit :
13/03/2016 à 08:36
La situation du Congo est militaire.
De ce fait, les populations vivant depuis des années sous la terreur croient trouver dans la posture du général l’homme qui pourrait dissuader DSN à faire usage de la violence pour se maintenir au pouvoir.
Tout le problème est de savoir si le général a les moyens de dissuader le dictateur sans contrepartie.
Si ce n’est pas le cas, tous ces espoirs risquent de se transformer en cauchemar au lendemain du 20 mars.
Autre chose qui peut dissuader le dictateur, c’est la mobilisation identique dans la partie nord du pays.
Car, si la contestation gagne la partie nord, le dictateur n’osera pas engager plusieurs fronts, en allant jusqu’à tirer sur ceux qui le servent de prétexte pour justifier la répression au Sud.
Je reste convaincue que tout cela restera feu de paille, sans une pression dans plusieurs domaines, y compris dans l’armée, en incitant à des prises de positions publiques de hauts gradés sur leur neutralité par rapport au cours des événements, ceci avant le 20 mars.
Cela pourrait avoir un effet pédagogique dissuasif envers des miliciens à la solde de la mafia d’Oyo.
Il ne faut donc pas donner à la population l’illusion d’un changement qui viendrait par les urnes, sans prévoir d’alternative en cas de passage en force.
Lu pour vous dans le journal Le monde
Attaques criminelles contre les populations civiles en République du Congo. Les Français doivent savoir. Le gouvernement doit sortir du silence.
Monsieur le Président de la République,
Le 4 avril 2016, falsifiant comme d’habitude le résultat des urnes, la Cour constitutionnelle de la République du Congo, aux ordres, valide la réélection à la Présidence de la République du candidat Denis Sassou Nguesso, au pouvoir depuis 32 ans. Préparé à ce coup d’État électoral, cette fois, le peuple congolais est prêt à amplifier sa résistance pacifique et à poursuivre sa désobéissance civile. La réponse du système militaro-politique congolais est également prête depuis des mois. Elle consiste à désigner le sud de la ville et du pays comme foyers d’invisibles et insaisissables ennemis intérieurs.
Dans la nuit du 4 avril 2016, les tirs à l’arme lourde ciblant les populations civiles ont déjà commencé sur les quartiers sud de Brazzaville. Quelques heures plus tard, les habitants sont chassés de leur maison et déplacés au nord de la ville. Le lendemain débutent les bombardements des villages du Pool (sud du Congo). Les premières images de cadavres commencent à circuler sur les réseaux sociaux.
Auparavant, le Président Denis Sassou Nguesso est rentré d’une tournée à l’étranger où, sans doute, il est allé vérifier si ses vieilles alliances en Europe et en Afrique vont une nouvelle fois le « couvrir » en échange, pour les uns, d’une solidarité entre tyrans et, pour les autres, d’un accès facilité aux immenses richesses locales (pétrole, uranium, etc.) dont bien peu de Congolais profitent. Sans doute est-il allé vérifier une nouvelle fois, à l’extérieur, sur qui compter pour accompagner sa survie politique à l’intérieur, et conserver le pouvoir par tous les moyens. En arrêtant les opposants, en torturant, en exécutant ; en opposant les régions congolaises entre elles; en agitant le spectre du retour des guerres civiles de 1993/97/98, qu’il avait lui-même planifiées, et pour la responsabilité desquelles il a pour l’instant échappé aux condamnations de crimes contre l’humanité ; en encourageant le dysfonctionnement et la corruption de l’État ; en manipulant l’information ou en achetant le silence au Congo et sur la scène internationale ; en armant ses propres milices, soi-disant aux ordres de nébuleux ennemis de la « Patrie » pour terroriser les corps, les esprits, le pays entier, mettre ainsi en scène son retour providentiel et apparaître, encore une fois, comme l’homme du recours, le père de la Nation.
Pourtant quelque chose a changé à Brazzaville. Du nord au sud du pays, le peuple congolais n’est plus manipulable. La jeunesse congolaise est descendue dans la rue à l’automne dernier. Massivement, au nord comme au sud, les Congolais ont boycotté le référendum d’octobre 2015 qui visait à modifier la constitution pour prolonger encore les 32 années de pouvoir du Président Denis Sassou Nguesso et lui garantir l’impunité internationale au cas où les choses tourneraient mal pour lui.
Massivement, les électeurs ont ensuite voté pour l’opposition aux élections présidentielles le 20 mars 2016. Celles-ci se sont déroulées à huis clos, les autorités ayant coupé toutes les communications à l’intérieur du Congo et vers le reste du monde durant quatre jours ; d’où cette invraisemblable annonce des résultats au milieu de la nuit du 24 mars – le Président ne s’accordant cette fois ci « que » 60% des suffrages !
Massivement, pour contester cette mascarade, les Congolais ont alors répondu au mot d’ordre pacifique de désobéissance civile durant la journée ville morte le 29 mars.
La répétition aujourd’hui d’un scénario cauchemardesque ne doit rien à la fatalité, mais davantage au laisser-faire, au laisser-dire. Cela ne sert à rien de plaindre les Congolais. Nous devons suivre leur exemple de courage et de résistance. Dire et redire que c’est au peuple congolais, et à lui seul, de bâtir un État de droit. Pas aux affairistes de tous bords, pas aux militaires, pas aux gouvernements étrangers complices ou concurrents économiques et stratégiques dans la région. Il en va du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
La France est le premier partenaire économique du Congo. Monsieur le Président, vous devez sortir de votre silence. Le pays doit cesser urgemment ses relations mafieuses et militaires avec la dictature en place.
Au nom de la solidarité entre les peuples, nous demandons l’arrêt immédiat des tirs sur les civils, la libération des opposants politiques, la non-reconnaissance par la France et la communauté internationale des résultats électoraux, le retour de la presse internationale sur le terrain et la tenue de nouvelles élections présidentielles en présence d’observateurs internationaux impartiaux.
