Le ridicule ne tue pas. Les annonces nocturnes deviennent une vraie nature pour le dictateur Sassou-Nguesso.
Après l’annonce nuitamment de sa frauduleuse « réélection », le vieux dictateur corrompu a fait annoncer par Firmin Ayessa, son gendre de l’ombre, un gouvernement illégitime et illégal.
Jean-Louis Boorlo, qui a perdu toute crédibilité, doit être dans ses petits souliers.
En affirmant sans sourciller sur le plateau d’Africa 24, chaîne panafricaine financée par l’autocrate Obiang Nguéma Basongo, que le tyran d’Oyo est un « monument de vision », ce dernier déploie beaucoup d’énergie pour essayer de polir le visage écaillé du dictateur par les produits cosmétiques et ses crimes de sang. Ceux commis dans le Pool, en témoignent.
Les congolais n’attendent rien d’un tricheur, d’un voleur et d’un violeur constitutionnel.
Sans surprise, l’annonce de ce piteux gouvernement est un non-évènement. Il a été accueilli dans l’indifférence générale. Ce gouvernement de forfaiture n’a pas d’avenir. Il est voué à l’échec.
Reconduire les mêmes qui pillent les richesses du pays depuis des décennies, prouve à suffisance que le Congo est loin d’être la priorité du dictateur Sassou-Nguesso.
Henri Ndjombo, l’inamovible ministre a toujours brillé par son incompétence et son incurie.
Jean-Jacques Bouya, après une rhétorique bien huilée par des communicants grassement payés, peine toujours à faire fonctionner le barrage d’Imboulou, après avoir détourné tout le magot. Les délestages sont toujours légion.
Thystère Tchikaya fils, dont le père fut incarcéré par le tortionnaire Sassou-Nguesso dans les geôles de la sécurité d’Etat à la Cité des 17 pendant une décennie, a une drôle manière d’honorer la mémoire et le combat de son père.
NSilou, Landry Kolélas et Mampouya, préfèrent leurs strapontins, au génocide perpétré dans le Pool par l’usurpateur et criminel Sassou-Nguesso.
Gilbert Ondongo va poursuivre méthodiquement la saignée des finances publiques déjà mal en point. Il faut bien cantiner pour José Veigas.
Mboulou a explicitement reconnu la défaite du dictateur. Que dire davantage?
Alain Akouala dit le « cerveau bleu », peine à gommer son vagabondage sexuel.
Thierry Moungalla a toujours son couteau entre les dents. Jadis pourfendeur du dictateur Sassou-Nguesso, il devient la pièce maîtresse du système oppressif d’Oyo.
Arlette Soudan Nonault a pour mission de renflouer les caisses de Jeune Afrique, un journal sans lecteurs.
Et que dire de Pierre Mabiala, dont le passage à vide à l’université Marien Ngouabi n’a été qu’un naufrage abyssal.
Organisateur des fuites des matières de l’amphi 600 à Bayardelle, Pierre Mabiala a toujours jeté un oeil par-dessus l’épaule du voisin lors des partiels. Avec lui, c’est l’arbitraire absolu. Il va traquer le pauvre Ntoumi, en épargnant le député-milicien Moigny, ancien détenu à la maison d’arrêt de Osny (95) dans le Val-d’Oise. Pierre Mabiale, c’est Aimé Emmanuel Yoka en pire!
Autant d’incompétents et de crétins, pourquoi faire?
Clément Mouamba qui ne dispose pas de marge de manœuvre, n’est qu’une tête de gondole au service de la dictature du clan d’Oyo.
En attendant d’être chassé par le peuple, Mouamba pourra rafraîchir les murs de son appartement de Boissy-Saint-Léger. Et de renflouer par la même occasion, les caisses de son petit commerce en faillite, situé à l’époque, à proximité du métro Strasbourg-Saint-Denis.
Incapable de gérer une épicerie, Mouamba n’a pas le coffre d’être à la hauteur des enjeux, même s’il court après le coffre-fort d’Oyo.
L’acceptation suicidaire de ce poste de premier cocu, ne se résume qu’à l’accaparement des privilèges et des avantages sans fondement légitime.
Les privilèges sont un obstacle au bon fonctionnement de la société. Ils interdisent la mobilité sociale. Ils cantonnent chacun dans la case de sa naissance. Ils n’incitent ni à l’effort ni à la créativité.
Le ravalement de façade dont le dictateur Sassou-Nguesso est le maître d’œuvre, est loin de résoudre les problèmes de fond qui se posent au pays.
Le dictatueur de Mpila doit se rendre à l’évidence qu’il ne représente que 8% sur l’ensemble du territoire national.
Le problème qui se pose dans notre pays n’est pas militaire, mais plutôt politique.
Mandéla a vaincu l’apartheid. Les burkinabés ont vaincu Compaoré. Les congolais vaincront Sassou-Nguesso. Ce régime inique vit ses derniers jours.
Malgré les intimidations, les séquestrations, les rafles, les privations de toutes les libertés, les bombardements dans le Pool, force est de reconnaître que nombreux de nos compatriotes à l’intérieur comme à l’extérieur, résistent et refusent les appels du pied d’un régime évanescent.
L’opposition a réussi l’exploit de montrer et de démontrer aux yeux du monde, la tricherie du dictateur Sassou-Nguesso.
Cette résistance doit se poursuivre. La cohérence voudrait que l’opposition boycotte les élections législatives à venir. Le dictateur Sassou-Nguesso désignera ses députés godillots.
Ce qui se joue aujourd’hui, c’est à la fois de chasser Sassou-Nguesso et ses supplétifs du pays, de démolir le système PCT, et de libérer le Congo.
Encore une fois, une TRANSITION s’avère nécessaire pour remettre d’équerre le pays.
Le dictatueur fainéant et cynique a préféré vider les caisses au lieu de faire construire des écoles. Un pays ne peut avoir d’avenir si sa jeunesse n’est pas formée. Le monde d’aujourd’hui et de demain est celui de la connaissance. Colinet Makosso n’a fait de l’Education nationale, qu’un slogan.
