Après avoir promis de s’en prendre aux gros poissons et non aux menus frétins, Sassou Denis, habitué à son récurrent folklore, vient une fois de plus de divertir les Congolais en sanctionnant, en tant que « président du Conseil supérieur de sa magistrature », un certain nombre de magistrats lors de la session ordinaire de cette instance le 27 mars 2023.
Dans un pays anesthésié dans lequel le bon sens, la rationalité et l’intelligence ont quitté nombreux de nos concitoyens, force est de dire que ces sanctions prononcées par celui qui avait enterré vivant le Cardinal Emile Biayenda, qui séquestre jusqu’aujourd’hui la dépouille du Président Alphonse Massamba-Débat, et qui avait tendu un guet-apens au Président Marien Ngouabi son mentor avant de sectionner sa carotide dans la chambre numéro 8 de l’hôtel Mistral de Brazzaville, tombe sous le coup de l’illégalité.
Créé par la loi organique numéro 29-2018 du 7 août 2018 fixant l’organisation, la composition et le fonctionnement du Conseil supérieur de sa magistrature, les vingt-six articles de cette loi ne prévoient pas, hélas, au grand dam du dictateur Sassou Denis, de révocation des magistrats avec droit à une pension. Ceci est invention de sa part dans la mesure où cette sanction n’apparaît nulle part dans la loi précitée.
L’article 13 de la loi du 7 août 2018 portant création du Conseil Supérieur de la Magistrature, ou plus exactement du Conseil supérieur de la magistrature qui est assujetti aux caprices et à l’incompétence de Sassou Denis stipule: « La commission de discipline prononce à titre définitif, les sanctions disciplinaires ci-après:
– La réprimande avec inscription au dossier ;
– Le déplacement d’office ;
– Le retrait de certaines fonctions ;
– L’abaissement d’échelon.
Plus grave, ces incongruités ont été répétées devant les caméras de Télé Foufou par Aimé Ange Wilfrid Bininga, garde des sceaux, sinistre de la Justice de Sassou Denis.
Comment s’étonner de voir une telle incompétence s’étaler au grand jour dans un pays dans lequel l’ethnie et les connivences priment sur la compétence?
Dans un pays dans lequel la contradiction et le débat d’idées sont considérés comme une opposition à la dictature de Sassou Denis, ce dernier raconte des âneries, tourne sa langue comme sa trousse de maquillage pour s’en servir plusieurs fois. Patatras, il a tout FAUX.
Dans un Etat de droit, ce qui est loin d’être celui du Congo, le juge administratif annulerait aisément une sanction illégale qui n’est pas prévue dans la loi du 7 août 2018 portant création du Conseil supérieur de la magistrature.
En s’improvisant « juriste », Sassou Denis feint d’ignorer qu’il est ce ver qui est dans le fruit congolais depuis près de quarante ans d’exercice autoritaire d’un pouvoir illégal et illégitime.
Que 14.000 milliards de FCFA des générations futures restent introuvables, que cinq membres de son ethnie, à commencer par son fils Kiki Angwalima, possèderaient à eux seuls plus de cinq mille milliards de dollars planqués dans les paradis fiscaux.
Hormis les assassinats, la criminalité organisée, le braquage du Trésor public qui a été délocalisé à Oyo son village d’adoption, Sassou Denis brille par une incompétence innommable.
Comme on ne peut pas apprendre à un cancre de marcher droit, la récente sortie de Sassou Denis devant les membres niais du Conseil supérieur de sa magistrature donne l’illustration d’un dictateur paresseux, peu éclairé et qui n’a comme préoccupation que de se moquer des Congolais.
Plus que jamais, au regard de la multiplication des errements de Sassou Denis, ‘il est urgent de se mobiliser et de s’unir pour le débrancher.
Un pays dans lequel le droit qui est l’ensemble des règles qui permettent aux hommes et aux femmes de vivre harmonieusement dans une société est méconnu, biaisé, piétiné, est un pays qui tombe dans l’abîme.
