La quête du pouvoir est le substrat de l’être humain, la comprendre permet au peuple d’imaginer des solutions appropriées à ses préoccupations. Si le propre du genre humain est d’évoluer vers un avenir meilleur, l’égoïsme naturel de l’homme le pousse souvent vers l’accaparement de tous les pouvoirs entre ses mains en vue de soumettre et d’oppresser ses semblables. De fait, l’ivresse que procure l’image de soi que lui renvoient chaque jour, les médias ; la sensation d’être Dieu parce qu’il détient entre ses mains, le pouvoir de défaire des vies, d’en fabriquer, d’ordonnancer même la mort et de l’administrer ; la crainte, l’envie, la soumission et la terreur qu’il suscite autour de soi. Dès lors, la pérennisation de ce statu quo devient une véritable obsession.
Depuis un certain temps, les marchands de la peur et d’illusions d’un des régimes les plus corrompus d’Afrique, montent au créneau pour justifier l’injustifiable. Ces constitutionnalistes en herbe rivalisent des mâles propos, en arguant avec emphase que toute œuvre humaine pouvait être modifiée, dès lors que les procédures étaient respectées et que la révision s’effectuait dans les formes républicaines. En réalité, l’axe central de ce funeste projet reste soutenu par les deux faces du miroir aux alouettes qui sont : la consolidation des moyens de toutes sortes pour le contrôle de l’Etat, ad vitam aeternam et la crainte de la perte des avantages liés à l’accaparement de celui-ci.
Mais de quoi parle-t-on ? En faisant table rase sur les acquis de la CNS, les dirigeants actuels se sont dotés en 2002 d’une nouvelle constitution, taillée sur mesure. Cependant, les rédacteurs de ladite constitution étaient beaucoup guidés par l’obsession de la stabilité politique qu’incarnerait un « Homme fort », en rejetant tout bonnement aux calendes grecques, la mise en place des institutions fortes, expression de la vitalité d’une démocratie.
Assurément, dans les mois à venir, les laudateurs du « Chemin d’Avenir » vont pinailler jusqu’à satiété sur trois séries d’arguments; les uns plus fantaisistes et plus fielleux que les autres. Pour conjurer la catastrophe et aider notre pays à s’arrimer dans la modernité ; toute réflexion devrait s’interdire de distribuer l’aménité ni de séduire inutilement, elle doit armer. Comprendre pour s’armer contre les basses stratégies de ceux qui tirent doctement les ficelles dans le clair-obscur, exige un éclaircissement de l’approche conflictuelle de l’interprétation de la constitution de Janvier 2002.
Pourfendre les deux ou trois subterfuges sur lesquels s’appuiera leur campagne, exige une certaine rigueur intellectuelle qui fait appel tout autant à l’argument juridique qu’à la réflexion pure.
1° – Une révision constitutionnelle, serait elle légale et/ou légitime ?
C’est un truisme de le dire. Ce pouvoir né dans le sang voulait à tout prix se donner bonne conscience en flanquant leur nouvelle constitution des articles qui avaient scellé sa rigidité dans le marbre. Mettons sur la table les trois articles les plus emblématiques :
-Art 57 : Le Président de la République est élu pour sept ans au suffrage universel direct. Il est rééligible une fois.
-Art 58 : Nul ne peut être candidat aux fonctions de Président de la République
– s’il n’est âgé de quarante ans au moins et soixante dix ans au plus à l a
date du dépôt de sa candidature ;
-Art 185 : La forme républicaine, le caractère laïc de l’État, le nombre de mandats du
Président de la République ainsi que les droits énoncés aux titres I et II ne peuvent
f aire l’objet de révision.
En dépit de toute vraisemblance, le piège qu’ils avaient tendu au peuple congolais s’était insidieusement refermé sur eux. Grâce à son statut spécifique et à sa primauté par rapport aux autres règles de droit, une constitution se hisse au rang de « pacte fondamental » de la Nation. Elle devient à la fois le concentré de l’histoire du peuple congolais et la plate-forme de ses espérances.