Jean-Paul Delore (metteur en scène), Catherine Laval (costumière, syndicaliste), Dieudonné Niangouna (auteur), Laëtitia Ajanohun (auteure)
Premiers signataires :
Jean-Loup Amselle (directeur d’études à l’EHESS)
Benoît Awazi Mbambi Kungua (philosophe, président du Cerclecad)
Valérie Baran (directrice du Tarmac – scène internationale francophone)
Julien Bayou (conseiller régional, porte-parole d’EE-LV)
Franck Besson (éclairagiste)
Delavallet Bidiefono (chorégraphe)
Sébastien Boisseau (musicien)
Sylvie Bosser (enseignante-chercheuse)
Olivier Bost (musicien)
Patrick Braouezec (ancien député-maire de Saint-Denis, président de Plaine Commune)
Sylvie Coma (journaliste)
Philippe Corcuff (maître de conférences de sciences politiques à l’IEP de Lyon)
Diane Chavelet (auteure, doctorante Paris-7)
Léa Couqueberg (chargée de production)
Claire Delore (orthophoniste, syndicaliste)
Zineb El Rhazoui (journaliste)
Catherine Faudry (chargée de mission culturelle)
Anne Feuillère (journaliste)
Sean Hart (vidéaste)
Yoko Higashi (musicienne)
Tina Hollard et Hafid Chouarf (association Globe Trot’Art)
Bastien Lagier (régisseur)
Dominique Le Jean (feutrière)
Laurent Léger (journaliste)
Emilie Leloup (administratrice et productrice)
Valérie Manteau (éditrice, syndicaliste)
Nicolas Martin-Granel (chercheur associé à l’ITEM CNRS-ENS)
Bernard Mathonnat (président des Francas en Île-de-France, directeur du festival théâtral du Val-d’Oise)
Alexandre Meyer (musicien)
Frédéric Minière (musicien)
Etienne Minoungou (comédien)
Mathieu Montanier (comédien)
Alexandre Neumann (professeur, université Paris-8)
Julie Peghini (anthropologue, université Paris-8)
Olivier Pelletier (ingénieur du son)
Patrick Pelloux (médecin urgentiste, syndicaliste)
Guillaume Pons (éclairagiste)
Jacques Pornon
Agnès Tricoire (avocate à la Cour)
Guy Villerd (musicien)
Nadine Wanono (chercheuse)
Lien vers une pétition mise en ligne depuis hier. https://www.change.org/p/françois-hollande-urgence-congo-le-gouvernement-doit-sortir-du-silence/c
BOYCOTT BOYCOTT BOYCOTT A TOUT CE QUI EST FRANÇAIS
Un #TotalitaireSANGUINAIRE n’a pas de concurrent à sa taille tant que le peuple ne relève pas le défi. #Sassoufit les #CrimesContreLHUMANITE #FrancAfrikPetroleDeSANG. J’accuses la France de crimes contre l’l’humanité au Congo à des fins coloniale et enrichissement illégale par les bras Armées du criminel SASSOUFIT.
J’accuses la France de colaborer’ participer ignorer les consequences de ses actes depuis trop longtemps.
J’accuses la communauté internationale de ne jamais condamner cette France criminelle. #ElyseeFrancAfrik je #BoycotteTOUTceQuiEstFRANCAIS
A Oyessi et autre Oyo …et Londi, pseudo des MANDZIMBA et autres qui avez décidé de polluer le net sur la mokokologie. Qu’il soit clairement dit.
Les Kongos et les Mbochis ne s’aiment pas.
Votre démarche qui consiste à nous fourguer un troisième général à la retraite de la Cuvette ne passera pas. En tous cas pas après ce qui est entrain de se passer dans le POOL.
Je ne sais par quelle tambouille ce pseudo général passera, mais en tous cas dans le cadre d’une election, nombreux nous descendrons au Congo pour aller mettre à nu son imposture.
Voila un peuple; les MBOCHIS qui se sont decouvert que sans le pouvoir, ils ne sont rien. Et ce n’est pas un hasard si les Ngouolondele, Mandzimba, Moundele Ngolo, Jean Ngouabi et autre LIBONGO NGOKA tous sans exceptioin se sont alignés derrière leur compère MBOCHI, le fameux MOISE.
Qu’ils daignent s’aligner derriere
TSATY MABIELA? non il est du SUD
MABONDZO MUNARI ? Non il est du sud
KOLELAS ? Pire encore il est du POOL.
MABIO MAVOUNGOU ? derrière un VILI ? N’y pensez pas.
Et ça nous parle UNITE NATIONALE et des analyses savantes de type. BoWAO, OKOMBI, MOKOKO sont les seuls a rester droit.? Tout ceci prépare bien entendu la sauvegarde du pouvoir au NORD. OKOMBI ne se définissait pas comme le plus MBOCHI des Tékés?
@ESC,
c’est vraiment dommage que vous en soyez encore là. Par échappatoire, ESC (abréviation de Echappe), ou par non intégration du drame qui se joue actuellement au pays. Le drame est que vous êtes à mille lieues d’exposer une stratégie, une réflexion qui pourrait être un sujet de débat, de réflexion ou d’amendements pour les uns et les autres. Cela serait constructif. Il y a des bombes, des assassinats, des emprisonnements et des humiliations et vous vous discutez sur « les sujets du genre « les laris n’aiment pas les mbochis, du sexe des anges, etc. ». Vous ne vous rendez même pas compte que vous tombez à pieds joints dans le piège du tyran. En plus sur quelle étude sociologique vous basez-vous pour avancer de telles affirmations ? L’objectif principal reste tout de même de virer Sassou, n’est-ce pas ? Je souhaiterais vraiment sur la stratégie que vous mettez en place pour atteindre cet objectif ? Avec quels acteurs politiques vous voudriez vous associer pour faire avancer la cause du peuple ? Mon choix est clair, quel est le vôtre ?
Vous voyez, nous avons encore beaucoup à faire pour sortir le pays de ce gouffre dans lequel l’a mis Sassou et son clan immédiat.
Je me joins au mot d’ordre de Munari pour la manifestation du 15/04, à 14h. Soyons nombreux.
Vive Munari !
Vive le Général !
Vive Charles Bowao !
Vive le Congo uni.
P.S.. Installer l’application « Periscope pour le 15/04 que le monde entier assiste, en direct, aux brutalités de Sassou.
il y a un risque pour nous tous de ne pas aller à l’essentiel mais de susciter des démons de haine et cela ne sert donc à rien de faire des reproches à Sassou et son clan !
