Dieudonné ANTOINE-GANGA
L’affaire Figa dans laquelle le nom de la ministre Jacqueline Lydia Mikolo est copieusement cité, vient de nous démontrer que les gênes du tribalisme sommeillent toujours en nous. En effet, d’aucuns ont voulu donner à ladite affaire, relevant de la Police et du service judiciaire, en l’occurrence du procureur de la République, une coloration tribaliste. Par exemple, d’autres n’ont pas manqué de faire appel aux femmes ressortissantes du Département de la Cuvette, pour les inciter à demander, carrément, la tête de la ministre Mikolo, sudiste, comme l’ont fait, il y a quelques années, des parlementaires originaires, eux, du Niari et de la Bouenza, deux départements du Sud du pays, et qui auraient, tout en foulant aux pieds le principe de la présomption d’innocence, obtenu le limogeage du gouvernement de la ministre Inès Ingani, originaire du Nord. N’était-il pas temps de renvoyer l’ascenseur à l’envoyeur ?
Mais, qu’est-ce la présomption d’innocence ?
La présomption d’innocence est un principe de droit pénal qui considère que toute personne suspectée ou poursuivie, est innocente tant qu’elle n’a pas été déclarée coupable par une juridiction compétente. C’est donc un principe de justice : avant qu’une accusation n’apporte la preuve de sa culpabilité, un individu est considéré comme innocent. En sorte, la présomption d’innocence signifie qu’un individu suspecté d’une infraction, d’un crime ou d’un délit ne peut être considéré comme coupable, avant d’en avoir été définitivement jugé comme tel par un tribunal.
D’autre part, tout individu déclaré publiquement coupable, avant même que sa culpabilité n’ait été prouvée au cours d’un procès, peut attaquer son accusateur en diffamation. Malheureusement, toutes ces balivernes et insanités ont été débitées sur les réseaux sociaux et sur les autres médias. Un jeune adolescent congolais, Itoua Malanda, de surcroit hybride, c’est-à dire né d’un père du Nord et d’une mère du Sud, indigné, m’a interpelé pour savoir s’il y avait des risques que lui et ses camarades devinssent tribalistes. Je lui ai simplement répondu d’une part que l’on ne naît pas tribaliste, mais on le devient. A l’allure où évoluaient les choses au Congo, d’autre part, c’était malheureusement possible. Car, l’environnement dans lequel nous évoluons s’y prêtait et s’y prête toujours. Il faut reconnaître, comme l’a dit Bernard Kolélas en 1993, quelques mois après l’arrivée au pouvoir du Président Pascal Lissouba, élu à 62%, donc il y 30 ans, au lendemain du conflit tribaliste entre les Tékés et les Koongos du Pool, et leurs frères les Tékés et les Koongos de la Bouenza et du Niari, que «les Congolais fuient d’autres Congolais, alors qu’ils vivaient jusque-là ensemble; que le voisin ou le collègue de travail qui, hier, était un ami, est tout à coup devenu un ennemi irréductible du simple fait qu’il n’est pas du terroir ou de la même tribu».
Les vieux démons refont surface. Comme quoi, comme l’affirmaient les Romains, «nihil nove sub sole», c’est à-dire qu’il n’y a rien de neuf sous le soleil. En tout cas, nous, les intellectuels et politiciens, ne ménageons aucun effort, par démagogie, pour contrecarrer voire enrayer de notre environnement et de notre modus vivendi, le tribalisme et ses effets néfastes. En effet, ces temps-ci, il est triste de constater que beaucoup de nos compatriotes sont lésés dans leurs droits. Ils sont victimes du délire d’interprétation, à cause de leurs noms ou à cause de leur non-appartenance à la tribu du décideur. C’est une malheureuse et triste réalité dont il faut parler avec courage, honnêteté et sans scrupule.
Combattre le tribalisme, pour construire la Nation.
Il nous incombe, nous les générations actuelles, de construire la Nation congolaise où, comme le dit notre hymne national, « nous serons une seule âme, un seul peuple, des forêts jusqu’à la savane, des savanes jusqu’à la mer». C’est pour cela que nous nous devons d’apprendre à nos enfants à connaître les autres, à les aimer, à les fréquenter, à parler avec eux et, enfin, à respecter les opinions de ceux qui pensent autrement qu’eux. Il nous faut, au Congo, des compatriotes justes qui soient de vrais justes, pour semer de l’amour, de la justice et pour récolter un jour, une société plus juste, bâtie par des justes et pour les justes et, ce, dans la paix et la concorde. J’ai aussi dit à ce jeune adolescent qu’au fur et à mesure qu’il grandirait, il découvrirait que l’homme était l’être le plus complexe, le plus compliqué et le plus insaisissable que Dieu ait créé. Il m’avait été donné l’occasion de constater qu’il sommeillait, en nous les hommes, l’un de ces six personnages bibliques : Hérode ; Judas; Saint-Pierre apôtre; Nicodème; Simon le Cyrénéen et Saint Jean l’évangéliste. Nous pouvions ainsi être le prototype de l’un de ces personnages. Car, nous étions soit cyniques, méchants, sadiques et tyrans comme Hérode, soit traîtres et perfides ayant un penchant pour l’argent comme Judas, soit prêts à renier ou à abandonner sur la route, un ami devenu rebut ou infréquentable, mais prompts à se ressaisir et à avoir le courage et l’honnêteté de demander pardon, comme Saint-Pierre l’apôtre, soit couard, ne cherchant à ne fréquenter et à ne voir son ami en difficulté que nuitamment à l’insu de tout le monde, comme Nicodème, soit encore courageux et prêt à assister et à aider son ami malgré les intimidations, les menaces de perdre ses privilèges, les menaces de la police, comme Saint Simon le Cyrénéen, soit enfin hard et fidèle à son ami jusqu’à sa mort, comme Saint Jean l’évangéliste. Je lui ai encore conseillé de ne point abandonner ses amis sur la route quoiqu’il arrivât et de leur rester fidèle, de n’être jamais ingrat envers ceux qui lui auraient fait du bien. Car « le symbole des ingrats, ce n’était point le serpent ; c’était l’homme », dixit La Fontaine. Je lui ai dit, enfin, que le tribalisme était comme le racisme. Il était comme de la rouille ; il détruisait tout ce qu’il y avait de plus beau et de plus pur dans le cœur de l’homme ; que c’était une idéologie rétrograde prônant la supériorité d’une tribu à une autre ; que le tribalisme était plus qu’une gangrène qui ruinait l’homme et tuait l’administration, l’État et la Nation.
