Tout observateur averti de la politique congolaise peut constater avec aisance que le pouvoir de Brazza est dans une impasse totale. En général, quand un système s’est maintenu au-delà du raisonnable et que les signes de sa fin deviennent tangibles, il y a une formule consacrée : La fin n’est plus une affaire de « si » mais de « quand ». Dans le cas du Congo, nous avons apparemment franchi une étape supplémentaire. En effet, il ne s’agit plus de la question de « quand », mais de « comment »
Inutile d’épiloguer sur la première carte. Sassou avait l’opportunité royale de sortir par la grande porte en respectant la constitution de 2002. J’y ai longtemps cru, espérant que le temps aurait aidé notre rusé renard aux affaires depuis 3 décennies à gagner en sagesse et en humilité. C’était sans compter le jusqu’au-boutisme d’une clique prête à sacrifier des milliers de compatriotes sur l’autel de la bêtise.
Contre le bon sens élémentaire, Sassou a choisi de passer en force en changeant la constitution et en fraudant aux élections. Il est aujourd’hui la risée de toute la planète et doit profondément regretter d’avoir écouté de mauvais conseillers. En effet, d’aucuns disent, pour le dédouaner qu’il aurait été très mal conseillé. C’est oublier qu’un conseil reste un avis que l’intéressé, en dernier ressort, peut considérer ou ignorer. Un fou peut conseiller à une personne saine de sauter du dixième étage d’un immeuble. Si la chute s’avère fatale, condamnera-t-on le fou d’avoir mal conseillé notre athlète ou constatera-t-on tout simplement la naïveté de ce dernier ?
En passant en force, Sassou croyait peut-être que les choses allaient se passer comme d’habitude avec de pseudo-opposants à sa solde. Malheureusement, la machine s’est sérieusement grippée. La raison ? Une partie de la classe politique a fait preuve d’un sursaut national. Corruption, intimidation et menace de mort ont certes fait plier une partie de l’opposition, mais la Charte de la Victoire a encore quatre fervents défenseurs. A leurs risques et péril, Mokoko, Okombi, Munari et Bowao maintiennent le flambeau de l’espoir. Mieux encore, 92% de la population congolaise exprime ouvertement son immense soif d’alternance. Ni le bombardement du Pool ni les enlèvements d’opposants ni les menaces de tout genre n’arrivent à étouffer un peuple qui exige son droit à la liberté et à la démocratie.
Que reste-t-il alors à Sassou ? Ayant grillé la carte de la sortie honorable, il lui reste la carte de la sortie courageuse par un dialogue politique inclusif. Ce dialogue aboutirait à une solution consensuelle sous forme de départ négocié du président, formation d’un gouvernement de transition qui organisera une élection présidentielle réellement libre et transparente sur la base des recommandations du conclave d’Ewo. Enfin, il ne faut pas oublier l’ultime carte, celle de la fuite ou de la mort. En effet si une solution consensuelle n’est pas rapidement trouvée, la dégradation accélérée de la situation politique et économique ne tardera pas à susciter des vocations putschistes. En ex-putschiste, notre général-président le sait mieux que tout le monde. C’est lui qui proclamait au peuple en 97 lors des meetings la nécessité de désobéir à un pouvoir illégal. Aujourd’hui, il se trouve pris à son propre piège. Comment en sortira-t-il ? Souhaitons qu’il utilise au plus vite la deuxième carte et ouvre un vrai dialogue national inclusif.
Dialoguer est un conseil comme tout autre qui lui est donné gratuitement. Libre à lui d’en faire ce qu’il veut. Il peut aussi sauter du 32ième étage, mais dans ce cas, il ne faudra pas qu’il accuse ses conseillers. Un conseil n’est qu’un conseil, rien de plus.
Pascal Malanda
Diffusé le 22 mai 2016, par www.congo-liberty.org
Cher Malanda,
Merci pour cette analyse clairvoyante. C’est au dictateur de se saisir de votre conseil s’il veut encore sauver sa petite personne encore que la CPI l’attends au tournoi pour ce qu’il a fait subir aux congolais notamment dans le pool.
Pour ceux qui croient toujours ou encore que le pouvoir sassou est un pouvoir des nordistes constateront que M. Malanda a noté:
Qu’ » Une partie de la classe politique a fait preuve d’un sursaut national. Corruption, intimidation et menace de mort ont certes fait plier une partie de l’opposition, mais la Charte de la Victoire a encore quatre fervents défenseurs. A leurs risques et péril, Mokoko, Okombi, Munari et Bowao maintiennent le flambeau de l’espoir ».
C’est donc ce trio qui represente notre vraie opposition n’en déplaise à ceux qui ne pense pas comme moi.
Je constate que trois de ses fervents défenseurs se trouvent être du nord Congo et au sud congo une brave femme qui résiste. Les autres se sont donc pliés à la corruption,intimidation et ménace de mort comme le souligne M.Malanda.
Je partage votre analyse et je voudrais la compléter quant à la notion de conseil.
Le problème au Congo, comme dans de nombreuses dictatures, c’est la notion de conflit d’intérêt.
Pour que votre Conseil puisse être crédible, il faut que celui qui le donne n’ait évidemment aucun
intérêt personnel à préconiser tel ou tel avis.
Or, tous ceux qui entourent Sassou ont intérêt à ce qu’il demeure au pouvoir.
Il ne faut donc pas compter sur ces gens là.
En tout cas, je préfère être à la place de Mokoko et consorts qu’à la leur.
