Après avoir organisé une mascarade référendaire, somme toute impopulaire et fort controversée, Sassou Nguesso, le satrape des bords de l’Alima, au mépris de la loi, vient de prendre tout le monde de court en imposant unilatéralement la tenue d’une élection présidentielle par anticipation. Et pour ce faire, il n’a pas fait mystère de sa volonté de “gagner” dès le premier tour, bien évidemment, comme toujours au moyen d’une fraude massive dont il est devenu le champion. A cela s’ajoute le fait que son parti s’est une fois de plus accaparé de la préparation de cette élection majeure en amont et en aval, sachant qu’aucune commission paritaire ou tripartite n’a été mise en place pour la circonstance. Il convient également de signaler que le pouvoir a opposé, de manière cynique, une fin de non recevoir à l’érection d’une gouvernance électorale sans cesse reclamée par l’opposition. On comprendra dès lors que les conditions de la transparence, du caractère inclusif et de l’équité de ce scrutin sont donc loin d’être réunies. De tout ceci, on est envahi par le sentiment amer qu’on ne se trouve même plus dans une démocratie au rabais ou édulcorée, mais plutôt qu’au Congo-Brazzaville on est confortablement installé dans une démocrature.
L’élection présidentielle, est non seulement une rencontre entre un homme et un peuple, entre un homme et un pays, mais surtout un homme armé d’une vision de grandeur, de progrès et de développement socio-économique de la patrie. Une vision à laquelle doit tout d’abord adhérer le peuple. C’est pourquoi une candidature à une élection démocratique digne de ce nom requiert au préalable un projet de société sur la base duquel on devra être élu. Hélas, au Congo cela est loin d’être le cas notamment pour Sassou Nguesso. Lequel est sûr de l’emporter après s’être assuré de la mise en place d’une grosse et infaillible machinerie de fraude. De toutes les façons quand bien même il aurait un projet de société, cela n’a jamais rien changé au quotidien des congolais encore moins au paysage économique du pays. C’est pourquoi il sied de signaler qu’après 32 ans de règne sans partage son bilan est particulièrement calamiteux sinon catastrophique tant sur le plan économique que social. En effet, le régime de Sassou Nguesso s’est beaucoup plus illustré en sabordant des unités de production qu’il en a crée. Nous n’en voulons pour preuve que le fleuron industriel hérité de Massambat Débat qui a été littéralement détruit en raison d’une gestion hazardeuse caractérisée par l’incompétence sinon une médiocrité congénitale. C’est pourquoi on est en droit de se poser la question de savoir où sont passées des enterprises comme SOTEXCO, IMPRECO, CHACONA, CPC, SICAPE, les ranchs de la vallée du Niari et bien d’autres encore.
Contrairement aux dithyrambes fantaisistes et complaisantes qui lui sont adressées par des griots et fanatiques zélés, il y a lieu d’affirmer que Sassou Nguesso est par excellence un destructeur infatigable. On peut cependant déplorer le fait que l’individu n’ait de grandeur d’âme ni aucun état d’âme par rapport à l’ampleur du désastre et du tort causés au pays, pour qu’il veuille encore se cramponner au pouvoir pour y mourir. Il n’est un secret pour personne que le putschiste invétéré voudrait une fois de plus rempiler sur la base d’une parodie d’élection. Or se sachant à la tête d’un régime foncièrement criminogène, donc coupable de crimes économique et de sang, Sassou Nguesso s’aggripe désespérément au pouvoir comme d’une bouée de sauvetage pour jouir de l’umminité que confert la fonction, afin d’échapper ainsi à la justice qui est pratiquement lancée à ses trousses. Il n’ignore d’ailleurs pas qu’au regard de nombre de casseroles qu’il traine, des dossiers bien ficelés l’attendent impatiemment auprès des juridictions internationales!