Peu importe que l’on soit du sud ou du nord, de l’est ou de l’ouest. je suis du sud et je soutiens MOKOKO qui est à mon avis le seul aujourd’hui pour réconcilier, apaiser et redonner confiance à chaque congolais sur le plan du respect des valeurs.
Je partage l’avis de certains mais j’ajoute que si MOKOKO était tribale, il devait prendre le pouvoir lorsqu’il avait les cartes en mains et certains ici peuvent vérifier que nombreux de sa région le lui ont reprochés cela.
Si les richesses du pays étaient mieux reparties et si chaque institution jouait pleinement son rôle, tout serait facile mais hélas et c’est donc là que nous devons soutenir les actions de MOKOKO et de tous ceux qui œuvrent dans ce sens avec lui. Aucun nordiste ne pourra travailler sans sudiste et vice versa et donc il faut arrêter avec le discours de haine et division mais se battre pour faire respecter le résultat des urnes car il y a des vrais résultats que nous connaissons tous.
Personne n’est dupe sur les intérêts égoïstes des hommes politiques et si MUNARI avait demandé qu’une charte de la victoire soit signée par les candidats cela sous entendait qu’elle savait déjà les risques de division de l’opposition pour X ou Y raison et je la félicite pour cette clairvoyance. Si BOWAO est venu à la rescousse de l’opposition IDC-FROCAD s’est bien pour un but donné et donc se sont des gens avertis.
Nous sommes en train de marcher vers la victoire et le niveau d’endurance ne peut pas être le même car même un entraîneur remplace un joueur qui est moins bon ou fatigué mais le but final étant d’arrivée au résultat.
Chaque stratégie est payante et celle de MOKOKO paye encore plus car la diplomatie souterraine est en plein mouvement. la stratégie de OKOMBI et MUNARI paye aussi et je me réjouis. la stratégie de KOLELAS paye aussi par ce qu’il est prouvé que le but poursuivi par Sassou dans le Pool était autre et planifié et donc en train d’être démasqué. la Stratégie TSATHY est celle qui ne payera pas du tout car centrée sur lui même et son ego. la stratégie de NTUMI paye.
Aujourd’hui, toutes les réflexions, analyses et commentaires sur les réseaux sociaux payent aussi et donc nous devons juste converger vers notre objectif commun et je suis sûr que tous les candidats qui avaient annoncé des états généraux de ceci ou cela avaient bien compris que le pays a besoin de se parler et de faire le point des trois dernières décennies.
J’aime la lucidité et le pragmatisme du frère « Londi » .
Notamment cette phrase:
« Vous ne vous rendez même pas compte que vous tombez à pieds joints dans le piège du tyran »
Mais hélas et c’est désolant de ne pas comprendre que mêmes si il y a des déceptions et des rancoeurs rien ne pourra se faire tant que le monstre de l’Alima est au pouvoir.
Ne pouvons nous pas poser nos valises d’analyses et tergiversations inutiles pour nous consacrer qu’à une seule tâche le déguerpissement des nguesso ce qui est déjà assez difficile.
Prenons exemple sur ce qui a marché comme au Sénégal et au Burkina et après on pourra laisser libre court à nos petites querelles intestines qui d’ailleurs auront tendances à s’atténuer une fois le virus détruit.
Dans notre pays, la guerre d’usure doit-être formée par la désobéissance civile, qui d’ailleurs le 18 Mars 2016 avait été bien relayée, les rassemblement pacifiques, la pression sur les réseaux sociaux et tout autres méthodes consistant à maintenir la situation chaotique pour fatiguer les sbires, filmer toutes leurs actions et occasionner beaucoup de dépenses au président sortant. Du côté de la population, il faut observer une grande discrétion, éviter les pertes en vie humaines occasionnées par les sbires.
Je suis d’accord avec tous ceux qui défendent l’idée selon laquelle, le tribalisme est un instrument au service du préfet-zident pour perpétuer son pouvoir. Mais alors que faire pour enrayer la machine à broyer les vies? Que faire pour éviter de nourrir la bête immonde? Nous nous fondons dans des critiques et analyses stériles faute d’avoir les moyens de changer la donne sur le terrain. Que ceux qui ont en les moyens aident les simples citoyens que nous sommes, sans ambitions politiques, ni plan de carrière. Juste des patriotes épris de justice et de liberté pour tous. Et je repose ma question. Que voulons – nous pour ce pays. Lorsque nous aurons répondu à cette question, nous saurons quoi faire.
50% du chemin ont déjà été faites : le monde entier connaît le vrai visage de Sassou, cette fois-ci étayé avec des preuves et toutes sortes d’informations glanées tout au long de la phase électorale. Maintenant pour parcourir les 50% qui restent, nous devons avoir une attitude responsable en consolidant l’unité naissante au sein de la plateforme de l’opposition. Je répète, ici, la solution de la crise congolaise dépend de :
– niveau de mobilisation du peuple dans une unité sans faille, exit les querelles sur les différences (nous sommes nos premiers libérateurs ;
– une stratégie de com rationnelle et non contradictoire avec des messages clairs, audibles et porteurs de la volonté farouche du peuple congolais à tourner la page ;
– un soutien indéfectible à l’opposition responsable, une armée ne gagne pas sans chef ;
– un lobbying auprès des puissances politiques, économiques et sociales ( puissances occidentales, ONU, OIF, UE), le tyran fait tout ce cinéma pour s’attirer la sympathie et approbation de la communauté internationale pas pour les beaux yeux d’un peuple qu’il massacre ;
–
Le reste s’inscrit dans la logique politique portée par notre opposition responsable. Nous devons montrer un autre visage à la face du monde, au Burkina, ils portaient des revendications économiques, sociales et politiques pas un discours sur le tribalisme ou le régionalisme. Nous sommes lus, en écrivant ici, par le monde entier.
Si nous nous éternisons sur des débats initiés par un inculte comme le tyran alors nous tournerons en rond et la nation congolaise va s’éloigner désespérément. La balle est dans notre cas, il faut ringardiser des débats qui nous font sortir de l’Histoire. Nous avons une belle histoire à écrire, écrivions la et soyons à la hauteur de nos glorieux ancêtres de l’illustre royaume du kongo quand ils étaient déjà organisés en provinces et non en tribus (3è – 18e siècle).