Je ne pense pas que le CONGO soit un Pays Démocratique dans l’Échiquier Africain car il y a des Pays Africains Noirs sont des Pays Personnalisés par l’Emprise Totale par le Président et ses Proches au Point où le pays est Géré que par quelques-Uns des Proches du Président qui Font la LOI partout dans le Pays. C’est le cas au Congo-Brazzaville actuellement tous les Ressortissants du Nord du Congo ont presque tous des Armes sur et entre des PMAK 47 et autres Pistolets dont ils ont Usage à tous moments. En ce moment au CONGO-BRAZZAVILLE les Prisons Sont Pleines car les Arrestations pleuvent pour ne pas dire que Tous les Jours, Hommes Politiques , des jeunes Gens et mêmes des jeunes Enfants ( Mineurs ) sont Incarcérés et jetés dans les Prisons où dans les Postes de Polices pour 24 à 48 heures pour les Postes de Police. Nous avons aujourd’hui un Pays Exsangue où les Congolais ne vivent plus Librement car la Peur est toujours Là amis ils y Vivent tout de même. Voilà pourquoi Nous Souhaitons Tous que l’Opinion Internationale Nous Vienne en Aide pour que le CONGO Sorte de cet Obscurantisme Latent qui n’est ni la DÉMOCRATIE et ni la PAIX des Congolais sachant que ce Pays a trop Souffert depuis que le Président Sassou N’guesso est arrivé au Pouvoir (…) Il est TEMPS de penser CONGO , Notre Pays et Ressaisissons-Nous pour qu’on le Relève car c’est un Beau Pays , Riche , qui peut se Relever et qui n’est pas encore perdu malgré la Mauvaise Gestion tant Humaine que les Produits Bruts que Notre pays Regorge encore partout. C’est le CONGO debout qui Nous Regarde face au Monde Entier qui Nous Déjuge sur le Point du Respect du Peuple qui ne Demande que de VIVRE LIBREMENT comme les Autres Communautés. Alors que la Communauté Internationale Vienne Nous Aider car Nous ne Sommes pas Capables de Nous Ecouter et Nous Orienter pour que Nous Reprenons nos Vraies Valeurs sans Égoïsme Latent et Creux d’Intelligence. Merci pour le CONGO ! ViVe le CONGO LIBRE , DÉMOCRATIQUE , INDUSTRIALISE et surtout RÉUNIFIÉ ! ViVe l’AFRIQUE NOIRE LIBRE , RÉVEILLÉE, DÉCIDÉE , INDUSTRIALISÉE et RÉUNIFIEE !
@ Kimpéné ya CONGO
……actuellement tous les Ressortissants du Nord du Congo ont presque tous des Armes sur et entre des PMAK 47 et autres Pistolets dont ils ont Usage à tous moments……
Je suis du nord congo mais ne détiens aucune arme dans ma maison. C’est une chicane inutile faite à tous les nordistes que je ne veux laisser passer. C’est dans le carré Ollombo, Oyo, Tchikapika que l’on trouve les armes et non dans tout le nord.
Arrêtons de tout confondre car Ntumi ne se bat pas contre les cobras avec les armes fournies par les nordistes mais par son allié sassou appartenant à un carré d’habitat bien circonscrit. Ce sont les gens de votre espèce qui mettent dans la tête des autres congolais que c’est le pouvoir du nord alors qu’au nord la pauvrété est aussi criard que dans le reste du congo.
Cette analyse qui consiste à faire croire aux naifs que c’est le pouvoir du nord ne tient plus depuis. En tout cas je ne me considère pas d’être du pouvoir du nord car au sud ,à l’est, à l’ouest il n’ ya pas un pouvoir. Il y a un pouvoir au congo même illégal. C’est ce pouvoir qui doit partir.
Visitez le nord congo pour vous faire une idée de la richesse de ses ressortissants. Allez voir au collège de Tongo qui porte le nom de Marien Ngouabi pour voir combien il ya des professeurs cette année qui s’achève. Pourtant, ce collège est à quelques km d’ Oyo fief de sassou.
Si le nord c’est sassou vous vous trompez largement.
Lire: La pauvrété est criarde
Belle analyse qu’il faudrait envoyer à SASSOU pour qu’il le lise. Peut-être que par un dialogue inclusif pourra t’il sauver la vie de ses enfants. Au risque de les voir finir comme ceux de KADHAFI. Rappelons nous que Salif Al Islam KADHAFI croupi en prison avec les doigt des mains coupés.
Au deux solutions que vous avez fait allusion j’en ajouterai une troisième/
1 – Dialogue inclusif : – conséquence : CPI inévitable pour SASSOU qui finira sa vie en prison.
Avantage : – Sauver la vie de ses enfants.
2 – PUTSCH : – conséquence : A – mort de SASSOU + morts de ses enfants ; B – Mort de SASSOU + fuite de ses enfants ; C – Fuite de SASSOU + Morts de ses enfants ; D – fuite de SASSOU + fuite de ses enfants (qui mourront tous en exil).
3 – SUICIDE IMMEDIAT DE SASSOU. Cette troisième solution serait la meilleure. Elle permettrait d’épargner de nombreuses vies humaines. Perte de vies humaines dont un Putsch serait inévitablement générateur. Ce suicide aurait en plus l’avantage de montrer qu’il lui reste un peu d’honneur.
Sassou est téléguidé par la France . Compte tenu de nombreux foyers de tension dans le monde , son cas est en suspens . Il obéit à une ligne politique dictée par la mafia française en contrepartie d’un soutien conditionné . C’est pourquoi sa marge de manœuvre est tres etroite . Il sera dans tous les cas déposé avec des garanties sécuritaires un peu à l’image de David Dako et Kolingba en RCA .
@Oyessi et Malanda,
Vous êtes à côté de la plaque. Tant qu’il y aura des adeptes de la Rencontre d’Owando, sassou fera tout se maintenir au pouvoir. Le triple silence des quartiers nord de Brazza et du nord du pays nous indique que sassou a encore des soutiens qui appuient les conclusions de la Rencontre d’Owando. Si le contraire était vrai, sassou serait tombé depuis très longtemps.
Revisitez le discours de sassou de mars 2012 devant ses parents mbochi. Il disait, je le paraphrase, quand il arrive quelque chose de grave à un enfant à nguélé C’est que le mal provient du village. Les partisans de la Rencontre d’Owando ( Fort Rousset, au moment de la dite rencontre) ont compris le message de sassou. D’où leur refus de se joindre aux autres congolais pour chasser sassou.
La solution = résoudre d’abord le problème posé par la Rencontre d’Owando d’août 1968. Tant qu’il y aura des adeptes du pouvoir du nord, sassou se maintiendra au pouvoir ou sera remplacé par un autre nordiste.
Oyessi, que penses-tu de cette Rencontre d’Owando?
» Rêvet une importance particulière à mes yeux l’engagement pris par le Capitaine Marien Ngouabi en accédant au Pouvoir politique le 31 juillet 1968. En ce temps-là, lorsque le président Massamba- Débat perdit la tête du pays et que celle-ci échut entre les mains du jeune capitaine, ce denier déploya un trésor d’habileté, dont le point d’orgue fut la réunion tenue à Owando pour rassurer les autres localités du grand Nord ( Makoua-Boundji-Ouesso-Impfondo-Oyo).