Dans ces conditions, sachant pertinemment qu’on est en face d’un adversaire hors-la-loi ne s’encombrant guère de scrupules, il ne saurait être judicieux pour l’opposition d’aller en ordre dispersé à une élection on ne peut plus illégale et dont on sait perdue d’avance. C’est pourquoi il s’avère donc impérieux pour l’opposition de trouver un candidat unique, derrière lequel devra se ranger la majorité écransante des forces vives du pays. Il ne faudrait surtout pas que l’on se trompe de combat, car l’heure est grave et il y’a urgence de mettre hors d’état de nuire, par des moyens démocratiques, un éffroyable tyran sanguinaire et un régime foncièrement crimonogène ayant pris en otage un peuple et mis le pays en coupe réglée. Pour ce faire, la dynamique unitaire portée sur les fonts baptismaux par le FROCAD et l’IDC doit trouver son aboutissement par une victoire des forces démocratiques, consacrant ainsi la libération du pays de la dictature, la tyrannie et l’oppression. Il y a cependant lieu d’avoir présent à l’esprit que quand la patrie est gravement en danger, le devoir de concession et sacrifice s’impose, pour peu que l’on cultive la fibre patriotique! C’est pourquoi les leaders des partis de l’oppostion devront mettre leur égo boursouflé sous le boisseau et convenir d’une candidature unique face au putschiste récidiviste dès le premier tour.
L’idéal serait donc de créer les conditions optimales et idoines d’un scénario d’inversion significative du rapport de force, où l’on contraindrait Sassou Nguesso à se retrouver seul contre tous. Il convient pour les partis de l’opposition ainsi que la société de faire corps et surtout de s’inspirer de la redoutable stratégie du combat en formation de corne de taureau, expérimentée par nos ancêtres les Bantu. En effet, il s’agit d’une tactique à l’étouffoir axée sur un combat sans merci consistant à l’enveloppement et à l’étouffement de l’adversaire. Pour ce faire, il sied de jeter toutes les forces dans la bataille et de cerner l’ennemi de toutes parts notamment. En fait, en ma qualité de para-commando de formation, je suis convaincu de l’efficience de cette stratégie, par laquelle ce combat décisif doit être mené jusqu’en profondeur, dans les arrières ennemies afin de lui tailler les croupières. Dans la pratique, il convient donc de mettre les troupes du PCT en déroute et, à terme, de consacrer l’éradication de la scène politique un parti foncièrement criminogène qui, à l’évidence, porte les germes de la destruction de notre cher et beau pays et dont le seul mérite est d’avoir inoculé de redoutables fléaux dans le tissu social. Il est cependant de notoriété publique que le PCT a largement prouvé sa capacité de nuisance et de destruction, c’est ainsi qu’à l’avenir plus rien ne pourra justifier l’existence de ce parti de prédateurs et braconniers de la République.
En outre, quand on est à la tête d’un Etat on ne peut se permettre tout et n’importe quoi tant on est tenu à un devoir d’exemplarité, sans quoi on ouvre la boite de Pandore, caractérisée par des fléaux en tous genres dont une anarchie généralisée, qui se traduit notamment par le non respect des valeurs républicaines et vertus démocratiques. Ce qui est malheureusement le cas au Congo-Brazzaville où sévit l’une des dictature les plus féroces au monde. Les autorités politiques, sombrant dans le degré zero de la conscience nationale et patriotique, s’illustrent par la bêtise humaine au point d’avoir mis sur pied un gang mafieux doublé d’un épouvantable gang des barbares sur fond de terrorisme d’Etat. La prise d’otage du peuple est d’autant avérée qu’il y a mort d’hommes au quotidien du fait de la violence dont ce gang est l’émanation, sans compter ces infortunés citoyens qui meurent dans des hopitaux mouroirs faute de soins adéquats et dans l’indifférence d’un pouvoir foncièrement mafieux et criminogène. Lequel prospère allégrement sur cette dramatique situation sciemment initiée et entretenue par des criminels en col blanc.
Le moins que l’on puisse dire c’est que le régime du gang des barbares, à la tête duquel se trouve Sassou Nguesso, est aux abois. L’effroyable tyran sanguinaire est littéralement désavoué par la quasi totalité peuple. En conséquence, son électorat s’est considérablement rétreci comme une peau de chagrin. Cet état de fait s’est encore vérifié récemment, lors de la dernière consultation référendaire ; laquelle n’a enregistré que 5% de participation. Et dire que ces votants n’étaient pas tous acquis à la cause du putschiste récidiviste, donc n’ayant pas glissé un bulletin “oui” dans l’urne. Il y a donc lieu d’insister sur le fait que depuis des lustres Sassou Nguesso est tombé en disgrâce aux yeux du peuple congolais. En effet, le désamour est total tant les citoyens ont compris que son régime, foncièrement diabolique, n’a fait que précipiter le pays plus bas que terre, d’où une regression tous azimuts. Aussi, peut-on déplorer la remise à caution de la République et la consécration du pays en une monarchie de fait.
