Les autorités de la République du Congo doivent libérer sans condition les opposants politiques détenus pour avoir pacifiquement critiqué le déroulement des récentes élections présidentielles, mettre fin aux arrestations et détentions arbitraires et prévenir toute répression des manifestations pacifiques, ont déclaré aujourd’hui, Amnesty International, Observatoire Congolais des Droits de l’Homme (OCDH), Association pour les Droits de l’Homme et l’Univers Carcéral (ADHUC), et Rencontre pour la Paix et les Droits de l’Homme (RPDH).
Depuis le rejet par l’opposition des résultats de l’élection présidentielle du 20 mars, les autorités ont commencé une série d’arrestations de personnalités dont des cadres des directoires de campagne des candidats Jean-Marie Michel Mokoko et Okombi Salissa, accusés « d’atteinte à la sureté de l’Etat ».
“L’arrestation et la détention des personnes impliquées dans des manifestations pacifiques constitue une grave violation du droit à la liberté d’expression et de réunion pacifique. Toute personne détenue sur cette base doit être immédiatement libérée”, a déclaré Stephen Cockburn, directeur régional adjoint pour l’Afrique de l’Ouest et centrale chez Amnesty International.
L’arrestation et la détention des personnes impliquées dans des manifestations pacifiques constitue une grave violation du droit à la liberté d’expression et de réunion pacifique. Toute personne détenue sur cette base doit être immédiatement libérée.
Les arrestations ont eu lieu avant l’opération ‘ville morte’ du mardi 29 mars 2016, organisée par les partis de l’opposition qui appelaient les citoyens à rester à la maison et ne pas se rendre au travail. Il y a eu une forte présence des forces de sécurité dans les principales villes du pays.
Parmi les arrestations on note celles de Jean Ngouabi, Anatole Limbongo Ngoka. Christine Moyen et Dieudonné Dhird de l’équipe de campagne de Jean-Marie Michel Mokoko; Raymond Ebonga et Serge Blanchard Oba de l’équipe de campagne de Okombi Salissa. Toutes les personnes arrêtées sont actuellement détenues à la ‘Direction générale de la surveillance du territoire’ (DGST) de Brazzaville et aucun des détenus n’a eu accès à sa famille ou son avocat.
D’autres arrestations ont été signalées, comme ce fut le cas pour des militants interpellés lors d’une conférence de presse avortée à Brazzaville le 25 mars. Par ailleurs, au moins dix jeunes militants et sympathisants des partis politiques de l’opposition ont également été arrêtés à Pointe-Noire depuis le 20 mars.
Les organisations des droits humains appellent les autorités à respecter le droit à la manifestation pacifique. Les autorités doivent en particulier s’assurer qu’il n’y a pas une répétition de l’usage excessif de la force contre les manifestants, comme ce fut le cas en octobre 2015 lorsqu’au moins 18 personnes protestant contre le changement de la Constitution permettant au chef de l’Etat de briguer un nouveau mandat, avaient été tuées par les forces de sécurité qui avaient utilisé des gaz lacrymogènes et des balles réelles.
“Il n’y aura pas de solution durable à la crise politique du Congo si les droits à la liberté d’expression et de réunion sont réprimés. Les autorités doivent maitriser les forces de sécurité afin que l’usage arbitraire, abusif et mortel de la force qui a caractérisé la répression des manifestations d’octobre ne se répète pas. Au lieu d’écraser la dissidence non violente, elles doivent remplir leur devoir qui consiste à respecter et faciliter les manifestations », a déclaré Trésor Nzila, directeur exécutif de l’OCDH.
Au lieu d’écraser la dissidence non violente, elles doivent remplir leur devoir qui consiste à respecter et faciliter les manifestations.
Les élections du 20 mars ont eu lieu dans un contexte de coupure totale des communications téléphoniques et d’internet. Un certain nombre de personnalités politiques dont Paulin Makaya, chef de l’UPC (Unis pour le Congo), et Serge Matsouele, secrétaire fédéral de la ‘Convention d’action pour la démocratie et le développement’ (CADD), ont également été arrêtés avant les élections et sont toujours en détention.