Le moment de vérité approche. Le « non-agir » du dictateur Sassou-Nguesso et ses échecs multidimensionnels ne seront plus qu’un triste souvenir. Le Congo fera peau neuve grâce à ses filles et ses fils qui croient en ses capacités. Notre beau pays renaîtra de ses cendres.
Olivier Mouebara.
Diffusé le 05 mai 2016, par www.congo-liberty.org
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Les larmes d’Isidore Mvouba et Bernard Tchibambéléla
La fumée blanche est sortie du palais de Mpila et est montée vers le ciel trouble du Congo-Brazzaville post-électoral. Le gouvernement Sassou à la sauce Mouamba a livré son verdict le 30 avril 2016, une semaine après la nomination du prémier ministre et chef du gouvernement. D’autant plus bâtie sur une immense fraude constitutionnelle, l’équipe gouvernementale de la nouvelle République n’a pas fait que des heureux. Si tant est qu’on puisse plaindre une bande d’escrocs, cette équipe a fait aussi des déçus ; les déçus du Chemin d’avenir.
Tonnerre de Brest ! Parmi les recalés figurent en bonne place Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla. Des larmes ont coulé sur leurs joues. Des larmes de déception. Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla croyaient, croix de bois, croix de fer, en leur bonne étoile. Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla étaient persuadés qu’ils étaient inamovibles (ininguissables diraient les milosiens ) forts de leur amitié avec Sassou Nguesso. C’était mal connaître le cynisme mêlé d’ingratitude de Sassou alias Monsieur 8%. Pire : Mvouba a été débarqué d’un avion Air France en partance pour Paris. Cet ancien Premier ministre de paille a été débarqué par des hommes en armes au service de Sassou son ami de quarante ans.
Muets comme une carpe
Alors que les bombardements de la région du Pool à l’aide d’hélicoptères de combat battent leur plein, ces deux hommes étaient plus préoccupés par leur maintien et leur reconduction au gouvernement que par le sort des habitants de la région surnommée « locomotive » du Congo-Brazzaville (selon la métaphore du chemin de fer de Pascal Lissouba) habitants sur lesquels pleuvent des engins de la mort larguées sur les ordres de Denis Sassou Nguesso. Il est vrai que dans ce Département, Sassou n’a pas dépassé la barre de 1% aux récentes élections. Les deux députés du Pool, l’un de Kindamba et l’autre de Mbanza Ndounga, sont muets comme une carpe. Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla ne se soucient guère du traitement de leurs administrés de la région du Pool. Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla n’entendent rien, ne voient rien et ne disent rien. Motus et bouche cousue. Idem pour le député Mbochi de Vinza, Aimé Emmanuel Yoka, le juriste consul de Denis Sassou Nguesso. Après leur évictions de la mangeoire, les deux députés sont dépités. C’est le moins qu’on puisse dire.
Champ de résistance
Quid le Pool ? Ce n’est pas n’importe quelle région qui souffre le martyr. Il s’agit de la région du Pool, bastion de la résistance aux attaques de tout genre. Cette partie du Congo est comme prédestinée aux douleurs. Ce n’est pas la première fois que la région fait l’objet du courroux du pouvoir. Comme chez les Vendéens du 19ème siècle, l’insurrection chez les Kongo-Lari est un état d’esprit en butte avec l’esprit jacobin. La région du Pool a déjà croisé le fer avec les différentes forces de la colonisation incarnée par les Butaffoco et les armées des régimes militaro-marxistes incarnées par Marien Ngouabi. L’administration française s’est heurtée dans la région du Pool à la résistance menée par Mabiala Ma Nganga, Bouéta Mbongo, Mama Ngounga, Tata Mbiémo, Balou Constant , André Grenard Matsoua. Le lieutenant Ange Diawara et Ikoko ont donné du fil à retordre au régime communiste du commandant Marien Ngouabi, du commandant Joachim Yhombi Opango et du capitaine Denis Sassou Nguesso. Ange Diawara prit le maquis dans la jungle de Monseigneur Roch Auguste Nkounkou à Goma-Tsétsé dans la région du Pool dont les forêts comme à Sherwood servaient de refuge à Robin des Bois. Aujourd’hui, un autre prélat, Mgr Louis Portella Mbuyu y joue avec héroïsme la partition de la théologie de la Libération, comme les hommes d’Eglise de la natale Amérique Latine du Pape François 1er.
Brutus
Isidore Mvouba, redoutable homme d’affaires à l’instar des dignitaires du pouvoir, natif de Kindamba et Bernard Tchibambeléla natif de Mbanza Ndounga dans la région du Pool, se sont battus comme le diable dans un bénitier en vue de conserver leur beefsteak ministériel. Cheville ouvrière de la déstabilisation du MCDDI aux côtés de Landry Euloge Kolelas, Bernard Tchibambeléla était à la fois la taupe de Sassou Nguesso au sein du MCDDI et le Brutus de Bernard Kolélas. Tribun hors pair formaté à l’école du marxisme et piètre politique, la justification d’Isidore Mvouba sur les bombardements des populations du Pool (C’était, plaida-t-il, les gens du Pool qui avaient imploré que Sassou leur largue des bombes sur la tête, pour déloger Ntoumi) lui colle à la peau comme la tunique de Nessus. Par conséquent, les sorts d’Isidore Mvouba et de Bernard Tchibambeléla n’ intéressent personne. Aucune larme versée pour ces deux canailles qui, de toute manière, méritent leur châtiment.
Monnaie de singe
La langue mbochi que pratique Isidore Mvouba avec maestria et la traîtrise assumée de Bernard Tchibambeléla , n’ont pas été des éléments suffisants pour que Denis Sassou Nguesso et ses compagnons de la révolution marxiste les reconduisent à un poste ministériel qui, de toute façon, n’a jamais été que décoratif. Combien d’usines installées, combien d’emplois industriels créés et quel est le prix du kilo de poisson ?
Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla entreront dans l’histoire comme les Brutus ayant poignardé les leaders du Pool. Les habitants de la région bombardés avec leur aval (qui ne dit mot consent) auront toujours à leur égard la formule de Jules Auguste César : « Même vous nos fils ! ». Au bout du compte, comme Juda, les Pharisiens de la Cuvette les ont payés en monnaie de singe. A leur mort (c’est une façon de parler) leurs tripes comme celles d’Iscariote seront dévorées par des charognes après s’être pendu dans un champ qui portera les malédictions de la trahison. D’ailleurs avec l’assignation à résidence de Mvouba, le salaire du péché commence à lui être versé.
Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla ont perdu leur maroquins ministériels. Ils sont inconsolables. Les habitants du Pool reçoivent des bombes sur la tête. Ils sont meurtris. Qui mérite la compassion ? Dans les deux cas, la réponse est claire.
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Un gouvernement de fiction , le temps de balayer les ministères et s’en aller ,au profit de ceux qui ont répondu au profil populaire .
La forfaiture est représentée , sans honte par celui qui est censé incarner les valeurs fondatrices de notre pays.
Le rapport des forces s’est renversé ,la déssaoussisaition du pays est en cours ;tout ce que les ennemis du peuple peuvent tenter, c’est d’en retarder l’achèvement .
Nous ne devenons ce que nous sommes que par la négation intime et radicale de ce qu’on a fait de nous .
Le Congo donne l’impression qu’il jubile dans le drame de l’imposture ,mais le refus affirmé du compromis de ces fils déterminés désarçonne SASSOU pour qui , les nuits tournent au supplice de tantale .
La diaspora de par son attitude d’esprit qui se traduit dans ces actions par une intrépidité et une fierté hiératique qui participent résolument au défi de la dictature immorale imposée à notre pays .
Quand à MVOUBA , s’il peut se mettre en réserve éternel de la république , avant que ce peuple ne lui réclame les comptes , il doit savoir que il y a des congolais qui ont des idées , propices au développement réel de ce pays .
De l’homme de 17% à l’homme de 8% et puis 5% et actuellement d’après les sondages, il serait l’homme de 3%…
Les Premiers ministres de Sassou I, II et III illégal, illégitime et hors-la loi: Louis Sylvain-Goma (1975-1984), Ange Édouard Poungui (1984-1989), Alphonse Souchlaty-Poaty (1989-1990), Pierre Moussa (1990-1991), Louis Sylvain-Goma (1991), Isidore Mvouba (2005-2009), Clément Mouamba (depuis 2016).
Tels des fantômes ils vont resurgir ailleurs! Ne vous en faites pas pour eux!
HIBOU LUGUBRE ADADA est déjà annoncé comme ambassadeur à Paris! Et si on connait la mollesse avec laquelle il défend les intérêts du Congo qu’il méprise!!!
UN FRANÇAIS POUR REPRÉSENTER LE CONGO EN FRANCE…
Bonjour Monsieur MINGUA,juste vous dire que vous risquez de priver certains lecteurs de la lecture de certains articles en publiant certaines contributions au bas des articles à la Une. Par exemple, si vous ne lisez pas l’article de MOUEBARA vous ne sauriez jamais qu’il y avait un autre article de BILOMBOT BATADYS y était publié. Cette façon de présenter les choses doit être corrigée.
Cordialemen
t
comparant ce gouvernement par une métaphore en droit pénal. sassou par crime de sang a volé le butin (pouvoir) d’autrui ( peuple souverain). Il appelle ses comparses (les ministres et tous les autres qu’il nommera) pour partager le butin volé tant convoité par lui et ses amis. Le droit pénal reconnait sassou comme voleur, assassin, génocidaire. Mais ses personnes ayant accepté en conscience le butin de sang sont tous autant qu’ils sont, des receleurs. Ils sont de facto reconnus comme voleurs assassins et génocidaires en droit pénal.
En conclusion sassou et ses ministres sont tous voleurs du pouvoir qui appartient au peuple congolais. sassou et ses ministres sont tous des assassins et des génocidaires de ce même peuple. Par conséquent Ils doivent être sanctionné d’illégitimité et d’ilégalité par le droit pénal congolais et reconnu comme tel.
Eh ben! Mvouba parle couramment le M’bochi…Donc il doit avoir pas mal de secrets. Mvouba, interdit de sortie et assigné à résidence, que c’est beau comme rimes…Comme disent les étudiants à M. Ngouabi, « qui a bu, boira! ». Tout ce beau monde qui court après le fric, connaitra le même sort. Quand on est contre les règles, les normes, la constitution…, on court le risque de se faire attraper par l’illégalité des actes tyranniques…
On attend de voir..
LE LIBUNDU PLUS LA MOUAMBE OU LE MOSSAKA voilà ce que vous OFFRE le plat de résistance à la primature , BON appétit aux internautes qui sont au pays .
ce libundu ou pardon MABOUNDOU , converti MINISTRE DIRECTEUR DE MOSSAKA ;on dit quoi MABOUNDOU ,? MERCI SASSOU ;
Mr MINGWA,
en parcourant la toile, j’ai vu quelque part en dehors du present sujet, les photos des colonels MOPITA Jean Claude et AKINDOU IKONGA Germain, tous deux presentes comme les acheteurs des armes qui ont tue au Pool de 1998 a 2000 et le 04 Mars 2012. Le colonel AKINDOU etant en France pour des soins d’apres ce que l’on apprend, sous le sceau de l’anonymat il est bon d’apporter certaines precisions. Toutes les armes de la mort ont ete achetees en violation de l’embargot militaire vote par l’ONU qui frappait le Congo. Ces armes provenaient de MINSK en Bielorussie. Monsieur LEKOUNDZOU etait ministre de la Defense et Mr. DZON Mathias ministre des Finance. L’avion utilise etait l’ilyouchine 76 gros porteur russe et les missionnaires se trouvaient etre: Mr. TALAL sujet Libanais, patron de l’hotel Olympique; colonel NDOUDI Medard chef d’etat major de l’armee de l’air; colonel NGANGA Landry qui fut homme a tout faire du Gal MOTANDO a Pointe Noire.
