Le Gouvernement français a t-il encore une parole en Afrique ? Par Louis ALIOT et Gilbert COLLARD

Aliot-Collard

Aliot-Collard

Communiqué de presse de Gilbert COLLARD et de Louis ALIOT

Parlementaires Français

Le Gouvernement français a t-il encore une parole en Afrique ?

Deux jours après avoir pris acte du déroulement dans le calme de la présidentielle au Tchad, l’Union européenne a réclamé le 12 avril que le comptage des bulletins se déroule de manière « vérifiable et transparente ».

La demande de la Commission européenne intervient au lendemain des accusations de fraudes par l’opposition lors de l’élection présidentielle du 11 avril.

Il est quand même surprenant que l’UE et la France ne demandent pas la même chose au Congo après les événements post-électoraux très graves qui s’y déroulent. Il est regrettable et totalement incompréhensible que le gouvernement français n’ait pas répondu aux appels à l’aide d’une opposition mise sous surveillance et menacée par le pouvoir en place.
Combien de morts faudra t-il donc pour faire réagir la France ?

On est semble-t-il très loin du discours de Dakar du Président Hollande mettant en garde les chefs d’Etats africains « tentés de se maintenir au pouvoir coûte que coûte » et rappelant le soutien indéfectible de la France aux peuples victimes de tels agissements antidémocratiques.

Cette Politique des deux poids deux mesures est la meilleure manière d’accentuer les fractures, d’aggraver les situations et d’exacerber les tensions.

Il semble que la défense des Droits de l’Homme soit une cause à géométrie variable en fonction des intérêts marchands ou inavoués de la Françafrique malheureusement toujours bien présente et active.

Nous allons interroger dans nos parlements respectifs les autorités afin que des décisions soient prises rapidement pour faire respecter les droits de l’Homme et les règles démocratiques élémentaires, indispensables à la stabilité et au développement du continent africain.

Source : http://louisaliot.eu/2016/04/le-gouvernement-francais-a-t-il-encore-une-parole-en-afrique/

Me Gilbert COLLARD et Hervé ZEBROWSKI décrivent le portrait de Sassou-Nguesso (Assemblée Nationale)

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Charles BOUNTSANA

Réfugié politique

Avenue G.D.Gaule, 90

591OO Roubaix

FRANCE

 

A

Monsieur François HOLLANDE

Président de la République  Française

 

Object :

Sur le Génocide et le drame sociopolitique  DU CONGO BRAZZAVILLE

 

 

 

Excellence, Monsieur le Président,

L’honneur m’échoit d’oser m’adresser à votre haute bienveillante autorité pour vous exprimer, avec déférence, mon indignation et le sentiment de révolte de l’ensemble des congolais mais aussi de tous les peuples africains asphyxiés par des régimes politiques totalitaires qui, par la dictature, martyrisent et tuent, leur peuple, en toute impunité et avec la bénédiction de la France, dans la plupart des pays africains francophones au sud du Sahara.

Excellence, Monsieur le Président,

A propos, nous osons penser que le génocide dramatique en cours au Congo  ne saurait vous être étranger car  il semble, en toute évidence, s’inscrire dans une logique concertée  et planifiée d’avance. En effet, les congolais restent convaincus que votre déclaration publique de  NIAMEY, autorisant à « DSN- de consulter son peuple » a manifestement sonné le glas de la démocratie  au Congo  et déclenché la spirale d’une nouveau génocide pour verser le sang et « les larmes des autres » (les africains). A ce  jour, malgré des centaines de congolais lâchement assassinés  à l’autel de la barbarie sanguinaire de SASSOU, l’exécutif français continue à se murer dans un mutisme complice.

Excellence, Monsieur le Président,

Au regard de votre engagement au respect de la charte des droits de l’homme dont la France reste le défendeur acharné ; appréciant, positivement, votre dévouement et votre hyperactivité observés avec admiration  pendant, les attentats sanglants de CHARLIE HEBDO et du BATACLAN (que nous déplorons tous et condamnons avec véhémence), votre attitude« de NON ASSISTANCE D’UN PEUPLE EN DANER DE GENOCIDE » est, non seulement cruelle, mais étonnante. Bien que la charte de droits de l’homme prône l’égalité et la fraternité  entre les peuples et les hommes, Vous restez hélas muet. L’’Elysée fait-elle une discrimination négative des « morts » en fonction de la nationalité (française/congolaise) ou de la couleur de la peau (blanche/noire) qui sauraient justifier  votre  apathie  pour laisser tuer  des vies humaines sans aucune réaction ? Autrement, comment comprendre que les attentats du BATACLAN aient été, de facto, suivi d’un arsenal de mesures sécuritaires (traque et jugement des terroristes, omniprésence de la force publique) et d’un  balais médiatique audible à travers le monde, tandis que l’assassinat planifié des milliers des noirs fauchés par les balles traitresses d’un président africain, tacitement  commandité, par la France et pour les  intérêts français, n’a eu droit qu’à l’indifférence totale?