« Les autorités doivent respecter les droits à l’information et à la communication en garantissant aux populations l’accès libre aux télécommunications, en particulier dans les périodes critiques de la vie publique. Il est en outre du devoir du gouvernement de garantir un climat qui favorise la paix et la sérénité dans le pays. En cas de différences d’opinions politiques ou de contentieux politiques, les acteurs doivent opter pour le dialogue plutôt que l’utilisation de la force et des armes », a déclaré Christian Mounzeo, président de la RPDH.
Amnesty International a tenté de se rendre en République du Congo avant les élections présidentielles pour surveiller la situation des droits humains, mais l’entrée à la frontière a été refusée à l’organisation, en dépit des visas et des invitations officiels obtenus. L’organisation a été informée que sa présence dans le pays était indésirable dans le contexte des élections.
31 mars 2016, 12:39 UTC
URGENT
CHASSE À L’HOMME À BRAZZAVILLE
Le directeur de campagne national du candidat Jean Marie Michel Mokoko, Mr Mounkala Mahicka est filé, menacé et traqué par les sbires de Sassou Nguesso.
Voici son message a l’instant. …
<> Mounkala Mahicka
Nous prenons nos dispositions et alertons tous les décideurs de ce monde en particulier la france , que ce malade mental est tres dangereux et sanguinaire.
Hervé Mahika est un cadre sorti droit de l’ENA (ecole prestigieuse en france, meme ecole que François Hollande ) mais sassou Nguesso veut le tuer , vu qu’il est intelligent ..
La manière flagrante et arrogante avec laquelle Sassou a opéré ce coup d’État électoral est une provocation pour l’ensemble de l’humanité. Le problème n’est pas que congolais. Le monde des droits de l’homme doit dire aujourd’hui que nous sommes tous Congolais. La France n’en fait pas assez. François Hollande nous avait déçus quand il avait déclaré le 21 octobre 2015 qu’il ne voyait pas d’inconvénients à ce que le président Sassou-Nguesso organise un référendum pour consulter son peuple. Il savait bien que le but de Sassou était de changer la constitution du pays. Un changement qui lui a permis d’accéder à un mandat présidentiel supplémentaire…
Sans honte, les gens d’oyo disent: « Quand on fait acte de candidature, on adhère à une logique encadrée par les lois de la République. Cette logique est encadrée depuis l’acte de candidature jusqu’à la contestation et la proclamation des résultats définitifs ». dixit BOUKA OYOLAND.
ALORS POUR SORTIR DE CE PIÈGE COMPOSONS LA STRATÉGIE DZON ET CELLE IDC-FROCAD-J3M.LE CONGO SERA LIBÉRÉ DE SUITE.
ENTRE TEMPS ACTIONNONS D’AUTRES MÉCANISMES PARALLÈLEMENT AUX RECOURS EN COURS.NE PERDONS PAS LE TEMPS.
NE CONTINUONS PAS DANS LE JEUX DE LA HONTE DES GENS D’OYO ET ASSOCIES.
SINON NOUS SERONS TOUS BÊTES COMME EUX.
De notre écrivain MONDIAL:
A la tête du Congo-Brazzaville depuis 1979, Denis Sassou Nguesso a été réélu le 20 mars dernier. Preuve supplémentaire de « la normalité du pouvoir à vie en Afrique centrale », cette nouvelle désole le romancier franco-congolais Alain Mabanckou.
Il y a quelques jours, le président congolais Denis Sassou Nguesso, qui cumule déjà 32 ans de pouvoir, s’est déclaré vainqueur d’une élection présidentielle, aussi douteuse que vicieuse, et dont il avait lui-même dicté les règles en modifiant la Constitution qui ne lui aurait plus permis d’être candidat à sa propre succession.
Ce bidouillage est plus que jamais l’illustration de cette Afrique centrale francophone qui, depuis les années 1960, a installé la normalité du pouvoir à vie dans la conscience des peuples.