@ Le Léki,
Je ne vais pas rentrer dans tes turpitudes. Je remarque tout simplement ceci. En 1997/1998, revenant par les armes au pouvoir sassou est allé tuer dans le pool.
En 2002 et 2009, il parait qu’il a été élu sans aller tuer au pool le département martyr de sassou.
En 2016 après avoir nous avoir fait vivre ce que tous les congolais savent, il parait qu’il a gagné cette élection avec 67% des 60% des suffrages exprimés. Les chiffres ne sont pas de moi. Or 60% des suffrages exprimés donnent bien 40,20% et non 67%( 67*60/100) = 40,20. Je n’ai jamais prétendu être Einstein.
Alors je vous pose une question simple: Oui ou non sassou a gagné cette élection. Si oui, pourquoi il va tuer dans le pool et pourquoi il ne l’a pas fait en 2002 et 2009;
Si non, c’est qu’il ya anguille sous roche et le prétexte des Nijas ne tient pas parce que c’est connu que ce sont les cobras de Moigny sous ordre de Ndenguet et Nianga Bouala.
Cette chasse à l’homme n’est que le prétexte pour chercher à étouffer la revendication dans l’oeuf. Où aviez vous qu’on coupat toute un pays du reste du monde parce qu’il ya une élection dans un pays dit démocratique.
Oui, je suis pour Mokoko car c’est le seul qui est venu bousculer les plans de sassou dont son acharnement sur le peuple désarmé qui a voté massivement l’opposition.
Vous demandez à Mokoko de revetir son treillis pour s’opposer à Sassou. C’est un démocratique et non un va en guerre. Un élection se gagne dans les urnes et non à coup de canons. De Gaulle a gagné sa bataille et sa guerre avec l’appui de peuple Français car il avait les moyens de s’exprimer.
Donner à Mokoko, télé sassou, laissez le circuler normalement en contact avec le peuple, vous verrez si sassou tiendra plus d’un jour.
Pour le reste c’est un débat d’égoût et je n’y participe pas. Si vous répondez à mes questions posées, il peut continuer à débattre sinon, çà ne sert à rien.
Comment mener la guerre d’usure contre dracula Sassou Nguesso?
DU JEU DU CHAT ET DE LA SOURIS, BIENTÔT CELUI DU GENDARME (LE PEUPLE SOUVERAIN) ET DU VOLEUR ( LE DICTATEUR DRACULA).
La guerre menée par dracula contre le peuple coûte non seulement très chère à lui-même (sa santé de 76 ans mis à l’épreuve des nerfs) mais surtout aux comptes publics. Ils seront bientôt au bout du rouleau ou hors service, c’est à dire le pays mis en faillite totale.
Dans notre pays, la guerre d’usure doit-être formée par la désobéissance civile, qui d’ailleurs le 18 Mars 2016 avait été bien relayée, les rassemblements pacifiques, la pression sur les réseaux sociaux et tout autres méthodes consistant à maintenir la situation chaotique pour fatiguer les sbires, filmer toutes leurs actions et occasionner beaucoup de dépenses au président sortant.
Du côté de la population, il faut observer une grande discrétion, éviter les pertes en vie humaines occasionnées par les sbires. Dans 99% de cas, le dernier mot et le jugement final appartiennent toujours au peuple souverain.
Oui, le dictateur Sassou Nguesso n’est pas immortel, bien au contraire ; c’est le peuple, car il est éternel…
On ne lâche rien et jusqu’à la victoire final du peuple contre la tyrannique. A suivre…
@ Guy Serge Bouantsa,
Vous faites au moins partie des gens qui s’exprimant ici apportent la contradiction tout en argumentant. C’est célà débattre car on apprends des autres.
Je suis d’accord avec vous que la sitution du congo est militaire, mais il faut avoir les armes et comme nous n’avions pas une armée républicaine pour mettre fin aux tueries du pool, nous pouvons gémir ici sans solutionsauf à aller tous dans la rue pour affronter la milice de sassou.
Ceci la phrase ci dessous de vous, a retenu mon attention et je voudrai que vous me dites que si tout le pool ne parle pas kongo et vous aviez raison car le pool s’arrête à Léfini ce que j’avais oublié. Je veux savoir le fifférence que vous faites entre lari / kongo et lari-kongo.
J’ai comme impression qu’il existe lari/ téké et lari-téké dans le pool comme on dirait Normand- Corses et Bretons ou Bretons- Normand et Corses. Je veux bien comprendre car on ne peut être les deux à la fois ou on n’est lari ou Kongo mais les deux à la fois, ce n’est que dans un mariage et non une tribu autrement dit un groupement de tribu, le clan oui.
Cela revient à dire que vous ne connaissez pas votre pays parce que :
– tout le Pool ne parle pas kongo
– Vous devez apprendre à distinguer ou à faire la différence lari-kongo et téké du Pool
Des soupçons d’assassinat (orchestré par le corps médical sous ordre) pèsent sur la mort de celle qui est née Marianne LOUTAYA, mère de M. Modeste BOUKADIA.
Cette mort brusque survenue, le 10/04 (sauf erreur) dans un hôpital de Brazzaville, serait d’après certaines sources, à l’origine du plan d’affaiblissement de M. BOUKADIA par le tyran Béninois sassou allias nguesso.
En plus du génocide contre le pool, sassou allias nguesso s’emploie à affaiblir et détruire à petit feu, tout ce qui lui tiennent réellement tête, ou simplement ceux qu’il ne contrôle pas.
Voyons voir la suite…
Londi dit:
ESC (abréviation de Echappe).
Moi je dis : Ecole Superieure de Commerce. (Voir Wikipedia.)
Londi dit:
L’objectif principal reste tout de même de virer Sassou, n’est-ce pas ?
Moi je dis : Non.
L’objectif principal est de virer tout le systeme Militaro Tribal de SASSOU et surtout rompre avec cet anachronisme qui fait du Congo le Premier Pays à avoir généré autant des Militaires Presidents d’une meme région. MBOCHIS en l’occurrence.