Excellence, Monsieur le Président,

Pour les congolais profondément indignés, il n’existe aucune différence fondamentale significative entre les massacres du BATACLAN  et ceux du CONGO (Pool) : excepté  que les  victimes  innocentes  du BATACLAN sont morts par des attentats planifiés par des citoyens marginaux-véritables déchets humains» made « in France », et forts radicalisés à cause des  politiques sociales inadaptées. Tandis que les victimes du génocide -Congolais-sont, quant à eux, commandités et tuées ouvertement par un Président de la République qui a la charge de les protéger. Pour ceux du BATACLAN on recherche inlassablement les auteurs, pour les seconds on  connait bien l’assassin principal mais on le protège tant il est le garant des intérêts français. Cette discrimination alarmante pousse les congolais à se rendre à l’évidence que  dans l’esprit européen, les morts ne se ressemblent pas selon la couleur de leur peau et leurs milieux géographiques.

Enfin, Monsieur le Président, nous avons la faiblesse de déduire que pour les congolais meurtris et abandonnés à eux-mêmes, il n’existe aucune différence notoire entre les morts des citoyens congolais,  massacrés  à cause d’une présidence à vie octroyée à un dictateur pour sauvegarder les intérêts français  et les juifs assassinés par  le régime NAZI d’HITLER  pour des motivations idéologiques ou politiques. Fort de cet argument, le peuple congolais  souhaite que vous  sortiez de  l’engrenage d’une France-Afrique qui a toujours réduit les présidents français  à une dimension d’homme politique plus à la solde des lobbys pétroliers et de ses intérêts  qu’à celle de chef d’Etat préoccupé pour le bien commun universel et la défense équitable et intrinsèque des droits et libertés individuels  à travers le monde.

 

Excellence,   Monsieur le Président,

Nous sommes convaincus qu’à force de vouloir toujours sauvegarder les intérêts de la France par des stratégies et des politiques fondées sur la violence allant  jusqu’à verser  le sang humain des citoyens innocents, comme ceux du BATACLAN, sans comprendre que les épiphénomènes sociaux de : l’immigration sauvage, de la  radicalisation et du terrorisme…ne .constituent qu’une dimension cachée de la revendication , d’un monde meilleur, plus juste et plus équitable pour tous,( arabes, blancs ou noirs,)   quelles que soient leurs origines,

Excellence, Monsieur le Président,

Cette forme de politique de « la France Afrique » qui tue, finira par devenir un piège qui se refermera contre la France entière, même au plus haut sommet de l’exécutif Français  car « l’histoire risquerait, un jour, d’exhumer  ces divers  crimes contre l’humanité, en Afrique francophone  au sud du SAHARA et plus  précisément au CONGO BRAZZAVILLE, La violence appelant la violence, sans rempart, sans soutien, les peuples africains et la jeunesse congolaise  risqueront de céder à la tentation de franchir  le rubican pour s’inscrire graduellement à l’école du terrorisme en se marginalisant et en se radicalisant  pour  mieux défendre leur droit à la vie, à la justice, à la paix, à la prospérité et  à la dignité humaine par des actes antisociaux allant jusqu’u  sabotage des Intérêts français. au CONGO au CAMEROUN, au TCHAD. Voire, à travers l’Afrique et le monde.

 

Mais, nous osons espérer, Monsieur le Président, que grâce à vos prérogatives de chef de l’Etat français vous disposez de tous les atouts majeurs pour éviter que la politique  avilissante de la FRANECE AFRIQUE  NE n’ensevelisse pas que les pauvres citoyens congolais mais aussi la dignité et l’estime dont jouit la France à travers les nations.

En vous remerciant de votre bienveillante intervention, nous souhaitons que votre sensibilité et votre magnanimité soient mis au service des congolais et des populations du POOL, victimes d’épuration ethnique planifiée. Et, nous vous supplions d’interpeller le président SASSOU  pour : qu’il  reconnaisse sa défaite aux présidentielles du 20 Mars 2O16 et  qu’il arrête le génocide contre le POOL car sa dictature qui  dérange et commence à dépasser la coupe de l’endurance ne saurait continuer  impunément.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de toute notre grande considération

Paris le 10 Avril 2O16

Charles BOUNTSANA

[email protected]

Sassou et ses sbires se préparent un passeport pour la CPI. Par Rigobert OSSEBI

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36 réponses à Le Gouvernement français a t-il encore une parole en Afrique ? Par Louis ALIOT et Gilbert COLLARD

  1. VAL DE NANTES, dit :

    LE TCHAD ET LE CONGO ONT LE MEME ADN ET ON NE PEUT RIEN EN ATTENDRE .

