Nous, les Congolaises et les Congolais, dans notre pays et dans la diaspora, nous vivons une tragédie.
Face à cette tragédie, nous n’avons qu’un choix : le devoir d’agir pour que soit respecté le droit de notre peuple souverain d’avoir un nouveau Président de la République en 2016 ou tout au moins un nouveau chef de l’Etat dans le cadre d’un régime de transition. Car – faut-il le rappeler ?- même après avoir abrogé la Constitution de 2002 qui l’obligeait à quitter le pouvoir au terme de son deuxième et dernier mandat, le Général Denis Sassou Nguesso n’a pas gagné l’élection présidentielle dont il a pourtant fait organiser le premier tour le 20 mars 2016 dans des conditions inacceptables comme l’avait expliqué le porte-parole de l’Union Européenne (UE) à travers une déclaration datée du 19 février 2016. En effet, non, le Général Sassou Nguesso est loin d’avoir gagné cette élection, comme en attestent, entre autres, la déclaration de la Coordination des plateformes FROCAD-IDC signée et publiée par Monsieur Charles Zacharie Bowao le lundi 11 avril 2016 et surtout les propos lâchés sur la chaine publique de la télévision congolaise par le secrétaire général du PCT, Monsieur Ngolo, reconnaissant la défaite de Monsieur Sassou à Pointe-Noire , ainsi que dans les régions du Niari, de la Bouenza de la Lékoumou , du Pool et dans les grands quartiers de Brazzaville ( autrement dit près de 3/4 du corps électoral ). Le profond et vibrant appel lancé le 11 avril par l’unique femme candidate à cette élection, Madame Claudine Munari, va dans le même sens …Quoi qu’il en soit.
Madame et Messieurs les signataires de la Charte de la Victoire (29 février 2016), chers compatriotes, il y a un conflit post-électoral au Congo aujourd’hui, si l’on suit la logique que vous avez acceptée en étant candidat jusqu’au bout malgré le désaccord de l’UE et malgré les signaux de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) dont l’ancien Président du régime de transition du Burkina Faso, Michel Kafando était l’émissaire juste avant le scrutin. Certes, vous êtes allés jusqu’au bout puisque le peuple est venu massivement vous écouter lors de votre campagne électorale, malgré des conditions dont la déclaration de Madame Munari, le 11 avril 2016, dit le caractère tout à fait singulier sur la planète Terre : « Notre pays est le seul au monde où les chars, les hélicoptères, les colonnes de militaires, les bombes lacrymogènes et la coupure des télécommunications, font partie du système électoral. Même les pires dictatures du vingtième siècle n’avaient pas de telles pratiques ».
Si vous n’aviez pas été jusqu’au bout du scrutin du premier tour, le pouvoir du Général Sassou Nguesso aurait-il organisé la macabre opération de répression dans les quartiers sud de Brazzaville le jour de la fameuse proclamation des résultats par la Cour Constitutionnelle le 4 avril 2016 ?
Si vous n’aviez pas pris l’engagement d’avoir une Commission Technique Electorale et de publier des résultats que l’OIF, par exemple, s’était dite prête à prendre en compte, le pouvoir du Général Sassou Nguesso aurait-il mené, comme il le fait jusqu’à ce jour, son offensive militaire contre les populations civiles de la région du Pool où les dégâts matériels et le nombre de morts ne se comptent plus et où tout donne à penser qu’un génocide se précise ?
Etre leader politique aujourd’hui, au Congo, pour chacun de vous cinq, c’est aussi tirer les conséquences des responsabilités que vous avez prises devant l’Histoire, maintenant que l’Histoire devient une tragédie aux yeux du monde entier et que l’on parle, ici et là, de « conflit post-électoral ».
En réalité, le Congo vit la même tragédie depuis le 25 octobre 2015, date du référendum illégal imposé par le dictateur Denis Sassou Nguesso. Qui peut oublier aujourd’hui les images des jeunes martyrs de cette lutte héroïque du peuple tout entier contre le projet monarchiste du Général Sassou Nguesso ? Quel leader politique parmi vous pourrait dire que le Président de la République d’alors avait ainsi comme un droit de vie et de mort sur les citoyens ? Qui, parmi les citoyennes et les citoyens, justement, n’avait pas alors salué votre courage lorsque tous à l’unisson, vous disiez : « Sassou n’est plus le Président de la République du Congo » ?
Chers compatriotes, vous cinq qui avez vécu cette épreuve politique difficile qui a consisté à construire l’unité nationale en s’opposant, par la voie des urnes, au projet de « Président à vie » d’un homme ayant pris le pouvoir par les armes en 1997, vous avez été courageux. Mais voici que maintenant, certains parmi vous montrent des faiblesses impensables.
Vous avez pu faire croire au peuple qu’un Congo meilleur était possible, mais voici que maintenant certains, parmi vous, expliquent qu’ils cherchent des strapontins pour être présents aux « Fête na fête ! ».
Notre pays a connu des grands hommes politiques. Au premier rang de tous, il y a eu André Matsoua, Jean-Félix Tchicaya et Jacques Opangault. Mais, oublierait-on si facilement que le combat anticolonialiste de ces trois leaders historiques ne les avait jamais amenés à composer avec les dominants pour satisfaire leurs intérêts égoïstes ? Sans doute, ces pères-fondateurs du Congo pensaient ce que Nelson Mandela exprimera plus tard : « L’argent ne créera pas le succès, c’est la liberté d’en gagner qui le fera ».
