Monsieur BOUSSANKIE Albert Kévin assassiné dans les bureaux de Willy Nguesso.

Suite au cambriolage perpétrer dans la nuit du 05 au 06 Octobre 2011, dans les locaux de la Direction de la Société SOCOMAB, appartenant a Wilfrid NGUESSO avec pour Directeur Général Désiré Juste MONDELE (par ailleurs porte parole du CLUB 2002-PUR, le parti de son patron)  , qui s’est soldé par la mort tragique d’un pauvre innocent en a personne de Monsieur BOUSSANKIE Albert Kévin, employé de la société de gardiennage RHINO Perfo-Express.

 

EXTRAIT DE MAIN COURANTE

N°046/MDN/GN/RGK/COMREG/BR-

 

Nous soussigné SOGNELE Ruphin, sous lieutenant, officier de police judiciaire, commandant la brigade des recherches en résidence à Pointe-Noire,

Extrayons de notre main courante les mentions suivantes du 6 octobre 2011, à la demande des sociétés SOCOMAB et ceux de RHINO Perfo-Express.

 

« Le 6 octobre 2011 à 8 heures 40 minutes, le capitaine, commandant la compagnie territoriale de Pointe-Noire rend compte au colonel, commandant la région, de la découverte d’un corps sans vie ligoté, dans l’enceinte de la Société Congolaise de Manutention des Bois (SOCOMAB) sise à Pointe-Noire, avenue Marien Ngouabi centre-ville.

Immédiatement, le commandant de région nous confie la direction de l’enquête. En vue de procéder aux constatations, nous nous transportons sans délai sur les lieux où nous arrivons à 8 heures 45 minutes.

 

« ETAT DES LIEUX EN PARTICULIER :

Nous découpons la scène de crime en quatre zones de travail : le portail et ses abords (zone Q) ; le bloc des sanitaires (zone T) ; le bâtiment administratif (zone U-corps de délit n°1) et l’annexe-débarras (zone S-corps de délit n°2).

 

Dans la zone Q : Les premiers indices sont découverts au niveau du portail.

Dans la zone T : A la devanture de ce bloc de sanitaires, des freinages de semelles signent lutte sur le sol.

Dans la zone U : L’entrée du bâtiment principal réservé à l’administration, a connu une effraction. Il s’agit d’une porte en bois à deux battants que protégeait une grille. La chaine de garde retirée de la grille est abandonnée sur le coté gauche avec son cadenas défoncé

A l’intérieur du bâtiment que nous avions investi en compagnie du directeur adjoint de la société, nous constatons que :

6- La porte du bureau de la caissière a été ouverte par effraction. Le coffre-fort est en place sur le coté droit mais son dispositif d’ouverture est fortement endommagé par une tentative d’effraction. Sa clé a été emportée ainsi que la clé de la porte du bureau. Sur la demi-cloison coté gauche contigüe du bureau facturation, des traces d’escalade sont visibles ;

7- Le bureau de facturation a été visité par escalade et son occupant accuse la disparition d’un ordinateur complet ;

8- Dans le bureau du chef de personnel, les effets sont épars, son occupant accuse la disparition de deux baffles d’ordinateur et une somme de 800 000 Francs Cfa ;

9- Dans le hall, près du bureau informatique, un régulateur de 5 000 watts a disparu ;

10- La porte en panneau du bureau informatique a été détruite sans toutefois s’ouvrir.

« Les constatations dans la zone S sont faites en présence des personnels du centre de l’hygiène publique de Pointe-Noire qui a déféré à notre réquisition. Dans ce débarras du bâtiment annexe, le corps est en position de décubitus ventral à même le plancher. Les jambes sont emballées dans une combinaison personnelle de couleur bleue et ligotées proche des chevilles et proche des genoux. Les cuisses sont nues. Un caleçon à fond blanc se fait voir. La partie supérieure du corps est voilée ; les membres supérieurs sont ligotés en trois points derrière le dos et orientés vers la droite. Le cou porte un lien qui maintient le bâillon constitué par un tee-shirt de couleur noire.

Retourné et délié, le corps connaît un écoulement sanguin par la bouche.

A la fin de son examen par le centre de l’hygiène publique, le corps de BOUSSANKIE Albert Kévin est transféré à la morgue municipale de Pointe-Noire.

Les effets personnels et vestimentaires de la victime sont confiés à son employeur à charge de les remettre à sa famille.

« L’assistant sanitaire KOUZIETISSA Camille, ayant examiné le corps de BOUSSANKIE Albert Kevin sous l’autorité du médecin chef du centre de l’hygiène publique de Pointe-Noire, a donné la conclusion suivante : « La mort serait causée par l’asphyxie consécutive à l’obstruction des voies respiratoires ».

En foi de quoi, le présent extrait de main courante est établi et délivré aux deux sociétés demanderesses pour toutes fins utiles.

 

L’officier de police judiciaire

 

Sous-lieutenant SOGNELE Ruphin          I

 

 

LISTE DES OBJETS VOLES

 

Bureau Chef du Personnel

ü  2 Baffles ordinateur

ü  Somme de 800 000 FCfa

 

Bureau facturation

ü  Ordinateur complet emporté

 

Bureau Caissière

ü  Clés coffre fort emporté

ü  Clés porte caissière emporté

 

Hall

ü  Régulateur de tension de 500 watts emporté

 

CONSTAT DOMMAGES DES BUREAU

Ø  Porte principale en bois endommagée

Ø  Cadenas de la porte principale en grille cassé

Ø  Porte principale en panneau détruite bureau informatique

Ø  Outils informatiques bureau Chef du Personnel saccagés.

 

La rédaction de congo-liberty.org présente ses condoléances les plus attristées à la famille Monsieur BOUSSANKIE Albert Kévin.Que son âme repose en paix

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2 réponses à Monsieur BOUSSANKIE Albert Kévin assassiné dans les bureaux de Willy Nguesso.

  1. loko DIA MOUKOUBA dit :

    ENCORE UN MEMBRE DE LA FAMILLE SASSOU QUI TUE UN SUDISTE ARBITRAIREMENT ! COMME QUOI LE GENOCIDE DE SASSOU CONTRE LES SUDISTES NE PRENDRA FIN QU’A SA MORT ! le Réequilibrage des POPULATIONS ENTRE LE NORD ET LE SUD EST EN MARCHE SELON L’idéologue sassou N’GUESSO DENIS , le NEUVE WILLY à BIEN COMPRIS leçon de tonton sassou ! le peuples KONGOS MBA DIA NSéKé , SASSOU NGOUAKOU!!!

  2. Dieudos Eyoka dit :

    C’est une honte !
    Willy regarde où se trouve ton frère Saif al Islam bien plus intelligent que tu ne l’es….
    Il va te falloir courir et te cacher dans une bouche d’égout. Prie qu’il ne pleuve pas ce jour là !

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