« Réélu à 67% dans un pays qui le désapprouve à 90% »
Cette normalité a prospéré jusqu’à présent à cause de notre silence, de notre acceptation d’une prétendue malédiction atavique du continent noir où tout est permis, mais aussi de la connivence à peine masquée des compagnies pétrolières, et surtout des béquilles dont la France, ancienne puissance coloniale, a toujours gratifié ces personnages de roman de Gabriel Garcia Marquez que nous voyons poser tout souriants sur le perron de l’Elysée avant qu’ils ne repartent tranquillement assujettir leur peuple…
Le président s’est fait réélire à plus de 67% dans un pays qui le désapprouve à 90%. Et ce désaveu est si manifeste à Pointe-Noire, la deuxième ville du pays, que le gouvernement a estimé inutile de prendre en compte les voix de cette cité. Un peu comme si en France on écartait Lyon ou de Marseille pour une élection présidentielle!
Je retiens que, comme ironisait Le Canard Enchaîné, Denis Sassou Nguesso aura inventé « l’élection présidentielle à huis clos » -en coupant tous les moyens de communication pendant quatre jours-, affichant aux yeux du monde entier son admiration pour les méthodes de la Corée du Nord alors que la liberté des peuples se mesure aussi à l’aune de leur capacité à accéder à l’information.
« Lorsqu’il est arrivé au pouvoir, j’avais 13 ans »
Le Congo-Brazzaville est ma terre d’origine, le territoire de mon enfance, de ma jeunesse et le centre de gravité de mon univers littéraire. Mon rôle de créateur est de ne pas me croiser les bras dans « l’attitude stérile du spectateur », comme dirait Césaire, mais d’entendre les doléances de ces jeunes Congolais qui m’écrivent, m’implorent d’amplifier leurs voix afin qu’elles dépassent la cage dans laquelle ce régime est en train de les enfermer.
Lorsque ce président est arrivé au pouvoir en 1979, j’avais 13 ans. J’ai vécu au rythme des coups d’Etat, d’assassinats politiques, comme ceux du président Marien Ngouabi, de son prédécesseur Alphonse Massamba-Débat, du cardinal Emile Biayenda, tout cela la même année, en 1977, dans la même semaine, entre le 17 et le 25 mars!
Je ne voudrais pas que mes petites soeurs, que mes petits frères vivent dans la frayeur et qu’ils s’imaginent, dans leur désespoir, que le monde a toujours été ainsi: la liberté pour les uns, parce qu’ils sont nés du bon côté; l’abaissement pour les autres, parce que le destin l’aurait voulu ainsi…
J’attends depuis le 20 mars la réaction de la France sur la situation politique au Congo et cette mascarade électorale ourdie par un régime qui utilisera tous les moyens, surtout armés, pour se maintenir au pouvoir. Reconnaître ou recevoir sur son sol un président illégitime serait perçu comme un des crimes dont ce pays dit des droits de l’homme aurait du mal à se justifier.
Oui, j’aime à penser que la France a une opportunité -et peut-être la dernière- de montrer désormais que les dictateurs et leurs séides ne pourraient plus, comme Kadhafi, venir planter leur tente de bédouin dans le parc de l’Hôtel Marigny…
Bravo notre littéraire NATIONAL : L’ESPOIR EST PERMIS
la France na pas des visions pour l’afrique sassou doivent etre chaser par notre proper force donc la greve generale jusqu’a la chute du regime culuna si les companies petroliere ne poura pas travailler jusqu’a 3,5,7 jours ou 1mois alors sassou sera obliger de negocier sont depart il nous faut une greve generale sont limite c’est le seul sacrifice qui nous reste pour sauver le congo
munduki yamakasi pona ko bengana sassou nguesso eza greve generale sont limite
« Amnesty International a tenté de se rendre en République du Congo avant les élections présidentielles pour surveiller la situation des droits humains, mais l’entrée à la frontière a été refusée à l’organisation, en dépit des visas et des invitations officiels obtenus. L’organisation a été informée que sa présence dans le pays était indésirable dans le contexte des élections. »
Évidemment, on imagine la suite si et seulement si ces individus à la moralité douteuse étaient enrter. Cette ONG occidentale est à l’origine de la pagaille post électorale qu’a vécue la Côte d’Ivoire. C’est eux qui ont pondus avec zèle tous ces rapports abracadabrants contre les anciens dirigeants ivoiriens. On ne dit pas que toute les ONG occidentales sont corrompues, mais celle ci avec d’autres ne sont plus à présenter. Donner accès au territoire à Amnesy International dans une période aussi sensible n’est pas judicieux, car ces gens ont une mission bien précise dans les pays africains.
