Le leader de l’Opposition radicale chrétienne (ORC) ne voit pas en Denis Sassou une personnalité irréprochable pour bien mener la médiation aux concertations politiques voulues en vue de recréer la cohésion nationale en RDC. Le président du Congo-Brazza qui est, d’après lui, loin de servir de modèle en matière démocratique reste mal placé pour jouer un quelconque rôle de bons offices en RDC. Thierry Bongo est même revenu sur la situation de Pascal Lissouba forcé à l’exil depuis 1998 après sa déchéance par le moyen des armes pour rejeter la médiation que réclament plusieurs milieux politiques en RDC en faveur du tombeur de cet ancien président du Congo-Brazza.
Parlant au nom de l’Opposition radicale chrétienne (ORC),l’Apôtre Thierry Bongo n’est pas d’accord avec la médiation tant réclamée du Président de la République du Congo aux concertations politiques devant avoir lieu selon l’ordonnance présidentielle N° 13/078 du 26 juin 2013 les créant.
Il a avancé des arguments pour justifier sa prise de position contre l’éventuelle médiation de cette grande personnalité de ce pays voisin de la RDC. Cet acteur politique doublé d’homme de Dieu n’a pas la même vision des concertations nationales qu’il ne considère pas comme salutaires pour l’avenir politique du pays.
L’Apôtre Thierry Bongo s’est exprimé ainsi à travers une déclaration remise le week-end dernier à la presse. Le leader de l’ORC ne voit pas en Denis Sassou une personnalité irréprochable pour bien mener la médiation aux concertations politiques voulues en vue de recréer la cohésion nationale en RDC.
Le président du Congo-Brazza qui est, d’après lui, loin de servir de modèle en matière démocratique reste mal placé pour jouer un quelconque rôle de bons offices en RDC. Thierry Bongo est même revenu sur la situation de Pascal Lissouba forcé à l’exil depuis 1998 après sa déchéance par le moyen des armes pour rejeter la médiation que réclament plusieurs milieux politiques en RDC en faveur du tombeur de cet ancien président du Congo-Brazza.
L’Apôtre et acteur politique reste d’avis que Denis Sassou Nguesso gagnerait beaucoup sur l’échiquier africain en se rapprochant de son frère ennemi qui était contraint d’écourter son mandat présidentiel et qui vit aujourd’hui loin de son pays.
Le dossier en justice en France contre le président Sassou Nguesso accusé d’enrichissement illicite par une ONG internationale a été aussi soulevé pour rejeter toute médiation de ce dernier aux concertations.
En parcourant le fond de la pensée de l’Apôtre Thierry Bongo, on se compte que cet acteur politique et homme de Dieu a une autre vision des concertations politiques. Il déconseille tout partage du pouvoir à l’heure actuelle en laissant ceux qui se sont embarqués dans cette aventure arriver jusqu’au bout.
Il ne souhaite pas voir des gens prendre, en plein milieux du bail politique, la responsabilité de la gestion de la chose publique au risque d’exposer inutilement leur carrière. En attendant le moment de la sanction, il demande à Joseph Kabila de s’attaquer de plein face à l’impunité, à l’injustice sociale, au détournement des deniers publics et autres maux qui mettent sérieusement en mal l’épanouissement des communautés de la RDC.
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Sassou : Certains l’accusent de nourrir des visées communes avec Joseph KABILA. Controverse sur le rôle de Sassou
Denis Sassou N’Guesso a, à peine, fait savoir sa disponibilité à conduire la médiation entre Joseph Kabila et ses opposants qu’une vive controverse raisonne déjà à Kinshasa sur ses réelles intentions. A Chacun son commentaire quant à l’agenda du voisin Brazza-congolais. Il y en a qui parlent des visées communes entretenues les deux Chefs d’Etat. L’un et l’autre accomplissent le dernier mandat.
Et l’un et l’autre sont soupçonnés de chercher à tripatouiller la Constitution pour s’octroyer un énième mandat, outre que les opposants Brazza-congolais s’indignent que leurs homologues de l’autre côté de la rive applaudissent pour un Sassou pas du tout démocrate chez lui. De là à s’imaginer que Sassou s’engage en RD-Congo pour préparer une passerelle à Kabila, quitte à espérer le retour de l’ascenseur, le pas est vite franchi. Pourtant à Kinshasa, le régime multiple des signaux pour rassurer sur la volonté de Joseph Kabila de ne pas se représenter en 2016. Aubin Minaku a été le premier à faire une sortie sur la question. Sur RFI, le président de l’Assemblée nationale a affirmé que le Président de la République allait respecter la Constitution. Francis Kalombo l’a succédé sur les antennes de la même radio pour répéter la même rengaine pendant que dans des salons, des dignitaires de la majorité présidentielle faisaient écho d’une récente réunion, à la ferme présidentielle, à Kingakati, où Kabila aurait clairement demandé aux siens de s’organiser pour 2016 sans penser à lui. C’est bien beau que les autres rapportent mais tant que Kabila lui-même n’en aura pas fait une confession en public, rien n’y changera. Toujours est-il que les spéculations ont déjà commencé, dans le camp présidentiel, sur la succession du “Raïs”. Pour la première fois, le nom de Moïse Ekanga est cité. Ekanga est considéré comme le gardien du temple qui a hérité de son maître Augustin Katumba Mwanke. Ekanga a la confiance totale du chef mais l’homme a le défaut ou la qualité d’exécrer tout ce qui le met devant le public. Ce n’est pas un tribun capable de se jeter à l’eau pour une campagne présidentielle.