C’était pour que les esprits et les aspérités soient aplanis, notamment, entre Makoua et Kouyou en vue du partage du pouvoir. En somme, le pouvoir Nord, comme on le qualifiait, alors, détenu par Marien Ngouabi, devait être exercé alternativement et durablement entre fils de ces contrés réputées abandonnées depuis la colonisation.
Mais la succession de Marien est intervenue de façon plus chaotique que réfléchie à la suite de sa tragique disparition le 18 mars 1977. Et l’apparition inopinée du Colonel Yhombi Opango au devant de la scène n’a pas correspondu aux prévisions stratégiques de l’alternance tribalo-régionaliste des Tenants du Pouvoir Nord.
Sans doute, Yhombi Opango pouvait-il se prévaloir par son père du district de Makoua pour s’installer au pouvoir dans le cadre de l’alternance géopolitique intra-régionaliste, mais il se distinguait davantage en parent de Marien, en fils d’Owando par sa mère et en Kouyou dans l’âme.
De sorte que la stratégie d’occupation et d’alternance du pouvoir n’a véritablement commencé à produire ses effets qu’avec Sassou-Nguesso qui, en évinçant Yhombi, le 5 février 1979, n’a pas été condamné comme il se devait par les cadres du Nord.
Ces derniers ont vu dans cette prise de pouvoir, un acte certes inélégant et heurté, mais, conforme à l’Accord d’Owando dans la mesure où les Kouyou avaient, déjà, commandé par le truchement de Marien Ngouabi.
Mais, jusqu’ici la conservation du Pouvoir dans les seules mains de Sassou-Nguesso a en même temps ouvert toutes les dérives. Celles de la chute, puis, de l’emprisonnement à 10 ans sans jugement de Yhombi constituent les plus frappantes.
Sassou ne manque d’ailleurs pas de mettre la main à la poche, plutôt, au Trésor public, en fait de compensation pour s’assurer le soutien du « Parent de Marien » qui le lui rend bien, quitte à mettre les fortes récriminations des Kouyou entre parenthèses.
Ce n’est pas tout, après l’intermède Yhombi, Sassou a monopolisé le Pouvoir Nord pour le transformer en oyocratie exclusive, jusqu’à considérer les Makoua, Mbochi de Boundji et autres prétendants Likouala et Bakouélé-Ndjem comme étrangers à la gestion au Sommet des leviers de commande du pays.
Plusieurs cadres de la Likouala, par exemple, en sont restés les uns pour leurs frais, les autres sur leur faim, qui ont vu disparaître tour à tour les meilleurs des leurs après avoir reniflé l’odeur du pouvoir.
Le pouvoir, en vérité a été échu au Nord du Congo en vertu d’un décret de la Providence et non par les suffrages du peuple congolais.
Et ce ne fut que justice et de bon aloi que Marien ait songé à le partager équitablement et alternativement, sans exclusive.
Toutefois, un décret même divin, contient sa date limite de validité, à la différence près que, prescrite par l’Insondable, nul ne la connait.
Cette situation ne manquera pas de répercussions surtout lorsque Sassou-Nguesso aura disparu de la scène politique.
En attendant, on a vu le général Jean Marie Michel Mokoko, un Makoua bon teint, quoique né à Mossaka, se présenter contre toute attente aux élections présidentielles du 20 mars 2016. Il l’a fait certes en Fils du Congo, répondant à l’appel de la démocratie, mais aussi, en n’ignorant pas que le pouvoir du Nord monopolisé par Sassou-Nguesso, Mbochi minoritaire d’Oyo, aurait dû faire l’objet d’une rotation consensuelle intra-regionale.
Mokoko était parti pour gagner, même sans appareil politique, mais, avec l’onction populaire, dépassant toutes sortes de clivages. Ce qui a bouleversé littéralement le tenant actuel du Pouvoir Nord, tribalo-régionaliste à l’excès, qui pendant longtemps, faisait valoir à qui voulait l’entendre qu’il n’y aurait pas d’autre coq dans la basse- cour. Alors que moi, je prêchais le contraire, urbi et orbi.
En effet, il était prévisible que Sassou ferait tout pour empêcher une victoire du Général Mokoko qui risquerait de le jeter définitivement dans la poubelle de l’histoire plus tristement que ne l’eût fait un civil ressortissant du Sud du Pays.
C e ne fut donc pas de ma part faire œuvre de prophétie que de suggérer au peuple congolais de porter ses suffrages sur un candidat gagnant du Nord du Pays pour les élections présidentielles du 20 mars 2016 (voir ces Diables qui prennent la tête à Denis Sassou-Nguesso, page 12 paragraphe 11 du 9 mars 2016 sur le Site zenga mambu).
… C’est dans la prétendue division Nord-Sud que Sassou-Nguesso, le plus grand commun diviseur du pays, tire la substance vivifiante de son régime satanique, et ce, depuis l’assassinat de Marien.
Voilà pourquoi l’élection inéluctable de Jean Marie Mokoko a été étouffée dans l’œuf, qui risquerait d’enlever toute justification à l’existence du « pouvoir au bout du fusil » et du PCT refuge d’assassins, de voleurs et d’incompétents, à l’accaparement des postes de responsabilité ministériels, administratifs et militaires. Bref, à une politique tribalo-régionaliste initiée pour empêcher le Sud, et singulièrement les « têtus » Laris-Bacongo de revenir au pouvoir. »
Vous souvenez-vous de la phrase de jean-Michel ebaka quand il apprit les négociations entre Ngouabi et Massambat Debat? »
« Marien nous a trahi! »
Marien a trahi quoi? Le pacte scellé lors de la Rencontre d’Owando (Fort Rousset) entre les cadres militaires et civils du nord pour la conservation et la rotation du pouvoir par les ressortissants des régions du nord Congo.
Voila près de 50 ans que ce pacte antipatriotique existe et fonctionne à merveilles.
Alors, ne nous bercer pas d’illusions comme quoi sassou partira après un dialogue quand on sait qu’il y a des congolais qui ont accepté l’idée de ne jamais perdre le pouvoir au profit des ressortissants d’autres régions. D’où les assassinats et autre génocide pour conquérir et conserver le pouvoir tel que défini à la Rencontre d’Owando à laquelle assistèrent la plupart des dirigeants civils et militaires issus du c.m.p.
Bikéno luaza!