Je lui ai dit aussi de faire attention. Car du fait de dire qu’il existait une tribu plus noble et plus pure qu’une autre, naissaient les cultes de la tribu, des héros, des membres et autres courtisans de sa tribu. Tout flatteur ne vit-il pas aux dépens de celui qui l’écoute ? Et qu’en partant d’une idée aussi erronée, l’on pouvait être conduit à commettre des erreurs capitales et fatales, comme celle de perpétrer un génocide. Qu’il était malheureux et triste de voir combien d’enthousiasme, combien d’efforts sont mis au service d’un tel faux idéal sans fondement. Que nous devions, tous, dire non à une discrimination par la tribu ou par la race ou encore par le sang, et oui à l’amour entre les Congolais, voire à la fraternité de tous les Congolais.
Youlou et Opangault, héros de la construction nationale
En conclusion, je lui ai affirmé qu’il fallait combattre le tribalisme par la connaissance de l’autre. Car, c’était l’ignorance qui provoquait la peur de l’autre. L’amour porté aux autres niait le tribalisme et rejetait la discrimination tout en contribuant à la paix. Que moi, j’avais une très grande peur du tribalisme et ipso facto de l’homme tribaliste dont l’amitié était incertaine et la fidélité en travers.
Que je croyais à l’intégrité de la différence, le contraire de la ressemblance de ce qui était identique. Qu’enfin le tribaliste n’aimait pas les coutumes, les personnes qui n’étaient pas de sa tribu ou de son ethnie. Qu’il fût pervers et souffrait d’un complexe d’infériorité ou de supériorité. Franchement, j’ai l’impression que 63 ans après l’indépendance, il ne reste de commun entre nous Congolais que le nom de notre pays et ses frontières internationales.
A l’intérieur de notre pays, tout paraît fissuré, lézardé, divisé, disloqué. Je constate aussi que les répulsions entre Congolais se situent de plus en plus au niveau des réflexes instinctifs ou des fibres qui commandent la nausée, les frissons horribles, les combats, l’agressivité. Oui, il faut reconnaître qu’il y a déjà, parmi nous, des compatriotes qui ne veulent plus entendre parler des Nordistes ou des Sudistes. Ceux qui se détournent physiquement, instinctivement, dès que le hasard met un horrible compatriote pestiféré sur leur route. Oui, de plus en plus, les cœurs, les yeux se ferment et les horizons se rétrécissent dans les esprits et l’âme des citoyens. De plus en plus, le Nord devient pour les gens du Sud l’abominable, le lointain Nord. De même le Sud, pour certains calculateurs du Nord. A cette allure, n’allons-nous pas pour une division ou pour une «haïtisation» du Congo?
D’autre part, ne serait-il pas temps de donner maintenant la priorité au Congo, comme l’ont démontré, en février 1959, le Président Fulbert Youlou et son Vice-Président, Jacques Opangault, surmontant leurs intérêts personnels, pour faire prévaloir ceux, plus grands, de notre pays? Il faut reconnaître que le Président Fulbert Youlou et son Vice-Président Jacques Opangault ont éteint, en février 1959, les émeutes tribales entre leurs militants respectifs de l’U.d.d.i.a et du M.s.a, lesquelles émeutes ont failli dégénérer en guerre civile entre Nordistes et Sudistes. Ils les avaient bien éteintes. Ils avaient montré, à leur niveau d’hommes, en redevenant les amis qu’ils avaient été dans leur jeunesse. Par exemple, lorsqu’en 1963, le Vice-Président Jacques Opangault, absent de Brazzaville, viendra, au nom de la solidarité gouvernementale, au nom des sentiments humains qui l’unissaient à ses collègues en général et au Président Fulbert Youlou en particulier, se constituer prisonnier; tout cela, au nom de l’unité nationale et de la paix qu’il fallait, coûte-que-coûte, sauvegarder, en bannissant le tribalisme. Une belle leçon de nationalisme, de patriotisme, d’humilité et d’amitié n’est-ce pas ?
Dieudonné ANTOINE-GANGA
Ancien ministre des Affaires étrangères du Congo-Brazzaville
Diffusé le 17 avril 2023, par www.congo-liberty.org
Oui, malheureusement, l’avenir du Congo Brazzaville sous Sassou , s’écrit en divisions ethniques et avec une perspective Haïtienne du pays…
La pensée de Hobbes gouverne l’exécutif du pays en ce qu’il le traduit dans les actes au quotidiens et les manœuvres militaires échafaudées dans les officines de plusieurs coins du Congo Brazzaville. ..
Le congolais s’est résolu à se battre pour la satisfaction immédiate des besoins matériels plutôt qu’à construire un idéal républicain où chacun aurait la possibilité de maximiser son besoin vital…
On se sert des largesses d’une république déstructurée , dépareillée , instrumentalisée à des fins matérielles pour dominer et faire opposer des tribus afin de garder ad aeternam le pouvoir ,lieu des possibles.
Cette conception Hobbesienne du pouvoir porte en elle les germes d’une explosion géographique du Congo Brazzaville.
D’où le seul rempart à cette putative dislocation du pays , c’est renier le passé institutionnel de notre pays, pour lui substituer un futur institutionnel , pensé selon les réalités sociologiques et économiques de notre pays.
Aujourd’hui , être juriste ne suffit pas à comprendre l’écosystème dans lequel se trouve mêlé un pays ,en plein 21 ème siècle….
Le caractère pluridisciplinaire de la construction d’une nation moderne exige de celles et de ceux qui souhaitent s’en occuper de disposer d’un potentiel intellectuel , qui allie sciences pures, humaines , et technologiques…
Exemple :
L’environnement et ses conséquences sur l’être vivant , qui doivent être pris en compte dans la réflexion constitutionnelle..
Bref, désormais , c’est la conception multicartes de la république qui devrait présider à sa pensée institutionnelle….
La thématique récurrente d’un Congo Brazzaville ,uni sous les couleurs d’un vivre-ensemble paisible a montré ses limites face à l’évolution de la notion de richesses..
Le bien être collectif est relégué au rang d’une idéologie religieuse , notamment chrétienne ,en faveur de celui de l’intérêt personnel.
La république n’est plus une promesse ,mais un champ de bataille pour ceux qui en tirent un bénéfice colossal….
À dieu , à l’ascétisme chrétien qui a longtemps caractérisé la république post colonialiste..
