L’ONG environnementale Greenpeace publie ce mardi un rapport intitulé « menaces sur la forêt africaine ». Il pointe le risque d’une déforestation destinée à favoriser la production d’huile de palme.
Dans son rapport, l’ONG Greenpeace vise plusieurs entreprises. Parmi elles figure la Socfin. Derrière ce nom, on retrouve l’homme d’affaires français Vincent Bolloré. Il possède 38 % des parts de la Société Financière des Caoutchoucs, l’un des principaux planteurs du continent africain et asiatique dont le siège est au Luxembourg.
Greenpeace réclame une politique zéro déforestation
Greenpeace demande à Vincent Bolloré « d’user de son influence au sein du conseil d’administration pour convaincre la Socfin d’adopter immédiatement une politique zéro déforestation basée sur les standards les plus élevés, et à défaut de se séparer de ses parts dans l’entreprise ». L’ONG demande également au groupe Bolloré « d’adopter et de rendre publique immédiatement une politique zéro déforestation respectueuse des droits des communautés locales, pour les activités et les investissements du groupe Bolloré, basée sur les standards existants les plus élevés ».
Greenpeace souhaite que le groupe français rende compte « régulièrement et en toute transparence » des progrès accomplis dans la mise en œuvre d’une telle politique et enfin de « soutenir l’adoption de règlementations zéro déforestation dans les pays dans lesquels le groupe investit ».
Selon Cécile Leuba, chargée de campagne Forêt à Greenpeace, la déforestation concerne les forêts du bassin du Congo, le deuxième massif forestier du monde après l’Amazonie, réparties sur six pays d’Afrique centrale. « L’impact est majeur pour la biodiversité, le climat et pour les populations locales qui vivent en bordure des plantations d’huile de palme » explique-t-elle. « Le groupe Bolloré joue sur les mots en expliquant qu’il n’est qu’un facilitateur. Nous estimons qu’il est un véritable influenceur au sein de la Socfin. D’ailleurs Vincent Bolloré fait partie de son conseil d’administration. Nous voulons éviter que la déforestation massive, qui est intervenue ces dernières années en Asie (Malaisie et Indonésie), ne se reproduise dans les forêts du bassin du Congo. »
Opération « coup de poing » des militants Greenpeace
Ce mardi matin, des militants de Greenpeace ont pris pour cible les Autolib’, les voitures en libre-service à Paris, dont le fonctionnement est assuré par le groupe Bolloré. Plusieurs dizaines de militants de Greenpeace ont collé des affichettes sur environ 300 voitures selon l’ONG. Une façon d’interpeller Vincent Bolloré, mais également de sensibiliser le grand public à la question de la déforestation. Sur les réseaux sociaux, l’opération a été largement relayée à travers le hashtag (mot-clé) #ZeroDeforestation.
Bolloré est un cancer de l’Afrique
Sassou Nguesso et son clan sont ses métastases
C’est la défaite congénitale des intelligences africaines .La transformation des matières premières en valeur ajoutée , est une antienne millénaire .
Faut il un BOLLORE , ce mercenaire financier , pour évaluer la richesse de nos forêts ?
J’ai , souvent dit , après m’être confronté à plusieurs expériences scientifiques , technologiques et techniques , que l’avenir de l’Afrique , plus particulièrement celui du CONGO, repose sur l’utilisation efficiente des ingénieurs congolais .
L’ingénieur congolais , s’embrume , s’ennuie , se désole , du peu de considération que lui accorde le pouvoir politique .Et au fil du temps , le pays n’avance pas , stagne , ne se transforme pas ,et par ricochet , on auto entretient notre misère .
Pour espérer mettre le Congo sur des rails , c’est de laisser nos ingénieurs travailler de suite , qu’ils se bonifient au contact des défis scientifiques et technologiques , qu’ils auront à rencontrer .
C’est de cette façon ,que nous pourrons gérer au mieux nos propres forêts .
La présence , des BOLLORE , sur notre territoire , signe notre renoncement au progrès technique .
VAL DE NANTES, fais le décompte de nos ingénieurs au Ministère des eaux et forêts au service de nos forêts , rien , tous sont devenus politiciens là où on peut voler et s’enrichir.
