« Retranscription des conversations suite aux écoutes téléphoniques des douanes françaises »
Les «personnes» évoquées par Ebata lui auraient rendu visite pour préparer une autre candidature, celle de Manuel Valls, alors Premier ministre. En lingala, une langue parlée dans les deux Congo, il tente de faire deviner son nom à sa femme. La discussion a été traduite par la justice.
«— Il s’agit de Badibanga d’ici [Samy Badibanga, Premier ministre de la république du Congo, ndlr], dit Lucien Ebata.
— De Badibanga de France ?
— Oui, il veut se présenter aux “primaires”, il a besoin…
— De l’argent ?
— Oui, il en a besoin de deux.»
Pour les douanes judiciaires, qui écoutent cette conversation, Lucien Ebata parle à cet instant d’un financement de la campagne de Manuel Valls pour la primaire de la gauche, qui doit avoir lieu les 22 et 29 janvier 2017. Et ce, possiblement à hauteur de 2 millions d’euros.
Il se contente d’un chiffre, comme une évidence. « C’est pour cela que les personnes sont passées te voir ?» relance sa femme. «Oui», répond-il. La conversation se poursuit.
«— Il est jeune. Même s’il perdait, il y aurait une relation amicale entre nous deux, ce serait un nouvel ami pour moi, envisage Lucien Ebata.
— Humm, se contente de répondre sa femme.
— Copé a perdu les primaires par manque d’argent pour faire sa campagne[le 20 novembre 2016, le maire de Meaux a terminé dernier du premier tourde la primaire de la droite, avec 0,3 % des voix].
— Humm.
— Avec ce genre de personnalité, le risque que le fait soit un jour révélé est certain mais qui ne risque rien n’a rien.
— C’est ça, je te conjure de ne pas faire ce genre d’affaires.»
«— Valls va déjeuner avec son chef avant d’annoncer sa candidature ce soir,lance Philo Ebata.
— J’ai entendu dire qu’il a convoqué les journalistes à Evry où il était maire,lui répond l’homme d’affaires.
— Oui, à Evry, il va déjeuner avec son chef pour trouver une stratégie.
— C’est du pipeau ce qu’il fait, c’est de moi que proviendront les fonds pourgagner.
— [Rires.] Est-ce que tu lui as déjà remis de l’argent ?»
«Pas encore», lui répond Lucien Ebata car «il faut d’abord que j’aille en parler au “Vieux”». Quand le PDG d’Orion Oil parle du «Vieux» dans ses conversations, c’est pour désigner Denis Sassou-Nguesso, le président du Congo-Brazzaville. «Dois-je mettre le Vieux dans l’affaire ou la faire seul, qu’en penses-tu ?» questionne Lucien Ebata, qui fait partie du clan du chef d’Etat autocratique. «Qu’il soit mis au courant ou pas, tant qu’il est là, il sera le bénéficiaire», lui répond sa femme. Un débat s’ouvre entre les deux époux.
«— Si c’est toi qui fais cela, ce serait comme si c’est lui qui avait fait cela car il est en place, et vous êtes du même pays, explique Philo Ebata.
— Il faut que le Vieux soit informé ou pas ? questionne l’homme d’affaires.
— Pour moi, il faut qu’il sache cela, il pourrait mal prendre cela s’il apprenait cela par d’autres voies…
— Il ne saurait pas cela…
[…]
— Il faudrait lui en parler comme c’est lui qui est en place, qu’il sorte des fonds à remettre, car ce serait dans son intérêt à lui qui règne actuellement.
— Un tel montant à donner, si la personne perdait, le Vieux serait en furie.
— Tu crois qu’il a la chance de gagner ?
— On verra, [François] Fillon a 90 % de chances.
— Pour moi, il faut prendre certaines affaires avec réserve. Tu te rappelles de ce que tu avais fait en Centrafrique et en Afrique du Sud ? Tu t’étais dépensé, tu n’as rien eu en retour.
— Rien.»