A lire dans le quotidien La Vie
http://www.lavie.fr/actualite/monde/congo-nous-pouvons-obtenir-le-depart-de-sassou-nguesso-01-04-2016-71943_5.php
A tous les cinq candidats de l’opposition, vous vous êtes engagés pour représenter plus de 95 % de la population congolais tout en sachant bien avant que la tache ne serait pas facile. Ce n’est pas le moment de trahir le peuple.
Je n’ai pas vécu l’époque de la décolonisation, mais il me semble que le départ de sassou cout plus de vies au que l’indépendance, mais toute chose a une fin.
Sassou est le mal de notre pays après avoir reçu le soutiens de certains pays européens il se voit le tout puisant détenir le droit de vie ou de mort des congolais, ou irremplaçable. Alors chers opposant tenez bon, le chemin est très difficile mais avec la force du peuples nous allons atteindre la rive. Le nom de TSATy MABIALA circule comme étant celui qui va trahir l’opposition, tu es le leader du partie de Lissouba, ce brave homme ne s’est pas agenouillé devant sassou. LE CONGO APPARTIENT A NOUS TOUS PERSONNE NE DOIT SE METTRE AU-DESSUS DES LOIS DE LA RÉPUBLIQUE.
En ce qui concerne la démarche de Kolelas, il faut comprendre que nous sommes en face d’un hors la loi de ce fait, ne rien laisser comme ouverture.
A cette allure tous les opposants congolais finiront dans la casserole de sassou. Lorsqu’ on arrête un les autres ne se sentent pas concernés. Lorsqu’ on viendra vous chercher il n’y aura plus personne pour vous défendre. Vos égos tuent la contestation.
« Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
Et lorsqu’ils sont venus me chercher, il n’y avait plus personne pour protester. »
MARTIN NIEMÖLLER, DACHAU
Quand ils sont venus chercher les communiste, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les juifs, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
Et lorsqu’ils sont venus me chercher, il n’y avait plus personne pour protester.
Martin NIEMOLLERR,
Treize jours après l’élection présidentielle au Congo Brazzaville, LA PUBLICATION des résultats se fait toujours attendre.
Hier je me suis rendu au ministère de l’intérieur pour me procurer les résultats officiels, il m’a été demandé d’aller les chercher à la CNEI.
À la CNEI un agent m’a dit que c’était de la responsabilité du ministère de l’intérieur de publier (rendre public) les résultats, pas content, je me suis rendu au Journal officiel et là encore aucune traces des résultats de l’élection présidentielle du 20 mars 2016.
LA PROCLAMATION N’EST PAS LA PUBLICATION
En République, pour être effective, une loi, un décret et même une circulaire gouvernementale doit paraître dans le journal officiel; la loi n’étant pas rétro-active, elle devient applicable à partir du jour de sa parution dans le journal officiel (c’est d’ailleurs pour cela qu’on dit que « nul n’est censé ignoré la loi » du fait de sa publication).
Il en ait de même pour les résultats à l’élection présidentielle, la Cour Constitutionnelle n’étant qu’une instance de validation.
Où sont donc passé les résultats à l’élection présidentielle du 20 mars 2016 ?
Un candidat certainement mal inspiré serait allé déposer des recours à la Cour Constitutionnelle. On est en droit de se demander sur quelles bases et sur quels résultats a-t-il fondé ses contestations pour formuler ses recours ?
Serait-ce sur la base de la proclamation lu par le ministre de l’intérieur à la télévision ou bien sur son intuition, à moins que ça ne soit sur la base de ses certitudes messianiques.
En République même bananière il y a des règles et des lois qu’il faut respecter. Le candidat Jean-Maris Michel Mokoko exige de recompter des bulletins de vote, une procédure simple, classique et en cours dans tous les pays quand il y a doute ou contestation du scrutin.