Le colonel AKINDOU signait simplement a la reception du materiel en lieu et place du ministre de la Defense pour reconnaitre la conformite du materiel, et le remettait au colonel Jean claude MOPITA directeur central de l’armement a l’epoque DCAM et devenu ECRAMU lors des evenements du 04 Mars 2012.
Le colonel AKINDOU n’etait donc en rien responsable du stockage du materiel que les FAC recevaient mais le colonel MOPITA oui. Tout comme l’usage que l’on fait actuellement des Helicopteres de combat, est de la responsabilite de l’Unite a laquelle ils ete affectes. Cependant, toutes armes de « destruction massive » y compris les helicopteres de combat, etaient gardees par les hommes de la DCRM recrutes et commandes a l’epoque par le colonel Marcel TSOUROU.
Pendant le proces ici a Brazzaville les choses etaient ficelees d’avance donc on ne pouvait pas temoigner; mais aujourd’hui avec le fin programmee de ce regime, il est desormais normale de dire ce que l’on peut savoir pour denoncer les petits malins qui croient qu’on ne les retrouvera pas.
Merci Mr. MINGWA de concerver cette piece dans le dossier pour des proces qui ne vont pas tarder a exploser, car l’assainissement du CONGO en depend.
Ne vous plaignez pas de Mvouba ni Tchibambélela. Eux ils zen pourquoi vous essoufflez- vous tant ! ? Île sont appelés à d’autre besogne. Sassou est fidèle avec ceux qui lui sont fidèles. Akouala, n’est-il,pas revenu? Ils sur le banc de touche pour un autre match le tant de roder les nouveaux venus. Il n a jamais renvoyé le défunt Taty
Loutard. Ni Richard Mbongo, ni Garcia.
Quand ce ne sont pas les parents les fils et les filles sont en préparation. Un homme averti en vaut deux. Bokozela trop soki mbo télimité!!!
Ah isidore Mvouba triste fin en plus d’être un énième gendre de 3SSS sassou satan salaud ou satan satan satan (sa fille métisse issue de son mariage avec une femme russe couche avec papy sassou), Il se croyait tjrs ministre à vie. c’était sans compter sur la rancoeur et la haine tenace de 3S.
Imaginons l’argumentaire de Sassou dans son milieu clanicotribale pour débarquer Mvouba du non gouvernement.. Chers enfants chers neveux chers amis Isidore m’a trahi au pool. Le bakongo là, il n’a rien fait pour que je gagne au pool même dans son village j’ai perdu et tout l’argent que je lui ai donné qu’est ce qu’il en a fait? Il n’a pas achété les consciences des villageois des paysans et pourtant c’est facile à faire, il n’a pas non plus menacé les populations sur le risque d’une guerre civile au pool, mais c’est un nul ce bakongo de Mvouba,.. Moi sassou je vous dit que je ne le reprendrait plus il a perdu ma confiance …Vous savez mes enfants mes neveux le bakongo reste le bakongo même s’il est avec toi il faut toujours s’en méfier.
Eh oui sassou reste sassou il n’a jamais changé rancunier, haineux hypocrite féroce il l’est resté quelque soit la nature des services qu’on lui rend, il finit toujours par axphysier sa proie jusqu’à la mort puis l’avaler tel un boa. Ses amis et ministres sont des potentiels proies qu’il apprivoisent et le temps venu Clac.
Isidore l’a compri à ses dépends, avant lui beaucoup d’autres qui hélas ont laissé leurs vies. la liste est longue.
Dans le civil, Isidore Mvouba ingénieur hors cadre de chemin de fer Congo océan (n’a jamais preque travaillé à ce titre au cfco) ancien 1er secrétaire régional de l’ujsc au kouilou, membre du c.c du pct, plusieurs fois ministre, ministre d’état et premier ministre sous sassou nguésso. coresponsable du génocide au pool.
Dans l’invisible satanicomaconnique, Mvouba est franc maçon époux du ministre Ouosso. À son tour Mvouba est l’épouse de sassou qui le culbute à souhait selon le rituel magicomaçonnique. 3S a droit de vie et de mort sur tous ses ministres. C’est le résultat et la conséquence du pacte sciemment consentit par les ministres avec le réprésentant spécial de Lucifer au Congo et en afrique centrale
Fermons la page de Mvouba, Personne n’échappera à la justice immanente et trancendantale en marche pas même Mvouba en quête ses derniers temps, d’une lumière chrétienne. Il n’est pas trop tard Isidore le coeur de Jésus-Christ est ouvert à tous ses enfants terrestres même les plus démoniaques. Encore faudrait il en faire la demande. Dieu est patient lent à la colère et prompt à pardonner ceux qui se repentent. Puisses tu être celui là Isidore Mvouba, tu aurais eu le mérite de sauver ton âme de la damnation éternelle, même si tu venais à mourir.
Tout-à-fait.
Sassou tente de stabiliser son pouvoir comme à l’accoutumée après une crise en sa défaveur. Il l’a fait avec les Paul Kaya, Mberi, l’ancien ambasadeur de Pascal Lissouba en France, j’ai oublié le nom de ce grand traitre…, apès sa victoire sanglante de 1997. Il procède toujours de la sorte. Comment les Mouamba et consorts sont incapables de lire notre histoire. Gaiement, il vient se refaire un peu de millions et partant apporte son soutien au tyran, il n’ira pas seul décidédement…
A propos du ministre Mvouba, il n’a jamais été refoulé à Maya Maya. Au moment où passait cet intox sur la toile, il était en bonne santé et donnait son pot d’au revoir à tous ceux qui avaient travaillé avec lui pendant qu’il était ministre. Que ses amis ne s’inquiètent pas car il est serein et le pays a encore besoin de ses services comme vous allez bientôt le constater au cours des prochains jours.