Les précautions de son épouse ne semblent pas de nature à dissuader Ebata. «S’il ne gagne pas cette fois, dans cinq [ans] il gagnera», dit-il, revenant à Manuel Valls, en conclusion de la conversation. Lire l’intégralité sur le site Libération.fr
Réaction de Manuel VALLS, ancien premier ministre français
Diffusé le 14 janvier 2023, par www.congo-liberty.org
Vals a beau mentir, mais ses nombreuses visites nocturnes ,la période avant le changement de la constitution , au Bristol le palace qui accueil Sassou Dénis sur Paris, prouve qu’il partait chercher l’argent. D’ailleurs son conseiller Cédric Lebadwoski l’avouer aux policiers. J’en appelle aux kongo idiots qui reconnaissent le régime barbare de Sassou en l’appelant président ! Voilà un Mbochi fou qui vient s’accaparer de votre pétrole au sud pour assurer un train de vie délirant aux membres de sa famille comme Lucien Ebata et des milliers d’autres Mbochis .
Les mbochis ,des voleurs pathologiques. D’où la séparation de la gestion de l’économie nationale au moyen du fédéralisme..
On ne peut continuer ainsi.
Bizarre que les nvilis délèguent leurs colères aux autres membres des tribus du Sud.
Pour l’heure, sur ce site , aucune trace des nvilis colériques lançant des missiles à l’endroit de Sassou… Rien.
Des lâches ontologiques !.
Si cette occasion qui vous est offerte sur un plateau d’argent par le journal Libération vous indiffére , alors les Mbochis vous saluent bien.!
Ah ,les nvilis . mawaaaaa.. femmes des mbochis , vous en serez toujours !!.
Oooooh ,nos parents nvilis ,il y a du grain à moudre…!!.
Les réseaux sociaux sont des armes intellectuelles pour interpeller ce régime qui a pris le pétrole de votre région en otage.Et votre réaction se fait toujours attendre.
Mais de quel bois êtes vous faits ?.
Au Congo Brazzaville,il y a deux tribus qui créent l’angoisse existentielle : d’un côté ,les nvilis imbus d’une lâcheté ontologique et de l’autre , les Mbochis nantis d’une ontologie prégnante des vols des biens publics….Bref, un mariage dantesque du méchant et de la brute , matiné d’une complaisance théologique…
Cette association des deux ontologies ,bien que distinctes et contradictoires, forme le nihilisme Sassouisto – congolais….
Faudrait- il envoyer les nvilis faire un stage de colère pétrolière au Biafra ,,la question mérite son lot de fût pétrolier.
Aucun missile en direction des mbochis pour prouver votre mécontentement…
Mais comment aider les nvilis à se fâcher contre Sassou,?… D’où la justification de ce stage au Biafra.
Inutile de singer les tchimbambas ,le pétrole est pris dans les Crocs des mbochis ,le temps est venu de sortir la sulfateuse à haute pression…
Chers parents nvilis ,je puis vous assurer que ce pétrole aurait été du côté du Pool ,les Mbochis auraient été chassés manu militari de son lieu d’exploitation, à l’image des Nigerians qui revendiquent de façon guerrière leur part de pizza…
Votre mutisme sur un sujet aussi grave que celui d’un vol d’Etat sur un produit stratégique, fait de vous des complices tacites de la prédation du pétrole du kouilou.
Ce pétrole est d’abord un produit régional avant qu’il ne soit baptisé du nom de congolais..Une ironie Sassouiste dont la devise se résume ainsi : ‘pour le meilleur et pour l’empire financier et rien au kouilou.. »…
Donc de ce point de vue , votre avis sur ce pillage étatique est précieux..
Souvenez-vous de ce qui disait thystére du pétrole : « il fallait que l’État rétrocède un minimum de 40 % des recettes pétrolières à la région du kouilou..
Pourquoi l’avait- il dit ?.
Pour la simple raison objective et géographique que le pétrole est du kouilou.
Car comment concevoir qu’un Mbochi de tchikapika ,en l’occurrence Bouya, soit le Dangote du Congo Brazzaville sur la manne pétrolière du kouilou ?.
Où est le minimum syndical financier auquel vous auriez eu droit ,selon Tchi Tchi.?
Alors ,en avez – vous obtenu ?…
Comment vous pouvez accepter que des étrangers viennent prendre, selon leur gré , votre femme dans votre propre maison ?…..
Diawara et Kinganga n’y sont plus pour vous aider militairement. ,,Dommage .,!!…
Soyez revendicatifs !!.
Les Mbochis et les nvilis ,des véritables merdiers du Congo Brazzaville. L’un fait de l’autre un rebut du Congo sans le moindre gémissement. Tel un homme métaphysique ,notre parent nvili se contente d’être sans être….