Ce dont Mokoko a été condamné , c’est bien la rhétorique de l’origine de la richesse de nouveaux riches congolais…
Cher Ya DiAG, en voici une illustration de la scission du Congo, il y’a deux mois, je parlais de l’école très discrète de police d’Obouya qui forme des jeunes gens Mbochi, nous y sommes à la deuxième promotion avec 2000 jeunes Mbochi . Alors que Massamba débat organisait des compagnonnages nationales dans toutes les régions et communes du pays pour recruter des jeunes gens valides à fin d’assurer la sécurité nationale ! L’affaire Miikolo est une goutte d’eau dans la mer . Que dirait-on des valises interceptées à Roissy avec Lucien Ebata, madame Saboga Ondogo ou encore madame Itoua Bruno ? Les enfants Sassou et clan Mbochi d’oyo , Ollombo, Mboundzi , habitent le triangle d’or parisien et Neuilly sur Seine, tandis que Collinet Makosso est voisine de Mikolo dans a Viry Châtillon près du Tartéret un repère des briquants à Corbeil Essonne.
Affaire Figa c’est un bout de iceberg.
Le Congo est divise et charcute financierement par Mr Sassou Denis et son clan
Au commencement étaient Sassou et ses apôtres du vol au Congo Brazzaville , Mikolo n’en est qu’une pale copie rendue à la nation congolaise..
Ce n’est pas un pays , une fiction…
Ce congo , marqué par tant de sassoufolies , doit opérer une mue institutionnelle pour reprendre le chemin industriel tracé par M.Debat..
Moralité : Certaines tribus congolaises , dont notamment leurs membres, ne sont pas à la hauteur de la gestion de la res publica. …
D’où la solution fédérale pour donner à chaque région fédèrée la possibilité locale de développement économique…
C’est clair et simplement… Que chacun de nous grandisse dans son coin ,sous la bénédiction de la maison Congo Brazzaville…
Le Congo Brazzaville ne peut être une punition collective ,mais une aventure économique régionale…
Excellence Monsieur le Minitre et Ambassadeur Nganga. Votre réflexion sit le tribalisme au Congo me paraît suffisamment pertinente et arrive bien à propos suite à l’affaire Figa. Le phénomène est bien connu de tous les congolais qui le vivent au quotidien dans notre pays. Veritable gangrène et anti-valeurs le tribalisme couple à la corruption doivent être combattus parce que nuisibles et inexorablement destructeurs du tissu social de notre beau pays . C’est une barrière très haute qui empêche les différentes composantes de notre société de bien vivre ensemble comme par le passé .
Votre réflexion doit pouvoir interpeller toutes les couches sociales à tous les niveaux à commencer par les gestionnaires de la cité.
Au delà de la prise de conscience du phénomène du tribalisme le moment est peut être arrivé de créer les conditions d’une grande réflexion au niveau national en vue d’aboutir à l’éradication complète dans notre pays de tout acte comportement ou toute attitude de nature tribale
Ainsi nous pourrions espérer créer les bases de la reconstruction de note Nation en se fondant sur l’UNITE d’abord qui est le premier mot du triptyque de notre devise nationale
Si le Congo Brazzaville était un pays géré dans les règles de l’art ,de manière orthodoxe ,et efficiente ; comment peut- on imaginer ce genre de détournements de fonds publics par les ministres et cadres de ce pays ?.
À croire que ce trésor public , c’est un open bar ouvert 24 h /24.
Ou un flunch où on se sert à’ volonté.
Sassou , voleur irrespectueux de la fonction présidentielle dont il se drape ,ouvre exprès afin de se couvrir d’éventuelles remontrances publiques à son égard.
Un président crédible , digne de sa fonction, ne peut voir sa main trembler au moment où les faits répréhensibles se mettent au fil de l’eau dans son pays et plus particulièrement par des ministres et cadres.
D’ailleurs,le sieur Ominga , propriétaire nommé du pétrole, vient de frapper en dévoilant son magot volé de l’ordre de 4 milliards de CFA….
La gestion de l’économie nationale doit être régionale et non nationale.
Mr Sassou,son Pct,ses ministres,ses deputes et son clan ont transforme le tresor public en moulin a foufou qu’ils vidangent systematiquement.Ils vivent tous dans l’opulence par le vol des deniers publics.
Lire, ,ouvre expressément le trésor public.
Que les congolais se rendent à l’évidence , tel l’esprit cartésien . Le Congo Brazzaville a atteint les limites ,le seuil, l’acmé de la gestion collective et donc centralisatrice des finances publiques. En témoigne le chaos d’abord, moral , ethnique et surtout institutionnel de la gestion de celles ci.
Vivre ensemble ne signifie nullement mourons ensemble ; chacun à sa conception de voir la manière dont il gère sa vie..
Cette métaphore vaut également dans le cadre de la gouvernance publique dont les méthodes peuvent varier d’une région à une autre région.
Ayons le courage de mettre les mots sur les maux , sans nous cacher derrière des apories qui ne font que retarder la sortie de l’enfer où se trouve le Congo Brazzaville.
Personne n’est censée ,sauf à être un demi Dieu, résoudre l’équation différentielle du développement ,de façon solipsiste ,il y va de la survie du pays..
Le Congo Brazzaville est comme une équation différentielle.
C’est quoi une équation différentielle ?.
C’est une équation ayant des inconnues comme des fonctions.
Ces fonctions inconnues ont une relation entre par des dérivées successives , pour arriver à des fonctions particulières.
Donc ,si le pays est une fonction ,,au sein de celle ci il y a des régions inconnues , économiquement . Or ,ces régions ont des relations entre elles ,du fait des nombreuses relations historiques , familiales . Il faut déterminer leurs fonctions particulières par la dérivation c’est à dire un changement de variable.
Autrement dit la fonction réelle , c’est à dire la région doit être transformée en petites unités de production ou économiques..
D’où il faut résoudre cette équation différentielle qu’est le Congo Brazzaville pour résoudre les fonctions inconnues qui la source des maux des congolais.
Soit Y = n ( y )= y’ y » y »’ etc.
Explications :
Y = Congo Brazzaville
n( y)= somme des fonctions inconnues = régions inconnues.
Y’ Y’ Y »= régions dérivées ( dérivation).= Régions transformées économiquement.
Attention : Y est le Congo Brazzaville qui se mue en différentes régions fédérées qui existent au sein de la république, mais dont les économies sont particulières.
Voilà comment on mathématise l’idée de l’économie idéale au Congo Brazzaville.