Chers frère ne prenons pas notre problème comme une simple chose. Actuellement les congolais sont en train de mourir dans le pool. Mon cher frère toi qui parle de preuve dans le pool, tu es bien placé pour le savoir qu’il faut des comminassions sous la direction de l’ONU pour trouver ces preuves, mais malheureusement la France bloque tout. Veux-tu dire que pour faire la lumière sur le génocide du Rwanda, il a fallu 50 ans? Ou pour commencer d’arrêter les criminels de la deuxième guerre mondiale il a fallu 50 ans, pour faire rentrer les organisations de droit de l’homme en Ukraine ou en Série il a fallu 50ans. NOUS LE SAVONS QUE C’EST LA France QUI A CREE SASSOU ET QUI DÉFEND SASSOU. Aujourd’hui ou le USA ou l’ UE parlent de non reconnaissance des institutions illégales du CONGO RFI qui est une radio d’état nous parle de déclaration des biens des membres du gouvernement congolais, comprends tu quelque chose dans sa?
Nous voulons que le 3 juin que sa soit le début d’écoute des présumes accuses pour l’affaire de Beach. Le problème de la Cote d’ivoire qui est venu bien après est déjà en plaidoirie.
Oui on peut faire accélérer les choses en justice dans un pays démocratique.
« Alors, ne nous bercer pas d’illusions comme quoi sassou partira après un dialogue quand on sait qu’il y a des congolais qui ont accepté l’idée de ne jamais perdre le pouvoir au profit des ressortissants d’autres régions. »
Bakala Téléma, vous êtes consciemment (gravissime) ou inconsciemment (circonstances atténuantes) le meilleur défenseur de Sassou. Pour vous, le consensus de Fort-Rousset explique et justifie le silence des ressortissants du nord. Détrompez-vous ! L’unité du Nord est une vue d’esprit savamment entretenue par des charlatans tant au nord qu’au sud.
Sassou a réussi le tour de force de s’approprier la thèse de Noumazalay sur l’unité indispensable du nord autour des leaders militaires pour conserver le pouvoir. Sauf que pendant 32 ans, il a marginalisé les autres régions du nord du pays. Aujourd’hui, ce ne sont pas les sudistes (en dehors de Munari) qui le défient, ce sont des ressortissants du nord : Mokoko, Okombi et Bowao. Ce trio est le cauchemar de Sassou, parce qu’il brouille totalement sa stratégie de la conservation du pouvoir dans le triangle Owando-Oyo-Olombo. Il a réussi à écarter très facilement Tsaty Mabiala et est venu à bout de Kolélas par l’intimidation. Du sud, seule Munari a tenu ferme, d’où son embastillement temporaire.
Bowao, l’héritier ethnique et idéologique de Noumazalay a pris ses distances avec certaines thèses du « Vieux » (il me, l’a dit lui-même). Les Plateaux se sont découvert une ambition présidentielle avec Okombi ; la Sangha et la Cuvette-Ouest sont en latence. L’unité du nord ? Quelle unité ? Le nord du Congo serait-il peuplé des 8% qui ont voté Sassou ? Oubliez-vous que dans les 8% il y a une bonne partie de sudistes?
Non, cher Téléma, Sassou a été mis à nu et c’est ce qui l’enrage. Sa rage s’abat particulièrement sur tous ceux qui comme Ntsiba (pour les Plateaux) et Mvouba et Tchibambelela (pour le Pool) qui lui avaient promis un vrai triomphe au premier tour. Il les a virés sans ménagement du gouvernement.
Non, cher Téléma, Sassou est aux abois, ne nous sortez pas, de grâce, des thèses antédiluviennes pour justifier (consciemment ou inconsciemment) son maintien au pouvoir.
La preuve que votre thèse est dépassée se trouve dans le fait qu’en 1992, malgré le consensus de Fort-Rousset, le peuple s’est levé comme un seul homme, a exigé et obtenu une Conférence Nationale Souveraine et a élu Pascal Lissouba à la tête du pays. Lissouba n’est pas arrivé au bout d’un fusil.
Pascal Malanda
Kimpéné ya CONGO dit :
« ……actuellement tous les Ressortissants du Nord du Congo ont presque tous des Armes sur et entre des PMAK 47 et autres Pistolets dont ils ont Usage à tous moments…… »
Heureusement que vous avez ajouté le terme « presque » sinon vous seriez dans la généralisation absurde. Mon frère Oyessi vous a prouvé le contraire. N’empêche que votre affirmation reste grave et dangereuse.
J’ai déjà dit dans la réponse à Téléma que Sassou n’a recueilli que 8% des suffrages d’où son nouveau surnom Monsieur 8%. Il y a donc des centaines de milliers des ressortissants du nord qui n’ont pas voté Sassou. Concernant les armes, le 4 mars 2012, quand le dépôt de munitions de Mpila a explosé, on a vu le nombre de personnes qui prenaient la route du Nord pour aller se réfugier. Les images montrent que les partants n’étaient pas tous armés, bien au contraire.
L’heure est grave, évitons les généralisations. Mais cela n’empêche pas de poser la question épineuse suivante : Pourquoi Brazza-Nord répond si timidement aux appels à la désobéissance civile ? Pourquoi les républicains du nord qui ont encensé Mokoko et Okombi sont-ils si silencieux tandis que leurs leaders sont emprisonnés ? Qu’ils sachent que le pouvoir de Sassou ne tiendra pas 24h si Brazza-Nord se lève. Brazza-Sud a payé son dû le 25 octobre 2015 et le 20 mars 2016. Brazza-Sud suivra sans faute, mais que Brazza-Nord prenne ses responsabilités.
Pascal Malanda
A ceux qui demande l’aide de la communauté internationale, sachez qu’elle n’existe pas, sauf dans l’esprit de certains naïfs africains. Par ailleurs, pour ce qui est du clivage nord-sud, que vous le vouliez ou non, il faudra bien crever l’abcès un jour. La fuite en avant ne réglera rien, bien au contraire, elle risque même de nous exploser au visage. Tant qu’il y aura cette suspicion de division nord-sud, nous ne vivrons pas dans un pays apaisé. Ignorer ce clivage, c’est nous mettre un pistolet sur la tempe de manière permanente. Alors plutôt que de faire semblant, allons au bout de cette question qui nous taraude l’esprit depuis des lustres. Si les congolais forment une vraie nation, il n’y a qu’un moyen de le vérifier. On ne peut pas forcer les gens à cohabiter. On ne doit pas obliger une femme battue à supporter un époux violent. Dans beaucoup de cas, cela se termine toujours mal, avec trois scénarios possibles:
1. La femme battue finie par mourir des coups qu’elle reçoit à longueur de temps,
2. La femme dans un ultime réflexe de survie, tue son mari violent,
3. La femme réussi à se séparer de son mari (elle divorce), pour se reconstruire.
Il faut donc interroger les congolais sur leur appartenance ou non au Congo issue de l’independançe de 1960. Il faudra pour cela poser une question claire. Pour ou contre un Congo uni de manière sceller un nouveau pacte nationale, socle de la nouvelle nation juste que nous souhaitons pour chacun d’entre nous. Nous verrons de manière tangible si les congolais plébiscitent le vivre ensemble mise à mal par les récents événements, ou si une partie préfère faire sécession. C’est une question que nous devons absolument nous poser pour que le tribalisme cesse d’être un sujet récurrent sans qu’on y apporte de réponses consensuelles. La meilleure façon de vaincre le tribalisme à mon sens, c’est d’en parler clairement. Le déni serait une faute grave, qui pourrait avoir des conséquences néfastes dans un futur pas si lointains.
