Monsieur SASSOU, le ver n’est pas seulement dans le fruit. Depuis cinquante ans il a bouffé tout le feuillage et il ronge les branches et le tronc de l’arbre sur lequel vous êtes perché ! Derrière les écorces, il n’y a plus que de la sciure nauséabonde remplie des oripeaux de votre boulimie criminelle. Il vous reste les apparences d’un arbre vivant. En réalité, cet arbre n’a plus de sève. Il n’a plus ni âme, ni grâce, ni majesté. Ses fruits sont rassis et incomestibles. Il n’y a que les vers pour les sucer de l’intérieur.
Aveuglé par l’illusion de votre puissance vous ne voyez même pas que vous n’êtes entouré que de vers. Ils sont de toutes les couleurs, de toutes les tailles et de tous les genres, mâles et femelles. Ils sont partout autour de vous, voraces, grassouillets, bedonnants et bruyants.
Savez-vous, Monsieur SASSOU, d’où vient ce ver que vous avez découvert dans votre magistrature ? Il monte tout droit de vos chiottes et des caniveaux où vous avez jeté des cadavres des milliers de Congolais. Ce ver vous l’avez enfanté et vous le nourrissez des restes indigestes des estomacs des ripous de votre système mafieux.
Hélas vous n’y pouvez plus rien, ce ver vous ronge de l’intérieur et fait corps avec vous. La nature de ce ver est consubstantiellement dérivée de la vôtre. C’est votre sosie, votre clone génétique. Vous ne trouverez aucun vermifuge pour vous en débarrasser.
Le jour où les congolais parviendront à se débarrasser de ce parasite tentaculaire qui gangrène toute la vie de ce pays, ni vous, ni votre système ne survivront.
Cessez de vous moquer de vous-même et des Congolais !
Serge-William TONGA
Diffusé le 02 avril 2023, par www.congo-liberty.org
Cette petite phrase montre, le manque de culture intellectuelle de Sassou Dénis. Ce dernier aime inverser les rôles ! Ba kongo ba Bomi Ngouabi, aujourd’hui la vérité commence à se faire jour. C’est Sassou qui avait couper la carotide de son mentor Ngouabi. Avec le temps la mayonnaise ne prend plus !
Sassou Denis ce ver dans le safou Congolais que son mentor n’a pas voulu voir par cecite voulue.
Le ver sassou est dans l’oseille. Un voleur égocentrique, qui n’aime pas voir voler les autres sans la moindre autorisation.
On vole parceque le président vole. C’est ce que lui objecte en sourdine le sieur Oniangue.
C’est le pays de l’esbroufe financière, de la chasse aux deniers publics de la débauche d’énergie pour capter l’argent public .
Le Congo paradis des voleurs à la tête de laquelle on trouve le violeur des voleurs.
Sassou,le voleur qui ne s’aime pas , qui ne se supporte plus , qui veut siffler la fin du match tant l’adversaire , c’est à dire le Congo Brazzaville semble épuisé des effractions répétitives qui s’opèrent dans ses entrailles sanguinolentes..
Le bourreau ,du coup , paraît conscient de la gravité de son odieux acte..Ce énième fatwa aux juges ,décomplexés face à la vulgarité de l’acte de voler est une expression d’un retour sur soi , qui est en soi , un humanisme Freudien.
@le Ver n’est pas seulement dans le fruit.
Cette assignation à résidence du ver est recevable. Au plus haut point. Elle donne un aperçu arboricole de la figure de ce ver. En prenant le sentier escarpé de la
métaphore, le ver est identifiable au diable ou au démon. Celui-là même qui appelle au moralisme chrétien autour du bien et du mal, du bon et du mauvais, du poison et du vermifuge. Ce sentier nous amène tout droit vers le PCT pour qui le « tout le pour le peuple, rien que pour le peuple » n’est que masque idéologique, éhonté, derrière lequel on s’enrichit, on s’embourgeoise, sans état d’âme sur le dos de l’exploitation et de l’aliénation des masses populaires. Tout se passe comme si ces gens-là pouvaient s’exclure, comme par effet de l’esprit saint, des codes normatifs de l’impérialisme français et de la catégorie de ses valets locaux.
Au-delà, le sentier du démon nous conduit tout droit vers celui de l’esprit, et surtout vers celui de l’état d’esprit. Celui-là même qui structure, gouverne et justifie nos rationalités (valeurs et finalités), nos actions.
La République du « ver dans le fruit » est celle du faux et usage du faux et de l’impunité à tous les étages. Celui du renoncement à tout: la peau noire, les langues maternelles, nos valeurs et traditions devenues « folklore », etc.
Depuis sa « naissance anti-impérialiste », 1969, elle se nourrit du rituel du « crime » (sang), et la réactualisation permanente du paradigme selon lequel » il ne faut pas mourir pauvre comme l’a été Marien N’Gouabi ». Termes d’un nouvel ordre normatif qui discréditent tous ceux qui n’y souscriraient pas.
Au Congo, le ver est dans le fruit et dans l’arbre qui le porte est un état d’esprit anti-républicain, anti-nationaliste, anti-patriotique. Un état d’esprit qui présente les intérêts personnels, privés, de ces gens du PCT comme relevant de l’intérêt général.
Un état d’esprit, pas congolais, du tout. Parions alors pour un vermifuge populaire.