Souvenez-vous de Galilée ,quand il porta l’estocade à l’idée de Ptolémée ,selon laquelle, c’est le soleil qui rode autour de la terre , théorie biblique et donc géocentrique ,alors que , Galilée ,muni et des lunettes astronomiques achetées , semble t’il chez Spinoza ,et surtout muni des mathématiques physiques, va détruire comme un château de cartes ce dogme religieux de Ptolémée…
Le grand Claude Ptolémée va subir » le falsificationnisme Popperien.( Incertitude scientifique)….
D’où le désamour séculaire entre les maths et le monothéisme..
Désormais, c’est la terre qui se balade autour du soleil, ( héliocentrisme ) doctrine jusqu’à l’heure valable. Mais elle reste provisoire ,selon Popper pour qui toute vérité scientifique n’est que provisoire…
Bref , Popper avoue qu’avec celle ci ,le provisoire devient éternel…
Conclusion,chers compatriotes :
L’avenir économique du Congo Brazzaville est régional. Les mathématiques vous en montrent le boulevard.
Dieu est mathématiques . Spinoza avait raison !!..
Précision:
Pourquoi la religion haït les mathématiques ?..
Il faut remonter au moyen âge jusqu’à la renaissance ( humanisme) , début de la contestation du magistère religieux chrétien..
Et vinrent , l’abbé polonais Copernic et Galilée pour balayer les balivernes
théologico – métaphysiques . Car l’esprit mathématique a détruit l’esprit religieux par l’avènement de la révolution industrielle. Le monde se détourne de Dieu et son ascétisme pour jouir des plaisirs matériels de la vie : ce que Max Weber appelle »: la sécularisation »…. C’est la victoire du Dieu de Spinoza sur celui des religieux ,dont les attributs frôlent l’overdose …
Le Congo Brazzaville est dans cette configuration sassouto- métaphysique.Il faut l’en sortir par l’usage des mathématiques…
le tribalisme c est l amour inconditionnelle de sa tribu ce n est pas une mauvaise chose en soi sauf quant on s en sert pour faire le mal
Lire ,,le monde se détourne de DIEU et de son ascétisme .
Précisions sur les notions mathématiques :
Y =n(y ).ce qui donne y’ y » y » » etc , comme dérivées de la fonction principale qu’est Y.
En fait , ce sont des fonctions dans la fonction principale .
Sur le plan du système fédéral auquel elle se rattache ,ce sont des régions fédérées qui appartiennent à un pays qu’est le CONGO .
Mais leur dérivation ,c’est à dire le changement de variable ,leur spécificité économique ,fait d’elles des régions qui existent économiquement .
D’où mon souhait d’intégrer ,dans la future élaboration des nos institutions post sassou , l’aspect scientifique de la gouvernance de la chose publique .
Ecoutez ce qui dit DESCARTES sur les mathématiques : » Tout en dérive « .
Donc , il faut repartir vers les maths pour reconstruire ce pays ,laissé en lambeaux par ces voleurs dont on se demande d’où ils viennent .
Inutile de miser sur des vertus théologales ,à l ‘instar des asiatiques , il faut manger les maths ,lesquelles vous ouvrent sur ses connaissances périphériques ,dont l’intelligence artificielle et donc les algorithmes .
Alors nous parler des institutions pondues par DEBRE pour DE GAULLE au 21éme est une perdition .
Le CONGO doit s’arrimer à la modernité en tuant tout ce qui le tire vers le bas , à commencer par établir des institutions claires et distinctes basées sur la pensée disruptive du sujet congolais cartésien .
ARRETEZ de nous ramener à l’antiquité institutionnelle ,le monde devient mondialisé où la concurrence commerciale est le pressostat de la vie des citoyens du monde ..
Raison pour laquelle ,je mathématise l’équation CONGO pour en résoudre des inconnues , dont il est porteur ,depuis l’effraction de SASSOU en son sein .
Si les mathématiques ont réussi à abattre le grand savant PTOLEMEE , ce n’est pas un ouistiti ,un fabliau , comme le CONGO , dont elles n’arriveront pas à trouver l’hostie du développement ….
Le CONGO n’est pas une secte religieuse pour ne pas soulever la poussière dogmatique qui le couvre .Il doit subir la loi de la religion naturelle pour s ‘émanciper des pesanteurs ataviques et ancestrales , qui brisent l’élévation de son âme vers le meilleur des mondes POSSIBLES pour paraphraser LEIBNIZ . .
C’est notre notre pays . Enfin§§. …
Ces petites dolipranes ,tiédasses , administrées , depuis la désactivation coloniale , par rupture ombilicale , n’ont exercé aucun effet sur le malade néo colonial qu’est le CONGO .Le néologisme ( néo- colonial ) est à bannir de notre quête de développement par un changement de regard novateur sur l’objet dont nous sommes des sujets pensants et exigeants …C’est l’allégorie du bâton cartésien qui est entier ,,plongé dans un verre d’eau ,alors qu’il donne l’impression d’être plié en deux ..
C’es la raison qui redresse ce bâton et non DIEU …
Conséquences : Le CONGO , par manque d’ambitions scientifiques , regarde partir le RWANDA vers le paradis industriel.
Nb : ne pas exploiter les génies des ingénieurs vous condamne à la misère . Sassou en fait la triste expérience .
Je veux d’un CONGO scientifique et non idéologique .De la science née la révolution industrielle . Tout le reste tient de l’enfumage .
Que SPINOZA parle aux congolais, et qu’ils n’oublient pas de s’asseoir sur le divan de DESCARTES qui les y attend …Le CONGO est multi-malade .
Comme dit PASTEUR « : un peu de science nous éloigne de DIEU , beaucoup y ramène . ».Sauf qu’au CONGO ,dans le contexte squelettique où il se trouve ,; il lui faut beaucoup de science et peu de DIEU …
Que ma mère m’en excuse ; elle qui est pieuse à l’instar de la maman de ST AUGUSTIN , MONIQUE .Ma piété a été chassée par l’usage des maths .DOMMAGE.
Contrairement à ST AUGUSTIN qui osa demander à DIEU »: la chasteté et la continence « : mais le plus tard possible . Sacré AUGUSTIN ,féru de la chair .
@ Congo Liberty
Cher Monsieur Mingwa Biango,
Lecteur fidèle de votre site et des articles que vous publiez, j’attends toujours de lire des commentaires qui apportent une critique constructive qui puisse renforcer notre information. De différentes sources, de préférence, afin qu’elles nourrissent le débat.
Malheureusement depuis des années, il se trouve qu’un auteur monopolise systématiquement le droit de réponse de vos lecteurs, coupant court à toute velléité d’une expression différente !