Ce qui ressemble fort bien à un génocide se poursuit dans le département du Pool à l’heure où nous signons cette lettre. La tragédie commencée le 25 octobre 2015 se poursuit à une plus grande échelle, faisant couler « le sang des autres ». Mais, oublierait-on que, pour l’avenir, Denis Sassou Nguesso a imposé sa Constitution de 2015 dont l’article 96 grave dans le marbre l’impunité ?
Cet article qui dit, en effet : « Aucune poursuite pour des faits qualifiés crime ou délit ou pour manquement grave à ses devoirs commis à l’occasion de l’exercice de sa fonction ne peut plus être exercée contre le Président de la République après la cessation de ses fonctions. La violation des dispositions ci-dessus constitue le crime de forfaiture ou de haute trahison conformément à la loi ».
Chers Cinq signataires de la Charte de la Victoire (29 février 2016),
Le monde entier regarde le Congo. Et, au premier plan, les autres Africains nous interpellent. Certes, Monsieur Sassou Nguesso dispose de cette Constitution de 2015 qui , en son article 10, interdit l’extradition de tout Congolais vers un pays tiers – entendez, vers la Cour Pénale Internationale. Certes, Monsieur Sassou, très pressé, aura prêté serment devant « sa » nouvelle Constitution qui, dans les références fondatrices, ne cite pas la Charte Africaine de la Démocratie, des Elections et de la gouvernance – un texte initié pourtant par notre pays à l’époque où le même Sassou Nguesso était Président en exercice de l’Union Africaine, en 2007. Mais, la communauté internationale de défenseurs de la démocratie se tient du côté du peuple congolais. Et si, parmi vous, certains persistent et signent pour tourner le dos au peuple souverain, une chose est certaine : l’Histoire, juge des temps, les enterrera.
Nous qui avons signé cette lettre ouverte, sans naïveté, nous agissons dans la diaspora en prenant nos responsabilités, partout, pour que les jeunes et les générations futures héritent de la dignité qui fait notre culture du ki muntu. Nous agissons pour un Congo meilleur et démocratique dont on parlera lorsque l’Histoire du Congo s’écrira demain et traitera de la présente tragédie de 2015, de 2016 …Une tragédie, du fait du terrorisme d’Etat dont les symptômes actuels sont au moins : les bombardements en cours et les massacres dans la région du Pool ; les détentions arbitraires des leaders politiques pro-démocratie (M. Boukadia, P. Makaya, A. Limbongo Ngoka, J. Ngouabi et plusieurs autres) ; les arbitraires assignations à résidence de J.M.M. Mokoko, C. Munari, A. Okombi Salissa ; les enlèvements et disparitions des citoyens pro-démocratie sur tout le territoire (Ndimbani, Mbonzi et bien d’autres). Quoi qu’il en soit, dans le sens de l’Histoire, votre devoir est d’ores et déjà défini : il faut d’abord que vous appliquiez, vous-mêmes, l’appel à la désobéissance civile que vos militants ainsi que la société civile et la multitude, au sein du Peuple libérateur, ont déjà commencé à mettre en œuvre…jusqu’au départ du tyran Sassou Nguesso.
Contact : E-mail : [email protected] Paris, le 15 avril 2016.
Initiateurs :
Sathoud Jean Edouard | Ancien gouverneur de la Banque des Etats d’Afrique Centrale |
COLELAT Mary Albert | Juriste universitaire à la retraite |
NDOBA Noël Magloire | Economiste universitaire, coordinateur du projet PURADDEP |
MAWAWA Mâwa-Kiese | Physicien universitaire, ancien parlementaire |
MAHOUELE Didier | Informaticien |
KIBANGOU Maurice (Djess) | Economiste |
Premiers signataires
Toungamani Benjamin Biologiste –Enseignant
Kivouvou Donatien Architecte
Koumba Malalou Gertrude Biologiste Universitaire
Sadio Morel Kanté Journaliste
Abigna Marcel | Administrateur d’entreprise |
Moukala Ferdinand Justice | Juriste |
Missenguet François | Ingénieur forestier |
Makanga Pierre
Maille Célestine |
Entrepreneur
Journaliste |
Sathoud Albert | Ancien membre du Conseil Economique et Social |
Bouanga Jeanne | Administratrice |
Dzaba John Binith
Kotto Dominique |
Entrepreneur |
Jean-Pierre Moulangou Médecin
Bathem Evariste Avocat
La communication n’a pas été le point fort de l’opposition et a été trop négligée. Aujourd’hui on le sait la communication est une arme bien souvent plus efficace que les armes.
Le peu de communications l’a été de façon désordonné et trop centré entre Congo/Congolais. Bien souvent nous nous sommes regardé le nombril (trop d’égos) pendant que sassou arrosait la planète avec ses outils de désinformation massives.
Encore heureusement que Charles Bowao ait réussit à rattrapé un peu le coup avec le peu de moyen qu’il a.
Parler en langue du pays c’est bien et il faut que cela continue d’exister pour préserver notre culture mais dans les moments difficiles ou le besoin se fait sentir d’alerter les opinions et qu’il faut que les vidéos intéressent et parlent aux plus gens possibles faire très attention d’utiliser un langage internationale Français ou Anglais.
