Annoncée pour le 17 décembre 2022 par la très informée Africa Intelligence dans sa publication du 9 décembre 2022, la rencontre entre le Président Emmanuel Macron et l’octogénaire et autocrate congolais AURAIT eu lieu le jeudi 22 décembre 2022.
Alors, le communiqué de presse de Sassou Dénis à propos de sa rencontre avec le Président Emmanuel Macron est-il « une fake news » ? En France, tout le monde sait qu’avant le Conseil des Ministres, le Président fait un premier point avec son (sa) Premier(e) Ministre d’au moins 30 minutes à 1 heure. Alors à quelle heure cette rencontre entre le Président Macron et Sassou Dénis a-t-elle eu lieu, 5h00, 6h00…7h00 du matin avant la réunion du Conseil des ministre commencée à 10h00 ?
La photo de Sassou Dénis et le Président Macron aurait été prise sur le perron de l’Elysée le jeudi 22 décembre 2022. Est elle un photo-montage à l’image de celle de Donald Trump et Sassou Dénis qui avait une tête de plus que le nouveau locataire de la Maison Blanche ?
Qu’à cela ne tienne, que le Président Macron ait reçu l’autocrate congolais ou pas, peu importe, ce que nous devons retenir, c’est que le Président Macron considère l’octogénaire kleptocrate congolais comme un personnage infréquentable, n’ayant pas rendu publique cette réunion. En terme diplomatique c’est un désaveu et une humiliation !
Le Président Emmanuel MACRON défend les intérêts de la France et tant pis pour les Congolais si leurs dirigeants illégitimes ou non ne défendent pas ceux de leurs populations.
Le Président MACRON ne fera pas la Révolution à la place des Congolais et comprenons une fois pour toutes, que les Etats n’ont pas d’amis, mais que des intérêts. Chaque Peuple mérite ses dirigeants !
Ce n’est pas la France qui empêche Sassou Dénis de construire des écoles pour nos enfants, des dispensaires ou des hôpitaux, le ramassage des ordures ménagères, la distribution de l’eau potable dans les robinets et l’électrification de nos villes qui sont des bidonvilles à ciel ouvert.
Mingwa BIANGO
Diffusé le 23 décembre 2022, par www.congo-liberty.org
les congolais en depit de leurs grandes gueules sont des nazes in capables et ils sont a l imaqe de ceux qui sont au gouvernement a qui ils reprochent la mauvaise gouvernance
ARRETEZ DE TAPER SUR LA FRANCE QUI VOUS HEBERGE ET QUI VOUS NOURRIT/ AU CONGO BRAZZAVILLE VOUS NE SERIEZ QUE DES MENDIANTS DES SERVILES DU RESEAU POLITICO SOCIAL CONGOLAIS QUE SASSOU MAITRISE / SALUT L ARTISTE SASSOU ALORS QUE LES ERUDITS CONGOLAIS PLUS BAVRDS QUE ACTIONNELS DISENT DU PRESIDENT SASSOU QUE C EST UNE MUKENTO ET QUIL N A QUE UN BREVET/ EXCELLENT POUR UN GUS QUI N AQUN BREVET/ PAS D INQUITUDE JE NE SUIS PAS UN AFFICIANADO DE SASSOU MAIS UN ANALYSTE POLITIQUE QUI EMPECHE LES ELITES CONGOLAISES AUXQUELLES J APPARTIENS DE FILER LE DOUBLE LANGAGE ET D ATTENDRE QUE SASSOU LES APELLE / BAH HYPOCRITES / MAUVAIS GARCONS ET FILLES
les negres que nous sommes grandes gueules pour rien et mauvaise fierte de nazes puisque nous sommes capables de laisser notre pays se faire depouiller par d autres maliens singapouriens mauritaniens et autres de nos richesses parceque nous sommes paresseux et faignasses avec la benediction de nos dirigeants souvent analphabetes pour certains d entre eux au congo brazzaville
arretons de nous plaindre que la france nous parle et nous traite comme des momes
fermez vos grandes gueules de congolais bavards pour rien pas instruits de la geopolitique nouvelle mondiale
je m en fous de recevoir des insultes c est le lot des congolais pas tres instruits sur ce site et qui preferent les gandas
Avec ce genre de sabir ,on est cuit pour l’éternité..
Quoiqu’il fasse , ce Sassou ,le Congo Brazzaville reste calé à sa gare de départ. Sassou ,une perte de temps pour un Congo Brazzaville désabusé..
Il suffit de comparer les niveaux de développement du Sénégal sous Macky Sall et Celui du Nigeria sous Buhari pour vous faire une idée de l’incompétence congénitale qui régit le cerveau attardé de Sassou…
Buhari n’a pas squatté l’Elysée autant de fois que sassou pour construire des métros dans son pays et autres mobilités technologiques…
Combien de fois va t-il étrenner les présidents français pour développer le Congo Brazzaville ?..
Il aurait dû faire le métier de comédien pour être lui même…
Les 40 ans de règne ressemblent à un cirque pour distractions . Rien de concret qui fût retenu de son passage kilomètrique au pouvoir.