Ce Coucou a fait de Congo Liberty, son nid. Dommage, peut-être, qu’il n’ait jamais publié un article dont il serait l’auteur… Il permettrait ainsi de libérer un espace qu’il accapare depuis trop longtemps ! Comme Sassou Nguesso à la tête du Congo !
À rebours de l’argument de @Likouala ,je préfère détruire le personnage de Sassou que de construire….
Si mon grd @Samba Dia M et Val de Nantes n’existaient pas ,quel ennui!..
Un débat sur le CFA lancé par le grd @ Lucien n’a intéressé personne…Une curiosité intellectuelle congolaise…
À ce rythme de l’hibernation intellectuelle , Sassou peut dormir tranquille..
Chers compatriotes,
J’ai une manière spécifique d’écrire ,de penser , d’exprimer ma liberté d’expression, peu importe le style ,mes écrits sont davantage orientés vers le pouvoir de sassou que vers ses thuriféraires dormants…
Vos critiques constructives sur des articles qui font l’objet de nos commentaires respectifs m’indiffèrent totalement..
Nb : que ceux qui semblent atteints de la val de Nantine cessent de me lire .Je n’y oblige personne et les encourage à lire des critiques constructives des sachants…
Comme ça ,les vaches seront bien gardées…
Derrière ces postures inopportunes ,il ya toujours une envie d’atténuer la pression sur le sanguinaire Sassou.. Car Val de Nantes ,loin d’éclairer les congolais sur la brillance de la critique littéraire , a eu une fixette pathologique sur Sassou.
Mais rassurez- vous, ,j’en ai vu d’autres… Des sous marins sassouphiles existent.
Si on commence à penser de la même manière,on ne pense plus… Je hais le psittacisme…
Et surtout, cher @ likouala ,je ne voudrais pas prendre ta place du grand écrivain. Je suis un pauvre scientifique , qui se moque des critiques constructives… C’est clair et je l’assume… Des destructions sortiront des constructions, c’est mon point de vue.
Inutilement, de pleurnicher auprès de congoliberty ; ma réponse à votre angoisse intellectuelle vous est offerte. Et j’aurais aimé qu’on se rencontre comme deux grands garçons pour mettre les choses au point….
Que vous ayez vos petits sésames en critiques littéraires ,je m’en fous royalement. Il y a de la place pour tout le monde. Étalez vos talents littéraires ,les congolais vous liront . ..Mais je doute que le Congo Brazzaville en tire un bénéfice industriel…
Alors,chers compatriotes.
Abonnez – vous à la critique littéraire de @ likouala .. Et désabonnez vous de Val de Nantes. C’est Jésus qui disait » rendons à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu… ..
Il suffit de voir le nombre d’interventions intellectuelles de ces sachants pour mesurer leur présence fantomatique..sur ce site…
Qui connait @ likouala sur ce site ?. Avec ce moukalou invisible , le marché serait vide….
Écrivez, Écrivez , le webmaster ne demande que cela …car beaucoup d’articles restent vierges de commentaires ,n’eût été la présence active de @ Samba Dia,M et Val de Nantes , sur ce site , sassou s’est frotté les mains.
Donc ,cher @ likouala ,si tu es de bonne foi , éclate – toi sur ce site au moyen de belles écritures à l’image de JP , David londi etc
Tika gai tranquille.. comaaa. To tela .
Ma colère est uniquement Sassouiste ,ne t’y ajoute pas..SVP.!!.
Bon courage !!.
Lire ,,, Sassou se serait frotté les doigts.
Ce ne sont pas des critiques constructives qui vont guérir les maux dont souffrent les congolais ,mais le respect envers des ingénieurs , scientifiques , techniciens utilisés à bon escient qui pourront apporter un cadre de vie idéal dans la likouala ,région , votant Pctiste à 100% mais terriblement pauvre. .
Si vous êtes de cette région ,je ne pense pas que les critiques constructives suffisent à sauver la likouala de la noyade Sassouiste…
Les asiatiques et indiens se sont spécialisés en intelligence artificielle et algorithmes pour dompter la nature pour créer du bien être collectif ; le Congo Brazzaville peut très bien se passer des littéraires.. En témoigne,le Japon qui vient de réduire les sciences humaines à la potion congrue ,car inutile dans le processus du développement économique d’un pays …
L’ évangélisation des brebis égarées dans la république n’a plus de sens à l’heure où la parole ,les écrits numériques contestent les diktats de tous genres.
Chacun est libre de dire sur ce qui se passe au Congo Brazzaville ,point besoin d’un directeur de conscience ,d’une police de la pensée pour orienter les pensées ou la subjectivité de l’autre..Car autrui est une autre conscience que la vôtre ,une altérité..
Ce site , dois – je vous rappeler que, c’est le lieu de la contestation du pouvoir de Sassou et non celui d’en faire un mur de lamentations envers les plus courageux…
Je n’y suis pas venu admirer des Henri Lopez congolais ,mais asséner des coups de marteau au régime de Sassou……
Gardez- moi de vos belles critiques constructives sur des articles proposés ,je ne mange pas de ce pain . ….
Vous aurez remarqué une chose qui me singularise : c’est ma critique Sassouiste davantage que la critique littéraire sur des sujets proposés.
Je ne commente pas un commentaire ,je ne perroquete point. Mon esprit scientifique m’en empêche…..
Donc ,mes compatriotes, vous êtes condamnés à la technicité de mes écrits .
Désolé ,je ne dispense pas des cours de littérature française ,mais des petits missiles livrés de façon quotidienne à l’endroit de Sassou et à son régime voleur , pilleur intempestif des deniers publics…..
Je ne sais pas faire du Sony labou tansi.. D’ailleurs, j’avoue ne pas toujours faire .. C’est comme demander à un littéraire d’apprendre la physique… Mais le physicien peut devenir philosophe , à l’image d’Étienne Klein ,un contemporain…
Des belles critiques constructives ,on en a eu pendant la conférence nationale ,des envolées lyriques ,sorties des grandes gueules d’antan.
Où en est le Congo Brazzaville, aujourd’hui ?
Dans quel état économique et physique se trouve la région de la likouala sous sassou ?. La honte !!.
Vous vous drapez des arguties boiteuses pour couvrir le bourreau du Congo Brazzaville….
Que vaut ma personne devant le drame que connaît le Congo Brazzaville ?…
Je préfère Decaux de la matinale à vos critiques constructives introuvables et inoffensives….
Depuis quand un critique littéraire a conçu un objet industriel ?..