Unissons-nous comme les cinq doigts de la main et nous réussirons à combattre la barbarie poltique et clanique de SASSOU pous sesa ctions sanguinaires. Ainsi va lemonde !!
Il Faut Résister face à la Barbarie que Nous mène Tous avec son Hold Up de l’Election Présidentielle du 20 Mars 2016 dernier. Voilà bientôt le Secrétaire Général du PCT qui Devra aussi Rendre Compte de son Gros Lapsus. Il faut tenir car le Président Sassou N’guesso n’a pas Gagné cette Election car il avait perdu à Brazzaville et Pointe-Noire. Avec les Résultats Réels de Grandes Villes du Congo, le Scrutin national ne pouvait pas Être Favorable au Président Sortant. Voilà pourquoi Parfait KOLELAS et le GÉNÉRAL MOKOKO Sont ceux qui devraient normalement Être Promus d’Aller au Deuxième Tour. Voilà ce que Nous sommes entrain de Vivre dans un Pays mené de mains de Fer Denis Sassou N’guesso qui a Volé le Vote des Congolais le 20 Mars 2016 dernier. Nous vous Encourageons Guy MILEX Mbonzi avec le Doyen Jacques BANANGANDZALA à Résister à cette Episode de Supplice à la DST ! ViVe le CONGO LIBRE , DÉMOCRATIQUE , et RÉUNIFIÉ ! La LUTTE Continue, COURAGE le Congo est avec VOUS !
Nous N’oublions pas tous ceux qui souffrent en Prison ou Kidnappés par Sassou et ses Sbires et Nous ne les oublions pas, Courage et la Lutte Continue contre la BARBARIE des Non Démocrates du Congo-Brazzaville.
Chers compatriotes,
Je l’avais déjà dit : pour mieux sauter, il faut savoir reculer. Nous avons sous-estimé Sassou et nous avons été naïfs à croire que l’opinion internationale pouvait peser sur lui en l’orientant vers une politique responsable vis-à-vis de son peuple. Nous avons malheureusement cru à l’influence salvatrice qu’aurait apportée la communauté internationale en s’ingérant dans drame politique congolais. Mais hélas …
Le peuple congolais le paye aujourd’hui.
Nous n’avons plus qu’un seul impératif, c’est celui de libérer le Congo.
J’ai plusieurs solutions pour faire partir Sassou. Je n’étalerai aucune d’elles ici en public. Le seul message que nous devons adresser à Sassou sans fausse diplomatie, c’est de lui dire en face que toutes les ruses, dont il s’est servies jusqu’à présent seront prises en compte comme une option légitime de combat politique, dont l’opposition ne doit plus écarter pour la libération du pays de cette hémogénie terroriste de Sassou.
Malgrès son investiture de ce Samedi 16 avril 2016, nous devrions maintenir une dragée bien haute dans son œsophage jusqu’à son départ.
Il est congolais comme nous, il a utilisé les ressources de notre commun PAYS pour créer son cosmos politique on achetant les consciences nationales et le silence international. Nous devons aussi lui faire comprendre, qu’un autre congolais peut aussi le faire. Il n’est interdit nulle part …
Vive le Congo
Une chose à ajouter est que les violences dans pool, quoi qu’engendrons des deplaces, elles (violences du pool) ne constituent pas les seuls a repertorier sur le territoire national.
La methode chance, mais les morts se comptent partout. A Pointe Noire. Oui. Ici, Sassou a planifié la mort apres enlevement comme le signalait il y a qlq semains Mme Marie Louise. On enleve meme de jour. On assassine a la machette dans les fonds de mbota.
La liberation du Congo doit a present devenir un instint de survie.
Nous avons assez théorisé sur la libération , qui n’est que fantasme inatteignable si les actions d’envergure militaire ne sont pas actées par ceux , dont c’est le métier .
Une libération suppose un engagement total pour l’heure ,nous nous payons le mot , et SASSOU tendancieusement s’arc broute au pouvoir .
La rivière est trop timide , pour espérer déranger le sommeil de ce drôle de congolais , qui n’a de congolais de nom .
NTUMI seul pourra t il , en venir à bout ?.
On veut bien comprendre , ceux qui ,dans l’ombre, peaufinent les stratégies d’organisation d’une rébellion congolaise , mais nous avons aussi le sentiment que , tout le monde se regarde pour voir lequel de nous va dégainer le premier .
La libération du CONGO requiert des sacrifices tant humains que matériels , et que ceux qui sont en capacité de répondre à SASSOU , par les armes , commencent à montrer leurs bouts de nez et officialisent leur soutien militaire à NTUMI .
Le pouvoir au CONGO , s’arrache au moyen des armes , nous ne sommes pas en démocratie , et la porte du palais est ouverte à toutes les éventualités .