BOLLORE a des meilleurs jours devant lui à moins de changer le pouvoir pour remettre tout en cause et voir ce qu’il ya lieu de faire.
Bollore dont le capital a 85 ans d’age bâti sur le dos et le sang des noirs.
Ce mercenaire décrié par ses cousins Italiens par ses pratiques d’autres ages mais accepte par l’idiot d’edou et mercenaire comme lui.Actuellement,il croit endormir les Africains de l’Ouest avec son machin appelé la construction du fer chemin Benin-Burkina-Niger -Cote d’ivoire,le but cache c’est le vol des matières premieres de cette partie d’Afrique principalement les minerais.
Quand j’évoque de très vastes et très profondes reformes post regime mafieux de Mr Sassou,le cas Bollore ne peut pas échapper.Il faut chasser impérativement Mr Sassou par les moyens militaires afin de voir clair sur les affaires du Congo.
@val de Nantes
@oyessi
vous venez de toucher là le point sensible de notre non développement. En effet, les cadres congolais (ingénieurs, docteurs, etc) de la fonction publique dont les derniers ont été recrutés en 1983, n’ont jamais eu l’occasion de pratiquer les métiers pour lesquels ils ont été formés (exception faite du secteur de la médecine). Le parti dirigeant l’Etat, les cadres se sont toujours retrouvés dans des situations éprouvantes: recevoir des directives « dites techniques » de la part des mamadous du pct. Imaginez un instant le drame que doit vivre un patriote convaincu d’être rentré chez lui pour apporter un petit plus pour l’amélioration de la qualité de la vie de son peuple. Surtout qu’en ces années là (1980), le tribalisme n’avait pas pignon sur rue.
Alors trente années plus tard quand sonne l’heure de la retraite, notre patriote quitte son service, désabusé, avec le profond sentiment de n’avoir jamais été utile à son pays. C’est l’opinion générale de tous le retraités de la décennie 2010.
Demandons à Dieu de faire que DEMAIN ne ressemble ni à HIER ni à AUJOURD’HUI.
@SISI EXACT JE VIENS DE LE VIVRE .LE PAYS N’ A PAS BESOIN DES INGENIEURS VENUS DE POUTOU faut être mbochi et venir de CHINE ou de CUBA , en fait des ingénieurs socialistes et socialisants et moscovites .
LE CONGO où les cadres ingénieurs somnolent dans les bureaux puants .
RESULTAT DE COURSE ;;; pays puant , sale , crasseux , miséreux , nauséeux , aucune prise de risque pour défier la misère .
Ce n’est pas un POLITILOQUE sorti des universités de MOSCOU , qui va sauver ce pays , soyons réalistes .
A FORCE DE CHASSER , les esprits éclairés , on épouse quotidiennement la misère , et nous en sommes là et les BOLLORE , auront encore des beaux jours devant eux .
Car , notre intelligence se limite à s’autodétruire financièrement .On a beau faire , que les barils soient au niveau de 200 dollars , ce sera ZERO , au compteur et donc l’illusion émergente .
C’est aux congolais , de mettre leurs cerveaux au service de notre pays .
Bollore au port de Pointe Noire , Bollore dans nos forêts et nos forets en coupe réglée avec les Malaisiens, les sud Africains ,sans compter les terres agricoles qu’on vend ou qu’on loue à de riches étrangers. On dit aussi que le riche ministre des eaux et forêts et/ou de l’agriculture M Henri NDjombo, s’est acheté un jet privé pendant que le pays peine à fournir des tables et bancs dans les écoles.
Dire que le bois était l’essentielle ressource d’exportation des années 1963 à 1968 et les salaires étaient bien payés à temps
Il est temps que la Diaspora s’intéresse aussi à la gestion de notre bois, à nos terres. Bientot, les congolais seront cantonnés dans des terres arides désertifiées par la cupidité de nos dirigeants actuels .
Ce sera la priorité du nouveau gouvernement , celle de rappeler tous les ingénieurs , techniciens , docteurs , etc au pays , pour une réflexion approfondie sur l’utilisation économique et sociale ,de l’intelligence scientifique , technologique , et technique au service de notre pays .On ne perçoit pas un développement économique , en n’épiant que les seuls prix du baril du pétrole, sur notre tableau de bord économique , ce n’est plus possible . Nous devons absolument changer notre logiciel mental sur la façon de faire émerger un pays .