Comme on peut s’y attendre, la spéciosité de leur argumentaire tournera autour de la légalité d’une révision constitutionnelle. Or, toute action relevant de la légalité n’est pas forcément légitime. Toute légitimité ne peut être que la conformité à la conscience du moment.
La refonte du texte fondamental ne peut être opportune que lorsqu’elle vise une modification structurelle, sans arrières pensés politiques. Le climat actuel est pollué par les velléités monarchiques de Sassou, ce qui ne fait que compliquer davantage les choses. Le contexte dans lequel a été conçu ce texte, était particulier, dans l’euphorie de la victoire militaire d’Octobre 1997, puisqu’il a permis de s’attaquer à la limitation des mandats présidentiels, à la limitation d’âge, mais surtout d’y appliquer une certaine rigidité des articles 57 et 58, aux seules fins de permettre une alternance politique.
Il importe de préciser que, ces interdictions ne sont pas une spécificité congolaise. Dans bien des constitutions dans le monde, ces interdictions existent bel et bien. En Allemagne par exemple, en réaction au totalitarisme hitlérien, la loi fondamentale de 1948 interdit toute révision portée sur la préservation de l’ordre démocratique et libéral : de même, en France, depuis la révision de 1884, aucune révision constitutionnelle n’est permise sur la forme républicaine de pouvoir et, enfin, aux Etats-Unis, depuis l’expérience fâcheuse d’exercice du pouvoir de Roosevelt, la recherche de l’efficacité a postulé à ce que le mandat présidentiel ne soit successivement exercé que pour tout au plus deux mandats.
2°– Faut –il encore accorder du temps au « bâtisseur infatigable » pour parachever son oeuvre ?
Ben voyons ! Sans circonlocutions, disons-le : un Président qui n’a pu réaliser ses ambitions pour le pays en trente ans de pouvoir sans partage ne saurait les réaliser en sept ans, voire plus. Ce faisant, il serait sage de laisser sa place à une nouvelle équipe plus inspirée et mieux aguerrie.
Pendant tout son long règne, Sassou n’a poursuivi que ses intérêts personnels, de son clan, de son ethnie. Rien ou presque n’a été entrepris pour redonner à la politique ses lettres de noblesse qui devaient en faire, le lieu d’expression des attentes différentes quant à l’avenir de la cité. Malheureusement, il a tout mis en œuvre pour considérer l’Etat comme un réseau de relations et non pas comme un ensemble de fonctions devant être remplies de manière neutre et objective.
Le Congo doit tourner la page de trente ans de gabegie financière, qui ont fait du Congo le lieu commun du partage de ses biens entre gens d’un système mafieux, sans commune mesure. « Le bâtisseur infatigable » et son clan s’affranchissent allègrement des notions de scrupule et de sacralité de l’argent public.
La récente virée azuréenne de celle que Collinet Makosso appelle par « Trésor vivant de la Nation » ( sic), à plus d’un million d’Euros, est restée en travers de la gorge des congolais. Le vice élevé au rang de vertu. Il y a comme corollaire l’enrichissement facile par montages financiers interposés ; offres de marchés publics, de gré à gré, notamment lors des couteuses et improductives campagnes de « municipalisation accélérée ». C’est l’oubli d’un environnement social marqué par une descente des populations aux abysses de l’absolue pauvreté. Bref, sous couvert de projets infrastructurels non prioritaires, financés en grande partie par les emprunts chinois aux contours flous, notre pays est devenu un vaste champ de nébuleuses.