SE PAYER LES MOTS , c’est se risquer à se cantonner au rôle des spectateurs indulgents .
mais jusqu’a quand allez vous comprendre que le probleme du congo ses la France OIF est commander par la France apart le benin et un peut le senegale et le Burkina le retse il y a pas de la democratie dans la zone Francophone la France ne veulent pas ce reformer ni reformer ses ex colonie car le monde oublie vite tres vite sassou nguesso avais bien comfirmer cela dans TV5MONDE que il ete’ au pouvoir pour defendre les interets Francais au congo alors comment voulez vous que la France ne soutienne plus sassou nguesso qui garenrtie les interet de la France au congo une grande partie de l’economie de France vient du congo sassou APESA ATALATE NA FRANCE le probleme des congolais il ne veulent pas la mort pour libere’ leur pays mais pourt au temps le regime de ssasou nous tue dans toute les forms la seul solution du congo etais le soulevement populaire que promais MOKOKO ou greve generale illimite qui devrai etre jusqu’a la chute du regime mais la encore les congoilais on echouee’ sassou nguesso est pour lontemps encore au pouvoir jusqu’a la prise du pouvoir par KIKI le petrolier car la France va itulliser les memes systeme les violence et la guerre la corruption pour faire plus de peur au congolais KIKI est on preparation par TOTAL & ENIS et avec la beneniction de la politique de la France et la compliciter de quelque congolais ne oublions pas que aujourd’hui beaucoup d’argens voler du petrole congolais par KIKI lui sert de corrompe les congolais le plus faible aujourd’hui une partie des asociations des jeunes et femmes sont sur sont controle la politique de la France ne va pas change’ car la France aujourd’hui est pauvre et la France ne travail pas assez donc ne compter sur tout de la France le salut peuvent venir de Kinshasa si kabila tombe est que Kinshasa reviens au americain et belge flament alors paris pourais trembler de revoir sa politique si non la France a une politique des barbares voir des NAZISME en AFRIQUE Francophonne la guerre de BRAZZA de 1997 selon PARIS avais fait 3000 mort et ce de COTE D’IVOIRE aussi 3000 mort maintennent sur les plan electorale il dit que l’opposition n’est pas unie nous avons vue la vrai Face politique de la France pour le congo noublion pas que la chute de lissouba c’est chirac et jospain qui ete’ au pouvir donc partie de droite et gauche merci
Article: Possible premier gouvernement de l’émirat-république au Congo-Brazzaville
http://www.mirastnews.com/2016/04/possible-nouveau-gouvernement-premier-gouvernement-de-l-emirat-republique-de-denis-sassou-n-guesso.html
chers compatriotes Congolais,
Avant toute choses, sachions d’abord que nous avons gagnés.Et que notre victoire est momentanément confisqué par un assassin de grand chemin qui a peur de répondre de ses crimes.Nul n’est besoins donc de nous perdre en conjonctures.Il n’y a point a se laisser égare sous prétexte que nos stratégies doivent être revus. Oui nos stratégies correspondantes à cette étape supérieure doivent allées crescendo.Mais nullement les mettre en questions sous l’impulsion de certains infiltrés ou brebis galeuses du pct.
Il sied maintenant de composer et mettre en place une structure unitaire politique et une tranche armée pour continuer la lutte.Le reste va sans dire.
Continuons notre lutte, les braves gens !!!!!!!!!!!
La machine est en marche, bientôt nous créerons tous ensemble ce parlement libre congolais représentatif de toutes les composantes de la nation congolaise, il convoquera les états généraux de la nation en toute légitimité, et fera entendre officiellement la voix muselée de la nation congolaise. Denis SASSOU NGUESSO sera bien obligé alors d’abdiquer avant d’avoir fini l’épuration ethnique du Congo Brazzaville. Le peuple souverain pourra alors être remis au centre des préoccupations des futurs institutions du Congo Brazzaville!
VOUS AVEZ RAISON DE LEUR ADRESSER DES LETTRES OUVERTES.
PAS SEULEMENT AUX 5 CANDIDATS ,MAIS A TOUS LES ACTEURS EN MARCHE POUR LE CHANGEMENT.
ACTEURS DES 1er, 2éME ET DERNIER RANG.
EN EFFET:
DIEU EST REELLEMENT ARRIVE EN TERRITOIRE DU CONGO BRAZZAVILLE
TOUTES LES FOIS,
CHAQUE FOIS…
CE FUT AUX 20ème JOURS DU 3ème et 10ème MOIS de 2015 et 2016.
TOUT LE MONDE LE SAIT… OPPOSITION ET GOUVERNANTS.
DE PART ET D’AUTRE, LES CARTONS ETAIENT APPRETES.
LA DEUXIEME FOIS ENCORE, IL A ATTENDU EN VAIN LES PRECHEURS AINSI QUE LEURS CHORALES..
Pour les saints comme Thomas, l’atmosphère de ces journées, est éloquente car elle fut très particulière..
LA PREMIERE FOIS,. ON LE SAIT.. DZON MATHIAS, AURAIT DU CONDUIRE SES TROUPES JUSQU’AU POUVOIR
LA DEUXIEME FOIS, DIEU… SUR LE MONT, N’A VU QUE.. MOKOKO SUIVI, PAR SA VIEILLE MERE.
Certes le tempérament congolais n’est pas celui des Africains du Nord du Continent. Ainsi si nous ne pouvons agir militairement parce que nous n’en avons pas les moyens, rien ne nous empêche de recruter un groupe de mercenaires. Comment les payer ? Eh bien toute la diaspora peut se cotiser, n’est-ce pas. Il conviendra de s’attaquer aux intérêts français au Congo.
