LETTRE À MONSIEUR FRANÇOIS SOUDAN, DIRECTEUR DE LA RÉDACTION DE JEUNE AFRIQUE

J’ai été interloqué, mais pas vraiment surpris des propos que vous tenez le 31 janvier 2022 dans votre magazine Jeune Afrique sur « Pourquoi la France va devoir quitter le Mali. »

Votre article ressemble plus à un requiem de la Françafrique pour laquelle vous êtes peut-être nostalgique, car il fut un temps où votre journal Jeune Afrique était le seul média craint par les Présidents africains pour leur image. Ainsi Jeune Afrique publiait des reportages de ripolinage pour certains Présidents africains ; Mais la couche de peinture est entrain de craqueler sous l’éveil de la conscience de la jeunesse africaine.

Votre complainte de la Françafrique est pathétique, car les temps changent et le peuple africain n’a plus rien n’a attendre de la France tant son bilan social, économique, de défense des droits de l’homme de ce dernier est si ténu en Afrique francophone après plus de 60 ans de soi-disant coopération bilatérale. L’AFD (Agence française de développement) distribue quelques miettes, de l’argent de poche aux dirigeants Africains francophones qui sont déjà très riches, et l’argent revient aussitôt en France par des circuits opaques pour participer au financement des partis politiques français lors des élections ; C’est la dime, la contribution qu’il faut payer en tant que Président africain si l’on veut rester le plus longtemps au pouvoir. C’est une mafia au détriment des peuples africains. Le plus docile dans cet exercice est le Général de corps d’armée Denis Sassou Nguesso. On ne prête qu’aux riches.

Au Congo-Brazzaville l’apport de la France est invisible en dehors du siphonnage du pétrole congolais dans une indifférence cynique et avec la complicité des dirigeants congolais. Le Centre culturel français à Brazzaville est indigne comme bibliothèque, un lieu culturel pour un pays comme la France. Quant à celui de Pointe-Noire, nous n’avons que nos yeux pour pleurer car le Centre culturel français est un taudis. C’est du mépris vis-à-vis des Congolaises et des Congolais. Mais le pétrole congolais bien que noir est bon à prendre quoi qu’il en coûte pour les populations locales en matière de pollution, de maladie et d’absence d’infrastructures. En plus, il n’y a aucune œuvre d’envergure des Français au Congo-Brazzaville sinon que le jeu de manipulation des marionnettes. C’est cynique et les Français sont des véritables clowns qui arnaquent les dirigeants africains par des tours de passe-passe.

« Devenir journaliste, c’est collecter les informations pour pouvoir les communiquer au public. Le journaliste a pour mission principale d’informer le public sur un sujet précis. Il recueille des informations, les vérifie et les rend claires et accessibles au public. » Un journaliste n’est pas un gourou.

Le devoir d’un journaliste c’est d’informer les lecteurs sans partie pris et non de donner ses opinions comme des propagandistes. C’est du journalisme militant qu’il faut assumer monsieur François Soudan qui consiste à nous faire croire que sans la France, les pays africains francophones ne sont rien. C’est archifaux et c’est du mépris. Le contraire est la juste réalité, de la dépendance de la France vis-à-vis des pays africains francophones en matière d’uranium, de pétrole, du cuivre et d’autres minerais. Vous instillez le doute, la mésestime de soi dans les esprits faibles de certains congolais, un venin mortel de l’infantilisation des dirigeants africains, et de la division entre les peuples pour ceux qui vous lisent et vous croient. Pour ma part, ma source d’information n’est pas Jeune Afrique.