De cet état de fait, il en résulte, à l’évidence, une fracture sociale patente qui fait que Sassou Nguesso est désormais un homme du passé. En fait, les congolais disabusés n’attendent plus rien de bon de l’effroyable tyran sanguinaire des bords de l’Alima, sinon que davantage d’arbitraire, d’injustices, de tribulations et de morts. Pour ce faire, le rêve de liberté n’a jamais été aussi obsédant pour un peuple qui a tant souffert et qui ploie sous le rouleau compresseur d’une impitoyable dictature sur fond de terrorisme d’Etat. En somme, la gravissime crise politique et sociale, l’état de non droit, le gangstérisme politique, la frénésie du terrorisme d’Etat, la déliquescence avérée, la climat délétère sont tels que le Congo va à vau-l’eau et, en conséquence, devenu la risée de la communauté internationale. C’est pourquoi un sursaut national et républicain est plus que jamais urgent afin de redorer le blason de la patrie et de remettre le Congo-Brazzaville à flots.
La victoire ou la mort, nous vaincrons!
A luta continua a vitoria e certa!
René MAVOUNGOU PAMBOU
Combattant de la liberté et leader d’opinion
Unis Pour le Congo
Secrétaire chargé des questions éducatives et socio-culturelles
Vous aurez remarqué, que RENE MAVOUNGOU ,ne cite nulle part , le nom de MOKOKO .Dont acte.
Cependant , il faut savoir qu’une victoire civile sans MOKOKO issue des urnes , est plus vulnérable que celle où l’on trouverait un MOKOKO COMME CAUTION MILITAIRE .
Car , la victoire et l’après victoire , dont il faudrait consolider le fondement , aux fins de la rendre pérenne .
Le spectre burkinabé , où , les militaires nostalgiques de COMPAORE ,planerait sur la tête du Congo.
Dans le contexte politique actuel , il convient d’unifier nos forces autour de deux candidatures ,du coté de l’opposition ,où même d’une candidature, afin de maximiser , au tant que faire se peut , les chances de MOKOKO , d’être en position éligible car son éventuelle élimination , du fait, du vote ethnique au sud du pays priverait le pays ,de sa totale libération .
J’ai aussi remarqué que sieur Mavoungou ne cite pas le nom de Mokoko pendant qu’il y fait allusion.
Parlant d’une candidature unique et se référant à sa formation de para-commando formé, il sait très bien qu’aujourd’hui, la situation électorale au congo est devenue simplement militaire car sassou ne joue au banditisme d’état que parce qu’ayant sa milice armée.
Il n’y a qu’un militaire ayant encore des supports dans l’armée pour affronter sassou. L’expérience nous a démontré qu’à chaquefois, sasou et ses mercenaires ont tenu en joue les leaders de l’opposition qui ont été enfermés dans leur maison sans qu’ils ne puissent faire quoi que ce soit. Il n’a pu le faire avec Mokoko parce qu’il sait très bien ce qui peut lui arriver.
C’est donc aux membres de l’IDC FROCAD de voir s’ils doivent laisser leur égo de côté et de soutenir tous Mokoko.
Une telle stratégie bien expliquée aux militants de tous ces leaders du nord au sud ne donnera aucune chance à sassou de prétendre être élu au premier tours sinon, il aura comme d’habitude crée des conditions de protestation qui ne seront toujours pas à son avantage.
Sassou sait qu’il ne pourra jamais gagné une élection au congo. Il sait aussi que les yeux du monde entier sont braqués sur le Congo avec toutes les casseroles que son clan et lui trainent sur la plan internationnal.
Sassou qui n’est pas bête sait qu’à tout moment il peut être abandonné par ses soutiens à travers le monde car il peut dégager le plancher,parce qu’arrivé en fin de service par rapport à ses maîtres qui savent très bien que le congo ne s’arrêtera pas.