  2. Le la wabari dit :

    Continuer de crier sur tous les toits, DSN est là.

  3. Anonyme dit :

    le la wabari, tu argumentes rien avec ton idiotie éternelle. Pauvre de toi…

  4. VAL DE NANTES, dit :

    Parles en à tes parents .Les attardés au CONGO sont légion .

  5. VAL DE NANTES, dit :

    @LE LA WABARI, tes parents , ont commis l’erreur de te concevoir , car insinuer de tels propos vu l’état catastrophique du pays , relève d’une mauvaise sortie des entrailles de votre génitrice .

  6. Ciblons les français partout dans le monde pour rendre la monaie dit :

    Graduellement, nous les opprimés du congo abandonnés sous les balles de sassou nguesso et sa mafia politique française, avec des amis du peuple meurtri du congo rendrons coup par coup aux français depuis le sommet jusqu’aux citoyens lambda français ce que nous subissons actuellement et ce jusqu’à la fin des temps.

  7. Anonyme dit :

    C’est exact, je ne sais quoi nous attendons pour commencer à finir avec les français qui sont installés au Congo? AGISSONS.

  8. Bulukutu dit :

    Le la w… Illustration de l’électorat du préfet- Zident. La bêtise en flux continu.

  9. Bulukutu dit :

    Un seul mot en ce qui me concerne. Bloquer PN

  10. disu dia konko dit :

    La France se décrédibilise seule parce qu’elle a gardé un schéma trop colonial de l’ Afrique. On a remplacé les gouverneurs blancs par des gouverneurs noirs qui font le même travail voire « pire » que le gouverneurs blancs.
    D’ un coté, la France appelle á plus de démocratie et en même temps elle soutient les dictateurs(ben ali, Compaoré, eyadema, sassou…..). Qui peut vous prendre au sérieux encore? Les progrès technologiques sont tels qu’on ne peut plus cacher une info. Tout se sait et les français font comme si de rien n’était. La position est intenable á long terme.Vous êtes sous la pression constante de présence chinoise en Afrique. Et ça vous pousse à faire n’importe quoi.
    Les intérêts de l’état français ne sont pas menacés en Afrique pour l’ instant l. Ce qui est menacé ce sont les intérêts de certains particuliers ou certains politiques.

  11. SASSOUFIT,DEGAGE dit :

    Le la wabari,tu ne mérite pas autre chose,il n’y a que les mouches à merde qui peuvent honorer de la merde comme Sassou

  12. Bulukutu dit :

    Lu pour vous:

    Lettre publiée dans le journal Le Monde

    Attaques criminelles contre les populations civiles en République du Congo. Les Français doivent savoir. Le gouvernement doit sortir du silence.

    Monsieur le Président de la République,

    Le 4 avril 2016, falsifiant comme d’habitude le résultat des urnes, la Cour constitutionnelle de la République du Congo, aux ordres, valide la réélection à la Présidence de la République du candidat Denis Sassou Nguesso, au pouvoir depuis 32 ans. Préparé à ce coup d’État électoral, cette fois, le peuple congolais est prêt à amplifier sa résistance pacifique et à poursuivre sa désobéissance civile. La réponse du système militaro-politique congolais est également prête depuis des mois. Elle consiste à désigner le sud de la ville et du pays comme foyers d’invisibles et insaisissables ennemis intérieurs.

    Dans la nuit du 4 avril 2016, les tirs à l’arme lourde ciblant les populations civiles ont déjà commencé sur les quartiers sud de Brazzaville. Quelques heures plus tard, les habitants sont chassés de leur maison et déplacés au nord de la ville. Le lendemain débutent les bombardements des villages du Pool (sud du Congo). Les premières images de cadavres commencent à circuler sur les réseaux sociaux.

    Auparavant, le Président Denis Sassou Nguesso est rentré d’une tournée à l’étranger où, sans doute, il est allé vérifier si ses vieilles alliances en Europe et en Afrique vont une nouvelle fois le « couvrir » en échange, pour les uns, d’une solidarité entre tyrans et, pour les autres, d’un accès facilité aux immenses richesses locales (pétrole, uranium, etc.) dont bien peu de Congolais profitent. Sans doute est-il allé vérifier une nouvelle fois, à l’extérieur, sur qui compter pour accompagner sa survie politique à l’intérieur, et conserver le pouvoir par tous les moyens. En arrêtant les opposants, en torturant, en exécutant ; en opposant les régions congolaises entre elles; en agitant le spectre du retour des guerres civiles de 1993/97/98, qu’il avait lui-même planifiées, et pour la responsabilité desquelles il a pour l’instant échappé aux condamnations de crimes contre l’humanité ; en encourageant le dysfonctionnement et la corruption de l’État ; en manipulant l’information ou en achetant le silence au Congo et sur la scène internationale ; en armant ses propres milices, soi-disant aux ordres de nébuleux ennemis de la « Patrie » pour terroriser les corps, les esprits, le pays entier, mettre ainsi en scène son retour providentiel et apparaître, encore une fois, comme l’homme du recours, le père de la Nation.