Votre article ressemble plus à la propagande de réhabilitation d’une France en déclin, en décadence en Afrique francophone qu’à la mise à disposition des informations que nous lecteurs devons apprécier en nôtre âme et conscience. Si feu Président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) ne pouvait prendre des décisions, des initiatives sans l’aval de la France est une information qui nous montre bien que ce sont les Français qui gouvernent l’Afrique francophone. Dorénavant, il n’y a plus lieu de vous agacer car ce sont eux-mêmes les Maliens qui prennent des décisions pour le bien-être du Mali. Et c’est tant mieux comme ça. Le Mali et les autres pays africains ne veulent plus de néocolonisation par les Français, comme les Français qui trouvent qu’il y a trop d’immigrés chez eux. Ceci n’est pas un sentiment de haine anti-français, mais une reprise en soi des Africaines et des Africains pour assurer les destinés de nos peuples respectifs.

Mais hélas, vous êtes passés du statut d’un journaliste à celui d’un propagandiste à la gloire de la France et de ses dictateurs africains, puisque vous y donnez votre avis ponctué des « ce qui est largement inexact » à propos de la défiance des Maliens, Nigériens, et Burkinabès vis-à-vis de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest). Ne vous inquiétez pas monsieur François Soudan, car le peuple africain solidaire du Mali, de la Guinée Conakry et du Burkina Faso, a la même perception de ces machins qui sont la CDEAO (Communauté économique des états d’Afrique de l’Ouest) ou la CEMAC (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale) comme des instruments de la France.

Monsieur François soudan, je ne sais pas dans quel monde vous vivez mais les temps ont changé. La jeunesse africaine veut reprendre son destin en main et mettre fin à la Françafrique avec ses nègres blancs de maison. La Françafrique est cet instrument néocolonial de la prédation des richesses africaines sans apporter un semblant de bien-être pour ces mêmes populations africaines qui sont pillées tout le temps et en tout temps. Monsieur François Soudan connait le malheur du peuple congolais puisqu’il y séjourne tout temps ou à mi-temps.

La défiance des Africains vis-à-vis de la France vient du fait qu’après plus de 60 ans de relation unilatérale en faveur de la France que nos conditions de vie en tant qu’Africain se sont considérablement détériorées, dégradées. Les économies sont exsangues à cause du pillage de nos richesses en complicité avec les élites locales invitées à la table du maître pour ramasser les miettes. Il n’y a point de nationalisme dans nos réactions, mais le souci d’apporter un bien-être à nos populations qui désespèrent d’une vie meilleure au jour le jour. N’est-ce pas que la démocratie c’est le pouvoir du peuple pour le peuple, une forme de gouvernance dans laquelle la souveraineté appartient au peuple. Mais actuellement en Afrique francophone, ce n’est pas le cas. Vous devez avoir en tête le cas du Congo-Brazzaville avec Pointe-Noire (capitale économique) et Brazzaville (capitale administrative) qui font parties des dix villes les plus sales d’Afrique, sauf Oyo devenue la capitale politique du Congo-Brazzaville, lieu de résidence du monarque congolais le Général de corps d’armée Denis Sassou Nguesso, un putschiste.

« À court ou moyen terme, les militaires français vont devoir se retirer du Mali, où leur présence n’est plus souhaitée. Mais la pire manière pour Paris serait d’y être contraint par la rue. » La rue appartient au peuple malien ainsi que le pouvoir suprême. C’est la volonté du peuple malien d’avoir des partenaires au développement respectueux des femmes maliennes, des hommes maliens et du Mali. À ce que je sache, je ne pense pas qu’il y a déjà eu des militaires maliens en France pour assurer la sécurité des Français.

Le peuple africain n’a pas besoin de guerre, mais de quoi manger pour les populations avec trois repas par jour, des hôpitaux, des écoles, des universités de qualité (le savoir est un pouvoir), de l’eau potable, de l’électricité en tout temps, d’infrastructures dignes, de liberté d’expression et de mouvement, des institutions fortes et non des hommes forts comme le dictateur Denis Sassou Nguesso un éléphant dans un magasin de porcelaine, etc.