Si Sassou Denis a la force avec ses soudards, il reste le droit. Qu’il le veuille ou non, le droit est l’intermède des forces. Comme le Congo est un régime autoritaire, Sassou Denis a le droit d’avoir raison même s’il a tort et tout Faux en sanctionnant illégalement certains magistrats.
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 31 mars 2023, par www.congo-liberty.org
Sassou Denis, s’appellerait bien ver dans le fruit . Il vire Michel Oniangue Mbochi de Makoua , en gardant ses Mbochi téké des plateaux Christian Oba et Keba na Caméra Oko Ngakala. Ça été l’occasion de se débarrasser de madame koubaka originaires de Boko et Jean Pierre Massamba qui est originaire de Mayama dans le pool ! Sassou Dénis pourrait très prochainement nommer uniquement que ses parents Mbochi qui vont continuer à dire le droit Mbochi d’ailleurs Henri Bouka et Auguste Iloki restent en place , une opération d’enfumage .
Sassou Denis alias ver dans le fruit car il est vraiment ce ver qui infecte le Congo
pour gagner les legislatives il faut compter sur ceux qui souffrent de ce systeme mais aussi et surtout ceux qui vivent de ce systeme que le systeme republicain est juste pour tous meme pour ceux qui ce sont enrichis pendant le systeme PCT nous feront table rase du passe.seule solution pour repartir sur de nouvelles bases
En tout cas, le ver dans le safou n’aime pas les Congolais/Congolaises.
LE CONGO BRAZZA est victime d’un ver qui le ronge de l’intérieur et ce ver a nom : Sassou .C’est une distraction puérile que de parler du mal qu’on représente ce mal dont on dénonce les effets négatifs .C’est s’auto -accuser .
La diffusion de ce mal a une cause , ce qui suppose une corrélation avec son effet .
Cette feinte Sassouiste ne peut éblouir que ceux qui ont une lecture erronée ,sinon fanatique de celles et ceux qui ont lié leurs vies matérielles à celle de
Voilà celui qui passe pour être le roi du CONGO .
Un CONGO réduit à un morceau de viande appartenant à la seule famille dont tout dérive .Les sujets congolais n’ont pas droit de cité , le vol des deniers publics est laissé à l’appréciation du maitre qui , du haut de son strapontin ,décide du sort de chaque voleur .
Un SASSOU qui se serait pris de bigoterie financière ,ne s’y serait pas pris autrement. .
LIRE ; à celle de SASSOU
Sassou Nguesso, l’homme le plus pervers, cynique et criminel du Congo Brazzaville.
Sassou Nguesso est un homme véritablement pervers, cynique et criminel du Congo Brazzaville. En effet, arrivée dans la force publique dans la main de son ami de l’Ecole Normale de Dolisie Barthelemy Kikadidi, Denis Sassou Nguesso n’a pas hésité instant de commandité son assassinat le 15 février 1978 sous le prétexte fallacieux qu’il était l’auteur irréfragable de l’assassinat du président Marien Ngouabi en mars 1977. Chose curieuse, après avoir fait assassiner celui-là même qui a égorgé le président de la République ce même Denis Sassou Nguesso organisa ses funérailles avec honneurs militaires dus aux officiers du rang de Kikadidi pourtant viré par Marien Ngouabi en 1970 et de faire enterrer ce criminel au cimetière du Centre villa à