    Pourtant quelque chose a changé à Brazzaville. Du nord au sud du pays, le peuple congolais n’est plus manipulable. La jeunesse congolaise est descendue dans la rue à l’automne dernier. Massivement, au nord comme au sud, les Congolais ont boycotté le référendum d’octobre 2015 qui visait à modifier la constitution pour prolonger encore les 32 années de pouvoir du Président Denis Sassou Nguesso et lui garantir l’impunité internationale au cas où les choses tourneraient mal pour lui.

    Massivement, les électeurs ont ensuite voté pour l’opposition aux élections présidentielles le 20 mars 2016. Celles-ci se sont déroulées à huis clos, les autorités ayant coupé toutes les communications à l’intérieur du Congo et vers le reste du monde durant quatre jours ; d’où cette invraisemblable annonce des résultats au milieu de la nuit du 24 mars – le Président ne s’accordant cette fois ci « que » 60% des suffrages !

    Massivement, pour contester cette mascarade, les Congolais ont alors répondu au mot d’ordre pacifique de désobéissance civile durant la journée ville morte le 29 mars.

    La répétition aujourd’hui d’un scénario cauchemardesque ne doit rien à la fatalité, mais davantage au laisser-faire, au laisser-dire. Cela ne sert à rien de plaindre les Congolais. Nous devons suivre leur exemple de courage et de résistance. Dire et redire que c’est au peuple congolais, et à lui seul, de bâtir un État de droit. Pas aux affairistes de tous bords, pas aux militaires, pas aux gouvernements étrangers complices ou concurrents économiques et stratégiques dans la région. Il en va du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

    La France est le premier partenaire économique du Congo. Monsieur le Président, vous devez sortir de votre silence. Le pays doit cesser urgemment ses relations mafieuses et militaires avec la dictature en place.

    Au nom de la solidarité entre les peuples, nous demandons l’arrêt immédiat des tirs sur les civils, la libération des opposants politiques, la non-reconnaissance par la France et la communauté internationale des résultats électoraux, le retour de la presse internationale sur le terrain et la tenue de nouvelles élections présidentielles en présence d’observateurs internationaux impartiaux.

    Jean-Paul Delore (metteur en scène), Catherine Laval (costumière, syndicaliste), Dieudonné Niangouna (auteur), Laëtitia Ajanohun (auteure)

    Premiers signataires :

    Jean-Loup Amselle (directeur d’études à l’EHESS)
    Benoît Awazi Mbambi Kungua (philosophe, président du Cerclecad)
    Valérie Baran (directrice du Tarmac – scène internationale francophone)
    Julien Bayou (conseiller régional, porte-parole d’EE-LV)
    Franck Besson (éclairagiste)
    Delavallet Bidiefono (chorégraphe)
    Sébastien Boisseau (musicien)
    Sylvie Bosser (enseignante-chercheuse)
    Olivier Bost (musicien)
    Patrick Braouezec (ancien député-maire de Saint-Denis, président de Plaine Commune)
    Sylvie Coma (journaliste)
    Philippe Corcuff (maître de conférences de sciences politiques à l’IEP de Lyon)
    Diane Chavelet (auteure, doctorante Paris-7)
    Léa Couqueberg (chargée de production)
    Claire Delore (orthophoniste, syndicaliste)
    Zineb El Rhazoui (journaliste)
    Catherine Faudry (chargée de mission culturelle)
    Anne Feuillère (journaliste)
    Sean Hart (vidéaste)
    Yoko Higashi (musicienne)
    Tina Hollard et Hafid Chouarf (association Globe Trot’Art)
    Bastien Lagier (régisseur)
    Dominique Le Jean (feutrière)
    Laurent Léger (journaliste)
    Emilie Leloup (administratrice et productrice)
    Valérie Manteau (éditrice, syndicaliste)
    Nicolas Martin-Granel (chercheur associé à l’ITEM CNRS-ENS)
    Bernard Mathonnat (président des Francas en Île-de-France, directeur du festival théâtral du Val-d’Oise)
    Alexandre Meyer (musicien)
    Frédéric Minière (musicien)
    Etienne Minoungou (comédien)
    Mathieu Montanier (comédien)
    Alexandre Neumann (professeur, université Paris-8)
    Julie Peghini (anthropologue, université Paris-8)
    Olivier Pelletier (ingénieur du son)
    Patrick Pelloux (médecin urgentiste, syndicaliste)
    Guillaume Pons (éclairagiste)
    Jacques Pornon
    Agnès Tricoire (avocate à la Cour)
    Guy Villerd (musicien)
    Nadine Wanono (chercheuse)

  13. Anonyme dit :

    C’est bien, votre lettre à François HOLLANDE. J’ose espérer que vous avez corrigé les différentes fautes avant de l’envoyer.