Mokoko n’est peut être pas le meilleur des candidats mais nous pensons que c’est le seul qui peut tenir tête à sassou parce qu’il appartient à la maison sassou et connait donc les coins de celle ci où peut se cacher sassou.
Bravo, belle plume !
Après une lecture attentive et agréable de votre article. J’adhère à la vision globale et à la description que vous faites du contexte politique qui prévaut au pays, très lucide. Je me permettrai néanmoins de diverger sur la stratégie que votre exposé semble valider. S’aligner derrière un candidat unique. Une vision brillante si l’on fait abstraction du climat politique qui régit les comportements potentiels de l’électorat. Nous savons tous que le Congo est un état, pas une nation avec une conscience politique transéthnique. L’organisation des électeurs reste éthnocentrée et au mieux régionaliste. Ceci est un fait. Si l’on valide ce fait il est alors impossible d’exposer ou adopter des concepts qui produiraient des résultats escomptés dans une démocratie mature qui se détermine en fonction du projet politique indifféremment de l’origine de celui qui le porte. Factuellement et intellectuellement nous devons admettre que c’est loin d’être le cas au Congo. Former une nation passe par le dépassement de cette ethnocisation (pardon pour le néologisme ) que les hommes ont érigé en outil de gouvernement même si la réalité profonde est différente, l’homme du nord n’étant pas mieux loti que celui du sud.
La stratégie qui peut être validée dans ce contexte est incontestablement celle développée par l’opposition, encercler le tyran pour l’empêcher mathématiquement de triompher au premier tour, la grosseur des parts d’un gâteau est proportionnelle au nombre de convives. De ce fait les parts seront moins grosses. Même si nous savons tous que la triche sera de la partie et sera l’acteur principal dans le film que le tyran va nous présenter, cette stratégie pourra fournir à l’opposition un argument de communication nationalement et internationalement. La stratégie d’encerclement ne peut être possible que si l’on est nombreux. Il ne faut pas se cacher derrière son petit doigt, Sassou va gagner dans les urnes mais l’opposition doit gagner la bataille de la communication au lendemain du 20/03. Les composants de ce plan de communication sont en train de se mettre patiemment en place : refus de l’UE de participer à l’élection qu’elle juge floue, pas crédible et pas indépendante ; l’impossibilité mathématique d’avoir plus de 50 % au premier tour avec une stratégie d’encerclement et de quadrillage du territoire par les ténors issus des différentes régions. Koléla aura objectivement la majorité dans le Pool, Tatsy dans la Bouenza, Okombi dans les plateaux et Mokoko dans le nord parce que là aussi l’argument qui consiste à dire que si le pouvoir échoit entre les mains des sudistes leur vengeance sera terrible va progressivement tomber. L’opposition se prépare, j’espère, à cette mère de bataille ‘après élection pour discréditer la victoire programmée du tyran. L’élection n’est qu’un épiphénomène, un point de départ pour un combat âpre et de longue haleine. Toute la stratégie de com doit intégrer tous les éléments, dossiers et témoignages méticuleusement remontés par toutes les parties prenantes impliquées dans ce combat. Ici, il est urgent de rappeler que toutes celles et tous ceux qui ont été victimes des exactions de Sassou doivent porter plainte au besoin avec un accompagnement juridique, notre communauté compte bien des juristes de très bonne qualité et compétents. C’est vital. Il faut dépasser la peur et franchir la barrière psychologique érigée par le tyran depuis plus de 30 ans. Sans plainte il n’y a aucune action juridique possible. Portez plainte, j’insiste. Avec tout ceci la stratégie de communication post-électorale sera renforcée et plus crédible parce que factuelle. Seules les preuves comptent dans une cour de justice.
Multiplier les candidats au premier tour et se rallier autour de celui qui en pôle position au deuxième tour me paraît plus efficace au regard du contexte socio-politique prévalant au Congo. J’ajouterai, en conclusion, que nous devons tous être derrière cette opposition en évitant de l’affaiblir par des critiques que l’on peut garder pour l’après-élection. Il y a un temps pour chaque chose comme il est écrit dans le Livre de la Sagesse (Bible).