Quelqu’un peut-il me dire où est-ce que Pierre Mabiala a fait ses études de barreau? Est-ce que l’université Marien Ngouabi forme maintenant au métier d’avocat?
La seule fois que j’avais vu Pierre Mabiala à l’université c’était en 1986 après l’obtention de son bac. Il avait 27 ans. En 1991, à 32 ans, il était le representant des étudiants à la conference nationale. Du temps du regime de Lissouba, il a commencé à travailler. Aussi, je me demande s’il a fait son barreau au Congo ou en France.
Alors, quid de Mvouba? Quelqu’un vient d’apporter un démenti sur son prétendu refoulement à Maya… Qu’en disent ceux qui ont balancé cette info qualifiée d’intox par ce banaOuenzé?
Au Congo, on peut être Avocat sans avoir intégré le parcours consacré. Nous sommes au Congo, pays de tant de miracles? Sassou nguesso n’est-il pas Général d’armée tout simplement pour avoir passé trop d’années au grade de Colonel? Et moi-même, ne suis pas un con, pour être passé du stade de l’espoir quant à la démocratie consolidée avec la constitution de 2002, au point d’acclamer un tricheur, violeur, assassin?
AH… ISIDORO …TU commences à démentir les rumeurs te concernant .Essaie de vivre , les affres du congo réel .
En vraie démocratie ; tu ne serais plus député , aux prochaines législatives .
Qu’as tu fait pour protéger tes électeurs de kindamba des obus de ton mentor SASSOU ?
Une situation ubuesque où , je te tue , autant que je te caresse .DU MVOUBISME;
Je ne pense pas que tes électeurs de kindamba , aient encore besoin , d’un eunuque politique de votre acabit ..
IL est president de tout les congolais au lieu de parler envoyez plutot des dons; des médicaments et western union
Il est président des 8% de la population pas des 92%
Que fait Congo assistance d’Antoinette et Perspectives d’avenir de KIKI ??
Un pays absurde où tout est absurde. Des politiciens absurdes, une Constitution absurde, une république absurde, un pouvoir de fait, donc absurde, un gouvernement absurde, une administration absurde, une Armée absurde, des mœurs absurdes,… Une pyramide inversée… Bref, Rien à en tirer. Rien à foutre des Mvouba, Tchibambellela er autres ministres déchus. Ces gens ne méritent pas qu’on leur consacre une seul ligne de textes. Je suis Pool. La CNS de 1991 est un tournant décisif qui a permis d’amorcer une révolution politique, morale et culturelle. Elle a été trahit une première fois en 1992 et 1993, puis achevé en 1997. 1997 marque le début de la contre révolution politique, morale et culturelle dans laquelle nous engluée aujourd’hui. Alors que nous apporte les commentaires sur tel ou tel ministres? À quoi rime tout ce cirque? Pays de merde comme dirait l’autre.
Nous vivons en démocrature , où les élections sont organisées par le tyrans , histoire de signer un chèque sous le regard de la communauté internationale qui s’avère être un chèque en blanc
Car , derrière cette forme démocratie inventée par cette nouvelle race des renards politiciens , on est passé du déclin relatif des institutions socio économiques et politiques au déclin absolu .
Le pouvoir politique s’est inscrit dans une phase d’inadéquation permanente entre les désirs légitimes du peuple et l’imposition malsaine d’une volonté politique .
Pour l’envoi des dons , il est incompréhensible que L’Etat et les organisations humanitaires ne soient pas en mesure de venir en aide à ceux de nos compatriotes , qui sont des victimes éternelles de SASSOU ;
La présence de SASSOU au pouvoir est une menace potentielle contre l’unité nationale .Le mot AIMER se joue entre deux entités , à condition que d’en respecter les clauses .
Je le redis. Ou est la solidarité nationale autour des populations du sud et plus particulièrement celles du Pool qui subissent une répression féroce programmée de longue date, donc avec préméditation? Ou est l’unité nationale tant vantée par nos compatriotes?
J’ai froid, je ne ressens pas la chaleur des autres groupes électoraux pour soutenir le Pool. Je me sens seul, en plein cauchemar depuis maintenant un mois jour pour jour. Pas un seul secours. J’entends quelques appels au loin, mais rien de bien signifiants. Je me sens toujours seul, abandonné par tous, traité comme un paria depuis des lustres. Pourquoi devrai-je accepter de continuer à vivre dans un pays dans lequel, on me juge pour ce que je suis: Un descendant de la résistance congolaise qui a toujours fait face à l’injustice et à l’oppression. Pourquoi? Pourquoi devrai-je accepter une république dans laquelle on me juge pour mes opinions favorables à l’alternance politique? Pourquoi? Pourquoi devrai-je continuer à accepter de vivre dans un pays où l’unité nationale s’arrête lorsqu’il s’agit de massacrer des kongos et plus précisément des Kongo-Laris? Bouc émissaire devant l’éternel. Souffre-douleur de tout un peuple, qui n’a pas encore eu le courage de ses idées, bien que l’ayant fait en parti dans les urnes récemment.
Ce conglomérat d’ethnies forme t-il une nation au sens propre du termes? Avons-nous décider d’avoir un destin commun? Si oui, quel est ce destin?Si certaines populations ne se reconnaissent pas dans le destin commun qu’on leur impose, si certaines populations de tout temps ont exprimés d’une manière ou d’une autre un choix de société autre que celui qui leur est imposé de force et par les armes, ont-ils le droit d’être contre et de le faire savoir?
Ceux qui acceptent la loi du plus fort sont des animaux, car c’est ainsi qu’est régie le monde animal. Les humains que nous sommes, et dotés de raisons, ne peuvent accepter la loi du plus fort comme seul argument de persuasion pour faire preuve d’autorité. En tant qu’humain, nous sommes bien plus que cela. C’est pourquoi, je le redis ici, les populations qui se sentent exclues, celles qui n’acceptent pas le destin qu’on leur impose, celle qui n’ont jamais accepter le fatalisme de la dictature, ont le droit de vivre et devrait être manifiées. Rien pour ces raisons, toutes les populations du Congo devraient être vent debout contre la barbarie et l’injustice qui s’abat sur les populations du Pool. Pour ces raisons JE SUIS POOL. Les dernières phrases sont au conditionnel parce qu’au Congo, la pyramide a été inversée depuis 1979.