Votre choix de MOKOKO participe de la vision reductrice Mbochie que Seuls les militaires sont en mesure de diriger le congo. Mr Londi, vous qui pretendez être de Madzia Kônda Mambu. Connaissez vous celui qui fait honte à l’elite de cette contrée, tant est-il qu’il faut le considerer comme elite. Pour votre gouverne c’est MOREL KIHOUZOU Maire de Makélékélé sosie de petit Satan dont le CV est rempli de meurtres. Il est en effet etonnant qu’un originaire de Madzia, contrée qui a généré des calibres de type Babassana puisse ne jurer que par des supposés Militaires terrés dans leur maison pendant que les populations du SUD payent le contentieux SASSOU/MOKOKO au même titre qu’en 1977, Lissouba a payé le contentieux Sassou /Yhombi parti d’OWANDO avec leure affaire de tipoye.
Mr Londi, vos cyber-origines supposées sont douteuses.
Londi dit:
Je souhaiterais vraiment sur la stratégie que vous mettez en place pour atteindre cet objectif ?
Moi je dis
Ma strategie, je ne vous la communique pas. A question naive, Reponse naive.
Londi dit:
Avec quels acteurs politiques vous voudriez vous associer pour faire avancer la cause du peuple ?
Moi je dis
A priori, je dirais tout sauf un Militaire dont la place est à la caserne. Ils nous ont suffisamment et continue de nous polluer depuis plus de 40 ans qu’on est pas masochiste au point de se taper un autre General MBOCHI. Dites moi, dans votre Nord, n’avez vous pas de CIVILS en capacité de diriger ce pays.
Pourquoi toujours des Militaires ???????? Vos cerveaux sont peu couillus à ce point.
Dans un de vos post, Mr supposé originaire de Madzia Konda mambu, toujours ces compléxés qui ont honte de citer leurs origines vraies et qui citent en permanence le Pool pour se faire du galon, vous affirmez que BOWAO, OKOMBI, MOKOKO sont les seuls a rester droit. Ces rigolos et leur famille que vous citez ont-ils reçu nuitamment les visites de OKO Camille, de IBOVI, de ESSONGO rasant parcelles par parcelles leurs contrées ?
Vos acteurs sont tous trouvé. Cette crise a ceci de révélateur que la ligne Mbochiste incarnée par BOWAO, OKOMBI, MOKOKO pour la sauvegarde du pouvoir au Nord s’est revelée au grand jour. Des le depart, nous nous etions fixé sur MANDZIMBA qui par son acte de forfaiture et de desertion de la Plateforme FROCAD pendant que le sang des Congolais coulait pour connaître sa destination. Nous ne nous sommes pas trompés. C’est lui qui a été à la manœuvre dans la publicatiuon sur son compte FaceBook des faux resultats issus de la CTE donnant votre Candidat Militaire à 39¨%. Ce qui mathematiquement etait impossible.
Ainsi va la logique MBOCHI.
Londi dit :
Mon choix est clair, quel est le vôtre ?
Moi je dis :
Votre choix Mbochiste d’un 4eme Militaire Mbochi President pour proteger les interets du CLAN global Mbochi tel que théorisé par MADZIMBA n’est pas le mien.
Mon choix est simple. Il s’appelle MUNARI. La nouvelle KIMPA VITA KONGO.
N’attendons rien d’Hollande et moins donc de la poltronne france. Attaquons nous aux hommes d’affaires bretons, massacrons-les et la france rougira parce que les bretons n’ont jamais voulu être français et sans la Bretagne la POLTRONNE france est foutu.Ce que veut bretons c’est ce que fera le gouvernement français.
Le peuple POOLOIS est l’équivalent du peuple bretons en combativité, appart les traîtres que nous connaissons tous, le peuple POOLOIS doit mener la lutte de libération.
A bon entendeur,
suite de mon post au Léki
Lire et excusez moi pour les coquilles: En 2016, après nous avoir fait vivre……
C’est un démocrate( parlant de Mokoko), on lui a attribué des coups d’état pièges avec qui il s’est expliquer et qui a fait de lui son conseiller pour continuer à le pièger;
Je n’ai jamais vu au monde un putchiste venir s’expliquer avec celui qu’il voulait renverser . Ce coup d’état remis brusquement à l’ordre du jour parce que Mokoko se présentait à l’élection présidentielle s’est dilués dans la manipulation de sassou, qui lui a attribué des mercenaires qui n’existent nul part et maintenant ce sont les Ninjas de Toumi, l’allié se sassou depuis 1997/1998 qui soutien Kolélas en rupture avec sassou leur maître à jouer.
Non arrêtez d’exterminer les populations du pool qui n’aspirent qu’à vivre en paix.
@ESC,
j’aurais voulu argumenter mais je constate que ceci n’est pas possible. Vous ne naviguez que dans des suppositions dénudées de tout fondement. D’où parlez-vous, monsieur qui intervient avec un pseudo. Vous n’arriverez pas à vous suivre dans vos élucubrations qui se limitent à 2 mots : militaire et mbochi. Je dépasse ce débat stérile. Petite précision. Vous savez cela ne me dérange d’être du nord ou du sud. Après vous pouvez continuer à écrire des inepties mais, de grâce, ne polluez pas le débat puisque vous n’avez aucune proposition qui élève le débat. Nous débattrons quand vous reviendrez avec un sujet intéressant, le plaisir est pour moi. Oeuvrons pour un Congo libre et nouveau.
David Londi de Hamon-Kinkala, Madzia Kondamambu, le village qui a un nom et prénom (petite précision : quartier Pierre Matingou) et vous ?
@Londi
Œuvrons pour un Congo libre et nouveau.
Je dis oui à quoi j’ajoute qu’il faut débarrasser le Congo des MILITAIRES AU POUVOIR.
Le CONGO est avec le Tchad, en Afrique Centrale les seuls pays qui font l’apologie des Militaires.
C’EST UN TORT.
Qu’un pays qui a généré autant de cadres s’accroche aux cadres militaires est à désespérer des cadres civiles.
L’Afrique qui avance, notamment l’Afrique Anglophone et l’ Afrique Occidentale n’a point de militaires au pouvoir.