Mr MALANDA ,
Votre analyse manque de réalisme . Parler de dialogue avec Mr SASSOU , c’est faire preuve de naïveté ahurissante . Mr SASSOU est dans une sorte de paranoïa , à tel point qu’il a perdu la raison . A VOULOIR TRAITER AVEC UN FOU , ON PEUT LE DEVENIR PAR EFFETS DE CONTAGION .
@ Mr Malanda,croyez vous que le gouverneur noir-valet de l’empire français Mr Denis Sassou peut-il quitter son poste sans l’avis et l’autorisation de son employeur la france.
Mr Malanda,Mr Denis Sassou n’est que l’arbre derriere lequel se cache la france.
Mr Denis Sassou est le premier complice de la france au Congo avec qui elle pille les ressources du Congo.La france contrôle tout au Congo memes les femmes dixit Mugabe,chose que tout le monde savait fort longtemps sauf les naifs.Alors vous ne pouvez pas parler de Mr Denis Sassou sans évoquer son employeur la france qui hier l’encourageait a violer la constitution.
Mr Malanda,Mr Denis Sassou est en contrat avec la france au moins depuis le 31 juillet 1968,une clause qu’il ne peut pas ignorer.
Mr Malanda,les Congolais doivent faire comme l’Algérie,chasser la france,ses multinationales,bollore,ses agents officieux et officiels qui encument le territoire Congolais et sa marionnette par les canons.Sans ca le Congo ne connaitra jamais la paix et le progrès.
Vous ne voyez pas le respect que voue la france a l’Algérie.Ce que la france fait au Congo,elle ne peut meme pas oser le faire en Algérie.
L’ambassadeur Algerien au Cameroun mettait deja en garde la france pour ses actions déstabilisatrices sur le continent
Une fois de plus Mr Malanda,Mr Denis Sassou n’est qu’un detail la vraie source du problème c’est la france qu’il faut root out par les canons comme disent les Anglophones.Mr Malanda,organisez vous et les Algeriens peuvent vous aider a chasser la farce du Congo,ils ont l’experience comment on chasse les empires.
Mr Guy Grenardin MILANDOU dit :
« Il m’est très facile de répondre à votre observation. La réponse est contenue dans le titre de ma réflexion. J’y parle de deux dernières cartes : le dialogue ou le putsch. »
Vous pouvez zapper le dialogue et passer directement au putsch, ce n’est pas moi qui vous en empêcherais. Mais un putsch se prépare et se finance. Monsieur Milandou, vous êtes prêt à verser combien d’euros pour un putsch ? Un conseil toutefois, si vous optez pour le putsch, évitez des gens comme Moudilou, il ira vous vendre à Brazza.
Le fils du pays dit :
« Mr Malanda,croyez vous que le gouverneur noir-valet de l’empire français Mr Denis Sassou peut-il quitter son poste sans l’avis et l’autorisation de son employeur la france.
Mr Malanda,Mr Denis Sassou n’est que l’arbre derriere lequel se cache la france.
Mr Denis Sassou est le premier complice de la france au Congo avec qui elle pille les ressources du Congo… »
La France joue un rôle important dans la politique congolaise, c’est indéniable. Mais les Congolais ont la fâcheuse tendance à exagérer ce rôle. L’obscurantisme géopolitique des Congolais est du pain béni pour la France ; elle n’a même pas besoin de développer des stratégies d’infantilisation, les Congolais s’en chargent eux-mêmes et gratuitement. Quel dommage !
L’esclavage est une plaie de l’humanité. Le vrai esclavage est celui qu’on entretien dans la tête du dominé. Il devient comme un oiseau dans une cage ouverte; il tourne en rond alors qu’il peut s’envoler vers la liberté. Et si par hasard il découvre la porte, il ne s’envole pas bien loin de peur que le maître ne le rattrape. Oui, pourquoi s’envoler si le maître est tout-puissant ?
Non le Congo mérite plus que cette prison à ciel ouvert. Réveillons-nous et libérons-nous du colonialisme mental.
Je viens de lire attentivement les 17 interventions qui suivent les réflexions de Monsieur Malanda.
Je ne suis pas congolais mais tout ceci me permet de mieux comprendre votre pays qui m’est très cher .
Sachez que vous êtes lus par le clan de Sassou et par les rédacteurs de la Pravda de Brazzaville.
Les interventions lucides de Monsieur Malanda doivent profondément déstabiliser tous ces voyous.
Enfin je répète une nouvelle fois, comme Monsieur Malanda, que nous devons arrêter de focaliser
sur la France.
Si les Congolais veulent chasser ces voyous du pouvoir, ni la France, ni aucun autre pays ne les
empêchera car ils sont grillés partout.
C’est au peule de décider.
Lire … » C’est au peuple «
SASSOU N’EST L’OMBRE QUI CACHE LA FORET, LE PROBLEME DU CONGO B. C’EST LA France AVEC UNE MAUVAIS IDÉOLOGIE SUR LA CHANSON DE TOUS LES TEMPS LES INTÉRÊTS DE LA France. SUITE A CECI LA France N’A RIEN A CIRER SUR NOS CONDITIONS DE VIE ET SURTOUT QU’AVEC SASSOU LE TERRORISTE TOUT VA BIEN POUR LA France.
A NOUS DE FAIRE COMPRENDRE LA France DE CHANGER SA POLITIQUE AU CONGO B. NOUS NE VOULONS PLUS DIVISER OU TUER COMME DES CHIEN SANS VALEUR (CE QUI SE PASSE DANS LE POOL A HUIT CLOS SANS COULOIR HUMANITAIRES NI ASSISTANCE).