« La décapitation de Louis XVI, ancien Roi des Français, en application du jugement de mise à mort de l’ancien Roi de France et de Navarre prononcé par les députés de la Convention nationale de son procès, a eu lieu le lundi 21 janvier 1793 à 10 h 22, à Paris, sur la place de la Révolution) (ancienne place Louis XVI, devenue en 1795 la place de la Concorde). C’est in événement majeur de la Révolution française, et plus généralement de l’histoire de France. C’était la volonté du peuple français à travers ses représentants qui ont aboli la royauté et accusé de haute trahison le Roi Louis XVI. Le 16 octobre 1793, la dernière Reine de France Marie-Antoinette était conduite à l’échafaud puis guillotinée à la place de la Révolution.» Après ces deux actes odieux, la France n’avait jamais été mise sur le banc des pestiférés de la communauté internationale.

Il y a lieu de savoir qu’à ce jour, personne n’a porté atteinte à la vie de feu Président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) du Mali mort de mort naturelle, ni d’Alpha Condé de la Guinée Conakry ni de Roch Marc Christian Kaboré du Burkina Faso. La vie humaine est sacrée en Afrique, sauf dans certaines dictatures comme le Congo-Brazzaville avec des assassinats de masse. Les Africaines et les Africains ne sont pas des barbares.

« Ce substrat commun de nationalisme et de défiance vis-à-vis de la France, des autres pays d’Afrique de l’Ouest et d’une CEDEAO perçue comme un instrument de Paris (ce qui est largement inexact, puisque l’organisation comporte cinq pays anglophones, dont les poids lourds nigérian et ghanéen) persiste toujours aujourd’hui. » C’est pathétique car la France a échoué, va échouer en Afrique francophone pour avoir d’abord privilégiée ses intérêts au détriment des peuples africains qui crient famine et ils ont la guerre comme punition. Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. » – Une citation de Proverbe Français.

L’émergence d’une nouvelle classe politique en Afrique avec un nouveau paradigme est salutaire pour ce continent. Il y a lieu de rebattre les cartes et d’être service de son peuple avant tous ces charognards venus d’ailleurs.

« Alpha Condé et IBK lâchés par Paris. » montre bien la mainmise de la France sur l’Afrique francophone qui décide à travers ses valets locaux aux postes de responsabilité.

Ce n’est pas vous faire injure, offense, c’est un secret de Polichinelle, une situation connue de tous, en disant que vous êtres très très proches du dictateur congolais Denis Sassou Nguesso par les liens du mariage, puisque votre épouse Arlette Soudan-Nonault, qui se fait passer pour la nièce du despote Denis Sassou Nguesso, fait partie du gouvernement congolais en tant que ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo depuis le 15 mai 2021. C’est un mélange de genre détonant pour celui qui veut donner des leçons de morale aux Présidents Goïta et Doumbouya. Vous devez vous poser la question de savoir s’il n’y a pas un conflit d’intérêt entre les avis que vous donnez pour d’autres pays africains, votre situation matrimoniale et la sauvegarde des intérêts de la France, et au passage sans critiquer le Congo-Brazzaville. Tant il est vrai que l’on ne coupe pas la main qui vous nourrit.

L’expulsion de l’Ambassadeur du Mali est un signal fort de la réaffirmation de l’indépendance de la jeunesse africaine de faire autrement avec un partenariat gagnant-gagnant. Les pays africains indépendants ne sauraient être la Réunion, la Martinique, la Guadeloupe ni la Guyane qui sont des départements français en dehors de la métropole française.

« Les motifs réels pour lesquels Goïta et Doumbouya se sont emparés du pouvoir relèvent au moins autant de leurs ambitions personnelles que des prétextes qu’ils ont mis en avant ». Ce sont des affabulations car c’est au Congo-Brazzaville, le pays de votre épouse que monsieur Denis Sassou Nguesso fait passer ses propres intérêts avant ceux du peuple congolais et cela dure depuis plus de 40 ans. Il faut demander à monsieur Denis Sassou Nguesso où sont passés les 28 milliards de dollars des générations futures et pourquoi il a des prisonniers politiques dans ces geôles dans un pays soi-disant démocratique, et là l’on va vous considérez comme un Journaliste indépendant et rigoureux. N’ayez pas une indignation sélective.