A suivre…
TANT QUE CES RÉSULTATS NE SERONT PAS ENCORE PUBLIER DANS LE JOURNAL OFFICIEL, NOUS SOMMES ENCORE SUR LES TENDANCES BIEN QUE TÉLÉ FOUFOU INTERNATIONALE (RFI) NOUS POMPE LES OREILLES QUE LEUR CANDIDAT A GAGNÉ. MOKOKO PRÉSENTERA CES RECOURS APRÈS PUBLICATION DANS LE JOURNAL OFFICIEL.
Ngala NOUS PARLE DE PAYS DE DROIT. POSEZ-LUI LA QUESTION DE SAVOIR, S’IL Y A-T-IL UNE ENQUÊTE SUR LES AUTEURS DE PLUS DE 100 MORTS OU LES ENLÈVEMENTS DE JEUNES DURANT LES ÉVÉNEMENTS DE REFERENDUM?
LA LOI RECOMMANDE LA PUBLICATION DES RÉSULTATS DANS LE JOURNAL OFFICIEL.
COMPRENDRE LE SYSTEM SASSOU
LES INTÉRÊTS DE LA COMPAGNIE FRANÇAISE TOTAL ET LA MAFIA ITALIENNE ENI
VOICI UN EXEMPLE :
Si dans les contrats ??? Le Congo reçoit 17%
Les 17% sont donnés au Congo en nature (pétrole brute)
Et bien ces 17% sont vendus par les mêmes compagnies qui trouvent des intermédiaires, si le baril de pétrole est a $40 en passant par ces intermédiaires la part du Congo est vendu a $30 soit une perte pour le Congo de 1/3 de sa part. Ensuite l’argent n’arrive pas au trésor du Congo. Ces mêmes compagnies verse se t’argent en passant part des banques intermédiaires, d’où une perte de 40% pour les frais de courtage. Les $ 20 par baril deviennent $12 le baril.
En faisant les calculs mathématiques vous verrez que, si la part qui nous revient était de 17% et bien le Congo ne reçoit que 5.1%
ALORS LES CONGOLAIS DISENT DE SAUVEGARDER LES INTÉRÊTS DE CES COMPAGNIES MAIS EN EFFET NOUS SOMMES ENTRAIN DE RÉCLAMER 17% AU LIEU DE 5.1%
LES COMMUNICATIONS TÉLÉPHONIQUES OU LES 70% DE NOURRITURE VENANT DE L’ÉTRANGER QUI SONT DERRIÈRES CES AFFAIRES.
C’EST POUR CETTE RAISON QUE LES RÉSULTATS DES ÉLECTIONS NE SONT PAR ENCORE PUBLIÉS DANS LE JOURNAL OFFICIEL, ET CES RÉSULTATS SONT CONTESTÉS PAR LES CANDIDATS TÉLÉ FOUFOU INTERNATIONALE (RFI TV5 France 24) NOUS PRÉSENTE CHAQUE JOUR QUE LEUR CANDIDAT A GAGNÉ
L’ENNEMI DU CONGO C’EST SASSOU TOUT EN SACHANT QUE SASSOU NE REÇOIT QUE DES ORDRES
(PRENEZ VOTRE TEMPS EN LISANT LES DOCUMENT ET LES VIDÉOS PUBLIER PAR ZAGAMAMBU ET CONGO LIBERTY VOUS TROUVEREZ CES INFORMATIONS.
TOUT CONGOLAIS DU NORD OU DE SUD UNISSONS NOS ÉNERGIES POUR LE DÉPART DE SASSOU, BIEN QUE LA FRANCE RESTERA NOTRE PREMIER PARTENAIRE.
D’après CONGOLIBERTY, le pouvoir a arrêté le retraité Colonel MPIKA, (embarqué torse nu et détenu dans un lieu inconnu, ajoute Zenga-Mambu).
Mes chers amis, comment peut-on traiter un ancien colonel de l’armée ainsi??? Comment ce régime peut-il humilier à chaque fois des officiers supérieurs, comment peut-il prendre en otage tout un pays et faire tout ce qu’il veut???Cela n’est ni plus ni moins que du terrorisme comme l’EI (Daech). Denis SASSOU NGUESSO, l’ex président du CONGO est un terroriste qui est aujourd’hui à la tête d’une organisation terroriste sans foi ni loi.