Les jours approchent , avec son corollaire des angoisses et des doutes sur la capacité de l’opposition à uniformiser une candidature unique , au détriment de l’égocentrisme ethnicisé .IL va de soi , qu’ils amorcent un deal politique entre les membres de l’opposition sur le contenu du contrat politique , favorisant la candidature unique de MOKOKO .
C’est maintenant , qu’il faut pédagogiser les électeurs du sud , et du nord ,sur la nécessité de présenter MOKOKO comme candidat unique de l’opposition pour une victoire sécurisée tant sur le plan civil que sur le plan militaire .
L’un des aspects , du contenu du contrat pourrait se décliner sur une alternance politique d’une durée de 3 à 5ans .Le temps de karchériser le pays , et lui remettre ses belles pour un mariage idyllique .
Pour l’intérêt supérieur du pays , après 32 ans de tragédie politique , les membres de l’opposition
pourraient dévaluer leurs ambitions politiques , et ce , d’autant plus qu’ ils paraissent tous jeunes ,et ils auront le loisir de mûrir leur projet politique sur la base duquel , ils seront appelés à être lus .
LE BON PROJET POLITIQUE CHASSE LE REPLI ETHNIQUE ?????????; encore faut il éduquer ,cette population marquée par les réflexes ethniques et amplifiés par SASSOU . VASTE PROGRAMME .
SASSOU INSATISFAIT, FAIT RECONVOQUER MOKOKO LE 25 ;sassou veut cramer le pays .
Au départ, j’étais pour la stratégie de l’encerclement parce qu’aucun candidat de l’opposition ne tenait tête à sassou sur sa stratégie de l’intimidation. J’étais même sûr qu’il ne permettra à aucun membre de l’opposition de se déplacer à travers la congo pour rencontrer son électorat, rien qu’ à voir comment il s’est comporté avec Kolélas et Okombi Salissa qu’il a enfermé dans un espace réduit de leur villa.
Depuis que Mokoko est rentré dans la danse, ma stratégie de l’encerclement a changé parce qu’il nous aura démontré qu’il n’avait pas peur d’affronter sassou, sa milice et sa justice aux ordres.
Celà n’est rien et sassou et son pct savent très bien qu’ils ont en face d’eux quelqu’un qui sait ce qu’il veut et qui n’a peur de rien. Dans tout le pays, Mokoko est comme un extraterrestre qui est venu bousculé sassou considéré comme Dieu vivant.
Toussaint Louverture fût un esclave révolutionnaire,nos politiciens intellectuels sont des bourgeois réctionnaires qui sont incapables de comprendre qu’il est grand temps d’élaborer une startégie unitaire.
Pour moi, d’une manière générale, en politique comme en stratégie, l’unité des forces est une étape nécessaire au combat. L’addition des forces étant comme la seule opération praticable en politique.
La réalisation de l’impératif du changement passant nécessairement par la conjugaison des efforts et intelligences de tous ceux qui placent le Congo au dessus de leur position personnelle de pouvoir. Le rassemblement de tous ceux qui s’opposent à sassou s’impose maintenant ent non demain.
Le camp de sassou a vite compris cet impératif en créant beaucoup d’associations et partis politiques fictifs pour envahir tout le congo glorifiant son nom pendant que l’opposition est invisible.
A l’orée d’une présidentielle de tous les dangers, l’opposition a le choix entre focaliser sa stratégie sur les hommes ou se concentrer sur la constrution d’un mécanisme commun et unique pour le choix d’un candidat et la sécurisation du scrutin. N’oublions qu’il ne nous reste que moins d’un mois pour aller à cette élection que notre opposition a accepté de prendre part.
Pour celà, il est souhaitable de désigner un candidat maintenant pour que ce dernier ait le temps de faire le tours du Congo accompagné par tous les leaders politiques dans tous ses déplacements afin qu’il soit connu de tous les congolais tout en mettant en place des brigades anti fraudes pour contrecarrer la fraude massive programmée par le système sassou pct.
Il est donc temps de se focaliser sur la sécurisation du scrutin pour éviter un nouveau coup d’état elcetoral. Si ce n’est le cas, l’altternance risquerait de ne pas avoir lieu.