Beau texte Bulukutu je pensais écrire pareil, je suis ému aux larmes mon texte s’articule sur une métaphore biblique du corps humain. Toute la nuit j’ai n’ai pu fermé l’oeil; OUi une partie du corps s’ouffre c’est tout le corps qui souffre. le Congo est ce corps dont une partie le pool souffre dans sa chaire. tout le Congo devrait souffrir pourtant. mais rien
Oui! Vous êtes nombreux à vous être laissés gagnés par l’illusion de l’unité, l’hypocrisie de la nation. Quand je disais, « il n’y a pas de peuple congolais; il y a des peuples congolais », on m’avait pas compris. habitant le Congo, ayant bien voyagé dans le Congo, à mon propre compte et non pas en mission d’Etat, la leçon que j’en ai tirée, c’est qu’il y a un peuple bembe, un peuple mbochi, un peuple téké, un peuple vili, un peuple bimitaba…, etc.
Il est temps qu’on s’en remette à cette réalité sociale et sociologique. Il est opportun que l’on se donne à un travail de conscientisation. Sinon, on fait la joie de sassou nguesso qui trouve dans cette illusion, les possibilités illimitées de s’accrocher au pouvoir.
La France officielle “bakongophobe”, Sassou-Nguesso peut exterminer les Bakongo sans crainte.
Lu pour vous.
Notre histoire coloniale est là pour en témoigner, après la découverte d’immenses richesses au Congo par la France coloniale, il y a eu une volonté politique d’exterminer toutes les populations locales (Bakongo) du moyen Congo, et de les faire remplacer par les populations de l’AOF plus favorables à la colonisation. Puisque les statistiques officielles publiées par le Ministère des colonies attribuaient en 1906, tout à fait arbitrairement, une population de 3 millions d’habitants pour le seul Moyen Congo (contre 10 millions à l’ensemble du Congo Français, dont 3,5 millions recensés). Aussi, d’après G. Sauter, les régions les plus denses étaient la zone attractive de Brazzaville et les Bakongo. Le vassal de la France, Sassou-Nguesso, ne continue-t-il pas là le travail commencé par ses maîtres pendant la colonisation? Si tel et le cas, cela n’explique-t-il pas le silence de la France ?…
Je n’ai jamais parlé politique mes je pense que sassou ngesso est un gros batar une vraie balance salles chien ton tour viendra le Congo ne ta partien pas vipère
@ Mon frère Mwangou
« Oui! Vous êtes nombreux à vous être laissés gagnés par l’illusion de l’unité, l’hypocrisie de la nation. Quand je disais, « il n’y a pas de peuple congolais; il y a des peuples congolais », on m’avait pas compris. habitant le Congo, ayant bien voyagé dans le Congo, à mon propre compte et non pas en mission d’Etat, la leçon que j’en ai tirée, c’est qu’il y a un peuple bembe, un peuple mbochi, un peuple téké, un peuple vili, un peuple bimitaba…, etc » dites vous.
Au risque de vous contredire ou de vous découragez, je dis non, l’illusion de l’unité, l’hypocrisie de la nation n’existe que dans la tête des gens comme sassou et ceux qui n’ont pour fonds de commerce que la division. Je refuse que vous soyez parmi eux.
Cette attitude défaitiste de vous me surprends tout de même, moi qui vous croit très combatif et rassembleur, pourquoi voulez nous ramener aux peuples congolais pour donner encore plus de vigueur aux tribalistes qui ne demandent pas mieux que de se replier sur leur espace réduit de la tribu devenu des peuples congolais.
C’est justement la somme de ce que vous appellez « des peuples congolais » qui constitue la nation et son unité ne sera au rendez vous que quand nous aurions tous compris que le peulpe bembé, mbochi, téké, vili bomitaba ne fait qu’un seul, et bien assimilé que nous habitons un seul espace et qu’un congolais du nord au sud se trouve chez lui.
En voyageant dans le congo, j’espère que vous dites que vous êtes chez vous et non à l’ étranger.
J’arrive tout droit de Kolo sur la route de Kingoué à 5 kms de Mouyondzi où j’ai été assisté un ami qui a perdu son neveu tué par les gendarmes à bout portant au motif que c’est un voleur. Le mouton objet du vol a été pourtant retrouvé dans une parcelle qui n’est pas celle du soit disant voleur même si en d’autre temps, il est reconnu comme voleur. Hier 6/5/ 2016,Mouyondzi était en état de siège pour l’enterrement de ce jeune parti à fleur de l’âge pour éviter des émeutes en ce temps que M. 8% a volé notre victoire. Pour un rien tout peut s’enflammer.
Je ne suis ni bembé, ni du sud. Pourtant j’ai été assisté cet frère et ami que je connais depuis le collège à Dolisie parce qu’il était éprouvé et quand j’entends parler des peuples congolais qui sociologiquement existent ne le niant pas,mais ne devraient exister dans la construction de notre nation, je ne peux que réagir surtout venant de mon frère Mwangou.
Ne nous limitant et ne voyons pas le congo sous le prisme de sassou et sa bande car nous avions beaucoup à faire après le départ de ce salaud. La construction d’une nation est un combat et un travail de longue haleine et il faut des combattants pour celà, mon frère Mwangou, vous en êtes un.
Nous qui comprenons un peu ces notions de nation, de république, de tribu etc etc n’essayons pas de trop mettre la pédale dans le sens du repli sur soi même mais plutôt sur celui du rassemblement pour construire justement cette nation qui est l’avenir de nos enfants et petits enfants puisque nous ne verrons surement pas cette nation là telle que nous la voulons aujourd’hui.