– SANS LA France SASSOU NE SERAIT PAS REVENU AUX AFFAIRES
– SANS LA France SASSOU N’AURAIT PAS PU CHANGER SA CONSTITUTION
NOUS SOMMES DES ESCLAVES DE LA France AVEC UNE PORTE GRANDEMENT OUVERTE, MAIS NOUS VOYONS PAS LA PORTE PAR CE QUE
1- ON SE DIT SOIT MÊME FRANÇAIS SANS L’ÊTRE RÉELLEMENT
2- AVEUGLER PAR LA GRANDEUR DE LA France
NOUS DEVRONS CHANGER NOS MENTALITÉS, DE SE DIRE CONGOLAIS, LE CONGO EST AUSSI RICHE QUE CHACUN DE NOUS TROUVERA SON COMPTE, SANS ÊTRE DIVISER OU TUER.
FAISONS COMME LES AUTRES VENDIRENT NOTRE PÉTROLE A UNE AUTRE PUISSANCE, QUE DEMANDERONS LA PROTECTION.
LA France N’ÉCOUTE PAS NOS PLEURES, NI NOS LAMENTATIONS, LA France VA NOUS COMPRENDRE QU’A FORCE ÉGALE C’EST-À-DIRE UNE AUTRE PUISSANCE EN FACE DE LUI. C’EST AUX CONGOLAIS DE LE FAIRE PAS ASSOCIÉ VOS AVOCATS.
Mr Malabda ravi de te savoir revenu. Pour ton texte, il faut barrer l’idee des conseillers ayant mal conseillé le tueur en serie du congo.
Sassou a tous les pouvoirs y compris le pouvoir de decider outre ses sous disant conseillers.
Le pouvoir est le gibier, selon la perception de Sassou, et que pour lui, le gibier serait dans son filet à lui.
Il est donc probable que Sassou aurait consrillé à ses conseillers de se plier à sa vision du pouvoir autrement, il serait puni par le kani. Bowao, okombi, j3m …. qui ont decide de dire non subissent des affres du kani.
Dans vos écrits, évitez de dresser du cas Sassou une image au conditionel. C’est un criminel et tout ce qu’il fait se trouve dans l’agenda criminel qu’il s’est fait comme ideal politique.
Il n’y a pas de dialogue avec lui. Il a joué, il a perdu, il doit partir. S’il ne part pas, les congolais doivent penser, parler, ecrire et consulter que sur le depart de ce triste personnage.
Peut etre que la chasse au gibier Sassou est activée. L’avenir nous le confirmera.
Des vrais fous ont conseillé un (1) véritable FOU. Le résultat est là!
Sassou DEVRA répondre impérativement de tous ses CRIMES. Sur ce précisement, il n’y aura aucune négociation en la matière avec lui, un VOLEUR-ASSASSIN, et Haut-TRAITRE, s’il vous plait!
L’avenir de la (nation) en dépend fondamentalement.
Tapis tout noir…
POINT!
L’AP* dit:
[Aujourd’hui, ce ne sont pas les sudistes (en dehors de Munari) qui le défient, ce sont des ressortissants du nord : Mokoko, Okombi et Bowao. Ce trio est le cauchemar de Sassou, parce qu’il brouille totalement sa stratégie de la conservation du pouvoir dans le triangle Owando-Oyo-Olombo. Il a réussi à écarter très facilement Tsaty Mabiala et est venu à bout de Kolélas par l’intimidation. Du sud, seule Munari a tenu ferme, d’où son embastillement temporaire.]
Plus de trois (3) décennies plus tard, via la conférence nationale où il fut même autrement gracié contre toute logique républicaine et éventuellement juridique; toujours »espérer » une éventualité de dialogue avec un »sourd » original, de surcroît un fou joyeux, clairement bien diagnostiqué populairement depuis des lustres, c’est vraiment exposer soi-même ses limites intellectuelles en imagination…
Et par ailleurs, pour ne retenir que la dernière phrase du paragraphe entre crochets plus haut, car le préalable ne vaut même la moindre attention, croire tout bonnement à cette »plaisanterie » d’un goût très amer à propos de Munari, dénote aussi d’une naïveté et ignorance politiques suicidaires, sans appel.
Ne vous méprenez guère, ne prenez pas vos vessies pour des lanternes pour autant. Vous faites de la peine, honnêtement…
Pauvres con-go-laids! Abandonnez l’imaginatif, passez au concret. Il se fait tard!
Veuillez BIEN vous »identifier »!
{AP: Auteur du Post}
//Urgent// – Mgr Portella de passage à Paris invite la diapora à une réunion ce lundi 23/05/2016 à 19H00.
Les bombardements qui frappent le département du Pool ont, à l?heure où l?ont écrit ces lignes, d?ores et déjà fait plusieurs blessés et provoqués la mort de plusieurs personnes. Les destructions sont nombreuses, les routes sont occupées par l?armée et les populations rurales encore laissées à elles seules à cause de la difficulté d?accès des ONG humanitaires.
Face à la catastrophe, Mgr Portella de passage à Paris invite les associations congolaises de la diaspora à une réunion d ‘information pour lancer un appel aux dons pour les sinistrés du Pool.
Lieu de la rencontre : CONGRÉGATION DU SAINT-ESPRIT
Adresse : 30 rue Lhomond, 75005 Paris
Ligne : 7
Métro : Place Monge
Tel : 031-47-07-49-09
Large diffusion…
Au Royaume Des Aveugles – Les Borgnes Sont Rois dit :
« Ne vous méprenez guère, ne prenez pas vos vessies pour des lanternes pour autant. Vous faites de la peine, honnêtement… »
Eclairez nos lanternes, ô grand maître de la lumière ! Aidez-nous à sortir de notre ignorance crasse et à vaincre notre obscurantisme millénaire !
« Pauvres con-go-laids! Abandonnez l’imaginatif, passez au concret. Il se fait tard!”
Grand maître, soyez un tantinet humble. abandonnONS l’imaginatif et passONS au concret. Si le Congo est une cause commune, apprenons à éviter les injonctions, cher roi des aveugles. Nous attendons le CONCRET que vous nous promettez. Je suis preneur.
« Veuillez BIEN vous »identifier »! »
L’hôpital qui se moque de la charité ? Je suis Pascal Malanda et vous, vous êtes monsieur …??? C’est trop facile d’éructer derrière un masque. Ailleurs ça s’appelle lâcheté.