Tres bonne idee Obami.Pour moi ,vous etes le plus intelligent de teous les intervenants.
Et Parfait Kolelas va vivre de quoi pendant ce temps? Il sera concurrencé par les autres membres de sa famille qui continuent de boukouter chez Tata Sassou. Il a prouvé lors des élections au:il est le vrai héritier du peuple lari par leur père Kolelas Bernard (Tata bou la télé). Donc les maisons qui sont entrain d’être détruites au Pool et les nombreux innocents qui meurent, qui deviennent handicapés, qui sont traumatisés doivent permettre à Y’a PAKO, le docteur des docteurs, de gagner de l’argent et d’obtenir un meilleur posté, même si c’est pour son bonheur personnel et qu’il est n’est pas capable de faire un don en produits alimentaires aux victimes du pool. C’est quand même le fils du « vieux ». Ta Matsoua est au courant. C’est réglé. Ses soutiens vont le comprendre et la vipère sera très facile à avaler au risque des ripistes injurieuses par ses soutiens en France et des menaces physiques et verbales sur les populations au pays par ses soutiens indéfectibles. Arrêtez de rêver! La famille Kolelas a longtemps été privé; leur père à fait la prison plusieurs en tentant de devenir président par la violence et le mensonge afin de délivrer le Congo.
La solution est peut-être de disséquer le pays. C’est à dire que même dans le sud Congo, il faut isoler Kolelas et ses partisans dans un sous État indépendant.
Pour nous autres du pool, nous continuerons à lutter contre la dictature et contre la folie de Sassou Nguesso et nous vaincrons. Nous n’avons pas une idée obligatoire de qui sera le président du Congo car en démocratie, nous votons pour la personne idéale en fonction de ses qualités, ses compétences, son expérience, ses œuvres, son projet et son apport dans le développement du pays. Et nous sommes toujours prêts à le changer s’il ne convient pas, et à le critiquer sévèrement s’il se comporte mal. On ne soutient pas aveuglément. Le Congo doit avancer. Debarrassons nous de certaines personnes comme Kolelas et ignorons les. La lutte continue.
Les gens de Parfait Kolelas viendront exiger mes coordonnées et ma photo pour peut être aller agresser ma famille à Bacongo où ils viendront m’insultent pour riposter mais je m’en fout de ça. Notre pays doit avancer. Ntsaka ntama za touka
Pourquoi parler des 5 quand on sait la trahison et la fourberie initiale de certains d’entre eux.
Important: 23 secondes, de la video 3 de zenga mambu relatif au discours de la pseudo investiture de Sassou 1ér et là vous avez le profil mental de cet homme presque fou, presque perdu
SASSOU: « ….Je vous propose un autre PACTE.
A compter d’aujourd’hui, nous devons conforter en nous, dans notre société, en chaque congolaise, en chaque congolais, un nouvel état d’esprit.
A compter de ce jour, de la base au sommet de l’état, du citoyen au responsable politique ou administratif, du fonctionnaire au ministre, adoptons une seule manière d’être et d’agir, une seule manière de servir l’état, la république et la nation.
A compter d’aujourd’hui, créons la rupture avec les MENTALITES DEVIANTES ET LES COMPORTEMENTS PERVERS DU PASSE. Je cite: la paresse, le laxisme, l’irresponsabilité, l’inconscience, la corruption ( la salle cri et Sassou 1er dit: ce n’est pas fini ), la fraude, la concussion, l’ethnocentrisme ou l’instint grégaire, le népotisme et la tendance à la gabégie.
A compter d’aujourd’hui, renouons tous avec l’esprit du travail « .
Qui peut dire que Pascal MALANDA dans son odyssée vers les racines de la tendance au mal de l’homme mbochi en général, avait tort de mettre le doigt là où la ruine du Congo en vient à faire honte à l’ensemble? Pourquoi fermer les yeux sur la traitrisme de l’homme lari ou sur la fourberie de l’homme kuni, par exemple ?
L’état congolais devenu l’état mbochi, Mr Sassou rattrapé par un instant éclair d’honnetété sait que lui et les siens sont à la base de la ruine du Congo. Sassou qui se mord la queue troubera surement, comme toujours et grâce à nous, l’antidote de son propre venin.
Le futur nous le dira. Mais très souvent 9jours pour le voleur, le 10ème pour le propriétaire.
AGIR POUR LE CONGO.
Il faut exiger desormais la départ sans conditions du président illégitime;
dictateur, genocidaire, terroriste Sassou Nguesso et sa clique pour génocides, crimes contre l’humanité.
