Sassou Dénis recrutera 1500 jeunes mbochis dans sa milice tribale en 2023.

Sassou Dénis et son bataillon de généraux irresponsables, le 31 décembre 2022

Source : ADIAC

MINGWA BIANGO ; Les solutions pour abolir l’Armée tribale de Sassou Dénis au Congo

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6 réponses à Sassou Dénis recrutera 1500 jeunes mbochis dans sa milice tribale en 2023.

  1. Samba dia Moupata dit :

    Sassou Dénis fait toujours la même bêtise, ça devient de la folie ! Il veut encore recruter 1500 jeunes dont 90% seraient Mbochi , pour d’avance et renforcer sa garde qui pourtant déjà très pléthoriques, alors que des milliers d’hommes Mbochi recrutés et encadrés par Nianga Bouala à île mbamou attendent encore leurs recrutements dans la milice Mbochi du Congo. À chaque remontée du baril de pétrole Sassou devient fou , il recrute, achète des armes à la chute du baril il va endetté le pays au FMI à la banque mondiale, pour assumer les salaires de ces miliciens qui ne produisent rien pour le pays, sinon assurer sa garde et sa cinquantaine d’enfants.

  2. Mark dit :

    Les logements de ces futurs miliciens sont construits à MFILOU, Brazzaville.

  3. 2023, SASSOU NGUESSO AU CRÉPUSCULE, TOURNANT PATRIOTIQUE EN MARCHE, PRÉPAREZ-VOUS A LE CHASSER. https://www.youtube.com/watch?v=qXdAAELVBzA

  4. Val de Nantes dit :

    Voilà ce qui advient quand le présidentialisme à la Franco – congolaise produit un roi élu ,mais non élu .
    Grâce au biotip institutionnel , conçu pour être dominé par des voyous sans aucune éthique , le Congo est promis à la dure loi du maître sur l »esclave. .
    Il faut être fou pour penser une république idéale où la verticalité décisionnelle fait le bonheur du roi puisque tout y ramène.
    Que pouvait on attendre d’un homme ayant un pédigrée politique hors de portée humaine ?.

  5. Val de Nantes dit :

    Notre libération ontologique et politique sera notre décision de graver dans le marbre institutionnel la désactivation ou sa disparition dans la sphère politique nationale.
    Précaution nationale oblige !..
    En s’inspirant de l’adage selon lequel  » : le meilleur ami , c’est soi même’ ,le Congo se doit de ne faire confiance à quelque politicien que ce soit . Seule compte l’idée porteuse des semences économiques.
    Stop à la spéculation politique ; priorité à l’économie.

  6. Paul Jean-Ernest OTTOUBA-KASSANGOYE dit :

    Bis repetitas et/ou fonction dérivée.
    Nouvelles recrues, à quoi bon? Quels ennemis réels? Quels ennemis potentiels?
    Nous avons tous en mémoire l’appel vibrant, frénétique de 1996 des voix « autorisées » du PCT pour que nos parents-chefs de famille – réduits à leur identification à la partie septentrionale du Congo livrèrent leurs enfants- des garçons en particulier- pour la défense d’un pouvoir se réclamant du nord du Congo, contre les gens du sud. Parce que l’exercice du pouvoir par ces gens-là se traduirait ipso facto par le massacre des fils et filles du Nord.
    Comme si l’histoire du Congo nous en avait déjà fait la démonstration. Bien au contraire. Ils sont en effet nombreux, parmi les caciques âgés du PCT à avoir été formés par des instituteurs issus des régions sud du Congo. Sans que rien ne leur arrivât. Il en est de même de l’implantation indifférenciée des usines par les Présidents Youlou, puis Massamba-Débat.
    Dans la cohorte macabre des 400 000 morts de 1997, il y avait aussi et surtout ces enfants-là. Morts, en toute innocence, pour une cause qui n’était pas la leur. Morts pour une cause souterraine devenue évidente. Celle des conditions d’enrichissement, d’embourgeoisement des caciques du PCT, par la privatisation des puits pétroliers, des minerais d’or, de diamant et de notre patrimoine forestier.
    Leurs enfants en assurent les conditions objectives et subjectives d’accroissement de leur patrimoine en R D Congo, en Afrique de l’Ouest, en Occident (Etats Unis et Europe). Enfants planqués à Bacongo et en Europe, pendant cette « guerre » en attendant la « victoire », au moment même où nos parents du Nord perdaient leur raison de vivre, à savoir leurs enfants et leur honneur.
    A l’heure du bilan, nous en sommes là. Pertes et profits.
    Comme si cela ne suffisait pas, il faut en remettre une couche. Non pas au nom d’une mobilisation générale des gens du Nord, mais par une fonction dérivée: celle qui fait du « volontaire » la figure consentante du « sacrifice ». Sur l’autel de quo?. La cause paraît entendue.
    Celle des bien nés, des enfants et des familles des caciques du pouvoir pour qui la devise est qu’il vaut mieux sacrifier les enfants des autres que les siens propres. Et puis , comme ils ont faim et comme leurs parents connaissent des arriérés de salaire depuis 56 mois comme les employés de la Mairie de Ouesso, ils accepteront de se faire enrôler dans l’armée ou dans la garde présidentielle. Le comble du cynisme. Le comble du mensonge. Surtout qu’en cas de « crise », ces « volontaires  » seront les premiers de « la montagne » du sacrifice. Responsables, mais pas coupables.
    « ..C’est là une des leçons que l’on pourrait tirer des expériences totalitaires, et de cette effrayante confiance des dirigeants totalitaires dans le pouvoir du mensonge-dans leur aptitude, par exemple, à réécrire sans cesse l’histoire, à adapter l’interprétation du passé aux nécessités de « la ligne politique » du présent, ou à éliminer toutes les données qui ne cadrent pas avec leur idéologie. » (Hannah Arendt, Du mensonge à la violence, in L’Humaine condition, Coll. Quarto, Ed. Gallimard, pp. 846-848).
    Fonction dérivée.

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