Tenez , l’huile de palme à laquelle , on a réservé des milliers d’hectares dans le nord , c’est une aberration intellectuelle , qui est empreinte d’un déficit d’information internationale sur les conséquences sanitaires et environnementales de cette huile .
Les ONG n’arrêtent pas d’alerter les opinions internationales et nationales , sur leur impact écologique et sanitaire .
Certaines industries agroalimentaires , commencent à s’en détourner , sinon à les rendre moins visibles dans leur processus de production .
Et , aussi une menace pour la biodiversité ,car il détruit les écosystèmes , au profit d’une seule culture .
Donc , in fine , cette culture n’a pas d’ avenir dans l’immédiat .C’est une impasse scientifique africaine ,dont nous sommes amenés à relever le défi .
Trouvons en , une autre utilisation , qui fasse l’unanimité , au niveau international , et cela passe par la création des laboratoires assujettis aux standards internationaux .
QUI A DIT A SASSOU QUE LE CONGO N’AVAIT PAS DE CADRES ECLAIRES ,,?
AAAAAAAH…….. LE PAYS .
Le Congo se développe et se modernise vite. Ce long processus a un prix, celui de l’exploitation des ressources naturelles sur les quelles l’économie congolaise de rente repose essentiellement. Notre pays contribue aussi à la préservation de la forêt équatoriale, d’où la reconnaissance (ex COP21) de la communauté internationale. Mais il sied de durcir les quotas de production au niveau des entreprises forestières afin d’amoindrir leur impact sur l’environnement, car le Congo appartient aux futures générations qui sont conscientes des enjeux de l’écologie. Ceci étant, nous ne vivons pas dans un monde parfait, où des associations étrangères (financement sulfureux et radioactif) seraient nées dans l’unique but de sauver l’Afrique. Certes l’initiative de Greenpeace a le mérite de sensibiliser l’opinion sur le fait que nous sommes tous des Vert (à l’instar d’Eva Joly, une Ecolo) dans l’âme. Combien de forêts Greenwar a sauvé de l’Agent Orange au Vietnam ? On est en droit de s’interroger sur cette autre ONG « So British » aux indignations à géométrie variable.
@ Ekolo Congo
Stratégie sassouiste : toujours fustiger le doigt pour ne pas que l’on regarde quelle direction il indique.
Les principaux permis forestiers appartiennent aux enfants Sassou. Les chiffres de production sont classés SECRET D’ETAT
Nous avons aussi un agent Orange. Son nom Denis Sassou Nguesso
A M Ekolo Congo
Bizarre, ton pseudo fait penser à cette association sassouiste montée pour le fameux faux référendum du 20 Octobre 2015.
Alors de développement parlons en. Quel développement quand notre peuple ne peut dire son mot sur la conduite des affaires du pays, quand les dirigeants confisquent toute la richesse du pays, quand il n’y a pas de système scolaire digne de notre pays, quand les permis forestiers se répartissent entre les hommes de main et les gens du clan de M le président, quand les dirigeants s’arrogent jusqu’à des puits de pétrole privés, quand il n’y a plus de trésor public, que notre argent se garde dans des maisons, et quand, enfin, nous mourrons dans nos hôpitaux par manque de médicaments même contre le paludisme.
Quel est ce développement qui n’a pas pour objectif le meilleur être des populations mais plutot leur paupérisation. Le développement ne se compte pas au nombre de maisons, de villas possédées par le clan au pouvoir, ni au nombre de comptes bancaires de la famille au pouvoir, ni même au nombre de soldats à sortir pour arrêter les Mokoko, Boukadia, aux hélicoptères de combat que l’on sort pour tuer et empêcher les manifestations pacifiques…
MPO NA EKOLO, combien reçois tu pour trahir les aspirations du peuple, dire des contre-vérités, suivre Sassou partout dans le pays.
Quel bilan pour le pouvoir que tu soutiens ;Ton disque est rayé, fuis la colère du peuple ,car elle arrive et va balayer ton faux raisonnement !!!!
Sassoufit ! Sassou dégage !