C’est maintenant ou jamais de sauter sur l’occasion de mener cette révolution pétrolière pour faire cesser cette saignée financière issue du pétrole…
Du temps du vrai Pool , les poolistes vous auraient aidé à récupérer votre dû ,mais ce pool d’aujourd’hui est fatigué ,faute des vrais combattants.
Mvouba est passé par là.. Oui ,le pool est triste du sort diabolique que vous font subir ces rapaces Mbochis ,il ne vous reste que la solution internationale pour dénoncer ce massacre financier , qui ébranle l’être nvili…
Une violation des droits économiques et financiers où la victime n’a aucun droit au chapitre de son avoir..
C’est ainsi de manière familiale que ,le pool pleure sur le malheur du kouilou…Un kouilou réduit au rang de satisfaction des désirs matériels kilométriques des voleurs de cette partie de la maudite cuvette nord ou cantine…
L’ agonie du Kouilou ,certes est géographique, mais elle se transmet aux autres ethnies du Congo par les souffrances physiques , économiques, financières et sociales qu’elle produit en chacun des membres de ces tribus..
C’est l’historicité de cette tribu nvili , non guerrière, non violente ,empreinte d’accueil de l’autre , qui aujourd’hui ,a montré ses limites dans cette forme d’effraction qui l’oppose aux envahissants voleurs, venus de la cuvette nord ,dans la gibecière de Sassou..
L’histoire d’une tribu imprime parfois à vie les signes indélébiles sur des membres de cette tribu. Malheureusement,les nvilis auréolés de cette étiquette onusienne en font l’amère expérience. Et les Mbochis en profitèrent..pour leur tanner le dos..
Donc la faute en revient à l’histoire des nvilis…. Puréééee .Donc acte !!.
Les blancs du Congo Brazzaville dans les étrennes des mbochis… Le spectacle est ignoble. On aurait dit une calinothérapie sur fond de tromperie pétrolière…
Sacré Mbochis. Chance éloko pamba’. Comme le dit Koffi Olomide, « :c’est Nathalie Boumba qui m’habille.en or « ….
Alors ,Koffi ,quel rapport avec le pétrole congolais ?.
C’est qui cette Boumba ??. Bizarre ,ce Koffi !!.
Pourquoi les habits de koffi dégagent l’odeur du pétrole du kouilou ?…
Que veut insinuer Koffi ?…
Voudrait- il venir en aide aux nvilis ?…
Que fait Obara ??.
Mon très regretté Verckys me disait « : moyi ebimaka pona bato yosso ». Pour l’instant,ce soleil brille pour les Mbochis.
Veinards ,les Mbochis !!. Peuples bénis par les nvilis non violents…
Puisque certains , pour des distractions ludiques, nous tamponnent les oreilles avec des rhétoriques réseautales indémontrables ,mais seulement pensables…
Le nvilisme est une Onusienne.
COMMENT VA SE TERMINER CETTE AFFAIRE DE LUCIEN EBATA ET SASSOU NGUESSO AVEC LE JOURNAL LIBÉRATION? https://www.youtube.com/watch?v=02eYHrqs3sY
La dialectique des délits d’initiés.
Depuis 1968-1970, nous vivons dans cette dialectique de délits d’initiés, celle d’un prétexte-le complet veston, les chaussures en croco et « la République des « civilisés »- qui a masqué un texte, un récit fait de crimes de sang et de crimes économiques et financiers. La France de gauche paraît la découvrir avec Libération. Le prétexte servant à tout criminaliser, à tout justifier. « Mourir pauvre » comme le défunt camarade Marien N’Gouabi, alors qu’il nous montrait le fameux chèque d’Elf Congo? Stupidité. Contre-leçon historique. Surtout pas faire comme lui. Servons-nous.
Sur fondement de quelle morale?, de quelle éthique ? Le bien et le mal?
Inconnues au bataillon. Même pas sur les grilles ou le registre des accessoires. Au village? Sans doute du côté d’Oyo. Pas ailleurs, au Congo, chez nous les Bantous où le principe universel de l’interdit de l’inceste est respecté.
Chez les francs-maçons? Chez les catholiques? Difficile à dire, même si les complicités sont manifestes. Comme avec les socialiste français. Ou quand l’internationalisme socialiste devient un internationalisme de la lutte contre les pauvres, au nom du « bonheur » des dominants. Drôle d’inversion de la lutte des classes et d’un certain ordre de l’histoire.