Pour moi la stratégie que je défendais au départ qui consistait à penser que;
« l’impossibilité mathématique d’avoir plus de 50 % au premier tour avec une stratégie d’encerclement et de quadrillage du territoire par les ténors issus des différentes régions. Koléla aura objectivement la majorité dans le Pool, Tatsy dans la Bouenza, Okombi dans les plateaux et Mokoko dans le nord » comme dit dans cet article par mon frère Londi ne tient en réalité pas.
Ni Kolélas, ni Tsaty, ni Okombi, ni Mokoko,ni Munari encore moins sassou, personne n’a le monopole de toutes les voix dans leur fief, rien qu’a voir comment sasou a miné ses terrains par le corruption. Dans sa stratégie, sassou a déjà prévu les voix qu’il allait attribué à chacun de ses acteurs pour prétendre se faire élire au premier tours.
Sachant que chaque leaders ne fera jamais le plein de voix dans son fief parce que sassou a mis déjà sa startégie d’attribution de voix en place,donc aucun leader ne pourra atteindre 50 ou 51% à lui seul,l’atomisation dans la stratégie de l’encerclement est pour que sasou se dise élu au premier tours parce qu’il connaissait bien les acteurs en face de lui. L’arrivée du général Mokoko, nordiste comme lui est venu foutre tout en l’air, rien qu’à voir comment il est traité depuis le jour de son retour au pays. C’est dire!!!!
OR si tous adoptent une candidature unique maintenant, sasou sera obligé de revoir sa stratégie qui ne marchera pas parce que le candidat unique sera en fait un candidat à multiples têtes par la fait d’être soutenu pas une armada des leaders qui présenteront leur unique candidat dans leur fief et la somme de leurs voix feront que sassou ne pourra totaliser à lui seul contre tous plus de 50% pour se dire élu au premier tous.
Immaginez vous qu’un Tsaty Mabiala, un Kolélas, présentant dans leur fief un Mokoko général nordiste comme étant leur candidat et le seul à battre sassou qui a pourri tant le Congo, je pense que sur le plan psychologique et sachant ce que sassou et ses mercenaires ont fait dans ces régions, les gens choisiront Mokoko. Il suffit d’élaborer de bons thèmes à présenter aux populations pour mettre le disque rayé de pct qui dans la réalité les gens n’en veulent plus mais.
La seule chose qu’il faille faire maintenant c’est qu’il faut que Mokoko et les autes membres de l’opposition se mettent d’accord par écrit de ce qu’ils feront de leur victoire une fois sassou dégagé.
Ma position peut être erronée, je n’ai pas la science infuse, mais c’est ma vision de la chose à cet stade.
« C’est maintenant , qu’il faut pédagogiser les électeurs du sud , et du nord ,sur la nécessité de présenter MOKOKO comme candidat unique de l’opposition pour une victoire sécurisée tant sur le plan civil que sur le plan militaire .
L’un des aspects , du contenu du contrat pourrait se décliner sur une alternance politique d’une durée de 3 à 5ans .Le temps de karchériser le pays , et lui remettre ses belles pour un mariage idyllique « ……
« Pour l’intérêt supérieur du pays , après 32 ans de tragédie politique , les membres de l’opposition
pourraient dévaluer leurs ambitions politiques , et ce , d’autant plus qu’ ils paraissent tous jeunes ,et ils auront le loisir de mûrir leur projet politique sur la base duquel , ils seront appelés à être lus »
@ VAL DE NANTES
Je ne dirai pas mieux. Vous aviez le juste propos.
OK @OYESSI , JE FAIS DU MIEUX QUE JE PEUX POUR NOTRE PAYS .
Il a peut-être prévu le nombre de candidat, dont certains aujourd’hui apparaissent comme de véritables troubles fêtes. Il est de ce fait, obliger de revoir ses plans.