  14. Anonyme dit :

    Ma remarque au sujet des fautes concerne à la lettre ouverte écrite par notre ami BOUNTSANA.

  15. PUR CONGOLAIS BOYCOTTONS TOUT CE QUI EST FRANCAIS dit :

    BOYCOTT BOYCOTT BOYCOTT A TOUT CE QUI EST FRANÇAIS

    Un ‪#‎TotalitaireSANGUINAIRE‬ n’a pas de concurrent à sa taille tant que le peuple ne relève pas le défi. ‪#‎Sassoufit‬ les ‪#‎CrimesContreLHUMANITE‬ ‪#‎FrancAfrikPetroleDeSANG‬. J’accuses la France de crimes contre l’l’humanité au Congo à des fins coloniale et enrichissement illégale par les bras Armées du criminel SASSOUFIT.
    J’accuses la France de colaborer’ participer ignorer les consequences de ses actes depuis trop longtemps.
    J’accuses la communauté internationale de ne jamais condamner cette France criminelle. ‪#‎ElyseeFrancAfrik‬ je ‪#‎BoycotteTOUTceQuiEstFRANCAIS‬

  16. ESC dit :

    ourquoi le procureur de la republique OKO machin n’a t-il pas ordonné le bombardement de la maison et le village du général Mokoko ?

    Pourquoi le régime de Sassou n a t-il pas bombardé la Likouala et le village de Bowao ,ils ont choisi appliqué la procedure judiciare aux nordistes mais bombardé Ntumi et massacrer le pool sans interpellation du procureur de la République à la télé ?

    Bizarre Bizarre

  17. Dircab dit :

    Ne croyez plus en Hollande le pingouin de l’élysée ni à la France. Le Congo nouveau sans Sassou devra sortir de la francophonie et choisir nos langues comme langue officielle et non plus le français.
    Bilan fait, la France ne nous a rien apporté depuis nos indépendances sinon que des pleurs et des malheurs alors débarrassons nous en.
    Nous verrons bien ce soir à 20h sur France 2 si Hollande le pingouin aura une pensée pour les congolais qui meurent à cause du blanc seing accordé au pinochet congolais par ses soins de changer de constitution et donc de se maintenir au pouvoir. Vivement avril 2017, j’en ai marre de le voir à la télé ce mec.

  18. Bulukutu dit :

    @Dircab. Il n’y a pas que la langue dont nous devons nous débarrasser. Il y a aussi la monnaie. Le franc CFA doit-être supprimé sans ménagement et sans conditions.

  19. Anonyme dit :

    ESC dit :

    Tout ceci n’a rien de bizarre mais simplement un plan machiavélique pour asseoir encore un peu plus sa domination sur les populations le scénario est bien rôdé..
    -S’il attaque le sud c’est qu’il a trouvé en Ntumi un bouc émissaire en le déclarant terroriste ceci lui permet de cacher ses assassinats comme actes de répression policières à l’encontre d’un soit disant ennemi voulant déstabiliser le pays.
    -Il accentue la fracture Nord / Sud entre population et se pose en garant de l’unité nationale.
    Donc plus on s’invective entre nous plus on fait le lit du tyran.
    -Par la même occasion il effraie les populations en leur rappelant ce qu’est la guerre, pour bloquer toutes envie de rebellion qui pourrait se faire sentir.
    -En touchant Mokoko et Bowao trop tôt il sait bien la qu’il devra passer une étape qui dépasse les frontières du Congo en terme d’image et de communication et ce tyran qui a toujours travaillé à huis clos n’aime pas la publicité.

    La division Nord / Sud qu’il entretient et dans lequel nous participons en tombant dans le panneau ne fait que conforter sa position.

    Ce tyran n’est pas un politique mais un mafieux et en a rien à foutre du petit peuple qu’il soit du Sud ou du Nord tout ce qui l’importe est de conserver le magot sur lequel il est assis et faire perdurer la dynastie nguesso sur le pays.

  20. le fils du pays dit :

    Bountsana et d’autres écrivains.
    Putain! quel manque de prise de conscience.
    Quand allez vous faire un discernement et comprendre une fois pour toute que la france est la source des maux dont souffre le Congo.
    Quand allez vous comprendre que la solution au problème Congolais est militaire c’est a dire le dégagement de Denis Sassou qui est le valet de l’empire français et la france elle meme par la force des canons.Regardez le monde.Les latino Americains ont defait l’étau de l’empire Usa,les Asiatiques également.Il ne reste que les peuples d »afrique qui pleurnichent auprès des colonisateurs,très incapables de desserrer l’étau.Vous allez écrire des tonnes et des tonnes a l’empereur Hollande Francois,il n’enlèvera pas son gouverneur noir (Denis Sassou dit Nguesso)en mission avancée qui le sert bien.Malgres les faits historiques,vous continuez a croire comme les petits enfants que la vie des noirs intéresse les français.Vous etes vraiment la honte du monde.
    Organisez vous comme les autres peuples opprimes de la planète l’ont fait et chassez du Congo le valet-tyran-gouverneur noir et son employeur la france.