Pascal Malanda
Ah yayaye, il se fache, pour si peu!
J’écrivais aussi, en essence:
[Plus de trois (3) décennies plus tard, via la conférence nationale où il fut même autrement gracié contre toute logique républicaine et éventuellement juridique; toujours »espérer » une éventualité de dialogue avec un »sourd » original, de surcroît un fou joyeux, clairement bien diagnostiqué populairement depuis des lustres, c’est vraiment exposer soi-même ses limites intellectuelles en imagination…
Et par ailleurs, pour ne retenir que la dernière phrase du paragraphe entre crochets plus haut, car le préalable ne vaut même la moindre attention, croire tout bonnement à cette »plaisanterie » d’un goût très amer à propos de Munari, dénote aussi d’une naïveté et ignorance politiques suicidaires, sans appel.]
Oh, je suis Saskia De Lang, si ça peut vous aider à vous refroidir et répondre à votre courroux spontané, à votre passivité exceptionnelle et légendaire de con-go-laid, et paradoxalement à votre courage et bravoure hors pair!
Vous avez sûrement un réfrigérateur à la maison ou au »boulot »: de l’eau glacée, peut-être?
European External Action Service/
Avez-vous le choix? Bien sûr que vous ATTENDEZ, et que vous êtes PRENEUR!
NOUS, le savons depuis longtemps.
European External Action Service/
« Ah yayaye, il se fache, pour si peu! »
Monsieur Maskia de L’Ombre. Si la mort des milliers de vos compatriotes vous amuse, zappez-moi. On pourra rire plus tard lorsque la situation reviendra à la normale Au Congo. Ayez pitié du Pool qui brûle par la complicité de votre cynisme.
Oui, je suis preneur, mais surtout donneur. Mais apparemment, vous n’avez rien à offrir à votre peuple en détresse.
Zappez-moi s’il vous plaît !
Pascal Malanda
Je le reitere une fois de plus que chercher a acquitter la france en minimisant son role dans le drame Congolais c’est une maniere de vouloir berner les gens.La france est bien la source du probleme Congolais,sans l’appui et le soutien de la france,Mr Denis Sassou n’aura jamais accede au trone.Ce dernier est qu’un detail,il est place la pour servir la france.Raison pour laquelle en homme tres lucide je le repete qu’on ne peut pas dissocier Mr Denis Sassou de la france d’ou la proposition d’une solution globale et definitive,la chasse du Congo de l’empire francais,ses multinationales,ses agents et son valet par la force brute comme l’ont fait les Algeriens et les Vietnamiens un point un trait.Le reste c’est du bla bla
Erreur, c’est Madame; Madame Saskia De Lang, s’il vous plait!
Très bien donc, on vous zappe.
Le fils du pays dit:
» on ne peut pas dissocier Mr Denis Sassou de la france d’ou la proposition d’une solution globale et definitive,la chasse du Congo de l’empire francais,ses multinationales,ses agents et son valet par la force brute comme l’ont fait les Algeriens et les Vietnamiens un point un trait.Le reste c’est du bla bla »
Affirmation louable, mais la réalité est que nous sommes trop loin du compte; trop d’égoïsme et de traitrise.
Pour agir comme l’Algérie ou le Viêt-Nam, il faut une grande unité nationale. Or, à regarder dans quel état se trouvent les grands partis comme l’upads ou le mcddi. Commençons par conscientiser la population. Travail de longue haleine.
Pascal Malanda
Pertinente analyse, Mr Malanda. Ma question est: qui conseille Sassou? ses enfants, sa femme, ses neveux et nièces, ses oncles et tantes, leurs nombreuses concubines, les gendres blancs comme François Soudan qui n’ont besoin que de l’argent et s’en foutent d’eux…? Aussi je me demande si Sassou lui même à une bonne santé mentale. Sassou et sa famille ont peut etre une bombe atomique qu »ils largueront sur le Congo, à la mort du dictateur qui se croit Tout puissant et irremplaçable, pour signer la fin de l’existence du pays. En tout cas notre beau pays est dangereusement pris en otage par des écervelés! Dans tous les, ils ne sont pas maitre de l’univers. Les lois éternelles qui maintiennent les étoiles à leur place, qui dirigent les planètes, les océans et autres, qui établissent et renversent les rois…diront leur dernier mot. Je crois a la justice de la vie qui retablira l’harmonie, l’ordre, la paix et la prospérité au Congo.et tout ira bien pour notre pays car il y a un temps pour chaque chose.
De nombreux congolais semblent l’oublier, or c’est parce que la France continue de refuser également de déposer un projet de «Résolution» pour la paix au Congo-Brazzaville devant le Conseil de sécurité de l’ONU, ce nouveau projet qui devait neutraliser l’ancienne résolution de Jacques Chirac de 1997 qui soutenait le coup d’État de M. Sassou Nguesso, est attendu. Tant que la France ne dépose pas ledit projet de Résolution sur le Congo Brazzaville, et, comme M. Sassou Nguesso ne pourra jamais autoriser aux humanitaires de pénétrer dans la région du Pool, ainsi alors ni le CICR, Amnesty, la FIDH, l’OCDH, le RPDH, et ni même la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies n’iront pas travailler sur la solution à la condition humanitaire dans ce pays…
De ce fait, M. François Hollande qui ne s’engage pas à fond pour l’instant, devrait décider pour le Congo-Brazzaville même à titre humanitaire pour changer cette mauvaise politique africaine de la France. Pourquoi alors la France s’est engagée en Syrie, Afghanistan, Mali, RCA, etc… Pourquoi?
Arrêter d’attendre la France. Ce n’est pas votre pays. Elle défend ses intérêts et son droit. Par contre, les congolais doivent défendre aussi leurs intérêts: souveraineté, indépendance économique, culturelle et politique. On ne peut pas, ne doit pas demander à Hollande, de décider pour le Congo Brazzaville au 21° siecle. C’est aberrant. Vous vous demandez pourquoi la France s’est engagée en Syrie, Afghanistan, Mali, RCA, etc. Vous vous posez cette question parce que vous faites parti des naïfs congolais qui croient encore à l’ingérence humanitaire inventée par l’ami françafricain B.Kouchner. Vous n’avez pas compris que les guerres citées plus haut ne sont pas, et n’ont jamais été des guerres de libération des peuples pour instaurer la démocratie. La France est intervenue dans ces pays Parce qu’elle avait intérêt à le faire. Vous vous êtes laissé berné par le meanstream médiatique. Sachez M. Important, qu’il n’y a pas de guerres sans intérêts géopolitiques. C’est l’essence même de la guerre. Alors s’il vous plaît, arrêter de pleurnicher auprès de la France, arrêter d’implorer la France au risque de nous infantiliser une fois de plus. Enfin, prenons nous même les choses en main, car l’instauration de la démocratie ne peut et ne doit pas être un acte exogène. C’est parce que vous croyez aux miracles que vous continuez à croire à une force venue d’ailleurs pour vous sauver et faire le boulot à votre place. NON. Il faut que cette attitude d’eternel colonisé cesse immédiatement.