Une fin de cycle traumatisant en termes des cadavres des congolais innocents.
Il va falloir redéfinir le bonheur au Congo Brazzaville pour y apaiser les affects destructeurs qui nuisent à son développement…
La course de l’avoir au détriment de celle de l’être est devenue un fardeau insupportable dans le quotidien du peuple congolais…
Faire de la possession de l’avoir une religion solipsiste contribue à la désintégration de notre vivre ensemble..
Si la gestion du pays se conçoit en termes de présidentialisation du pouvoir ,le risque de tomber dans un entonnoir dictatorial est grand..
Pourquoi ?.
L’homme n’a pas d’essence. Autrement dit : il n’a pas des qualités prédéfinies ou encore ,li n’a pas de nature humaine.. L’homme se construit sa propre existence à partir des divers matériaux dont dispose la nature.. Contrairement à une petite tortue aussitôt née , se rend dans l’eau pour y passer le reste de sa vie…Son essence a précédé son existence ; alors que le nouveau né ( bébé ) aura toujours besoin de sa maman pour lui assurer son existence…
L’homme adopte les éléments de la nature en les façonnant à sa guise..Le pouvoir politique en fait partie..
Ce qui suppose une difficulté à se fier à autrui . D’où une prudence de sioux dans la conception architecturale de nos institutions. La première des prudences ,c’est le caractère préventif de tout pouvoir anti – démocratique…
Le cas Sassou doit nous servir de leçons pour l’avenir du Congo Brazzaville…
Quel est l’idéal institutionnel pour le Congo Brazzaville ??.
C’est déplorable pour ce soit disant jubile après avoir été reçu à l’Élysée en catimini, car cette réception ne figurait dans aucun agenda . Sassou Denis ne cesse de répéter en Mbochi que le ridicule ne tue pas. Ce fou furieux s’invite à Londres au USA va jusqu’à faire fabriquer des photos montage. Même quand il tripatouille les élections s’autoproclamer vainqueur, ce type à besoin d’une psychiatrie lourde et même ses supporters et enfants sont aussi fous que lui !
@ Cher frangin VAL,
Au fait. Je ne sais pas si je dois continuer à vous appeler ainsi. La franginéité étant adossée à une secte vis-à-vis de laquelle je n’ai que répugnance. Je suis congolais de père et de mère, le témoignage vivant d’un brassage culturel entre les pays de la Lékoni, appelés stupidement « cuvette-Ouest » et les pays de la Likouala-Mossaka. Brassage glorieux que j’ai continué à vivre entre la rue Mongo et la rue Bacongo, à Poto-Poto. Ma présence effective à M’Pila et à Yoro n’est devenue qu’une clause de style, depuis que les « bienheureux » sont arrivés avec leurs deux tours jumelles et leurs « pirogues’ de plaisance, sur fond des explosions du 04 Mars.
Sur l’idéal institutionnel qui vous intrigue, je pense que nous devons nous retourner vers nos frères LONDI et M’PELE pour des intelligences utiles.
Pour ma part, je pense qu’on peut convenir de deux choses:
1- l’Etat congolais est, dans sa nature formelle, de type bonapartiste. Hérité qu’il est du modèle bonapartiste français. L’exercice du pouvoir se faisant au nom de l’intérêt général alors qu’en réalité, il se fait au nom de la défense et illustration des intérêts particuliers. La privatisation des puits pétroliers et la libre circulation des tankers fantômes par exemple. En outre, cet Etat porte en lui les termes de la dictature et de la tyrannie. Le moralisme catholique ayant aussi sa part- en termes de bien et de mal- dans l’édification de cet Etat. Ce en quoi il devient obsolète.
2- le pouvoir, dans sa conception et dans son exercice dans le contexte bantou est, me semble t-il, de nature formelle, i.e. non assujettie à une quelconque « valeur »- profit ou plus value ou intérêt- autour de laquelle des appétits s’objectiveraient. Seule la parole du « chef » fait autorité, parce qu’il a en lui la mémoire -historique- collective et la capacité à dire le « droit », quand la nécessité du moment le lui en impose. Il est dépourvu des « attributs » du pouvoir. Et pour cause, il n’en existe pas. Il est choisi précisément pour cà. Rien que pour çà. Et pour rien d’autre. Il est acteur de la vie courante. Il continue à faire sa vie comme le commun de ses concitoyens .Personne n’est à son service. Ce modèle est généralisable aux populations d’un Etat, fédéral par exemple.
Sans trop en dire, je pense que le modèle institutionnel du projet fédéral a été construit sur la critique sévère du modèle bonapartiste congolais actuel et sur cette idée que le pouvoir politique d’Etat et son exercice ne sont ni un butin ni une rente.
Un idéal institutionnel nouveau est possible. Endogène. Nécessaire. Question d’état d’esprit.
Toute personne ayant la maîtrise de la troisième dimension, doit nous expliquer ce qu’ont fait les congolais pour vivre un tel karma ? Président Fulbert Youlou paix à votre âme de prophète !