Brazzaville. Qui peut nous expliquer cela ? Dans deux video postées depuis quelques années sur la toile, celle de Pierre Anga, celle de Yombi Opango et finallement celle de Jacques Okoko, le cas Kikadidi réapparait dans la scène politique congolaise. C’était lors de la Conférence Nationale Souveraine en 1991. Dans la première video Pierre Anga accuse Sassou Nguesso qui a précipité la mort de Kikadidi pour que celui-ci ne livre pas son témoignage sur son entretien avec ce qu’il appelle jusque-là le « Camarade Sassou » peu avant d’aller monter l’opération ayant couté la vie au président Marien Ngouabi. Selon Anga la mort de Kikadidi sous-tend l’élimination d’un témoin important dans cette affaire. Le deuxième cas est celui de Yomby Opango appelant simplement la CNS à réviser le procès sur la mort du capitaine Kikadidi. Le témoignage qui retient notre attention est celui de Jacques Okoko qui affirme avoir perdu les documents sur cette affaire grave suite à l’incendie d’une de ses maisons commandité par les services de la sécurité d’Etat à Brazzaville dans but de lui priver des pièces importantes dans l’affaire Ngouabi. Mais Okoko est très prosaïque et rappelle au tyran Sassou Nguesso que même s’il a fait incendier sa maison pour lui priver de ces précieux documents, il en a toujours en possession dans la tête, parce qu’il en avait abondamment pris connaissance à la sécurité d’Etat. Mais Okoko n’a jamais lâché un seul mot aux congolais sur les écrits de Kikadidi qu’il a lu et relu laissant tout le monde dans la soif de savoir un peu de quoi il s’agissait. Mais nous rendons un grand hommage à Maitre Massengo Tsassé qui a pu interroger sur sa Radio Forum. Fr un personnage important de la vie publique congolaise à savoir Maitre Jean Martin Mbemba : https://www.youtube.com/watch?v=n0PKPCPJxV8
C’est par lui que nous pouvons nous approcher un peu aux « ipsis verbis » de Kikadidi. Soulignons ici que dans une affaire comme celle-là, un seul petit morceau de phase bien qu’il ne soit pas en mesure de tout dire mais c’est déjà beaucoup pour essayer de recomposer ces morceaux et parvenir à la vérité. Un jour on y arrivera pour la crier sur les toits et que le monde sache la vérité que Sassou Nguesso pensait détenir seul. Que dit Maitre Mbemba ? Il cite un document de Jacques Okoko qui nous aidera tant soit peu à comprendre selon Sassou Nguesso l’implication de Kikadidi dans l’affaire Ngouabi. En effet, dit J. Okoko alors commissaire de gouvernement dans le procès Marien Ngouabi. « J’ai été voir les documents saisis sur Kikadidi à la sécurité d’Etat. Kikadidi suivait le procès tenu en janvier 197 à la radio et à la télévision et chaque fois il prenait les notes ». Et voilà ce que Okoko avait relevé sur les notes de Kikadidi : « MOI KIKADIDI, JE SUIS BIEN ALLÉ À L’ETAT MAJOR AVEC MON COMMANDO. JE SUIS ALLÉ PARCE QUE J’AVAIS L’ACCORD DU MINISTERE DE LA DEFENSE. ET LES CONTACTS AVAIENT ÉTÉ PRIS AVEC LE PRÉSIDENT MASSAMBA DEBAT LEUR DONNANT LES ASSURANCES QU’IL NE LEUR PASSERA RIEN ET QU’EN ARRIVANT À LA PRESIDENCE OU VIVAIT LE CHEF DE L’ETAT ON LEUR OUVRAIT LES PORTES POUR ALLER JUSQU’AU PERRON ».