La vie de ce critique littéraire dépend du génie de l’ingénieur pour améliorer ses conditions sociales. Je comprends pourquoi le Congo Brazzaville et notamment la région de la likouala soit devenu un enfer à cause de l’ignorance par Sassou du rôle capital de l’ingénieur dans le développement économique d’un pays.
Monsieur@Makouala ou likouala ose nous bercer des critiques constructives sur un pays en voie de disparition…Quel cynisme..!!.
Aux fanatiques des critiques constructives , un groupe des répétiteurs des textes , détournez vous de moi…… Le prix Goncourt n’est pas mon objectif. Par ici ,la sortie.
Val de Nantes est immuable…
C’est Parmenide qui disait « : est ( est) un être , c’est ce qu’il appelle une ontologie statique…Dans cette citation ,il y a un sujet , une copule ,un attribut.. Une impression d’Étienne Klein , peut être !!.
Je suis parti d’un Bac C et je donne des vertiges aux Bernard Pivot congolais…
Écoutez ,je n’ai rien à cirer de vos états d’âmes. Ce qui m’intéresse , c’est le Congo Brazzaville,mon pays pris en otage par Sassou..
Maintenant ,si quelqu’un n’est pas d’accord avec moi ,on se donne un rendez-vous sur Paris.. Des chamailleries de bas étage me gonflent . L’ adversité me pousse souvent à la violence physique , surtout sur la question du Congo Brazzaville .Et là ,je ne rigole jamais… Sur mon pays , je reste incontrôlable.
C’est clair , pour tout le monde ?…
@Val de Nantes
Mon cher Frérot,
Je te prie de considérer la lettre « fermée » que voici comme une marque de soutien indéfectible, toujours renouvelé. Elle dépasse, et tu le sais bien, toute considération affective.
Je soutiens l’homme de raison que tu es; celui qui est rentré dans cette vieille énigme de La Boétie, à savoir: débusquer en permanence les lieux et les séquences où s’enracine la « servitude volontaire »: lieux et séquences portés par un « égocrate » (Claude Lefort) installé sur le sang et les larmes des innocents et dont le Parti a perdu de sa légitimité collective. Si tant est- il qu’il ait pu en avoir depuis 1970, date de sa fabrication.
Tu conduis ce travail de déconstruction des rationalités de finalités et de valeurs en cours chez nous, à ta manière, avec ta syntaxe et ta grammaire, en dehors et contre les termes du discours conventionnel, celui des « instruits » et des « constructifs ». Un discours qui fait de la liberté d’expression une valeur d’usage de la surveillance, et à terme, de la punition (Michel Foucault).La police de la raison, la police de la pensée ayant toujours eu partie liée avec le totalitarisme et avec la défaite de la pensée. Comme « une science du poison » ( Fr. Nietzche). Comme une science de la chasse. On sait comment ça commence, avec de la censure/auto-censure et avec des interdits. L’histoire de notre pays, celle de l’Occident et celle de la Russie nous ont montré, désormais, comment ça se termine, souvent.
Alors, il n’y a pas lieu de renoncer. Ziana TV, Tlr TV, Congo-Liberty et bien d’autres ont refusé de renoncer à leur parti pris. Dans la raison. Sans effroi. A l’inverse de Nietzsche, je me permets de te dire qu’il n’y a guère de « bonheur au renoncement », mais au contraire, il y a du bonheur à l’engagement.
Car, il nous faut, toujours, continuer à établir cette extraordinaire corrélation entre l’expérience de la servitude-surtout et même quand elle arrive masquée-la conquête de la parole et la volonté de savoir. (Claude Lefort). La volonté de nous libérer de cette servitude encore davantage.
Mon cher Frérot, tu as mon soutien indéfectible. Tu le sais. C’est encore mieux en le disant, haut et fort. Je serai très heureux de continuer à te lire ici. Je ne redoute pas les fonctions mathématiques. Nous savons partager ici-même nos désaccords. Nous continuerons à le faire. Tu peux compter sur moi.
Bien fraternellement. JP.
Merci.
Ok mon frérot@ JP..
J’aurais aimé que @ likouala disposât d’un volume littéraire comme le tien . Mais , dommage qu’il se vautre dans un rôle de flatteur de l’hostie intellectuelle de la part de congoliberty…
Congoliberty ne demande que ça : écrire. Il ya de la place pour tout le monde,peu importe le style de la littérature , c’est le Congo Brazzaville doit guider notre volonté de casser les chaînes de servitude dressées par Sassou contre le pays…
Alors,je me demande si ce @ Likouala serait capable de maîtriser les mathématiques , l’économie,la philosophie,le droit du travail ,les sciences de l’ingénieur en risques industriels…
Voilà mon catalogue intellectuel , qui apparaît comme un défi aux éventuels aventuriers qui viennent humer l’herbe de l’intelligence sur ce site….
Admirez ce parcours scolaire, qui n’est donné pas tout le monde…Mes proches qui me connaissent se taisent…
L’un des maux qui ont tué le Congo Brazzaville , c’est la jalousie .Mon grand Pascal lissouba en a souffert.. Et le virus y persiste toujours…
Ce ne sont pas des critiques constructives qui vont arranger les routes impraticables de la région de la likouala ,mais le besoin de former des ingénieurs scientifiques, techniciens congolais à la disposition de cette région abandonnée par Sassou.
S’il y a un discours qu’il faudrait adresser aux congolais , c’est celui de se former aux sciences pures où qu’ils soient. Je sais de quoi je parle…
Galilée n’a jamais dit que l’avenir de l’univers sera écrit en critiques constructives françaises ,mais en langage mathématique…
Ce Galilée ,pas très lettré à mon avis…….
Chers compatriotes.
Éclatez- vous intellectuellement ; arrêtez de noyer le poisson Sassou dans un enfumage de bas niveau…avec les subtilités langagières qui masquent le fanatisme ethnique et régional……
Admirez notre @JP Ottouba national dans son art à dompter la bête française.
Vos affects sont les fragments de l’arriérisme congolais…
Comment un supposé intellectuel peut il se disloquer mentalement au vu de mes nombreuses interventions sur ce site ?…
Un intellectuel peut – il avoir peur d’un autre intellectuel ?.
Qu’est -ce qui empêche@ likouala de nous publier mille commentaires sur un sujet proposé ?…. Les lecteurs du site en seraient très friands , alors,au lieu de ça , c’est un fantôme qui apparaît une fois dans l’année sur le site…
Quel culot !
Des critiques constructives pour construire quoi ??..Des futurs dictateurs congolais, peut être….