  21. LE CONGOLAIS dit :

    Honte a la France qui va jusqu’a utiliser un avion d’aviation civile pour nous espionner car en effet hier un avion d’Air France a survolé a base altitude la ville de Pointe Noire.

  22. Anonyme dit :

    Dans notre pays, la guerre d’usure doit-être formée par la désobéissance civile, qui d’ailleurs le 18 Mars 2016 avait été bien relayée, les rassemblement pacifiques, la pression sur les réseaux sociaux et tout autres méthodes consistant à maintenir la situation chaotique pour fatiguer les sbires, filmer toutes leurs actions et occasionner beaucoup de dépenses au président sortant. Du côté de la population, il faut observer une grande discrétion, éviter les pertes en vie humaines occasionnées par les sbires.

  23. Guy Grenardin MILANDOU dit :

    Mr HOLLANDE a perdu son âme et sa dignité . Soyons réaliste , car nous n’avons plus rien à attendre de positif de la part de Mr HOLLANDE . Même quand HOLLANDE apparait actuellement à la Télé , pour ceux qui savent discerner les signes , il s’avère que l’AURA de HOLLANDE a complètement ternie . HOLLANDE brille par une impéritie notoire , car il n’est plus que l’ombre de lui-même . A son IMPOPULARITE criante , s’ajoute son INCONSTANCE et son INCOHERENCE .
    La FRANCE aurait mérité mieux comme Président .

  24. congo na bisso dit :

    la France creuse sa proper tombe on afrique temps que la France va continue sa sale politique de soutenir les dictateurs et de n’est vraiment investir ce peuple des ce pays tournerons ver les anglos americain regadez a part les compagnie petrolier et le port de bolore’ les Francais n’ont pas vrement des grand compagnie au congo mais la France est premiere investisseur du congo la majorite’ du people est au chaumage donc la France ne travail pas assez .

  25. PEUPLE POOLOIS & PEUPLE BRETONS dit :

    N’attendons rien d’Hollande et moins donc de la poltronne france. Attaquons nous aux hommes d’affaires bretons, massacrons-les et la france rougira parce que les bretons n’ont jamais voulu être français et sans la Bretagne la POLTRONNE france est foutu.Ce que veut bretons c’est ce que fera le gouvernement français.
    Le peuple POOLOIS est l’équivalent du peuple bretons en combativité, appart les traîtres que nous connaissons tous, le peuple POOLOIS doit mener la lutte de libération.

    A bon entendeur,

  26. Voici un article passionnant qui retrace et recherche la vérité des faits. Il est rédigé en continu (mis à jour au fur et à mesure de l’évolution des évènements).
    DENIS Sassou N’GUESSO aggrave la crise à son profit : le Génocide ? (Document maître, en continu) http://www.mirastnews.com/2016/04/denis-sassou-n-guesso-aggrave-la-crise-a-son-profit.html
    Parcourez le site pour en savoir plus.

  27. ANONYME dit :

    Quelle que soit l’alternance la france restera un pays ami (qui a surtout des intérêts), le principal partenaire économique et diplomatique du Congo. Mais la manoeuvre à la quelle nous assistons est l’expression de la nostalgie d’une l’élite française complexée du fait que la france n’est plus une grande puissance. Ce sentiment amer se lit à travers le présent communiqué qui est un modèle de paternalisme français cuisiné à la sauce de l’extrême droite. Pourtant l’élection du 20 mars était libre et démocratique, elle a connue un taux de participation record, elle s’est déroulée sous un climat apaisé qui a prévalu tout le long de la campagne électorale que la majorité et l’opposition ont brillamment menées. Admettons qu’il s’agisse de l’Algérie unie et solidaire, un nostalgique « pied noir » (les plus farouches des colons jifistes) aurait il pu mettre ne fut ce qu’un pied dans le plat ? Il faut le dire toujours avec sagesse, conviction et sans polémique: les dirigeants du FN doivent respectés le droit des peuples africains à disposer d’eux même. Tout comme leur parti politique prêche dans le désert technocratique de Bruxelles, en faveur du rétablissement des frontières souveraines de la france diluées au sein de l’UE et abolit par les accords de Shengen, les congolais considèrent que l’unité nationale et la souveraineté du Congo sont non négociables. De plus, l’UA (l’avis de ses observateurs prime sur les occidentaux) a instituée le principe de l’intangibilité des frontières. Par conséquent nous devons jamais accepter que des acteurs étrangers s’ingèrent en permanence dans les affaires africaines, avec la volonté d’encourager les peuples à la division au lieu de promouvoir la paix et l’unité. Pour protéger son territoire du djihadisme communautaire venant des banlieues, le gouvernement français a mis en place l’état d’urgence avec l’assentiment du FN allié objectif du PS. Combien de partis politiques congolais ont protestés ? La france est le seul pays d’Europe où le principal opposant de Droite, ancien président de la république, s’est ingénié dans l’invention des pseudonymes folkloriques (le fameux Paul Bismuth, c’est du jamais dans le monde) pour leurrer la surveillance téléphonique du régime socialiste de Gauche. On ne peut que dénoncer les méthodes employées par le PS du très influent M.Braud, tout en soulignant que sarkozy bismuth est un personnage félon, au vu de la situation chaotique que vit aujourd’hui la Libye. Comment les hommes politiques français, toute tendances confondues, peuvent être à la fois Charlie à Paris et autre chose en Afrique ? C’est l’ignorance, le racisme et le mépris par la politique du deux poids deux mesures.

