Maitre Jean Martin Mbemba serait-il dans le collimateur de SASSOU ?
Cela ne semble plus étonné grand monde surtout les avertis de la politique congolaise. A la veille d’un changement politique les mêmes hommes usent des mêmes scénarios.
Le pouvoir finissant de Denis Sassou Nguesso nous sert ses plats réchauffés qui font partie de la tiraille de gestion du pouvoir par la soumission, accusation fortuite, violation des droits des citoyens, intimidation et arrestations arbitraires…
Tout juste revenu de Djambala où il était accueilli avec liesse par les ressortissants de cette localité dans le cadre de sa « stupide municipalisation accélérée », Denis Sassou Nguesso aurait ordonné l’arrestation de son ancien Ministre d’Etat, ministre de la justice et des droits humains et actuel Président de La Commission Nationale des Droits Humains, Maître Jean Martin Mbemba.
Dans la nuit de mardi 07 mai 2013, aux environs de 19 heures 00, c’est à dire en dehors des heures légales d’interpellation, six (6) policiers armés jusqu’aux dents ont pénétré dans la résidence officielle du Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), Maître Jean Martin Mbemba, pour opérer un enlèvement ou une arrestation.
Seulement, cette tentative d’enlèvement ou d’arrestation s’est heurtée à la vigilance des éléments de la sécurité rapprochée du Président de la Commission nationale des droits de l’homme qui ont vaillamment repoussé ces assaillants.
Pourquoi cette interpellation non notifiée alors qu’une simple convocation d’un juge, du procureur de la République du TGI de Brazzaville ou d’un officier de police judiciaire aurait amené Maître Martin Mbemba à se présenter pour s’enquérir éventuellement des charges qui pèseraient sur sa personne ? S’il y a des faits délictueux qui sont reprochés à un ou plusieurs éléments de la sécurité de Maître Mbemba, pourquoi l’autorité requérante ne s’est-elle pas adressée à Maître Mbemba pour livrer la ou les personnes recherchées ?
Le pouvoir de Brazzaville aurait-il délibérément tenté d’arrêter un autre ressortissant Téké au risque d’accréditer le complot Téké en vogue dans certaines officines à Brazzaville ?
Depuis, la résidence de maître Jean Martin Mbemba est cernée par une dizaine de véhicules bâchés non identifiés de la police envoyés par la hiérarchie et comprenant chacun 9 à 14 éléments, comme le confirme plusieurs sources.
Maître Martin Mbemba paye-t-il le prix de la trahison et de la traîtrise ?
Maître Martin Mbemba devra se rappeler à jamais de l’adage qui dit que: « La trahison peut être le fait d’une intelligence supérieure, entièrement affranchie des idéologies civiques. »
Mais tout en condamnant cette façon de faire, coutumier au pouvoir de Brazzaville, le sort qu’on vient de réserver à Maître Martin Mbemba qui a rejeté la démocratie dictée par les conclusions de la Conférence Nationale Souveraine (CNS) dont il était l’un des grands acteurs dans l’élaboration de la Constitution du 15 mars 1992 est bien la rançon que mérite tout traître. Il n’est victime que de sa propre turpitude ou hypocrisie.
« Quand c’est seulement quelqu’un du clan qu’on tente d’enlever, ce n’est pas grave car à quoi devrait-il s’attendre, Maître Martin Mbemba? Que le pouvoir dictatorial incarné par Denis Sassou Nguesso lui apporte des fleurs ? Maître Martin Mbemba n’était pas aussi stupide, crédule, ignare et bête ? En allant prêter main forte à celui qu’il avait combattu tant d’années plus tôt, il savait à quoi il s’exposait.
Maître Martin Mbemba avait été un grand modèle pour nous qui étudions le Droit dans les années 70 et 80. Surtout quand en 1991, lors de la première Conférence Nationale, alors Etudiant en Droit en France, il vint faire une démonstration magistrale qui lui valut beaucoup de charme. A partir de ce moment, il inspira beaucoup d’Étudiants dont moi-même. Tout le long de sa carrière en tant que Homme de Droit et donc de la Justice, Martin Mbemba avait inspiré beaucoup de nos compatriotes.
Mais hélas la fin chez lui a justifié les moyens. Celui que mon Parti, le MCDDI avait porté comme son fils, en faisant de lui Député dans le Pool à Goma Tsé-tsé nous avait trahi. Je vous le dis au cas où vous ne le savez pas, Maître Martin Mbemba a été l’un des acteurs principaux que Sassou avait utilisés pour faire condamner à mort son ancien partenaire politique, celui qui l’avait fait Roi donc Député, je veux parler de Bernard Kolélas.