Une dernière chose. La France n’a pas d’ami, elle n’a que des intérêts, dixit le general DeGaule. A retenir une bonne fois pour toute.
Cher Bulukutu
Vos paroles sont une grande consolation face à la capitulation du peuple congolais. Un peuple qui s’est levé en 1963 avec un courage inouï contre Youlou qui aurait tout volé. Aujourd’hui, le vol est institutionnalisé et le peuple rampe. Ngouabi était injustement incarcéré à la base en 1968, des camarades d’armes (parmi lesquels Sassou) sont allés le libérer. Aujourd’hui, des leaders politiques et un ex-général sont incarcérés, l’armée rase les murs, le peuple dort. Entre-temps, on accuse la France à longueur de journée.
Il est vrai que le peuple congolais a été traumatisé par des guerres interminables et d’une violence inimaginable. L’un des objectifs des dictatures a toujours été de tétaniser les populations afin de leur ôter toute velléité de contestation. Mais est-ce suffisant pour justifier que Makoua soit si calme alors que Mokoko est emprisonné? Que Lekana soit silencieuse tandis que Ntsourou et Okombi sont en prison? Que Mouyondzi reste coi tandis que Munari est encerclée ? Que Mindouli somnole tandis que Ntoumi est traqué ?
Peut-on imaginer un seul instant que Sassou encerclé quelque part sous le régime de Lissouba, Oyo serait restée 48 heures sans se lever ?
Loin de moi l’intention d’ethniciser la situation politique congolaise actuelle. Ce sont tous les Congolais qui devraient se lever pour défendre, non pas Ntumi, Mokoko, Okombi, Munari et Bowao, mais le droit fondamental à la liberté d’expression et de mouvement. Nous tous, Congolais devrions nous lever pour empêcher l’armée de martyriser la région du Pool. Ou c’est notre armée, alors elle défend le peuple, ou c’est une armée d’occupation alors nous avons le droit et le devoir de la combattre.
On peut détester Ntsourou, Ntumi, Mokoko, Okombi, Munari et Bowao pour les fautes qu’ils ont commises par le passé, mais au nom du sacro-saint principe de la liberté d’expression et de mouvement inscrite dans toutes nos constitutions, nous avons le devoir de dénoncer cette injustice. Ce combat est inter-congolais et exige de nous plus de courage. C’est un corps à corps politique, la France n’y a rien à faire !
Arrêtons de donner à la France le pouvoir qu’elle n’a pas, celui de nous empêcher de critiquer nos propres compatriotes qui s’égarent. Si nous sommes réellement une nation, apprenons que le linge sale se lave en famille, la France n’utilise que nos lâchetés !!!
Pascal Malanda
Méditons ceci
« Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes,
je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Lorsqu’ils ont enfermé les sociaux-démocrates,
je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Lorsqu’ils sont venus chercher les syndicalistes,
je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Lorsqu’ils sont venus me chercher,
il ne restait plus personne
pour protester. »
Martin Niemöller
@ Bakala Télama,
Avec les coupures de courant, on est très souvent déconnecté du net. Mon frère Malanda a déjà repondu à vos préoccupations sur Owando. J’ajouterai tout simplement ceci: Aujourd’hui, ce n’est pas hier même si l’histoire d’hier ne doit pas être ocultée sinon on ne construira pas l’avenir. Beaucoup des nordistes se refèrent justement de ce passé pour comprendre que le mal du congo c’est bien sassou qui les a entrainé dans des voies sans issu depuis longtemps. Ceux qui le suivent encore n’ont pas encore compris et nous sommes là pour le leur mettre dans leur petite tête et rassurez vous, nous sommes nombreux dans ce cas. Sassou et sa bande le savent très bien.
Le carré Ollombo, Oyo Tckikapika, Obouya et Boundji ne representent pas le nord.
Qui pouvait penser qu’un nordiste pouvait s’opposer à sassou comme le font Mokoko et Okombi aujourd’hui et hier Dzon, Miérassa qui à force de combat perdus se taisent. Arrêtons de penser que le nord est soudé derrière sassou.
Dans Zenga Munbu, repondant à un frère, je lui ai faite cette reponse.
« D’accord avec Le temps. Nous ne sommes plus ici à défendre quoi que ce soit si ce n’est notre victoire volée. Les injures ne servent à rien,çà n’a jamais été un argument. Je voudrai rappeler à mon frère Mampassi que l’orsque l’on est dans une dynamique comme celle de la FROCAD/ IDC, il faut rester souder. A la moindre fissure, l’eau s’infiltre. L’attitude de Kolélas et Tsaty Mabiala qui ont reconnu tout de suite la victoire de M. 8% sachant qu’il n’a pas gagné cette élection n’est pas correcte politiquement parlant. Ils n’ont pas voulu mettre les gens dans la rue, n’empêche que sassou est allé massacrer dans le pool sans demander ni à Kolélas, ni à Tsaty Mabiala.
La politique est avant tout une affaire des courageux qui ne se débinent pas au premier coup tiré par un putchiste connu.
Il ne sert donc à rien d’indexer les autres membres du FROCAD/IDC qui résistent par leur conviction à défaut de prendre les armes. Et si l’on peut aller à la négociation, c’est que sassou reconnait non seulement cette résistance bien fondée mais aussi sa défaite sinon pourquoi négocier si l’on a été élu. »
Si notre ennemi commun est sassou, mettons le hors d’état de nuire et laissons aux congolais le soin de choisir un Président élu sans armes, sans nguiris l’essentiel est qu’il soit congolais. Le nord et le sud n’est qu’une vue d’exprit des tribalistes qui ne doivent leur existence qu’en surfant dessus. Laissons à sassou et ses yaka noki noki cette manière de voir les choses et continuons à les traquer par la parole puisque nous n’avions ni armée ni canons, ni nguiris.