Les bombardements pendant de 2 semaines dans le Pool ont fait des centaines de morts. sans oublier les dégat matériels,Pour l’ONG, » il s’agit là d’une utilisation illégale de la force par les forces de sécurité et d’une violation flagrante des obligations des droits de l’homme. « On dénote vraiment un usage excessif de la force de la part des forces de sécurité et qui représente une violation des engagements pris par le Congo-Brazzaville au niveau international. » Le Canada déplore l’investiture du dictateur Denis Sassou Nguesso au Congo. Un jeune garçon à l’âge de 23 ans s’est suicidé ce matin au quartier Nkombo comme reaction contre l’investiture de Sassou; le malade mental. Sassou Nguesso un président illégitime . Sassou Nguesso un criminel, dictateur, génocidére, terroriste que chaque democrate doit à tout prix combattre. Sassou Nguesso un président illégitime.Il est un terroriste psychopathe. Traquez désormais artout dans monde entier Sassou Nguesso, ses ministres, collaborateurs, members de famille et ceux de son clan. Soussou Nguesso est auteur de génocides du Pool- Bouénza 1997-2007, Avril 2016. Il est responsable des disparus du beach, des guerres civiles que tu as toujours provoquees, opérations mouebara, des assassinats des présidents Ngouabi, Massamba Débat, du cardinal Emile Biayenda, du massacres des nombreux innocents,des enlevements, emprisonnements, empoisonnements, de la peur, des morts dues par le manque de soin, des conditions déplorable d’hygiène. Sans oublier le tribalisme, les biens mal acquis, la dégradation des mœurs et de l’éthique des acteurs politiques et de la société congolaise. Peuple Congolais! La lutte continue et mérite une intensité sans précedent. Que Sassou et son système disparaissent sans retard pour que le Congo retrouve la paix, le développement. Cefs d’opposition, acteurs politiques, intellectuels, il faut laisser l’affaire d’élections. Il faut exiger desormais la départ sans conditions du dictateur, genocidaire, terroriste Sassou Nguesso et sa clique pour génocides, crimes contre l’humanité. Youlou était parti du pouvoir pour une simple histoire du petit vol de ses ministres. Il faut parler haut et fort des bombardements, du génocide dans le Pool, des exécutions sommaires, répressions, arrestations arbitraires, des populations envoyés de nouveau dans les forêts dont Sassou Nguesso, Ndengué n’ont jamais cessé de parler , des cadavres jetés dans le Djoués ou enterrés dans les fausses communes. » Il est difficile de comprendre slence du gouvernement français. Il est inconcevable que la France, qui prétend faire la guerre contre le terrorisme et continue à prêter main-forte militairement à une forme de terrorisme d’Etat qui est pratiquée par le gouvernement congolais. » Et que les médias de cette France continuent de le présenter le génocidaire, le terroriste,l’hitler de l’Afrique Sassou Nguesso comme le vainqueur de l’élection présidentielle alors qu’en vérité, ce dernier a été éliminé dès le premier tour. Sassou Nguesso serait’il l’arbre qui cache la forêt? La forêt c’est la France? Les médias de la France en géneral, Hollande, son gouvernement sont’ils conscients qu’en gardant le silence, en restant dans l’inaction, en fesant le jeux de Sassou, qu’un sentiment anti-français est capable de se développe au Congo, en Afrique pour avoir accordé le blanc-seing à sassou Nguesso pour massacrer le peuple. Il est entre autre, difficile de concevoir l’attitude de la communauté internationale qui parle des droits de l’homme et reste sans riposte réelle contre les hélicoptères qui sèment la terreur et la mort au Congo, contre la terreur, le génocide, contre le massacre des populations sans défense,perpétués la parmilice de tshabicho , mercenaires, la garde républicaine de Sassou Nguesso, les miliciens de Ndenguet et de Mouagni. « L’attaque démarrée le 4 Avril 2016, en se servant d’un contexte de diversion de l’opinion nationale et internationale pour exécuter son acte de forfaiture présentée comme une pseudo insurrection des ex Ninja du Pasteur NTUMI ».http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/politique/3021-la-bouenza-attaquee-pour-avoir-secouru-les-sinistres-du-pool.html .Pendant que les populations du Pool meurent sous les bombardements des helicoptères du tyran,du fou de MPILA de ses gangs qui sème la terreur au Congo, »quadrillent, encerclent, enlèvent, arrêtent, assassinent et exécutent froidement les jeunes et les opposants,les grands pays démocrates se permettent de cautioner du bout des lèvres la réélection d’hitler de l’Afrique par la présence de leurs diplomates de prendre part à l’investiture de Sassou Nguesso qui n’a pas du tou gagné les élections. Sassou Nguesso n’est plus le président du Congo. QU’à cela ne tienne.Le peuple congolais doit prendre le destin en main et continuer son combat pour le départ du criminel, dictateur génocidaire et sa clique.
POURQUOI SASSOU NGUESSO DOIT-IL MAINTENANT FINIR DEVANT LA JUSTICE INTERNATIONALE?
VOICI CE QUE AMNESTY-INTERNATIONAL, FIDH, HUMAN RIGTHS WATCH, RPDH, OCDH, AVOCATS SANS FRONTIERES, SURVIE, TOURNONS LA PAGE, CDHD, ETC….. OBSERVENT SUR LE REGIME POLITIQUE DE BRAZZAVILLE.
1*/ PERIODE DE L’AVANT REFERENDUM DES BABOUINS…
Un référendum sur la réforme de la Constitution s’est déroulé le 25 octobre. Il a été boycotté par la coalition regroupant les principaux partis d’opposition et a entraîné d’importantes manifestations avec mort d’hommes. La réforme a toutefois été adoptée le 27 octobre et validée par la Cour constitutionnelle le 6 novembre, elle permettra au président en exercice de briguer un troisième mandat en 2016 après plus de 32 ans de règne totalitaire. Cependant, Les forces de sécurité ont eu recours à une force excessive ou injustifiée, y compris meurtrière, contre des manifestants qui s’opposaient au projet de réforme constitutionnelle. Certains ont été arbitrairement arrêtés et placés en détention, et la liberté d’expression a fait l’objet de restrictions. Le 22 octobre, les forces de sécurité ont encerclé le domicile du dirigeant de l’opposition Guy Brice Parfait Kolélas, à Brazzaville, le plaçant de fait en résidence surveillée pendant 12 jours avec 25 autres personnes. Cette opération a été menée sans autorisation judiciaire.