Lu pour vous Oyessi & Bowao. Que nous répondez-vous? Vous n’allez pas accuser Mr Poaty de tribaliste?
Dans cette histoire, le tribalisme a été institutionnalisé par les Gens du Nord au détriment des Kongo et Téké.
» Rêvet une importance particulière à mes yeux l’engagement pris par le Capitaine Marien Ngouabi en accédant au Pouvoir politique le 31 juillet 1968. En ce temps-là, lorsque le président Massamba- Débat perdit la tête du pays et que celle-ci échut entre les mains du jeune capitaine, ce denier déploya un trésor d’habileté, dont le point d’orgue fut la réunion tenue à Owando pour rassurer les autres localités du grand Nord ( Makoua-Boundji-Ouesso-Impfondo-Oyo).
C’était pour que les esprits et les aspérités soient aplanis, notamment, entre Makoua et Kouyou en vue du partage du pouvoir. En somme, le pouvoir Nord, comme on le qualifiait, alors, détenu par Marien Ngouabi, devait être exercé alternativement et durablement entre fils de ces contrés réputées abandonnées depuis la colonisation.
Mais la succession de Marien est intervenue de façon plus chaotique que réfléchie à la suite de sa tragique disparition le 18 mars 1977. Et l’apparition inopinée du Colonel Yhombi Opango au devant de la scène n’a pas correspondu aux prévisions stratégiques de l’alternance tribalo-régionaliste des Tenants du Pouvoir Nord.
Sans doute, Yhombi Opango pouvait-il se prévaloir par son père du district de Makoua pour s’installer au pouvoir dans le cadre de l’alternance géopolitique intra-régionaliste, mais il se distinguait davantage en parent de Marien, en fils d’Owando par sa mère et en Kouyou dans l’âme.
De sorte que la stratégie d’occupation et d’alternance du pouvoir n’a véritablement commencé à produire ses effets qu’avec Sassou-Nguesso qui, en évinçant Yhombi, le 5 février 1979, n’a pas été condamné comme il se devait par les cadres du Nord.
Ces derniers ont vu dans cette prise de pouvoir, un acte certes inélégant et heurté, mais, conforme à l’Accord d’Owando dans la mesure où les Kouyou avaient, déjà, commandé par le truchement de Marien Ngouabi.
Mais, jusqu’ici la conservation du Pouvoir dans les seules mains de Sassou-Nguesso a en même temps ouvert toutes les dérives. Celles de la chute, puis, de l’emprisonnement à 10 ans sans jugement de Yhombi constituent les plus frappantes.
Sassou ne manque d’ailleurs pas de mettre la main à la poche, plutôt, au Trésor public, en fait de compensation pour s’assurer le soutien du « Parent de Marien » qui le lui rend bien, quitte à mettre les fortes récriminations des Kouyou entre parenthèses.
Ce n’est pas tout, après l’intermède Yhombi, Sassou a monopolisé le Pouvoir Nord pour le transformer en oyocratie exclusive, jusqu’à considérer les Makoua, Mbochi de Boundji et autres prétendants Likouala et Bakouélé-Ndjem comme étrangers à la gestion au Sommet des leviers de commande du pays.
Plusieurs cadres de la Likouala, par exemple, en sont restés les uns pour leurs frais, les autres sur leur faim, qui ont vu disparaître tour à tour les meilleurs des leurs après avoir reniflé l’odeur du pouvoir.
Le pouvoir, en vérité a été échu au Nord du Congo en vertu d’un décret de la Providence et non par les suffrages du peuple congolais.
Et ce ne fut que justice et de bon aloi que Marien ait songé à le partager équitablement et alternativement, sans exclusive.
Toutefois, un décret même divin, contient sa date limite de validité, à la différence près que, prescrite par l’Insondable, nul ne la connait.
Cette situation ne manquera pas de répercussions surtout lorsque Sassou-Nguesso aura disparu de la scène politique.
En attendant, on a vu le général Jean Marie Michel Mokoko, un Makoua bon teint, quoique né à Mossaka, se présenter contre toute attente aux élections présidentielles du 20 mars 2016. Il l’a fait certes en Fils du Congo, répondant à l’appel de la démocratie, mais aussi, en n’ignorant pas que le pouvoir du Nord monopolisé par Sassou-Nguesso, Mbochi minoritaire d’Oyo, aurait dû faire l’objet d’une rotation consensuelle intra-regionale.
Mokoko était parti pour gagner, même sans appareil politique, mais, avec l’onction populaire, dépassant toutes sortes de clivages. Ce qui a bouleversé littéralement le tenant actuel du Pouvoir Nord, tribalo-régionaliste à l’excès, qui pendant longtemps, faisait valoir à qui voulait l’entendre qu’il n’y aurait pas d’autre coq dans la basse- cour. Alors que moi, je prêchais le contraire, urbi et orbi.
En effet, il était prévisible que Sassou ferait tout pour empêcher une victoire du Général Mokoko qui risquerait de le jeter définitivement dans la poubelle de l’histoire plus tristement que ne l’eût fait un civil ressortissant du Sud du Pays.
C e ne fut donc pas de ma part faire œuvre de prophétie que de suggérer au peuple congolais de porter ses suffrages sur un candidat gagnant du Nord du Pays pour les élections présidentielles du 20 mars 2016 (voir ces Diables qui prennent la tête à Denis Sassou-Nguesso, page 12 paragraphe 11 du 9 mars 2016 sur le Site zenga mambu).
… C’est dans la prétendue division Nord-Sud que Sassou-Nguesso, le plus grand commun diviseur du pays, tire la substance vivifiante de son régime satanique, et ce, depuis l’assassinat de Marien.