La perte du contact avec la réalité obstrue toute lucidité, et le pouvoir moribond de Sassou refuse de comprendre qu’il faut bien plus que la maîtrise logomachique et l’habileté manœuvrière, pour gravir l’ultime marche du panthéon politique. Il faut plus, même qu’au bout de longues années de pouvoir sans partage, être en paix avec sa conscience, serein au soir tombant du destin, persuadé que l’action menée est sa meilleure plaidoirie. Détaché des événements, détaché de soi, c’est parce qu’il n’attend plus rien que le politique obtient alors ce luxe suprême d’être un grand homme, au moment précis où cela lui est devenu indifférent. Ce n’est pas le cas de notre grand timonier, obsédé par la gloutonnerie du pouvoir.
3° La paix par les armes, est-elle une paix viable?
Les congolais ont tendance à voir la stabilité comme personnalisée. Une stabilité garante d’une paix véritable n’est viable que lorsqu’elle tire sa force des institutions fortes. Nous avons vu que tout le long de son règne, Sassou s’est attelé à vampiriser toutes les institutions en les mettant tout bonnement au service de son pouvoir.
Hisser Sassou au statut d’un homme de paix, ressemble à s’y méprendre à appliquer un cautère sur une jambe de bois. Depuis plus de trente ans, Sassou a toujours été mêlé à toutes les turpitudes politiques, qui, de façon récurrente, ont fait bégayer l’histoire de notre pays. Résultat des courses : chaque fois qu’il était en dehors du pouvoir, la paix était plus que jamais menacée.
La seule paix qu’il a instaurée au Congo est la paix par les armes. Machiavel l’a écrit, Sassou s’en inspire. Afin de maintenir la population sous une pression d’une puissance insoupçonnée, il achète de façon ostensible, des quantités impressionnantes d’armes de guerre. En paix avec tous ses pays voisins, le Congo n’est menacé par aucun péril extérieur. Il sait que les Congolais, traumatisés par des décennies de guerres civiles, ne pouvaient aucunement occulter cette peur. Un de ses prodigieux exploits, est d’avoir réussi à implanter de façon insidieuse cette peur dans le code génétique du congolais lambda. Une paix saine se ressent au quotidien, elle ne se décrète point.
Tout compte fait, il est toujours souhaitable d’avoir une représentation parfaite des conséquences politiques qui peuvent résulter d’une révision constitutionnelle avant de l’amorcer. On peut soutenir à l’envi le contraire, mais tout indique indiscutablement que la révision de ces trois articles, sera un véritable affront que ce système poserait au peuple congolais, un véritable passage en force doublé d’une méprisante arrogance.
Alors, le départ de Sassou en 2016 est-il définitivement acquis ? Pétri d’une dextérité méphistophélique, Sassou fera sans conteste, son baroud d’honneur. Il reviendra au peuple d’exhumer cette défiance qui pousse à la révolte. La maturité politique du peuple congolais sera jugée à l’aune de sa capacité à relever ce défi, véritable obstacle à l’instauration d’une véritable démocratie au Congo.
Djess dia moungouansi : « La plume du Congo libre »
Vice- Président du Cercle de réflexion LA RUPTURE.
Le blog de Djess : http://demainlecongo.kazeo.com
Mon frère djess même une chèvre ferait mieux que sassou , ce fou furieux doit partir , parce que le développement et l’unité du congo en dépendent , mais surtout il revient à nous diaspora de conscientiser les autorités française de la dangerosité de sassou à continuer son massacre ! Parce que ce dernier n’est que la volonté de la France au congo c’est claire et nette avec 3%des Mbochis on devient pas président par une élection démocratique.
Mes chers freres,il y a quelque chose qui m’ecoeure des Africains de facon generale et en particulier des Congolais c’est leur angelisme legendaire devant leurs oppresseurs.Vous dites que Sassou est la volonte de la France et vous le dites de facon naturelle.Alors je vous pose la question suivante quelle est donc la volonte des Congolais?.Nous pouvons nous inspirer de autres peuples qui ont su comment traiter les oppresseurs.Avec un pays comme la France il faut la violence c’est a dire deloger leur pantin par la force un point un trait.Les Algeriens ont chicote vos fameux francais pour se liberer,les Cubains ont chicote dans un premier temps les espagnoles puis les americains en delogeant d’abord Batista leur pantin-marionnette puis les defaire sur la page Giron.Faites comme les autres peuples imposez vous sinon vous resterez les eternels esclaves de la France.Demandez a la France d’enlever Sassou leur marionnette-pantin du trone c’est comme cet esclave qui demande a son mettre de le liberer.Il faut etre ferme avec la France et arracher la liberte.