Paulin Makaya, président du parti politique Unis pour le Congo (UPC), qui s’était opposé ouvertement à la réforme constitutionnelle proposée, a été arrêté par des policiers le
23 novembre 2015 dans les bureaux du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Brazzaville. Il s’y était rendu, en compagnie de son avocat, pour porter plainte contre X suite au saccage de son domicile. Les expulsions d’étrangers ont repris, visant les ressortissants de pays d’Afrique de l’Ouest. Aucune enquête n’a été ouverte sur l’opération d’expulsions collectives Mbata ya Bakolo, menée en 2014, dans le cadre de laquelle plus de 179 000 personnes originaires de République démocratique du Congo (RDC) avaient été renvoyées de force dans leur pays. Le Comité contre la torture [ONU] a exprimé sa vive inquiétude face aux actes de torture et autres mauvais traitements subis par les détenus dans la plupart des établissements pénitentiaires. Les conditions de détention demeuraient particulièrement éprouvantes.
2*/ PERIODE DU SCRUTIN PRÉSIDENTIEL GAGNÉ PAR GUY BRICE PARFAIT KOLELAS ET JEAN MARIE MICHEL MOKOKO AU PREMIER TOUR.
Au Congo-Brazzaville, les premières missions humanitaires dans le Pool livrent leurs premiers résultats. Ce département au sud de Brazzaville est la cible des bombardements du gouvernement depuis deux semaines. Des raids menés en représailles de l’attaque de Brazzaville dans la nuit du 3 au 4 avril, attribuée aux « Ninjas » proches du pasteur Ntumi. Amnesty International a pu compiler les témoignages accablants de plusieurs habitants de la région.
Selon Amnesty International, les frappes aériennes gouvernementales qui durent depuis quinze jours dans la région du Pool ont touché des zones résidentielles, y compris des écoles, des installations médicales, des églises. « Les gens nous ont raconté ce qui s’est passé dans les villages de Soumouna, Mayama, Nguela, Kimba, etc… qui ont été, d’après nos sources, les localités les plus bombardées. Les sites qui ont été bombardés étaient des zones résidentielles. Et, certains sites avaient bien sûr une résidence du Pasteur Ntumi, mais également des églises, des écoles et des maisons privées ont été affectées par les bombardements », explique Ilaria Allegrozzi, chercheuse chez Amnesty International.
Selon les témoignages qu’Amnesty a pu compiler, les populations des localités touchées ont fui soit en brousse soit vers Brazzaville ou d’autres villes. « Il y a eu énormément de déplacés. Les localités qui ont été affectées ont été complètement désertées. Les gens avec qui on a parlé qui venaient de ces localités, notamment Soumouna, Kimba, etc… nombreux sont partis dans la brousse ou dans les villages environnants pour pouvoir se réfugier. Des gens ont été hébergés dans des familles d’accueil, mais des centaines de personnes ont aussi dormi à la belle étoile », rapporte Ilaria Allegrozzi.
Les massacres dans la région du Pool au Congo-Brazzaville sont maintenant certains selon des témoignages accablants…
Bonne lecture et large diffusion.
Certains congolais, quelque soit leur rang social, ne sont plus sensible au langage de la ruse, du fétichisme qu’à des valeurs de respect de la dignité humaine au delà du cadre clanique.
Le « Ki Mmuntu » n’est peut-être pas une valeur dans laquelle tous les congolais pourraient se reconaitre.
Pour comprendre le fonctionnement de l’Oyocratie, l’étude détaillée de PONEL sur les mboshis reste un passage obligé, notamment, dans sa lettre du 30 juin 1885, écrite à Pombo(Bas Alima).
Autrement, on aurait du mal à comprendre que des fonctionnaires de Dieu, déguisés en évêques, ne soient pas capables de discernement, quand il s’agit de faire un choix entre le respect de la dignité humaine, et la barbarie incarnée par un homme, rentrant dans la description de PONEL comme un poisson dans l’eau.
http://www.la-croix.com/Monde/Afrique/Une-situation-tendue-au-Congo-Brazzaville-2016-04-18-1200754279
Que fait l’Église catholique ?
Elle est assez prudente. La hiérarchie semble paralysée par des contradictions internes.