ESC Mwissi M’Pandzu
@ESC,
mwissi Mpandzu (je ne mettrai pas de m apostrophe parce que cela veut dire que vous êtes dû village Mpandzu), vous revenez avec un sujet intéressant. Nous sommes tous d’accord que la place du militaire est dans les casernes mais ici nous sommes devant un problème à résoudre. Tous les candidats civils (Kolela, Mabiala, etc.) se sont révélés pas à la hauteur de la situation, véritables amateurs politiques aux intentions pas trop claires. Nous devons faire partir Sassou maintenant pas l’année prochaine, les dégâts seront énormes si nous n’y arrivons pas. Quelles sont nos forces pour cela ? On va procéder par élimination : Kolelas, hors jeu, Mabiala, cornerisé, Okombi, mal placé pour un éventuel deuxième tour, Munari, elle continue à se battre mais n’aurait aucune chance devant le tyran. Il en reste un, Mokoko. Les autres sont embastillés. Mokoko réalisé une campagne mobilisatrice dans le sud et il est capable de faire un bon score dans le nord dans l’éventualité d’un deuxième tour. A chaque jour suffit sa peine. Dépassons la contradiction principale avec les forces que nous avons, viendra le temps des débats démocratiques après la période de transition comme le propose Mokoko. Personne ne peut gagner une présidentielle en Afrique s’il n’a pas de réseaux à l’international. Mokoko est certainement le candidat le mieux écouté à l’international et c’est d’ailleurs une des raisons qui fait que Sassou ne peut pas l’emprisonner, autrement il l’aurait fait depuis longtemps comme il l’a fait pour Makaya. Il y a des raisons objectives de supporter Mokoko suite aux trahisons successives de Kolela et Mabiala. Ce n’est pas du fanatisme mais du réalisme parce que mon plus ardent désir est de voir dégager Sassou.
Londi, je pense que vous devriez apprendre à faire la différence entre un monde idéal et l’aptitude ou la probabilité à faire faire évoluer les choses.
De ce fait, vous continuez à persister dans l’erreur, comme bon nombre de personnes qui n’ont pas saisi les enjeux du scrutin du 20 mars 2016, attendant ainsi un miracle, face à un homme dont le mode de fonctionnement n’est plus à décrire.
Dans la situation du Congo, les erreurs d’analyse portent souvent sur la difficulté à distinguer la bataille de communication, des moyens à mettre en place pour débouler l’autocrate au service des mboshis et des multinationales(en priorité).
Le chargé de communication de Mokoko avait, à juste titre trouver les bons mots, en qualifiant sa candidature de « témoigne » et de prise de responsabilité face à l’imposture des « non civilisés ».
Comme cela a été rappelé à plusieurs reprises avant la mascarade électorale, au delà de la volonté des vrais opposants de prouver que le régime d’Oyo Haram repose sur la ruse, la violence et la manipulation, l’idée de l’homme providentiel faisant l’unanimité du Nord au Sud reste une vue de l’esprit, tant que la milice tribale au service du tyran n’aura pas été neutralisée.
Ce constat fait avant le scrutin du 20 mars se confirmer au regard des résultats plus ou moins crédibles, mais assez proche de la réalité, et publiés (CNEI/CTE).
Vous tirez des conclusions hâtives en parlant de plébiscite de Mokoko du Nord au Sud.
Mais, la réalité est tout autre. Celle-ci illustre plutôt une fracture culturelle, voir de civilisation entre le Nord et le Sud.
Beaucoup d’observateurs y voient une différence d’approche de la république, entre des congolais qui s’attachent au clan et d’autres populations qui ont toujours réussi historiquement à transcender les clivages ethniques, en se focalisant sur des enjeux d’alternance et de bonne gouvernance.
Le problème n’est pas en soi la distinction faite entre ces des types de populations, mais celui du rapport avec leur culture à travers la transposition dans l’espace républicain des modes de vies inappropriées, plus proches de la société mboshi décrite par PONEL.
La distinction porte sur les points suivants :
1- Les peuplades du Sud et du Centre ont historiquement connu des formes d’organisation extra-claniques(Téké-Kongo). En se référant à l’histoire, il est quasiment impossible de trouver un degré de concentration du pouvoir au sein d’un groupe ethnique, des finances à l’armée, de la sécurité au pétrole, te que nous pouvons l’observer chez les mbochis
2- Aucune personne honnêteté ne peut nier la concentration des leviers du pouvoir au Congo, au sein d’un système de cercle concentrique partant de la famille à la tribu ; tous les autres étant situés en périphérie. Tout ce système se maintient par de coup de force en tout genre depuis plus de 32 ans. On n’est dans pas loin de ce que PONEL qualifie en 1885(tendance à s’approprier de tout, isolement, sauvagerie, mensonge, aucune notion d’honnêteté…)
On ne peut pas concevoir l’avenir du Congo, sans faire référence au bon usage de nos valeurs traditionnelles, quand elles peuvent contribuer au progrès et au bien être de la communauté.
Cependant, s’il est statistiquement démontré l’existence la surreprésentation d’une catégorie de personnes, parmi celles qui font obstacle à la construction ou la consolidation de l’unité nationale, le problème devrait être traité à la source :
– Mise en place d’un système éducatif favorisant l’intégration dans les valeurs républicaines et l’abandon d’un mode de vie archaïque
– Le rééquilibrage des différentes composantes de la république dans la gestion des secteurs stratégiques (armée, sécurité, finances, gestion des marchés de l’Etat), afin de mettre fin à l’emprise mboshi qui est avérée
La situation du Congo n’est donc pas liée au sort d’un homme, mais à la capacité des fils et filles du pays de s’assoir pour mettre des mots sur les maux dont souffrent le pays, afin d’aboutir à une période transitoire et préparer une vraie élection, sur la base des institutions consolidées.
Donc, votre débat sur le candidat idéal me semble ne pas correspondre au contexte et relève d’une utopie saisissante.
AUTREMENT, IL Y A UNE CHOSE SIMPLE A FAIRE :
1- QUE LES MBOSHIS SOIENT EN PREMIERE LIGNE DE LA CHASSE EN TYRANT, EN COMMENCANT PAR RENCONCER AUX PRIVILGES DONT ILS BENEFICIENT PAR FAVORISTISME ETHNIQUE
2- QUE TOUS CEUX QUI ACCOMPAGNET LE TYRAN EN SERVANT D’ALIBI A L’UNITE NATIONALE SUIVENT L’EXEMPLE.