Le secret et le mensonge sont de royauté. Gardiens de la paix. Gardien des cimetières, des sépultures. Pourvu qu’ils ne ressuscitassent point.
Alors, que deviennent les gardiens du temple du mal et de la culture du mal. Au PCT, on fait le dos rond, en attendant que ça passe. Qu’ils parlent donc à présent. Ces gens en conversation permanente avec le Saint Esprit. Prétexte. Blasphème.
Prétexte et Texte. Le sordide. Le rendez-vous est pris.
@ Val de Nantes
Rhétorique de réseau, dites-vous? Une clause de style qui, dans le texte, reste et restera une vraie supercherie théorique. Il lui manquera toujours cette lumière qui interroge la cécité, au point de témoigner d’une généalogie de la morale et de la connaissance.
Au prétexte d’être dans la lumière,-franc maçonne ou catholique-on oublie comme Saul que la lumière brûle, qu’elle donne lieu à la cécité et donc à l’ignorance. Interroger la cécité-même provisoire- de Saul sur le chemin de Damas, c’est interroger les conditions épistémologiques d’accès à la connaissance. Celle de la fragilité conceptuelle du réseau, au moment même où ces « instruits » découvrent avec Lucien Ebata et les autres, la fragilité du réseau, à travers celle de ses fondements généalogiques. L’interdit de l’inceste comme principe de passage de la nature à la culture. Le bien commun qui n’est jamais, sauf dans le bonapartisme, un bien privé. Aucune rédemption. Ici bas. Misère de la pensée.
La solution fédérale est l’antidote aux us et. coutumes de l’être Mbochi.: Mettre chaque région fédérée devant sa propre responsabilité économique et financière..
C’est Nietzsche qui disait qu’il faudrait dire « :un grand oui à la vie « .
Ce qui suppose qu’il faudrait utiliser l’envie et l’énergie intérieure qui sont en nous , c’est à dire la volonté de puissance qui caractérise l’être humain éclairé..
D’où le refus d’accepter cette agonie collective mise en scène par un groupe des voyous jouisseurs du revenu national…
C’est l’intelligence congolaise qui part à l’assaut de cet effondrement du Congo Brazzaville en arguant d’une idée antique que « :nul n’est voué à la fatalité. »..Et qu’il suffisait de penser à défier l’inéluctable par la soumission de toute difficulté existentielle à la raison….
L’examen approfondi de l’analyse des postulats de logique coutumière structurant les différentes ethnies a conduit à l’évidence fédérale..soit une certitude tirée de l’expérience politique et économique de Sassou..
Le politicien congolais est -il un homo- économicus ?.. autrement dit ,un politicien ayant un comportement économique rationnel…
Dans le doute , la précaution institutionnelle, droit être convoquée…
Le fédéralisme est le résultat d’une impossibilité sociologue d’une gestion nationale de notre économie…
Voilà la réalité empirique et donc scientifique à laquelle le Congo Brazzaville se trouve confronté…
Ne nous voilons pas le visage sur cette réalité phénomènologique qui se vérifie au quotidien à travers les comportements économiques et financiers de certains membres de nos tribus….
Le Congo ne peut être un simple slogan national ou sentimental , maïs une nation juste et eudémoniste …
Le Congo Brazzaville nous est transcendant, mais l’économie nationale reste tributaire des économies régionales…
L’existence d’une économie nationale est la traduction du dynamisme économique de nos différentes régions.décentralisées.de manière exceptionnelle….. Le fédéralisme y répond à merveille… C’est la parade idéale.
Que dit Senghor des noirs : » la raison étant par excellence hellène , c’est à dire que l’esprit de finesse procède de l’homme européen , et que l’homme noir est condamné à exprimer ces émotions ataviques , à exhiber son instinct grégaire ,qui frisent l’animalité ,avec en prime un cerveau immature … En témoigne l’âge du capitaine qui détonne dans l’exercice du pillage des finances publiques…
À quoi sert de voler autant d’argent à cet âge ?…
Eh bien ! Sassou et sa bande des voleurs valident l’analyse anthropologique et épistémologique de Senghor…..
En somme ,le congolais ,sous sassou est réduit à un simple objet de curiosité ,de musée africain tant son existence est statique et veule .