Entre-temps, au Burkina Faso, littéralement « Pays des Hommes intègres », le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a pris le pouvoir pour les mêmes causes de mauvaise gestion des Présidents nommés par la France. À qui le prochain ? Peut-être la Guinée-Bissau et le Sénégal si le Président Macky Sall a la tentation de briguer un troisième mandat anticonstitutionnel. Ces deux derniers Présidents sont des visiteurs assidus de Denis Sassou Nguesso leur mentor à Oyo.

Vous faites de la propagande pour la France quand vous écrivez : « Que l’intrusion des mercenaires du groupe Wagner constitue un facteur supplémentaire de déstabilisation et d’aggravation ne fait pas l’ombre d’un doute, surtout quand on connaît les piètres performances de cette milice face aux jihadistes du Cabo Delgado. » À mon avis ce n’est pas aux Africains qui sont souverains de pâtir de la guéguerre que se livre la France et la Russie pour savoir qui va piller le mieux l’Afrique francophone. La Centrafrique, pays indépendant a le droit d’avoir les partenaires qui lui conviennent. Le seul fait d’armes de la France en RCA (République Centrafricaine) c’est d’avoir intronisé Bokassa en Empereur. Pour la France, le ridicule ne tue pas.

Étonnement vous ne parlez pas du Tchad où il y a eu un coup d’État, car le fils de feu Président Idriss Déby Itno (Le général Mahamat Idriss Déby, fils d’Idriss Déby et patron de la transition) a pris le pouvoir à la mort de son Père, sans élection avec la dissolution des institutions existantes. Il a été même adoubé par le Président Emmanuel Macron qui s’était rendu personnellement au Tchad à l’enterrement de feu Président Idriss Déby Itno au pouvoir depuis 30 ans, comme l’est Denis Sassou Nguesso, votre parent par les liens du mariage au pouvoir depuis plus de 40 ans. Ce n’est pas de la démocratie et vous ne dites rien. Zorro était un homme masqué qui venait au secours des pauvres. Mais Emmanuel Macron à visage découvert a adoubé le coup d’État du Tchad, une junte militaire, sans aucune injonction ni menace de sanction de la Communauté internationale. C’est du deux poids, deux mesures, du en même temps. La CEMAC (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale), l’Union africaine (UA), l’Union européenne (UE) et l’ONU (Organisation des Nations Unies) étaient aux abonnés absents car personne ne doit se mêler de la politique du pré carré de la France dans ce monde si bien partagé par les Occidentaux. Et dans tout ça qu’est-ce que l’on fait de la défense des droits de l’homme et de la démocratie si chère à l’Occident ? Quelle mascarade. La France un pays qui n’a pas gagné la deuxième guerre mondiale mais libéré par les alliés à un droit de veto au Conseil de sécurité de l’ONU.

C’est le même Emmanuel Macron qui a fermé les yeux devant le troisième mandat illégitime, illégal d’Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire. C’est un discrédit énorme de la France. La politique française en Afrique noire surtout devient illisible. Dans ce contexte de mondialisation, l’économie est passée devant la défense des droits de l’homme. Autrefois pays des lumières, la France est dans une obscurité totale maintenant.

Je ne puis penser que feu Président (IBK) vous ait donné l’autorisation de parler de son cancer, car cela relève du secret médical qui s’impose à toutes et à tous même au-delà de la mort. Vous prenez des libertés qui remettent en cause votre éthique journalistique, la déontologie de votre profession.

Les plaies de l’Afrique sont Denis Sassou Nguesso du Congo-Brazzaville, Ali Bongo Ondimba du Gabon, Paul Biya du Cameroun, Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo de la Guinée équatoriale, etc.

Monsieur François Soudan, vous donnez même votre avis de sortie de crise comme le souhaite la France : « LA PORTE DE SORTIE OFFERTE PAR LA PROPOSITION ALGÉRIENNE APPARAÎT POUR L’INSTANT COMME LA SEULE SOLUTION ENVISAGEABLE ».  Vous êtes un Journaliste et non pas un acteur politique. Vous vous êtes tropicalisés sous le soleil brûlant de Brazzaville.