C’est encore lui qui était au devant de tous les procès tronqués, montés de toutes pièces à Brazzaville quand, pour l’élever au plus haut degré de la trahison, Sassou le nomma Ministre d’Etat, Ministre de la justice. C’est lui et son acolyte blanc, l’ancien Imprimeur Michel Lecornec que le même Sassou avait fait condamner en 1982 dans le procès des Bombes et qui 15 ans plus tard devint son Conseiller bien écouté. C’est avec ce monsieur que Maître Martin Mbemba, Gabriel Entcha Ebia, Ambroise Noumazalaye feront condamner à mort Bernard Kolélas. Maître Mbemba ainsi que beaucoup des fils du Pool ont beaucoup de comptes à rendre; au Pool d’abord et à la Nation entière ensuite. Maître Martin Mbemba était au Gouvernement de Sassou à une période charnière, à un moment très trouble de notre pays. Le coup d’Etat du 5 juin au 10 octobre 1997; le 18 décembre 1998, déportation des populations du Sud de Brazzaville dans les forêts; du 5 mai au 30 octobre 1999 l’affaire du Beach de Brazzaville? Qu’a fait Martin Mbemba en tant que praticien du DROIT et de la JUSTICE ?
Il est simplement victime de leur propre montage, de leur système dont lui Mbemba n’a plus le contrôle. Il ne paye là que le prix de sa parfaite collaboration.» Maître Tony Gilbert Moudilou.
Quelques jours seulement après l’arrestation puis la libération de JOE W. EBINA, les fanatiques du pouvoir de Denis Sassou Nguesso ont semé la terreur dans Brazzaville prétextant conjurés la grève des étudiants.
En tout cas, il règne une atmosphère tangible de fin de règne à Brazzaville. Certaines langues disent que Sassou Nguesso aurait été copieusement manipulé à Djambala. Au lieu d’être adoubé comme il a semblé le croire et même le voir, il a été savamment vomi par les féticheurs Téké…. Affaire Suivre !!!
Jean Claude BERI, contact@dac-presse.com
Le fils spirituel de Bernard Kolélas payera t-il sa trahison au prix fort
MARTIN MBEMBA A DES DIPLOMES MAIS C’EST UN CANCRE IL RESSEMBLE AUX SIMBA SAC DE SASSOU ET A SASSOU.MAITRE MBEMBA C’EST JUDAS DANS LA BIBLE POUR LES CHRETIENS
Totalement d’accord avec toi ! Ce traître ancien de l’AEC a tout fait pour aller jouir du pouvoir en s’asseyant sur ses convictions s’il en avait ! Il a bien dansé avec le clan de Sassou sur la route N2. Et il s’était fait rejeter comme un idiot très bien rassasié !
ne rejeter pas ceux qui veulent se battre desormais pour une juste cause, car celui qui va detruire le systeme, doit bien connaitre ce systeme!
LE RACCOURCI CONSISTANT A JUGER LA PERSONNALITE DE MAITRE MBEMBA UNIQUEMENT DANS LA PERIODE DE SON APPARTENANCE AU GOUVERMENT DE DSN EST UN PEU FACILE ET RELEVE DE L’ACCROBATIE.
POUR ESPERER SORTIR LE CONGO DES ANNEES SOMBRES ET PENSER LES BLESSURES DE TOUTES LES COMMUNAUTES, IL FAUT PARTIR D’UNE ANALYSE OBJECTIVE DES DIFFERENTS EVENEMENTS.
PAR CONSEQUENT, CELA NOUS COMMANDE DE NE PAS IGNORER LE ROLE DU MCDDI AVEC LES NINJAS DANS LES EXACTIONS COMMIS ENVERS LES POPULATIONS ET JE CONNAIS DES PERSONNES AYANT SUBIS DES TERTUES OU PERDUS LA VIE DU FAIT DE CESS MILICIENS.
ET, CEUX QUI VENTENT LEUR PAPARTENNCE A CE MOUVEEMNT SONT AUSSI COMPTABLE DES MALHEURS DU CONGO, AU MEME TITRE QU’ILS LE PENSENT POUR MAITRE MBEMBA.
JE POURRAIS DIRE LA MEME CHOSE SUR LES AUTRES ACTEURS (COBRAS ET COCOYES ET LEURS COMANDITAIRES)…
CE QUI EST MIS EN EVIDENCE A TRAVERS LA TENTATIVE D’ARRESTATION DE MAITRE MBEMBA, C’EST LE REGNE QUE TOUT ESPRIT OBJECTIF ET IMPARTIAL NE PEUT QUE CANDAMNER.
MEME LES PLUS GRANDS CRIMINELS DU MONDE ONT DROIT A UN JUGEMENT EQUITABLE.