C’est homme n’est pas un humain, c’est un démon.
LARGE DIFFUSION……
Les intérêts criminels de l’état major militaire français au congo à travers sassou nguesso:
http://survie.org/IMG/pdf/mars_2016_Survie_-_Dossier_elections_-_Congo.pdf
Ces intérêts économiques et diplomatiques, soutenus le plus discrètement
possible, s’articulent à des enjeux sur le plan militaire, qui se trouvent au cœur de la
relation entre la France et le régime dictatorial de Sassou.
La coopération militaire se maintient donc,
malgré la répression qui est en cours, et
qui a déjà fait de nombreuses victimes.
Au-delà de la non condamnation par les
autorités françaises de cette répression, le
maintien d’un soutien diplomatique et
militaire constitue, par sa force
symbolique et du fait du niveau
opérationnel de commandement de
l’armée congolaise auquel ont accès les
coopérants militaires français, une forme
de complicité dans la répression à
l’encontre des manifestants et des
opposants.
Le régime est plus que militariser avec la complicité de la plus haute autorité militaire française par les liens mafieux pétroliers.Nous estimons que Hollande a peur de l’état major militaire français qui est en lien avec la mafia du pétrole au Congo.Une hypothèse JFK à la française n’est pas à exclure.Tout ceci à cause des liens incestueux d’un despote malicieux en lien avec les décisionnaires français au haut sommet.
Lu sur la toile….
#SASSOU_PRIS_EN_TENAILLE
SASSOU est en tres tres grande difficulté en ce moment
Selon des sources au sien du palais c’est la panique généralisée au sein des officiers proches.
il y règne comme chez tous les tyrans la phobie du putsch .LA suspiscion monte de plus en plus et les langues commencent a se dlier sur le role trop important accordé aux mercenaires venus de partout , du nord du pays et des pays voisins.
Par ailleurs l’arrivee des milices qui se soNT presentes a la tv n’a pas ete du gout des officiers militaires qui estiment que c ‘est une pieere de plus dans leur jardin qui n’est deja pas si joli.En effet des plaintes sont en cours de constitution contres les createurs de ces milices qui vont alimenter les dossiers CPI…et tous les officiers n’ont pas envie de plonger avec les ndenguet okemba et consorts.
Cet apres midi grand debat chez les militaires sur la violation a deux reprises de la chambre de l’ambassadeur du gabon et celle de sa femme et de sa fille.
Les militaires ont peur que cela ne degenere et qu ‘ils ne se retrouvent avec une intervention exterieure d une maniere ou d une autre qui va tous les emporter.Les reserves devient de plus en plus fortes et certains attendent le bon moment pour se desolidariser face a l opinion internationale.Les fissures vont bientot apparaitre.
Et pour finir la saisine par l IDC FROCAD de la cour constitutionnelle qui ne sembalit être qu ‘une formalité se revele depuis cet apres midi et la publication des resultats de la CTE, plus compliquée qu il n’y parait , car mettant le pct et son candidat dans l’obligation de fournir non seulement a la cour constitutionnelle les documents ayant permis d’annoncer les resultats mais surtout de les faire parvenir a la partie adverse c’est a dire l oppostion qui pourra ainsi les devoiler au public.
Fini le temps ou Sassou se declarait president sans prouver comment il se faisait eleire a 70% au 1er tour .
Les choses se compliquent pour Sassou et pour la cour constitutionnelle
Nous prions à la famille PIGASSE de bien vouloir faire large diffusion des informations contenues dans ce lien ci dessous:
http://frocadidc.org/index.php/actualites-1/167-congo-brazzaville-deux-candidats-de-l-opposition-au-deuxième-tour
Merci pour le devoir de rétablissement de la vérité des urnes à laquelle vous vous êtes soustrait de dire la VÉRITÉ.
IL FAUT ARRÊTER Denis SASSOU NGUESSO ET TOUTE SA CLIQUE DE TRICHEURS, VIOLEURS, ASSASSINS, AVANT QU’ILS NE FASSENT DU CONGO UNE NOUVELLE LIBYE.