EN ENGAGEANT CET ELAN PATRIOTIQUE DANS LA LIGNEE DE CEUX QUI SONT DEJA AU FRONT, LE TYRAN NE TIENDRAIT PAS 2 JOURS DE PLUS.
londi dit:
mwissi Mpandzu (je ne mettrai pas de m apostrophe parce que cela veut dire que vous êtes dû village Mpandzu) ….
moi je dis: Hoola . On arrête ….
Tiens, selon vous un mwissi m’panzu vient du village m’panzu.
Et ou se trouve t-il ce fameux village dénommé M’pandzu dans le POOL ?
Les m’vilas vous sont apparemment étrangers.
Pour un ressortissant de Madzia, donc du POOL, c’est GRAVE !…
On arrête. ….
@Nkala,
merci d’avoir pris le temps de lire et commenter mon post. Il m’apparaît que nous divergeons sur le diagnostic pas sur les solutions (organisation de la phase de transition, par exemple, et le processus de démocratisation du contexte politique, social et économique) relatives à la réorganisation de l’état qui intègre encore des comportements monopartistes avec des comportements népotistes.
Nous divergeons sur l’analyse que vous faites en mettant en avant certains caractères sociologiques qui expliqueraient le comportement du dictateur. Pour cela vous vous basez sur Ponel, fin 19e s. Tous les écrits et analyses faits par les colons, à cette période, ont rarement mis en valeur les populations autochtones. Je ne crois pas au déterminisme et aux analyses globalisantes. L’homme est un animal intelligent qui s’adapte aux contextes dans lesquels il est appelé à évoluer. Il est apprenant et identifie clairement les avantages qu’il peut tirer des situations impactant sa vie. Il evolue avec son écosystème. Simple constat. Accepter votre analyse c’est affirmer que l’environnement socio-culturel n’a aucune influence sur le développement mental, intellectuel et social d’un individu. Cette présentation valide le fait que la démocratie, comme conçue universellement, n’est pas adaptée aux pays parce que nos histoires culturelles sont antinomiques avec ce type d’organisation sociale. Vous validez la thèse fumeuse de Peya (pas sûr de l’orthographe ). Eh ben, ne ne suis pas de cette école parce que ne vois la vie comme un processe dynamique. On évolue et on s’adapte. Que diriez-vous de Jacques Opangault qui alla se constituer prisonnier quand Youlou fut embastillé ? Assumant ainsi les conséquences des actions menées ensemble. L’origine régionale ou ethnique peut avoir une certaine influence mais à la marge. L’impact majeur vient de l’éducation et de la conscience que l’on a des responsabilités à assumer. Je suis sûr que vous trouverez des similitudes comportementales entre certaines personnes issues du sud et du nord parce qu’elles ne seront guidées que par leurs intérêts. Être du nord où du sud ne détermine pas des comportements intellectuels et sociaux qu’un individu va avoir. Le rôle en revient donc à l’école, une des institutions pour lesquelles il faut se battre.
Sassou n’agit pas sur la base d’un réflexe socio-culturel mais par soif du pouvoir.
J’ai approuvé la stratégie mise en place par l’opposition pour contrer le tyran mais je ne suis pas naïf pour penser que Sassou allait perdre. Cela nous a donné des éléments de communication pour mettre à nu le vrai Sassou. Cela commence à produire des résultats, je pense. Si c’était à refaire, je le ferais.
Enfin nous divergeons sur le timing : processus à 3 phrases :
– pré-électorale ;
– électorale ;
– post – électorale.
Nous sommes donc en phase post-électorale. Dans cette phase, la communication et la résistance pacifique doivent prendre le pas pour sensibiliser la communauté nationale et internationale, condition sine qua non pour réaliser nos objectifs : départ de Sassou et organisation d’un deuxième tour. Les éléments objectifs en notre possession nous montrent que le seul leader qui tient la route est Mokoko (discipline dans sa communication, homme de réseau et surtout transnational). Les autres de Kolela à Mabiala ont trahi le peuple en lutte. D’ailleurs on n’entend plus Kolela, s’est-il rendu compte enfin de sa bourde dont la presse internationale à fait les choux gras sur l’air : un opposant reconnaît la victoire de Sassou malgré lui en affirmant reconnaître le verdict de la cœur constitutionnelle. Je cherche encore la différence sémantique dans une stratégie de com. Il n’a même pas répondu à la journée de Munari.
Dans un contexte où les innocents sont en train de mourir nous n’avons plus le droit de tergiverser, en toute naïveté, je pense qu’il y a urgence. Nous devons pousser un leader pour le placer en pôle position face au tyran. La naïveté, j’en fais mienne comme qualité parce qu’elle est au début de tout processus de découverte. Accepter ne pas savoir c’est commencer à se poser les bornes questions en s’affranchissant de tout subjectivisme.
Non, non, non Sassou est un tyran, un point, un trait, ce n’est pas parce qu’il est mbochi. Il est le père nourricière d’un clan (sa famille, ses amis et ses valets).
@Londi, continuer à faire l’apologie de Mokoko à deux jours de la consécration du hold-up qu’il était censé arrêter est de la pure masturbation.
La stratégie de participation à l’élection factice n’a pas arrêté la machine à tricher.
Mokoko, qui a pris connaissance de la loi électorale dans l’avion de retour n’a pas été en mesure d’obtenir le report de l’élection ou la mise en place d’une commission électorale indépendante.
A partir de ce moment, même la personne la plus inculte possible devait savoir que cette démarche était vouée à l’échec, en l’absence d’un plan B de reconquête du pouvoir.
Les populations qui l’ont acclamé voyaient en l’homme qui pouvait arrêter la machine à tuer du cartel d’Oyo.
Cela n’était qu’une pure illusion que beaucoup de ses électeurs n’ont pas perçu, de la même manière que ceux qui ont voté pour des candidats se distinguant pas leur maestria, au point de perdre la voix en ce moment crucial.
Cette phase de la lutte n’a pas été à la hauteur des attentes des fameuses populations du Nord au Sud. Et, le cartel d’Oyo continue le déploiement de sa barbarie à grand échelle.