  28. Bulukutu dit :

    Comprenons tous ici, que la France à travers son préfet-zident nous mène une guerre sans merci pour préserver sa domination sur le Congo. Pour cela, elle s’appuie sur des symboles. Mater une bonne foi pour toute, l’esprit rebelle des populations du Sud et plus particulièrement celle du Pool, parce que c’est cette population qui a été à la tête des revendications émancipatrices pour le peuple congolais. Les premiers résistants à l’ordre colonial, viennent de cette partie du pays.

    En instrumentalisant le tribalisme, elle a essayée d’enrayer la dynamique indépendantiste en divisant. Imprégné de cette réthorique de division apprise à l’école coloniale, le préfet-zident voue depuis cette époque, une haine sans borne à l’égard des sudistes et plus particulièrement les Kongos-Laris. Nous avons maintenant tous compris qui est notre véritable ennemi depuis les années 60. Nous avons tous compris que cet ennemi s’appuie sur des négriers negro africains pour perpétuer l’ordre colonial. Mais avons-nous compris que cet ennemi est prêt à tout pour préserver cet ordre colonial? Avons-nous compris que cet ennemi nous mène une nouvelle guerre d’indépendance? Avons-nous compris que nous ne sommes pas uniquement contre le préfet-zident, mais aussi contre l’ancien ordre colonial? Avons-nous compris que nous ne gagnerons pas la guerre d’indépendance en cours, sans en payer le prix? certains internautes ont très tôt attiré notre attention sur le fait que la solution était militaire pour se débarrasser du préfet-zident et de la France.

    La France n’a aucun intérêt à nous accorder une aide pour se débarrasser du tyran, car ce dernier rempli parfaitement sa mission. Les hommes politiques congolais doivent se rendre à l’évidence. Nous ne sommes pas en démocratie, l’ordre colonial est maintenu, et que c’est une lutte multidimensionnelle qui va au-delà du face à face avec le tyran. Il faut donc se donner les moyens de gagner la guerre. Il ne sert à rien de faire semblant de donner des gages aux français pour espèrer obtenir leur aide. Ils ont déjà choisi leur camp depuis Octobre 2015.
    Ne nous voilons plus la face, nous nous battons contre la France. Aux bi-nationaux, je dis ceci: vous êtes dans la gueule du loup.
    Seul alternative pour nous: Bloquer PN coûte que coûte. La France le sait et elle va se défendre. Mais on est chez nous. A bon entendeur.