Chers amis patriotes,
L’ex chef de l’état Congolais, le terroriste Abu EL SASSOUFIT (de son vrai non Denis SASSOU NGUESSO), continue de prendre en otage tout le pays depuis le 20 MARS 2016, date à laquelle il n’était plus président de la république mais un simple citoyen-candidat, il a été battu très largement et éliminé dès le premier tour dans une élection présidentielle très controversée. Il s’est mis à la tête d’une organisation terroriste avec plusieurs milices dont des étrangers, il s’est entouré notamment de l’ex chef de la police et grand criminel (NDENGUET Jean François), de tout son ex gouvernement ainsi que de plusieurs généraux en pacotilles qu’il avait nommé sur les bases purement ethniques. Abu EL SASSOUFIT FAIT DONC REGNER LA TERREUR AU CONGO AVEC TOUS SES HOMMES SANS FOI NI LOI. Moi, citoyen du Congo, je pense qu’EL SASSOUFIT Abu n’est plus qu’un terroriste tueur mais il est devenu complètement FOU.
ALERTE, ALERTE, ALERTE!
Le terroriste Denis SASSOU NGUESSO ATTAQUE LES QUARTIERS SUD A L’ARME LOURDE!!!
Confirmé!
JE LE DISAIS ET RÉPÉTAIS ICI QUE L’OPPOSITION DEVRAIT PRENDRE LES ARMES, JE CONSIDÉRAIS QUE NOUS ÉTIONS EN GUERRE CONTRE Denis SASSOU NGUESSO PUISQUE, LUI, AVAIT DÉJÀ DÉPLOYÉ SES MILICES DANS PLUSIEURS QUARTIERS DE BRAZZAVILLE, IL AVAIT BLOQUÉ LES COMMUNICATIONS SMS, TÉLÉPHONE ET INTERNET PENDANT PLUSIEURS JOURS EN PRENANT DONC EN OTAGE TOUT LE PAYS (ACTE DE GUERRE). Denis SASSOU NGUESSO NE PARTIRA JAMAIS SI NOUS NE LUI RENDONS PAS COUP POUR COUP. C’EST UN HOMME QUI SE NOURRIT DU SANG ET QUI CHERCHE A VERSER, UNE FOIS DE PLUS, LE SANG DES CONGOLAIS.
PEUPLE CONGOLAIS, DU NORD AU SUD, LEVONS-NOUS CONTRE LA TYRANNIE ET CHASSONS LE TYRAN POUR UN MEILLEUR AVENIR AU CONGO SANS LA DICTATURE, POUR QUE LE CONGOLAIS RETROUVE SA FIERTÉ D’ÊTRE CONGOLAIS, POUR QUE VIVRE AU CONGO REDEVIENNE BON ET SANS LES QUERELLES ETHNIQUES, POUR QUE LE CONGOLAIS NE SE SENTE PLUS ÉTRANGER CHEZ LUI, POUR QUE NOUS CONSTRUISONS MIEUX NOTRE PAYS. LEVONS-NOUS, LEVONS-NOUS, LEVONS-NOUS! SASSOUFIT!
Vive le Congo libre, Vive le général MOKOKO!
Peuple du Congo,
SANS ACTIONS FORTES, L’EX PRÉSIDENT DU CONGO, LE TERRORISTE Abou EL SASSOUFIT NE PARTIRA JAMAIS! IL VIENT d’ailleurs DE FAIRE UNE NOUVELLE DÉMONSTRATION QU’IL EST LE MAITRE ABSOLU DE BRAZZAVILLE EN TUANT, une nouvelle fois, NOS FRÈRES DANS LA PARTIE SUD. LES POPULATIONS (nos parents, nos mamans, nos enfants, nos jeunes et nos personnes âgées) ONT ÉTÉ BRUTALEMENT CONTRAINTES DE QUITTER LEURS QUARTIERS, PILONNÉS PAR LES HÉLICOPTÈRES DE COMBAT ET AUTRES ARMES LOURDES.