Voilà pourquoi l’élection inéluctable de Jean Marie Mokoko a été étouffée dans l’œuf, qui risquerait d’enlever toute justification à l’existence du « pouvoir au bout du fusil » et du PCT refuge d’assassins, de voleurs et d’incompétents, à l’accaparement des postes de responsabilité ministériels, administratifs et militaires. Bref, à une politique tribalo-régionaliste initiée pour empêcher le Sud, et singulièrement les « têtus » Laris-Bacongo de revenir au pouvoir. »
Oyessi, peux-tu trouver l’erreur dans le secours qu’apporte ce Gouvernements des mbochi aux leurs au moment où le Pool est dans le dénuement le plus total?
Sachant d’avance que tu botteras en touche comme d’habitude, l’erreur est que les Kongo n’existent dans l’imaginaire des mbochi. Aussi, Ils peuvent les toucher et les laisser mourir dans les forêts quand au même moment ils distribuent l’argent des Kongo aux leurs, vomme ici à Mpouya.
Alors, gardez vos leçons de morale. On vit ce déni de droit depuis le 31 juillet 1968, date à laquelle ils instituèrent l’apartheid anti Kongo en mode de régulation des rapports socio-politiques et économiques au congo.
Sais-tu le coût socio-économique de cet Apartheid anti-Kongo? Quand tout dans un pays est accaparé par un groupe d’individus, ce jeu à somme nulle se fait au détriment des groupes exclus qui ne profitent pas des richesses du pays.
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Congo : le gouvernement apporte une assistance aux sinistrés à Mpouya
Brazzaville, le 21 avril 2016 (CONGOSITE) – Les populations du district de Mpouya, dans le département des Plateaux, dont les habitations ont été endommagées en mars dernier par un orage, ont réceptionné le 20 avril un don du gouvernement, composé de matériaux de construction et divers objets.
Cette assistance a été remise par le truchement du ministère en charge des affaires sociales, de la solidarité et de l’action humanitaire. C’est la directrice générale de l’action humanitaire, Alice Tsoumou Gavouka Mpili qui s’est rendue à Mpouya pour accomplir ce geste louable en présence des autorités locales, des sages, des chefs de quartiers.
Ce don du gouvernement est constitué des tôles, des pointes, des matelas, des sceaux, des brouettes, des jerricanes, des étanchéités, des fers de 6 et autres matériaux de construction. Il devrait permettre aux bénéficiaires de pouvoir reconstruire leurs habitations détruites par le violant orage du mois passé.
«L’action humanitaire consiste à apporter aide, assistance et secours à toutes les personnes touchées par une catastrophe quelle que soit son origine», a indiqué Mme Tsoumou Gavouka Mpili remettant un échantillon du don au sous-préfet de Mpouya, Gilbert Abali.
Pour elle, cette assistance permettra «d’accompagner les populations, de les aider à réparer, d’appuyer leurs efforts en rapport avec les secteurs les plus touchés par la catastrophe».
Situé au bord du fleuve Congo, la ville de Mpouya est considérée comme une zone à risque par le département en charge des questions humanitaires. La catastrophe de mars dernier avait causé aucune perte en vies humaines mais seulement d’importants dégâts matériels.
«Nous étions surpris ce jour là. L’orage n’a duré qu’environ 30mn, semant la la détresse à Mpouya avec de nombreux ménages sans abri. L’assistance du gouvernement nous servira à reconstruire nos maisons», a confié Dominique Oualedzon, l’un des bénéficiaires du don des pouvoirs publics
Christian Brice Elion
Oyessi, dans quel monde vivez-vous ecrivant ceci:
« Nous qui comprenons un peu ces notions de nation, de république, de tribu etc etc n’essayons pas de trop mettre la pédale dans le sens du repli sur soi même mais plutôt sur celui du rassemblement pour construire justement cette nation qui est l’avenir de nos enfants et petits enfants puisque nous ne verrons surement pas cette nation là telle que nous la voulons aujourd’hui. »
Pourquoi tes leçons de morale marcheraient après la chute de sassou, alors que les autres nordistes attendent leur tour conformément au pacte de juillet 1968? Notons que Ce pacte dispose que les nordistes exerceront le pouvoir de façon alternative et durable.
Oyessi, soit tu profites du système mis en place par les nordistes qui pactisèrent en juillet 1968, soit tu es politiquement immature.
À tous les sudistes,
Scanner cette vérité que vient de nous livrer le Patriarche Souchoulaty Poaty. Conservons comme un Trésor cette révélation que chaque enfant du nord sait dès le berceau. Transmettons cette vérité à nos enfants de génération en génération afin qu’ils ne tombent pas bêtement dans ce piège appelé :Unité nationale.
L’unité nationale n’a jamais existé. La vérité que vient de nous révéler le Patriarche Poaty montre bien que les nordistes ont pris le pouvoir non pas pour le bien de tous, mais bien CONTRE LES SUDISTES KONGO ET TÉKÉ.
Aussi, rien ne peut étonner quand les nordistes commettent un génocide au Pool SANS QU’IL Y AIT ATTEINTE À LEUR POUVOIR. Ils tuent le Kongo parce que c’est leur programme Politique.
Merci Patriarche Poaty. On dit que chez nous quand un vieillard meurt, c’est toute une bibliotheque qui se consume. Vous avez fait votre part en nous livrant une information capitale qui explique pourquoi nous les Kongo TÉKÉ sommes étrangers dans notre propre pays.
Aux Kongo et TÉKÉ, Allez-vous enfin faire l’unité ou continuer dans vos divisions? L’unité des autres a fait qu’en septembre et octobre 2015 ainsi qu’en 2016, ils (les nordistes) n’ont pas bougé quand nous étions déhors pour exiger le départ de sassou. Ils n’ont pas bougé au nom du pacte qui les lie depuis juillet 1968, et ce contre les Kongo et TÉKÉ.
La vérité du Patriarche Poaty est à scanner et sauvarger dans un coffre-fort. C’est un trésor pour la sauvegarde de notre race. Longtemps, nous avions crû à l’unité nationale. Les nordistes ce sont bien moqués de nous. Maintenant que nous avons une information de premiere source, c’est à nous de nous faire respecter et faire Valoir nos droits.