MAIS, CELA SEMBLE D’UN NIVEAU TROP ELEVE POUR UN JURISTE AFRICAIN. PAS ETONNANT DANS LA MESURE OU ILS SONT DANS LES COULISSES DE TOUTES LES PERIODES SOMBRES ET CRIENT AU LOUP QUAND ILS SONT VAINCUS.
CE QUI CARACTERIESE L’INTELLIGENCE, C’EST LA CAPACITE DE SE REMETRE EN QUESTION, ET A FAIRE DES CHOIX DIFFICILES POUR SON EGO.
Quand on fait le copier coller d’une citation ou d’un passage littéraire qui ne vous appartient pas, on cite la source comme on l’a fait de M° Moudilou Tony. Il faut éviter de faire ou de remplacer un compatriote qui ne faisait que ça et qui fini par retrouver ses maître.
» Mais tout en condamnant cette façon de faire, coutumier au pouvoir de Brazzaville, le sort qu’on vient de réserver à Maître Martin Mbemba qui a rejeté la démocratie dictée par les conclusions de la Conférence Nationale Souveraine (CNS) dont il était l’un des grands acteurs dans l’élaboration de la Constitution du 15 mars 1992 est bien la rançon que mérite tout traître. Il n’est victime que de sa propre turpitude ou hypocrisie. » Ça c’est du Mbiki De Nanitélamio
MBEMBA se dit fils du pool maintenant , alors qu’il à cautionné les atrocités du BEACH , quand son copain sassou à assassinés froidement ses frères naturel du pool au nombres de 353 victimes , ça me fait pensé à la victive arrestation de POUNGUI , juste pour créer la divertion dans le pays , pendant que les populations manquent d’eau potable , électricité, des hôpitaux .
Il ne faut pas plaindre ceux qui sont allés à la « SOUPE » parce qu’ils ont plus faim que d’autres. Après les avoir gavés, il leur extirpe le foie comme pour les oies. A bon entendeur… !
Pour l’Histoire et la Prospérité.
Oui, comme le jour final, chacun devrant rendre compte. Oui notre cher Frère qui parle de la responsabilité du MCDDI et des Forces Combattantes NINJAS, oui, le temps venu la lumière sera faite. Mais il faut savoir qu’il existe en Droit des circonstances atténuantes, le bénéfice du doute donc des excuses. Nous savons qu’il y a eu des exactions dans les sites pendant la déportation de nos parents et des populations Kongo dans les forêts. Mais comment cela se passait-il ? Pourquoi à certains moments, ces Forces combattantes qui avaient beaucoup fait pour épargner à leurs frères et soeurs une mort brutale des poursuivants dressés : cobras et militaires à la solde du putschiste Sassou ainsi que leurs acolytes dressés dont les français, les Sarah Tchadiens, les angolais, les gabonais, les zaïrois, les libyens, les marocains, les cubains, les maliens et sénégalais ramassés à Poto-Poto et Ouénzé, les centrafricains etc…Il fallait avoir de l’empoigne, une vraie emprise pour contenir plus de 600.000 personnes, de fois très excitées, énervées pour la situation que leur soit-disant Président de la République leur avait imposée. Pourquoi existe t-il des prisons dans un Etat constitué ? C’est pour y mettre des délinquants. Mais les Ninjas s’étant retrouvés avec plus de 600.000 personnes, avec chacune sa personnalité, son comportement, il était très difficile de coordonner tout ça, d’y mettre de l’ordre. Il y a eu des gens qui récusaient même l’autorité des Ninjas. Il y a eu des gens, des collabos qui jouaient au jeu de la tortue ; d’un côté la carapace, de l’autre la carapace, faisant le jeu du putschiste. Contre ceux-là, quelle attitude devraient avoir ceux qui étaient sensés incarner l’autorité dans ces sites ?
Oui exactions il y a eu mais regardons les choses en face ? Qui est le premier responsable, qui devrait répondre à cette situation dramatique ? Comment un soit-disant « Chef de l’Etat » peut-il, sous prétexte que les autres ne sont pas d’accord avec moi, ou ils ne sont pas de ma région, ne partagent pas la même opinion que moi ; alors je décide de les déporter loin de moi ; de surcroît dans les forêts avec tous les aléas des forêts, de la saison etc… L’inhospitalité et l’indigence des lieux, avaient mis tout le monde dans des états de dépassement et de non contrôle de la situation imposée. Comment dans ces moments là, ne peut-on pas accorder le bénéfice du doute, des excuses ou des circonstances atténuantes au comportement un peu excessif des Ninjas ? Oui, « on ne peut pas faire une omelette sans casser les oeufs », il y a des moment comme ça dans la vie. Car pour éviter certaines déconvenues, il fallait quelque fois utiliser la manière dissuasive peut être un peu disproportionné mais pour la liberté, de fois: le jeu en vaut la chandelle.