Deux ingénieurs Santos Eduardo et Macky Sall ont transformé leur pays.L’un à plus de 30 ans de pouvoir et l’autre à plus de 10 ans…
@ likouala peux- tu comparer l’Angola de dos Santos au Congo Brazzaville de Sassou, avec 40 ans de pouvoir pour Sassou ?…. C’est ce qu’on appelle le génie de l’ingénieur..
C’est la raison fondamentale de ma colère contre Sassou ,car il fait perdre le temps précieux au Congo Brazzaville….
Est -ce que certains connaissent le but pour lequel ils interviennent sur ce site ?.
Il ne faudrait pas confondre le mur de lamentations ,situé en Israël et ce site, haut lieu de la contestation irréductible du régime de Sassou…
Freud ,au secours !!.
Cher Val de Nantes,
Je partage en tous points l’avis de Monsieur Ottouba.
Je vous lis tous les jours avec intérêt d’autant que vous avez du talent.
Il faut donc persévérer.
Je regrette simplement certaines de vos positions sur des problèmes de société comme l’homosexualité mais je suis certain que vous pourrez évoluer car vous êtes tolérant.
J’espère pouvoir vous rencontrer à Brazzaville avant de mourrir quand ce régime sera disparu !
Bien à vous
Cher delbar,
Un grand merci pour votre aimable attention. Notre cher@Val de Nantes ne mérite pas autant de jalousie, sinon de haine. J’ai évoqué ici -même cette science de la chasse et de la pourchasse. Sauf qu’en cette circonstance-en cours depuis 1970- du ver qui s’engraisse et se démutliplie sous les effets conjugués de l’Esprit Saint (Bruno Itoua ) et de la malice innocente, les « instruits »- en théâtralité ici- ont raté leur cible. Val de nantes est très loin d’en être la bonne. Sauf à faire de lui un bouc-émissaire. Mais alors, un bouc-émissaire imparfait. Il n’est pas au principe de la création, de la démultiplication du ver, de ses turpitudes et autres crimes (sang et finances) dans notre pays. Si c’est lui, alors quid des partisans du « Tout pour le peuple, rien que pour le peuple ».
Quant à la controverse sur l’homosexualité, je crains de ne pas vous suivre; moins sur le terrain de l’orientation sexuelle et la liberté de son expression factuelle que sur son hypothèse fondatrice.
Pour ma part, il n’y a rien de « biologique » ou de « naturaliste »-la tendance naturelle- dans l’homosexualité.
Je fonde mon raisonnement sur cette idée que l’hommosexualité est un comportement humain, et qu’à ce titre elle est une construction sociale. Elle est sujette à socialisation et à pédagogie comme toute donnée sociale.
Le Congo a existé avant le PCT. Cette évidence pour vous faire remarquer que nous avons été fçonnés dans un creuset socio-culturel et normatif de structures de parentalité communs et bien identifiés. Exceptée la thématique de l’héritage selon la lignée paternelle ou maternelle. Mais nous avons tous en commun d’avoir été éduqués dans cette idée claire sur le statut et le rôle de la mère, du père, de la soeur, du frère, etc. Idem pour les branches latérales et collatérales. Idem pour les stratégies matrimoniales. Nous savions où et qui prendre pour époux ou épouse.
Dans ce canevas, je ne trouve nulle part trace d’homosexualité. A commencer par le contenu lexical de nos langues maternelles. Sauf à me tromper.
L’urbanisation échevelée et les renoncements des hommes et des femmes du PCT ont participé à la transformation progressive de ce canevas en un champ analogue à du sable mouvant, devenu incapable de contenir les acteurs d’une société où les individus sont atomisés, livrés à eux-mêmes et victimes expiatoires de ces renonceurs. Si on ajoute à celà, le contrôle par le PCT du marché bureaucratique du travail-les conditions d’entrée et de sortie-, les individus devenus « atomes » sont livrés par nécessité et « chantage » à eux-mêmes. Sans dispositif de contenance. L’homosexualité, la franc-maçonnerie et le tribalisme (porté par la règle du sang et de l’appartenance) deviennent alors des critères d’accès au marché du travail, à l’argent, au plaisir, à la joie de vivre. L’délogie de la liberté de soi, celle de l’atome isolé, faisant le reste-avec le concours des diplomates français et européens- pour la présenter comme une des libertés relevant des droits de l’homme. Parce que phénomène désigné comme naturel. Alors qu’elle n’est pour moi qu’une idée socialement construite et imposée. Logique d’importation. Logique bourgeoise. Ce qui est facile dans un univers socio-économique et culturel de rareté généralisée.
Est ce pour autant qu’un consensus à ce sujet soit inenvisageable? Entre intelligences, femmes et hommes de culture- contre celles et ceux de la nature- et esprits de tolérance, c’est concevable. Je vous rassure.
Contre Mao-Ze-dong, je vous dis que cette question est une contradiction secondaire. Sa résolution n’est pas prioritaire. L’essentiel pour moi est ailleurs. La fondation d’un univers socio-économique et institutionnel d’assurance et de réassurance collectives.
Alors, celles et ceux pour qui l’homosexualité est un fait de vie, dans un projet de vie, pourront le réaliser et l’assumer; sans celà fût l’occasion d’une injonction sociale et politique.
Merci@Delbar .
Et , c’est vraiment mon souhait le plus actif de rencontrer de visu , après le départ de Sassou du pouvoir.
Par contre , les attitudes de certains de nos compatriotes ,sur ce site,sont animés par un seul affect : la jalousie intellectuelle ,en dehors de leur soutien au sadique Sassou..
Eh Oui . Ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir une enveloppe intellectuelle très variée comme celle de Val de Nantes…Et je comprends que cela soulève des passions tristes chez des personnes mal formées ou inuformées c’est à dire nantis d’une seule formation.
Dois – je rappeler à tous ces jaloux qu’au commencement , à l’instar de l’évangéliste St Jean , étaient les mathématiques, depuis le Congo Brazzaville…..
Le mal du Congo Brazzaville d’origine dans le refus de reconnaître à l’autre des qualités intellectuelles exceptionnelles.. D’où notre misère..
Exemple :
Vous avez tous vu l’écroulement d’un immeuble R+4 c’est à dire rez de chaussée plus 3 étages.
Posez -vous la question pourquoi cet immeuble s’est écroulé ?..
Y -a t-il un règlement de construction des immeubles qui régisse l’art de construire ce genre d’habitation ?.
Si oui ,quels sont les contrôles techniques en amont sur le plan architectural et en aval dans la phase de réalisation ,effectués par les services habilités de l’Etat ?..