Pardonne moi mon frère Djess : pourquoi me suis-je arrêté au titre de l’article et je ne l’ai pas lu ?
Parce que Sassou, ses enfants et ses neveux sont en train de tout voler ! Toutes les recettes du pétrole disparaissent et l’argent est devenu rare dans la « véritable économie » congolaise. Seule « l’économie parallèle » est en plein boom : celle des faux contrats et des fausses entreprises ! Celle qui permet d’acheter des parcelles, construire des hôtels et rouler dans des voitures à 100 ou 200 millions !
Le Congo n’est pas un pays démocratique, avec des échéances et une alternance possible !
Le Congo est un pays livré à la mafia de Sassou NGuesso et qui est entre les mains de quelques bandits sans foi ni loi qui gèrent leurs rackets en donnant à tous l’illusion du fonctionnement d’un Etat. L’illusion rien de plus !
Donc le titre de ton article nie cette vérité et donne crédit à Sassou pour terminer ce mandat (déjà usurpé) et encore une fois prétendre ou permettre à un de ses rejetons de prendre sa suite en 2016 ou 2017 au cas ou sa modification de constitution ne passerait pas.
Il faut cesser de donner du crédit à Sassou avec ce leurre de 2016. Sassou est devenu un des hommes les plus riches au monde et le sera encore plus en 2016 ou 2017 pour acheter les Congolaises, les Congolais et tous les Wajman, Pigasse et Francafricains de la Terre !
Voilà pourquoi, alors que je te suis un lecteur fidèle et que j’apprécie et souscris à tes idées, je n’ai pas lu cet article comme je ne lis pas les déclarations des pseudo-hommes politiques qui vont dans le même sens !
Le départ c’est maintenant et pas en 2016 ni en 2017
Fils du pays, notre oppresseur à un visage et un nom c’est Denis sassou , qui est l’auteur des tout les mots des congolais , crimes de sang , crimes économique ,ce dernier quant -il essaie de faire quelque chose c’est pour faire du gaspillage , le congo continu à dépendre de l’électricité de la RDC . Alors quoi sert IMBOULOU ? voilà encore du gaspillage d’argent !!!
Le vrai oppresseurs des congolais c’est votre fameuse petite france qui agit par procuration a travers leur fameux pantin-marionnette mr sassou.Dans d’autres cieux mr sassou aurait été déloge dans les lustres fut ce t-il gouverneur de la france ou pas.Helas les français ont trouve depuis de siècles en africains de facon generale et en particulier des congolais des hommes très dociles raison pour laquelle ils vous tuent,pillent les ressources etc..Que font les francais a la presidence chez sassou dans divers postes.C’est inimaginable voir un français conseiller a la présidence iranienne par exemple,cubaine ou meme chinoise.Je cite quelques pays qui ont su ou savent se défendre contre les oppresseurs.Je lance un appel aux congolais se debarasser de mr sassou de ne pas entendre la fameuse date 2016 c’est de illusion.La liberté ça s’arrache.Il faut user les methodes fortes contre les pantins de l’occident(france)
Fils du pays , c’est que sassou a tué 10000milles compatriotes pendant la guerre du pool, en plus il a assassiner près de 400 fils du pool au Beach de BzV! Avec la protection de J Chirac ! Le frère loubaki a raison ill faut faire pression à l’Elysée maintenant que c’est gauche! La gauche ne laissera pas sassou comète ces crimes odieux
Une fois de plus mon cher frère si nous sommes vraiment des Congolais, retenons une bonne fois que le Congo n’est pas un quartier ou un département de la France, c’est simplement pour vous dire que cette histoire où le gouvernement français devrait décider sur nos problèmes interne doit s’arrêter. Pour votre information le Congo doit presque tout à Sassou et c’est vérifiable. A moins que vous soyez animer par autres choses, sinon tous les Congolais devront souhaiter qu’il se présente aux élections de 2016.