« Les neuf évêques de la conférence épiscopale sont divisés », témoigne un acteur de l’Église congolaise,
« les deux originaires du nord, la région de Sassou Nguesso, penchent plutôt du côté présidentiel. Les trois évêques européens, deux Français et un Espagnol, ne se sentent pas autorisés à dénoncer les dérives actuelles au motif qu’ils ne sont pas Congolais. Enfin, les quatre évêques du sud ne veulent pas braquer leurs collègues du Nord. »
Donc, pour l’heure, la hiérarchie ne fait pas entendre sa voix. Mgr Louis Portella, évêque de Kinkala, chef-lieu du Pool, a pris la parole sur RFI, vendredi 15 avril, pour condamner les bombardements de plusieurs villages de son diocèse. « La Conférence épiscopale n’est pas du tout divisée. Loin de là ! Elle prend le temps du discernement », répond-il à La Croix. Interrogé sur la mission d’évaluation des dégâts dans le Pool lancée par son diocèse, il répond, prudent : « Elle vient de rentrer, nous préférons prendre le temps d’établir un rapport sérieux de ce qu’elle a pu noter. »
SASSOU en utilisant , l’argumentation paniquarde du genre ,LES BAKONGOS en veulent à notre pouvoir ,in abstracto , il semble protéger les mbochis du reste de le population , ce qui crée un effet domino sur la détestation à l’égard de tous ces compatriotes appartenant à cette tribu , qui fait figure d’épouvantail .
Le mensonge et le vol érigés comme valeurs cardinales , pour la gestion de l’organisation de la cité plongent notre pays dans les abîmes abyssaux de la mal gouvernance .
LE SYNDROME DILMA ROUSSELF plane au dessus de la tête de SASSOU , mais nous sommes dans un pays où les députés ignorants de leurs prérogatives , car la plupart cooptés par SASSOU se complaisent dans les situations de rente idylliques ,dont la durée dépend , du niveau d’abrutissement et de l’allégeance envers le caissier national .
Notre lutte contre SASSOU se veut intellectuelle autant qu’internationale ,d’où l’implication de la diaspora à remuer ciel et terre , pour terrasser cet hydre venu d’OYOBEEK;
lire;;;; la population
En prétextant protéger son électorat de la cuvette, il les condamne.
Car il n’est pas éternel.
L’investiture du diable ne signifie rien absolument rien car dans l’histoire d’Afrique il y a n’a eu des cas mais le peuple a fini par déloger le diable.
La question ici « COMMENT PROCÉDER ? »
A nos compatriotes du nord de savoir que la misère ne frappe pas seulement le sud. L’union fait la force, le départ de sassou ne passera que par un soulèvement populaire ceci veut dire du nord au sud de l’est a l’ouest.
C’est que je ne comprends pas même quand on demande de rester a la maison nos compatriotes du nord trahissent pourquoi. Peut on dire que nous sommes incompatible de vivre en semble. La souffrance d’aujourd’hui frappe le Congo entier.
Si nos amis burkinabes ont recuisis c’est parce que le soulèvement a été dans tout le pays, mais chez nous toujours les quartiers nord de Brazzaville qui cause problème. Pays mort où désobéissance civile toujours la même chanson les quartiers nord n’est toujours pas dans la danse.
LE DÉPART DE SASSOU C’EST LE DROIT A LA VIE AU CONGO.
REMMENONS NOTRE PAYS COMME DANS L’ANCIEN TEMPS LA FIERTÉ D’ÊTRE CONGOLAIS NOUS SOMMES LES DERNIER DU MONDE DANS TOUS LES PLAN
LES SÉNÉGALAIS FONT MIEUX AVEC NOTRE PÉTROLE ( LE PÉTROLE CONGOLAIS)
Quel honte quant j’ai vu la vidéo de la sortie de sassou avec ses miliciens (mais c’est chef des terroristes). En plus dans la salle ceux qui applaudissaient n’ont même pas constaté que leurs invités étaient indifférents. L’imbécilité le ridicule la médiocrité le mensonge ne disent plus rien aux congolais.
@ Bulukutu,
Merci de faire cette différence capitale entre l’électorat de la cuvette et celui du nord. Au nord sassou n’a son éléctorat que dans la cuvette où il a fait passé des villages de 30 habitants à 300 comme si nous ne connaissons pas ces bourgs transformés bourgades aujourd’hui.
Oyo, qui naguerre campement des pêcheurs venus de Tchambitso et des ses environs est devenu par le fait du tiran le chef lieu de la cuvette. Il n’est pas impossible que d’ici là le tiran créera son Département, mais avec quels districts? Les Mbochis n’étant pas si nombreux qu’on le pense sinon sassou bricolerait sa république à lui. A vrai dire, on ne sait même pas comment situer les Mbochis dans la cuvette.
De Boundji jusqu’à la Ngoko, on trouve ce qu’on appelle « A Mbochis à Golo » d’origine Mbéré qui parlent à la fois Mbéré et Mbochis,mais pour les besoins de la cause se disent plutôt Mbochis. Vous aviez ensuite les tékés peuplant l’axe Boundji Ewo et Okoyo, Lékéty.
Ceux sur l’axe Oyo Tchikapika Mossaka parlent à la fois Likouba et Mbochis mais se disent tous Mbochis et enfin sur les plateaux,vous aviez un mélange Mbochis, téké, Ngangoulou. Allez donc chercher les vrais Mbochis qui n’ont pour dialecte que Mbochis dans ce méli mélo.
C’est sur ce conglomérat que surfe sassou et il est bien servi par beaucoup d’opportunistes qui sont prêts à tourner casaque pour devenir qui, Mbéré, qui téké, qui Likouba,qui Ngangoulou pourvu que que le pouvoir tourne de ce côté là.
Il faut que l’on sache que tout le nord congo ne se résume pas en la cuvette d’où est originaire la mère de sassou.