Dans ces conditions, la redéfinition des plans d’actions devant l’évidence de l’impuissance du général s’impose.
Il faut donc cesser de continuer à construire le mythe d’unité nationale à partir d’un épiphénomène.
Si Mokoko ne peut pas reconstituer sa capacité de dissuasion dans l’appareil sécuritaire, il restera l’ombre de lui-même.
Il convient de chercher d’autres moyens pour y arriver.
Quant à la question d’unité nationale, ce n’est pas un homme, mais des instructions qui peuvent y contribuer.
Tant que vous n’aurez pas reconnu cela, vous continuerez à créer les conditions de pérennisation du pouvoir clanique, en allant l’attaquer dans des domaines où il n’a jamais manifesté dans sa trajectoire historique, aucun signe d’honneur d’honneur et de respect de la parole donnée.
@Luc,
j’apprécie le point de vue que vous défendez et je le respecte. Actuellement, le pays est dans une instabilité qui sème la mort. Il est urgent de chercher à y mettre fin. Quelle stratégie ? Quel plan d’actions ? Quelle marge d’actions ? Autant de questions qui nous interpellent.
De la stratégie.
Contraintes : planning serré avec très peu de marge, délais de mobilisation de la communauté internationale sans laquelle il n’y aura jamais de solution durable au Congo (la communauté internationale presse les parties en présence d’ouvrir un dialogue inclusif le plus rapidement possible), l’urgence humanitaire de tous nos compatriotes sous les bombes ou injustement embastillés, le choix des leaders pour porter ce dialogue face au tyran. Face à toutes ces contraintes, nous devons avoir une grande réactivité. Ceci doit se faire dans l’ordre sans précipitation. Nous y sommes. L’opposition a communiqué son organisation depuis la phase pré-électorale. Toute la communauté internationale connaît les noms des protagonistes qu’elle invite à la table des négociations. Encore une fois ce qui compte c’est la force du message que la structure porte. Le peuple a clairement envoyé le message que l’opposition doit porter : en finir avec Sassou le plus rapidement possible. Jusqu’à présent, cette opposition par l’entremise de son porte-parole s’acquitte de cette tâche merveilleusement et avec conviction, je lis ses messages et je je l’écoute sur plusieurs médias. Le processus de déligitimisation de Sassou est en cours, fait certainement décevant pour lui, le roi du Maroc vient de décliner son invitation et certainement beaucoup d’autres présidents suivront cet exemple. La plateforme avec une diaspora très active déroule son plan d’actions, il est nécessaire de ne pas interrompre cette activité qui commence à produire des résultats.
Du plan d’actions.
Tous les acteurs de l’opposition sont dans une situation épouvantable (restriction des libertés les plus primaires) mais dans ces conditions on les voit chercher toutes les voies et moyens pour entretenir la flamme de la révolte. Le plan d’actions viable, en ce moment c’est celui de l’opposition parce que tous ces acteurs ont la légitimité du peuple pour avoir été candidats. Notre action doit consister à le dynamiser, le communiquer et les aider à le faire appliquer parce qu’il sera l’entrant d’un éventuel dialogue inclusif, réclamé par les éventuels médiateurs de cette communauté internationale que nous appelons au chevet du Congo.
De la marge d’actions.
Comme exposé, ci-dessus, le planning est serré. Nous sommes sur le chemin critique, toutes les actions sont tendues, marge 0, nos compatriotes meurent. Ceci pour dire que nous ne pouvons plus entrer dans le processus d’élaboration de nouvelles stratégies. Le temps viendra, en phase de transition, quand il faudra poser le diagnostic global de tous les processus de l’état pour entâmer un plan d’actions d’amélioration de toutes les structures de l’Etat. C’est dans cette phase de transition que le débat démocratique devra être mis en œuvre pour restaurer la citoyenneté du Congo. Mais dans un avenir très proche, nous ne pouvons pas entâmer un travail qui prendra des mois, voire des années. Il faut prioriser.
Dès leaders.
Mon choix se porte sur Mokoko pour des raisons que je viens de développer : contraintes temps, nécessité d’un candidat disposant d’un réseau pouvant lui permettre d’atteindre le plus d’acteurs possibles, constance dans l’attitude à avoir face à des communications fumeuses des Kolela et Mabiala, transnational, son comportement pendant la conférence nationale souveraine et son travail au sein des organisations internationales. Parmi tous ceux qui se sont présentés à l’élection, il me paraît être le plus intègre. Chacun peut se déterminer en fonction des critères qu’il aura choisis, ceux-ci sont les miens. Le temps ne joue pas forcément pour l’opposition et pour le peuple congolais. On ne peut pas changer de stratégie sur le champ de bataille.
Bonne soirée.
@Londi, ceux qui ont donné l’onction populaire à Moïse dont sont sous terre, soit sous la terreur d’une milice des sauvages.
Vous prendrez peut-être des années à le comprendre.
Peut-être, n’avez vous pas des parents qui souffrent le martyr.
Pour ceux qui ont espéré en lui, le constat d’échec est une évidence et la recherche d’autres alternatives est devenue une priorité.
Continuez à cogiter sur Moïse, mais, trouvez lui surtout le moyen de sortir du guêpier et de relever la tête.
En Espagne, le ministre de l’industrie en fonction Jose Manuel Soria démissionne de ses fonctions de ministre, de député et de président du parti populaire (droite) des îles Canaries dans le cadre du scandale des PAPIERS DE PANAMA et autres sociétés dans les paradis fiscaux.
A noté aussi que le Premier ministre Pakistanais vient de quitter son pays à cause de cette même affaire des papiers de Panama ou ces enfants sont dans la liste de ce scandale mafieux mondial.
Nous attendons toujours les kiki, itoua et autres fusibles de sassou prendre le relais.Sachez que votre Hold Up ne vous épargnera JAMAIS de ces poursuites.Vous y répondrez SI sou SI
Panama papers
Pour ce qui est de Kiki il ne risque rien car au Congo ceci est un fait normal étant donné que tous ceux qui participent à ce système mafieux tapent dans la caisse.
Il faut demander au niveau européen et au niveau des usa des régimes de sanction à l’encontre des personnalités qui sont impliquées, à la fois dans la répression et dans la manipulation du processus électoral au congo brazzaville.