MTN
Le Congo a vraiment eu la chance d’avoir un chef comme DSN, toute l’afrique reconnais ces talents de médiateur et de grand sage. Merci Mr le président pour toute les constructions. Merci !!!
L unanimité étant impossible en pareille circonstance, c est doc la majorité qui a le dernier mot. Les congolais de laRDV ont clairement vu eN Sassou le facilitateur idéal. Ce qui est une fierté pour la diplomatie congolaise.
« TOUT FLATTEUR VIT AUX DEPENDS DE CELUI QUI L’ ECOUTE »
Que chantez vous chère marie dort? La disponibilité n est pas une sollicitation. Sassou eut juste prêter son expérience aux voisins en difficulté .
Que représente ce bongo sur l échiquier politique en RDC? Son petit poids ne lui
autorise pas cette posture. Un anonyme qui veut qu’ on parle de lui en pensant heurter le grand DDenis AKEBA N’A YE
la logique serait que ce ne soient les justes, les modèles qui serviraient de modèle. Loin de moi l’idée de banaliser le choix du grand leader du congo Brazza pour les médiations en afrique,je voudrai que ceux qui ont fait ce choix aient une pensée à l’endroit des opposants aux régimes de Denis Sassou NGUESSO. Vous saurez,frères et sœurs africains que les opposants dans ce pays sont interdits d’antenne nationale, qu’ils ne peuvent créer une chaine pour diffuser leurs idéologies. Les journaux ecrits lorsqu’ils existent sont pourchassés et généralement sanctionnés à la première idée anti- régime. Toutes les chaines de telévision et de radio appartiennent à la famille du Président SASSOU. Meme quand un opposant s’aventure à faire une déclaration à travers une chaine étrangère, celle-ci se voit le signal coupé. Votre amabilité est louable .Mais, est ce que vos collègues de Brazza peuvent obtenir un retour d’ascenseur? Chez vous au moins ,on peut encore suivre le Président MOBUTU, KASAVUBU,LUMUMBA… Au congo Brazza , lorsque Sassou ne s’entend pas avec telle personne ,l’approcher signifie se chercher la mort.Rancunier comme le leader maximo congolais, il n’y en a pas au monde.
Enfin ,bonne chance à vous veinards.
DSN n’a plus rien a prouver dans son rôle de faciltateur, au delà de RDC toute l’afrique on sait quelque choses. Notre président fais la fierté de notre pays.
Sassou, pour etre grand dans ce monde, il doit agir comme les grands. Sinon, il est un petit qui se gonfle.
Les constructions au Congo, sont des bonnes realisations mais pour en assurer une longue vie, il faut la democratie. Abidjan est une tres belle ville construite depuis des annees 80. Mais comme la democratie n’avait pas ete construite, cette villes a faille etre detruite par la guerre.
Ne vous laisser donc pas seduire par les constructions, mais reclamer le depart de Sassou en 2016. Dans le respect de la loi fondamentale.
Sassou un Mobutiste pure sucre souhaiterait bien q´un ngala de la RDC comme le fût MOBUTU Deviennent President , Comme ça entre ngalas il pourrait se maintenir au pouvoir , il se méfie beaucoup de Kabila fils , Mais kabila n’est pas naïf il sait très bien que sassou veut sa peau !
BEC JAUNE OU PLUTOT BLANC BEC NE CONNAIT PAS L’HISTOIRE DE LA GRENOUILLE QUI VOULAIT SE FAIRE PLU GROSSE LE BOEUF.
TU N’AS QU’A DEMANDER LE SOLDAT BOZIZE CE QU’IL PENSE DU MEDIATEUR DSN,LUI
ETAIT SI SUR DE SON FRERE ET PRESIDENT CONGOLAIS.
Encore une preuve d’un homme qui respecte sa parole au delà de ses relations personnelle. Suite a cette médiation BOZIZE a signe un accord qu’il n’a pas respecter. DSN veillant toujours sur sa parole a fait respecter les clauses du contrat.