Il faut que nous arrêtions de vendre ce rêve de la conférence nationale qui a été un vrai échec. Cet événement a été un vrai défouloir, une chasse à un homme ; une grande partie des travaux ayant été consacrées à la mise au point d’un catalogue sur parcours politico-criminels de DSN et son organisation.
Ce qui a vraisemblablement conduit à consacrer moins de temps à l’analyse du schéma de fonctionnement des régimes dictatoriaux, une logique de fonctionnement quasi-universelle.
En plus, cet homme autour duquel s’était organisé un pugilat a fini par être absout à travers une cérémonie grotesque e lavement de mains, échappement à juste titre à une justice qui devait être l’issue souhaitée par les victimes socio-économiques.
Et, pour couronner le tout, cette personne tant criée sera accepté par toute la classe politique pour constituer des alliances politico-miliciennes (d’abord Lissouba, ensuite Kolelas).
Pourquoi s’étonner qu’une fois absoute, qu’il cherche à revenir pour continuer ses manœuvres.
Peut-on affirmer que tous ces détracteurs sont exsangues de tout reproche ?
En conclusion, recherchons la mise en place d’un pouvoir et d’une justice devant laquelle tout citoyen aurait les mêmes devoirs et les mêmes.
Car, les morts dont nous pleurons, qu’ils soient anonymes ou connus, individuels ou collectifs, ils ont causé la même peine à leur proches respectifs.
N’ayons pas de mémoire sélective et évitons une concurrence ou une hiérarchie mémorielle.
RECTIFICATIF:
Je m’adresse ici aux Frères rédacteurs de ce site qui ont transcrit ma réaction suite à l’article de notre Frère Armand Mandziono. J’ai bien écrit que la première Conférence Nationale avait eu lieu en « 1971 » et non en « 1991 ». Donc je vous prie très fraternellement de rectifier cette date à laquelle, effectivement Maître Martin Mbemba avait activement pris part. C’est important pour notre histoire. 1991 étant l’année pendant laquelle a eu lieu la deuxième Conférence nationale Souveraine. Merci pour tout ce que vous faites pour notre pays et courage !
Fraternellement. Maître Tony Gilbert MOUDILOU.
Tous ceux qui se sont rendus a Maya Maya en 1997 attendre l’éléphant de Mpila maigres son train de crimes economiques et de sang comme si ce criminel était l’unique Congolais capables de diriger ce pays doivent mordre leurs doigts.Esperons que les vaillants congolais de force spéciale mettent le plus vite la main sur tous ces malfrats.
Tout d’abord,merci à jJean Claude Beri pour l’intitulé de son article et de son contenu.Ensuite,il est utile de noter une chose:Qui tue par l’épée,meurt par l’épée.Pourquoi plaindre Me Martin Mbemba?
Traître à la patrie,aux conclusions de la CNS,aux principes universels de droits humains et de liberté,co-auteur de l’abrogation de l’unique acte fondamental émanant librement,démocratiquement et souvarainement du Peuple Congolais;j’ai cité:La Constitution du 15 Mars 1992;notre illustre compatriote récolte bien ce qu’il aura sémé depuis 1992-1993,pire de juin 1997 à ce jour.Point de lamentations,plutôt lui souhaiter la vie sauve afin qu’il réponde avec les autres criminels de sang en col blanc de différentes écuries de leur maître et gourou d’assassins,le SieurSassou Nguesso Denis le bourreau patenté des Congolais et du CONGO.
Aussi,je me pemets de récuser avec véhéménce que la Conférence Nationale Souveraine fut un éhec.Ceux qui soutiennent depuis 1997 cette hypothèse,ignorent sciemment les crimes de sang,économiques,la dépravation des moeurs,la médiocrité,l’élimination systématique de l’élite civile comme militaire érigés au Congo en mode de prise de pouvoir,de son maintien par le très obscur initiateur criminel « feu »Ambroise Noumazalayi le chantre du Stalinisme Congolais et père spirituel de Sassou.Heureurement pour les Congolais,le dénouement et la marche vers la LIBERTE arrivent lentement mais sûrement.
Martin Manona
Politique Altruiste pour la libération du Congo-Brazzaville;sa réconciliation,son unité,sa reconstruction et la Réhabilitation de République initiée par La Conférence Nationale souveraine.
apres avoir baise la democratie et voila il tombe dans le meme trou!!! qu’est ce que sassou attend pour finir avc lui… il se rendait pas compte de ce qu’il faisait, en detruisant la democratie en 1997 il croyait etre libre..
Il sera tué