Il vous revient monsieur François Soudan de condamner les propos blessants, inconvenants, grossiers du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères de la République française, Jean-Yves Le Drian, à l’encontre des dirigeants Maliens en les traitant d’illégitimes. C’est un langage grossier, de truand, non adapté pour la diplomatie et une insulte faite à toutes les Maliennes, tous les Maliens et à toute l’Afrique noire.

Monsieur Jean-Yves Le Drian est un récidiviste. Pour lui, l’élection en RDC (République démocratique du Congo) s’était réglée par un « compromis à l’africaine » ; « Félix Tshisekedi était devenu Président dans une configuration très particulière et propre à la République du Congo », avait déclaré le chef de la diplomatie française. Tout ceci dénote un manque de respect flagrant de ceux qui prétendent diriger le monde envers les Africains et les Noirs. Quand son ami Denis Sassou Nguesso fait un coup d’État constitutionnel de changement de constitution, il est encouragé par François Hollande l’un des fossoyeurs de la démocratie congolaise.

Ce texte traduit un aveu d’échec de la politique de la France en Afrique noire, ainsi que celui de ses Préfets locaux qui sont les Chefs d’État africains. Vous faites une analyse un peu bancale qui dédaigne les Africaines et les Africains. Vous pouvez mieux faire en tant que critique.

Êtes-vous toujours un Journaliste, un Journaliste engagé ou un homme politique au service de la France dans nos contrées ?

Il est temps pour vous d’arrêter le journalisme car votre vision étriquée du monde et surtout de l’Afrique est biaisée puisque vous défendez en même temps les intérêts de la France là où un Journaliste se doit d’être neutre. C’est votre déontologie qui le recommande.

Nous autres vigies du Congo-Brazzaville, nous serons toujours là pour vous ramener à la raison en cas de propos inexacts, incorrects.

C’est George Orwell qui disait : « Au temps de la tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ».

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA

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4 réponses à LETTRE À MONSIEUR FRANÇOIS SOUDAN, DIRECTEUR DE LA RÉDACTION DE JEUNE AFRIQUE

  1. Val de Nantes . dit :

    En épousant Soudan Nonault ,ce blanc a lié sa vie à la dictature exotique et surannée de Sassou ,avec ,bien sûr , les avantages financiers y afférents …
    La démocratie est un bien précieux pour qu’il soit mis entre les mains des sauvages .Sassou leur en fournit les preuves …
    Le négre Senghorien se manifeste par le personnage de Sassou en qui ,le blanc voit comme un sauvage ne sachant que danser …

  2. Samba dia Moupata dit :

    Ce pseudo Journaliste est un néocolonialiste , qui est avec notre soeur Mbochi par désir d’ exotisme même si ils sont parents d’une fille ! Ce type est le VRP de Sassou Dénis , dans les rédactions des grands journaux Français. Voilà comment la Barbarie Mbochi gaspille l’agent publique pour la bêtise .

  3. le fils du pays dit :

    Pas étonnant.Mr Soudan un mercenaire très calculateur.
    Voila les gens qui n’aiment pas les noirs mais ils aiment leurs matières premières et leurs l’argent.

  4. Val de Nantes dit :

    Ce Soudan est un Hugoriste…
    Que disait Victor Hugo de l’Afrique ‘: l’Afrique n’a pas d’histoire .’.Et il embraye sur une idéologie raciste « :Dieu a donné l’Afrique à l’Europe pour les civiliser et les prolétaires européens doivent être les propriétaires en Afrique . Fermez le ban…
    Ce type perpétue cette doctrine Hugoriste esclavagiste , qui aliène le noir et lui dénit son humanité.
    Malheureusement ,ce sont des noirs néo colonialistes , juchés au pouvoir par la force des armes , qui passent pour des supplétifs des colons blancs….

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