TCHIBOTA, je ne sais pas ou tu sors ces chiffres, tous ici au Congo nous savons que : s’il y a eu un président qui n’a pas tuer c’est Sassou. L’histoire n’a jamais changé et ne changera pas. Personne n’à oublier la terreur que les aubbevillois, les nidjas, les cocoyes …. Faisaient vivre au habitant des quartiers nord de Brazzaville, tous ceux qui habitait l’av de France à cet époque peuvent encore ce rappeler de ces fameux engin qui aspergeait de l’eau chaude au gens simplement parce qu’il était debout à deux s à partir de 18h c’était un motif, ou encore on vous tirait dessus. Aussi les cadres du nord qui habitais l’Europe sélectionnés par les Ga du pouvoir pour soit disant venir travailler au pays, ou était il passé dès leur arriver au pays ??? Tous morts. Sassou travaille avec tous le monde ne tue personne, il n’est pas tribaliste il travaille avec les cadres de tt le pays du nord au sud de l’est à l’ouest, Sassou mérite de diriger ce pays à l’éternité c’est un liberateur
Le president American F. Kennedy avait dit ceci aux americains » Au lieu de demander ce que ton pays peut faire pour toi, il est mieux de se demander ce que tu peux faire pour ton pays »
Apres tout ce qui s’est passe au Congo, je suis choquee de lire sur ce genre platform,que les gens ont l ‘audacite de parler de violence au Congo (Fils du pays). De prendre le pouvoir par la force? Les armes pour tuer les congolais encore?
Le Congo, mon pays de moins de 4 million d’habitants, this is very sad.
Et qu’est ce que l’on fait de l’intelligence?
Nous sommes beaucoup qui vivont en dehors du pays, est ce que nous ne pouvons pas ramener chez nous de bonne choses que nous voyons ou appris ailleurs?
Utiliser notre intelligence pour recuperer notre pays, I mean intellectually.
La violence ne paye pas. C’est sauvage et ne nous donne que la misere, la peine, la destruction, la heine…
Regroupons nous quel que soit les pays que nous nous trouvons des solutions intellectuelles and constructives pour notre pays.
Moi, j’aime mon pays le Congo. I love my country
Je suis Congolaise, et je ne souhaiterai plus la guerre au Congo.
Je prie tous les jours pour que Dieu nous accorde toujours La Paix au Congo
M. MOUANGA DE BZ aura du mal à défendre le despotisme devant les Congolais.
La Démocratie est aujourd’hui notre loi parce que le peuple souverain sacralise l’Etat de droit et consacre la dignité du citoyen congolais.
Non seulement en politique, mais dans tous les domaines régencés par des valeurs devenues universelles.
Ainsi, parce que la légitimité et la justice, legs ancestraux sont confisquées par le putschiste de Mpila, celui doit dégager. Sassou appartient à un modèle révolu.
vous êtes tous entrain d’apporter tant soit une part d’éclaircissement, en ce que je sache le pouvoir de Brazzaville est en fin de mandat, cela sous entent que l’heure du changement est arrivé et il appartiens aux Congolais de faire eux même leurs propre jugement en tenant compte de leur situation social si elle à progressé, ou pas, avec l’actuel régime; la démocratisation d’un pays ne fait pas dans un esprit de révolte pour espérer apporter du changement, non; mais c’est à partir des institutions fortes qui doivent s’imposer au lendemain d’une alternance.