  29. POUR LE VIVRE CONGOLAIS DESORMAIS dit :

    J4M: LE TEMPS DU DEVOIR A SONNÉ
    Rassembler – Apaiser – Rassurer
    Il commande de sortir de nos réserves, de marcher ensemble vers un ordre politique nouveau rigoureusement et authentiquement démocratique !
    La gestion conflictuelle du pouvoir au Congo telle que nous l’observons actuellement, résulte du manque de volonté de respecter les règles du jeu, de promouvoir la démocratie constitutionnelle et la transparence…Quoi qu’il en soit, ni la corruption ni les intimidations ne peuvent endiguer pour longtemps le mécontentement d’un peuple qui a cru au suffrage universel, et se sent à juste titre trahi. Devons-nous demeurer indifférents? Assurément non. L’essentiel pour nous, et certainement le plus difficile, consiste en ce que tous , du sommet à la base nous acceptions de vivre autrement, de rejeter avec la force morale qui doit caractériser l’élite d’une nation, l’idée de se laisser avilir par de l’argent facile provenant de la politique.
    Notre démocratie est en péril, voire crucifiée. c’est l’échec de toute une génération, mais cette situation désastreuse, je le redis , n’a rien d’irrémédiable…Il nous faut dans notre pays qui est le Congo quitter les labyrinthes obscurs de cette plaie qu’est l’ethno-regionalisme. Notre combat commun (doit) se situe(r) en dehors des rivalités de personnes et du circuit de règlements de comptes tribalistes et opportunistes.
    Il doit plaider inlassablement en faveur d’une citoyenneté intégrale dans tout le pays. il n’y aura pas de portions de territoire exclusivement réservées aux uns et interdites aux autres. Il n’y aura pas de privilèges réservés aux uns et interdits aux autres de par la région, la tribu ou le clan. A la force publique, la considération que confère le statut de militaire disparaît dès lors que l’on aura démérité, trahi notre mission. Dés lors que l’armée congolaise sera perçue comme complice d’un système d’injustice et d’inégalités insupportables.
    Chacun doit mesurer l’ampleur du désastre…. en effet, alors que règne dans tous le pays une détresse profonde, la classe politique au pouvoir se montre soucieuse de ses seules avantages et s’épuise à gérer des compromis aussi indigestes que périlleux pour la Nation. Face à un tel constat, le devoir de chaque citoyen, quel qu’il soit n’est il pas de tenter de réagir en allant dans le sens de la légalité, du respect des principes républicains, juste chemin en dehors duquel les dirigeants actuels se sont délibérément éloignés ?
    C’est une situation de crise profonde que nous vivons et les arrangements au niveau de la sphère politique n’enlèveront rien à la gravité de la situation et à l’impérieuse nécessité de changer la politique et la manière de mener celle-ci dans la pratique.L’espoir est permis.
    Il passe par l’adhésion et l’engagement de tous les patriotes convaincus du gâchis observé aujourd’hui dans notre beau pays et soucieux de réhabiliter l’Etat de droits, les valeurs républicaines et démocratiques, et de promouvoir l’unité de la Nation dans la diversité culturelle, dans la morale, l’égalité, la justice sociale.
    « Nous l’avons dit: le temps du devoir a sonné. Il commande de sortir de nos réserves, de marcher ensemble vers un ordre politique nouveau, rigoureusement et authentiquement démocratique. »
    Jean-Marie Michel MOKOKO

  30. DEBANDADE dû aux PAPIERS DE PANAMA dit :

    En Espagne, le ministre de l’industrie en fonction Jose Manuel Soria démissionne de ses fonctions de ministre, de député et de président du parti populaire (droite) des îles Canaries dans le cadre du scandale des PAPIERS DE PANAMA et autres sociétés dans les paradis fiscaux.

    A noté aussi que le Premier ministre Pakistanais vient de quitter son pays à cause de cette même affaire des papiers de Panama ou ces enfants sont dans la liste de ce scandale mafieux mondial.

    Nous attendons toujours les kiki, itoua et autres fusibles de sassou prendre le relais.Sachez que votre Hold Up ne vous épargnera JAMAIS de ces poursuites.Vous y répondrez SI sou SI

  31. Des sanctions à l'encontre de sassou et son regime dit :

    Il faut demander au niveau européen et au niveau des usa des régimes de sanction à l’encontre des personnalités qui sont impliquées, à la fois dans la répression et dans la manipulation du processus électoral au congo brazzaville.

  32. LE DÉSHONNEUR ET LA HONTE DU CONGO DE CE SIÈCLE s'appel sassou nguesso dit :

    Le 20 mars 2016, le peuple congolais a bien déshabillé, lavé et exposé Denis Sassou Nguesso et tout le monde le sait.
    Honte à tous ceux qui viendront assister ce 16 avril 2016 à la cérémonie de crucifixion de la démocratie au Congo-Brazzaville.
    Honte à tous ceux qui viendront applaudir l’enfer des Congolais.
    Honte à tous ceux qui font semblant d’ignorer la tragédie congolaise.
    Tous les démocrates, réveillons-nous, sortons de notre torpeur, c’est notre liberté que l’on crucifie une nouvelle fois.

  33. Anonyme dit :

    « Lu pour vous »

    Le plus grand succès de Denis Sassou Nguesso est d’avoir infantilisé les Congolais en leur déniant le droit de penser et organiser leur avenir commun. Il a créé artificiellement deux Congo en instrumentalisant les différences ethniques afin de tuer dans l’œuf tout désir de changement et toute alternance politique.

    Contesté pour l’arbitraire de son pouvoir, la corruption et la concussion des cadres qu’il a choisis, l’arrogance de son clan familial que la captation des ressources minières nationales a enrichi, Denis Sassou NGuesso est aujourd’hui très impopulaire. Mais il n’en a cure. Président il était, président il est, président il sera. L’homme qui voulait être roi l’a décidé ainsi.

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