L’ABSENCE MÊME D’UNE SEULE CONDAMNATION FERME OU PLUTÔT D’UNE RÉACTION DE LA PART DE LA FRANCE MONTRE TRÈS CLAIREMENT QUE LE GOUVERNEMENT DE CE PAYS ACCEPTE LA BARBARIE D’EL SASSOUFIT Abou. JE CRAINS TRÈS FORT QUE LA DÉCLARATION A VENIR DE FRANÇOISE HOLLANDOUILLE NE CONFORTE QUE LA DÉCISION DE LA CC (COUR DES CONS) DU CONGO.
MOI, citoyen du Congo, JE DEMANDE A L’OPPOSITION DE MENER DES ACTIONS FORTES JUSQU’AU DÉPART DU TERRORISTE USURPATEUR Denis SASSOU NGUESSO (Abou EL SASSOUFIT).
P.S. JE SUIS UN DES COURAGEUX VOLONTAIRES SI ON ME CONFIE UN RÔLE, je pourrai mener l’occupation d’une ambassade du Congo et provoquer la venue des médias internationaux pour dénoncer la dictature. Je suis un père de famille, vivant plus ou moins confortablement ici en occident, mais je ne dors plus à cause des actes de Denis SASSOU NGUESSO et surtout, de sa terreur sur notre pays. CET HOMME INCARNE LA POISSE, IL EST UNE MALÉDICTION pour le Congo. MERDE!
TERREUR SUR BRAZZAVILLE (sud). IL EST URGENT QUE LA POPULATION PUISSE CRÉER DES UNITÉS D’AUTODÉFENSES POUR FAIRE FACE AUX ASSASSINS.
MOI, citoyen du Congo, COURAGEUX ET VOLONTAIRE, je lance un appel SOLENNEL A TOUS LES OPPOSANTS DE PRENDRE LA RESPONSABILITÉ OU LES MESURES DE PROTÉGER LA POPULATION DE BRAZZAVILLE (Sud), VICTIME éternelle DE LA TERREUR DE Denis SASSOU NGUESSO.
Denis SASSOU NGUESSO, dans sa folie de vouloir le pouvoir coûte que coûte, VOULAIT, depuis le mois de MARS, SACRIFIER LES CONGOLAIS mais n’y parvient pas. MAUDIT-SOIT CE 20 Mars passé, date des élections, le mois de souffrance pour notre pays, le mois de sacrifices qui ont emporté plusieurs des nôtres (MARIEN NGOUABI, MASSAMBA DEBAT, CARDINAL BIAYENDA, le 04 MARS)… La liste est loin d’être complète. On peut aussi ajouter EDITH SASSOU(fit) que son propre père avait sacrifié un mois de… MARS. Alors, QUE NOUS VEUT-IL CE SANGUINAIRE qu’est Denis SASSOU NGUESSO?
VU LA BARBARIE, VU LE SADISME DE Denis SASSOU NGUESSO, MOI, CITOYEN DU CONGO, COURAGEUX ET VOLONTAIRE, JE DEMANDE A L’ENSEMBLE DES OPPOSANTS DE RASSEMBLER LEURS MILITANTS DU NORD AU SUD, DE CRÉER UN ÉTAT-MAJOR ET D’ENTRER EN RÉBELLION ARMÉE CONTRE Denis SASSOU NGUESSO, SON GOUVERNEMENT, SES MILICES.
JE RAPPELLE A TOUS LES OPPOSANTS QUE SI NOUS N’ARRÊTONS PAS CE PSYCHOPATHE QU’EST Denis SASSOU NGUESSO, non seulement il va vous éliminer un par un mais aussi, avec sa nouvelle constitution qui lui garantie l’impunité et qui lui donne le droit de vie et de mort sur les Congolais, JE NE DOUTE PAS QU’ IL SOIT CAPABLE DE FAIRE DISPARAÎTRE TOUT LE PAYS pour rester au pouvoir. NOUS NE POUVONS ACCEPTER CELA, LE CONGO EST NOTRE BIEN COMMUN A TOUS, NOUS AVONS LE DEVOIR DE DÉLIVRER CE PAYS DE LA TYRANNIE. L’HEURE EST TRÈS GRAVE. A VOS ORDRES!
Vive le Congo Libre, Vive le Général MOKOKO, le candidat du peuple!