Okoko affirme par ailleurs que les documents de Kikadidi l’ont permis de comprendre comment ça s’est passé et le CMP a éliminé précipitamment tous ceux qui pouvaient éclaircir le peuple congolais. Sans minimiser les responsabilités de Jacques Okoko dans les condamnations arbitraires des présumés assassins de Marien Ngouabi, relevons ici cette pharse : MOI KIKADIDI, JE SUIS BIEN ALLÉ À L’ETAT MAJOR AVEC MON COMMANDO. JE SUIS ALLÉ PARCE QUE J’AVAIS L’ACCORD DU MINISTERE DE LA DEFENSE. ET LES CONTACTS AVAIENT ÉTÉ PRIS AVEC LE PRÉSIDENT MASSAMBA DEBAT… » dans les propos de Kikadidi qu’il a bien gardés dans ses documents qui sont dans sa tête. Le ministère de la Defense avait pour patron Sassou Nguesso. Donc Sassou Nguesso connaissait le plan Kikadidi pour le pousser à être à la présidence sachant que Ngouabi devrait être assassiné hors du palais pour lui endosser la responsabilité. C’est ce qui justifie son assassinat comme dit Pierre Anga pour qu’il ne révèle pas le contenu de son entretien avec le « camarade Sassou ». Quoiqu’il en soit, il faut affirmer avec force que Kikadidi n’est pas le vrai assassin de Marien Ngouabi d’autant que le président de la république n’était pas assassiné à l’Etat major et Kikadidi présent à l’Etat major ce jour là a vu comment s’est déroulé la mise en scène avant de prendre la fuite puisqu‘il devenait avec son équipe des témoins gênants à éliminer à tout prix pour toutes ces raisons. Que Sassou Nguesso claironne dans son entretien avec F. Soudan que la voiture qui avait amené le commando est toujours là au lieu supposé par lui du crime, les congolais doivent bien savoir qu’il est le vrai commanditaire de l’assassinat de Marien N gouabi, Kimbouala Kaya, Emile Biayenda, Massamba Debat, Kikadidi et bien d’autres compatriotes innocents. Au Congo marxiste, ou profaner les corps de putschistes supposé est une règle d’or qui a connu son ascension sous Denis Sassou Nguesso qui garde les sexes de ses adversaires dans sa chapelle fétichiste, enterrer Kikdidi avec honneurs militaires au centre-ville nous parait invraisemblable. C’est ainsi que la CNS même si elle a refusé de traiter en public les dossiers des assassinats de 197771978, elle a pris l’ACTE 278 attribuant à Denis Sassou la responsabilité de tous ces crimes odieux. C’est même Justin Lekoundzou, logé à la chambre 8 de l’hôtel Mistral en face de l’ex radio congo où les faits se sont déroulés que la version donnée et soutenue par Sassou Nguesso et son homme à tout faire Florent Tsiba que le peuple congolais detient aujourd’hui cette vérité incontestable. « D’AUCUNS ONT TOUJOURS PENSE A TORT QUE LE PRESIDENT MARIEN NGOUABI A ETE ASSASSINE DANS SA RESIDENCE COMME L’A TOUJOURS INDIQUE LA VERSION OFFICIELLE TRONQUEE. IL N’EN EST PAS AINSI CAR LE PRESIDENT MARIEN NGOUABI A ETE ENTRAINE DANS UN TRAQUENARD A L’HOTEL MISTRAL OU IL AVAIT ETE LACHEMENT ASSASSINE PAR LES SOINS DE DENIS SASSOU NGUESSO QUI AVAIT SAVAMMENT, ET DE FAÇON RUSEE, EXPLOITE LA HAINE QUE LUI VOUAIENT CERTAINS OFFICIERS DE L’ARMEE. » Justin Lekoudnzou dit Ithii Ossetoumba (Afrique Education Numéro 364 du 16 au 31 mars 2013).
Et Maitre Mbemba dans la glose qu’il fait souligne avec force et non sans raison la version de Lekoundzou. Version qui vient conforter les interrogations bien fondées du Doctor Nkouka Mbemba à l’époque des fait ministre de la santé, lors la CNS. En effet, comment expliquer qu’une personne à qui la carotide est coupée puissent se retrouver bien propre sans une goute de sang dans le lieu où son corps a été retrouvé ? Ngouabi était-il un être vivant sans sang ? Sassou Nguesso et Florent Tsiba doivent aux congolais des explications à ce propos.
Suivez l’interview de Maitre Martin Mbemba sur la RADIO FORUM
mr si vous voulez savoir comment mon pere est convoque a la presidence j ai recu par un motard une convocation pour mon pere signe du commandant ibara denis.
comme pour toutes les victimes des revolutionnaires mon pere doit etre dans LA FOSSE ROUGE et certainement pas comme le dit cette rumeur qu il serait enterre avec les honneurs sans la presence de ses enfants