Lundi 22 février, le général Jean-Marie Michel Mokoko est sorti libre de son audition à la DGST. Sassou Nguesso ne compte pas en rester là, projette invalider la candidature de son rival devenu de plus en plus populaire. » Il n’ ya rien t’étonnant. On maintenant du piège de Moudilou Tony. Soit disant que » Tony Moudilou, metteur en scène de la mortelle vidéo l’aurait ensuite vendue à Sassou moyennant 150 millions de fcfa, (30.000 euros) « . Il faut cependant éviter de tomber dans la manipulation et se lancer à des discutions rencunes inutiles succeptible d’affaiblir l’action visé qui le départ sans condition de Sassou Nguesso et sa clique et regime. Le combat est long. Ne nous trompons pas et croire que le général Mokoko va arriver facilement et á cause seulement de sa popularité à mettre hors jeu Sassou Nguesso, sa bande et son PCT. Si l’on tient qu’il y est un véritable changement au Congo et arriver à irradiquer la corruption, les maux qui rongent la société congolaise entière et inculper aux gens une nouvelle nouvelle mentalité, une conception réelle de la vie et du développement , il faut bien faire partir Sassou Nguesso et sa clique qui ne doivent pas du tout rester impunis. Sans soulement populaire, sans stratégie globale, sans effort conjugué de tous les acteurs, forces populaires, suffisamment soutenus,ce changement radical risque de s’averer impossible à se réaliser. Cet ici qu’il impératif à doubler de vigilance et ne pas aller au bout du chemin.Le général Jean-Marie Michel Mokoko ne pourra tout seul rien changer, il faut que tout un chacun le comprenne.
Sassou est un président illégal du Congo.Sassou n’est qu’un vulguère trand, assossin, voleur. Il est le chef de mafia qui se nourrie des richesses du Congo et qui veut la soffrance, la servitude du peuple congolais afin de mieux le voler. On a suffisamment d’éléments contre Sassou Nguesso pour tueries, génocides pillage organisé,ainsi que sa bande pour crimes de sang et économiques.Pourquoi au nom du Congo,qu’attendent les associations congolaises constituées et des Avocats très compétents pour se constituer en partie civile et traquer le clan sassou comme le fait SERPA depuis 2009 pour les biens mal acquis.
Que Sassou Nguesso, Kiki, Bouya continuent à être libres et pavaner librement en Europe, USA est une honte terrible pour le peuple congolais pour préfacer Oyessi.
http://www.opinion-internationale.com/2015/07/29/exclu-lourds-soupcons-sur-des-crimes-contre-lhumanite-du-president-sassou-nguesso-au-congo-brazzaville_36379.html
http://brazzanews.fr/?p=15828&wiziapp_back=cat-12
Sassou Nguesso est avant tout un terroriste, ( http://brazza-news.com/?p=15299 ) un grand criminel,génocidaire,auteur de très nombreuses tueries, massacres (disparus du Beach etc), guerres (de 1997, du Pool ) http://www.sukissa.co.uk/?p=16535
http://brazza-news.com/?p=15828
Avant de parler d’élection, il faut exiger la libération immédiate des prisonniers politiques: Makaya et autres.
Mokoko est désormais pervu comme celui qui amène la guerre. Certains électeurs disent si hé vote pour J3M il va vouloir affronter Sassou et comme en face ils veulent en découdre moi je veux la paix etc etc . Alors que faire?
Quelqu’un a dit que l’esclave qui n’assume pas sa révolte n’est pas à plaindre. Un autre adage dit : on ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs.
Mr AKOUA
Drole de raisonnement? Si je vous suis bien, sous prétexte que le clan sassou est pret à déclencher les hostilités si il n’arrive pas à ses fin, il faut le laisser faire à continuer sa forfaiture.
Donc c’est la loi du plus fort qui l’emporte, il est préférable de subir et souffrir en silence plutôt qu’espérer vivre en hommes libres et égaux en droits.
Cela ne m’étonne pas que nous soyons encore assujetti à l’esclavage par cette mafia avec de tels raisonnements.
32 ans de sassouisme a fait beaucoup de dégâts dans les consciences et beaucoup de Congolais sont atteint du syndrome de Stockholm.
@ ML
C’est Mandilou qui revendique lui même avoir été l’auteur de cette vidéo dans Zenga mambu. Pourquoi s’acharner contre Mokoko alors que Mandilou vit bien en France où sasou a déposé une plainte contre X pour ses biens mal acquis. Il peut le faire aussi contre Mandilou non!!!!
Ce n’est qu’une questin et non la polymique.