En tant qu’un ingénieur multi risques ,je n’aurai pas pu permettre une construction de cet immeuble sans en avoir au préalable la notice technique de ce bâtiment.
La construction de ce dernier devrait être subordonnée à la présentation des documents administratifs et techniques y relatifs , notamment le permis de construire…
Il y aurait fallu effectuer des visites en amont ,pendant et après…..
En tant qu’ingénieur, j’aurais pu connaître un élément primordial ,ce qu’on appelle en ingénierie des risques,le contrôle L, c’est à dire vérifier la solidité des éléments structurels, c’est à dire les poteaux et les poutres..
Bref ,je peux m’y étendre longtemps …
Voilà , comment un pays se meurt , parce que l’intelligence nuit à l’épanouissement des hommes médiocres ayant le souci premier de jouir des largesses des entrailles saignantes de la région du kouilou…
Qu’on ne vienne pas me débiter des bobards ,genre critiques littéraires..
Qu’ils me fassent une critique littéraire sur l’effondrement de ce R+4.
Vous avez études ?.
Quelles études ??.
Faut – pas me chercher sur le pragmatisme ..
Je le dis sur ce site ; après Sassou ces catastrophes bâtimentaires seront difficilement envisageables…
Val de Nantes, ingénieur inspecteur multi- risques… Et vous avez compris pourquoi je m’insurge contre Sassou… Ce lourd bagage technique est à mettre au service de mon pays…Un peu de respect@ likouala…
Précisions : inspecteur en controle de mission en L et S.
S= mission sur la prévention des incendies..( vérifier s’il ya des écarts la réglementation incendie et la réalité de construction sur le terrain).
Attention@Likouala. Val de Nantes est une exception.
Lire , animées.
Lire ,,,vous avez étudié.
Lire ,,,le mal du Congo s’origine dans le refus
Lire ,,,de te rencontrer.
Pour votre gouverne ,ce bâtiment d’habitation était situé sur l’avenue de 3 trois Francs. .J.’attends l’audit théorique appliqué à ce bâtiment par @ likouala.
Vos petits sésames universitaires ne m’impressionnent pas ; il en faudrait plus..
Je sature le site ; j’en conviens ,car je brûle de montrer à Sassou , combien son tribalisme est mortifère pour le Congo Brazzaville….
Nb : chacun voit midi à sa porte…
Je pense aussi il est temps de se dévoiler intellectuellement.
Autrement dit dire , qui est qui ?..
C’est bien de venir parler des critiques constructives , encore faudrait il qu’on sache ,quelle est la nature exacte de votre diplôme ou vos diplômes…
Dîtes -nous, qui vous êtes @likouala ?…
Le temps est venu pour cette diaspora intellectuelle de passer à table..
Le tabou des diplômés anonymes doit être levé…Car il y va de l’intérêt national.
L’ingénieur conçoit et ne critique pas… L’ingénieur problèmatise et solutionne.
D’où ma désinvolture sur le faux procès de critiques constructives auquel je réponds par une ironie Galiléennne…..
Ma conception scientifique du fédéralisme sur le modèle de la prévention des risques industriels a été démontrée dans les articles précédents.
Ma conception mathématique du fédéralisme , partant de l’équation différentielle ,avec une fonction principale qu’est le Congo Brazzaville, a été faite sur les articles précédents….C’est ça la conception , esprit scientifique et systèmique de l’ingénieur….
Une explication des conséquences d’une création monétaire sur une économie nationale a été réalisée au travers de l’article sur la création monétaire proposée par le grd Lucien@…..
Etc
C’est trop facile de venir débiter des âneries sur ce site , sans qu’on sache votre pedigree intellectuel..
Nous devons nous connaître intellectuellement avant le Congo Brazzaville post Sassou…
Désormais les aventuriers intellectuels , qui voudront s’en prendre à moi , devront montrer patte blanche….car j’ai horreur de répondre à des ouvriers de l’intelligence.
L’ anonymat intellectuel ne marche plus. Il faudrait montrer à Sassou ce qu’il a fait rater au pays par son apartheid tribaliste…
C’est ce que je m ‘applique à faire pour prouver la mauvaise conscience politique, qui préside à la gouvernance erratique , ubuesque , et compréhensible de notre pays.. Un crime contre l’intelligence congolaise…
Pourquoi avoir honte d’étaler ses compétences intellectuelles ?…
Dire au pays ,ce que vous êtes relève de la « sophia « ..ou le sophos sophos congolais…
Le mot tribalisme est tellement irritable au Congo Brazzaville, qu’il suscite le pire des bas instincts. La définition du Larousse du mot tribalisme est: organisation sociale d’une tribu. À ma grande surprise, le mot tribaliste n’existe pas, pas plus que celui d’ethniciste. Nous avons été aiguillés dans le seul but de nous haïr mutuellement au bénéfice d’un troisième larron qu’est la secte apocalyptique pct, nous sommes donc les naïfs dindons de la farce. L’article proposé par le doyen Dieudonné Nganga a été écrit dans un souci d’apaisement, mais voila qu’il produit l’effet inverse, et pourquoi donc? L’affaire dite Figa cette fameuse affaire, la diversion de plus mais révélatrice de ce qu’une communauté celle d’une partie des originaires de Mouyondzi ( bembé, minkengué, teké et lali) peut être stigmatisée et jetée en pâture à la vindicte populaire nationale. Des dégâts aux conséquences irréparables pour toutes les personnes qui croient dans une destinée commune des congolais. Après avoir aboyé, madame lydia Mikolo semble être avoir été confortée sans surprise par le régime militaire de Brazzaville, une forfaiture prévisible de plus. Je suis d’accord avec le point de vue partagé qui dénonce l’absence de débats dès que les réflexions montent de niveau intellectuel ( souveraineté, économie, épanouissement divers). J’assume de dire que, la fédération est la seule solution alternative crédible à l’idéologie marxiste-léniniste qui sévit depuis les 13-14-15 août 1963 à ce jour, l’épisode de la conférence nationale souveraine ayant été une brève parenthèse noyautée de l’intérieur par les transfuges infiltrés dans les partis nouveaux. Ne nous éparpillons pas, mais plutôt, soyons déterminés plus que jamais à construire un projet socio-économique et politique pour des projections sur 20 ans. Bien à toutes et tous
monsieur biango je suis souvent d accord avec vous sauf quant vous souhaitez un coup d etat ou une guerre civile ce que vous souhaitez seul les valeurs republicaines