Les cadavres de Jean Jacques BOUYA finissent à la casse

Un avion de la défunte compagnie PrivatAir demantelé à Genève

Aéronef abandonné

Article Marc RENFER

Délaissé sur le tarmac de l’aéroport de Zaventem, l’appareil va être recyclé. Retour sur son passé mouvementé

La silhouette longiligne du Boeing 757 est restée plus de sept ans sur le tarmac bruxellois, à côté de terminaux de kérozène. L’avion, qui affiche toujours son immatriculation suisse à l’arrière du fuselage, a vu son état se dégrader au fil des intempéries et de l’absence d’entretien.

Délabrée, sale et « cannibalisée » (il lui manque un réacteur), elle qui a volé pour la première fois en 1994. Des travaux de démantèlement doivent débuter fin mars, a annoncé l’aéroport de Bruxelles, devenu propriétaire de l’appareil après l’accumulation d’impayés.

L’histoire mouvementée de cet avion passe par Genève. S’il a beau porter les couleurs de la défunte compagnie congolaise ECair, le Boeing a appartenu à PrivatAir, compagnie d’affaires installée à Cointrin depuis 1977, qui a fait faillite fin 2018.

Fiasco aérien congolais

Une enquête de la TRS avait révélé en 2017 le fiasco de ce projet aéronautique africain aux origines très suisses. Censée « contribuer à la modernisation du secteur des transports aériens de la République du Congo », ECair a surtout laissé un trou de 400 millions d’euros dans les caisses de l’Etat africain. Népotisme, mauvaise gestion, et surcoûts ont condamné le projet.

Dans les faits, ECair dépendait de deux structures suisses. La première était une entreprise enregistrée à Lugano qui avait su convaincre Jean-Jacques Bouya, ministre congolais des « Grands travau » ». Cette société de conseil mettait à disposition des équipes d’assistance technique. <<La seconde était PrivatAir. La compagnie Genevoise a fait voler une partie de la flotte  congolaise sous pavillon helvétique en mettant à disposition avions et équipages. La banqueroute d’ECair a précipité celle de PrivatAir. Une partie substantielle de ses revenus dépendait de ses affaires avec Brazzaville.

Lors de sa faillite, la direction de PrivatAir, sans évoquer les impayés d’ECair, s’était limitée à évoquer « un nombre d’évènements qui ont eu un impact significatif sur les prévisions d’affaires et de viabilité de l’entreprise ». Ainsi s’est bouclée une saga de plus de quarante ans. La compagnie avait été créée par la famille Latsis en 1977  sous le nom de PetrolAir. Les milliardaires grecs l’avaient vendue en 2009.

Le hasard fait que le Boeing 757 retrouve indirectement la Suisse pour ses dernières heures de vie. C’est en effet une société vaudoise spécialisée qui a racheté la carcasse pour la revaloriser.

« D’abord, nous allons valoriser les pièces détachées », explique Scott Roberson, président d’Eco Fly. Certains éléments seront proposés à la vente pour leur trouver un usage alternatif (cockpit, etc.). « Finalement, notre principal objectif reste le recyclage, avec la récupération de matières premières, comme l’aluminium. »  Suite sur  https://www.tdg.ch/un-avion-fantome-genevois-demantele-a-bruxelles-192346142447

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11 réponses à Les cadavres de Jean Jacques BOUYA finissent à la casse

  1. Le fils du pays dit :

    le fils du pays
    Saufs les nervis de la fripouille Sassou Denis qui pourront vociferer bien sur a tort comme d’habitude.Depuis Juillet 1968 que Ngouabi Marien a ramene tous ces broussards Cuvettois et Yaka noki noki au pouvoir rien ne marche dans ce pays.
    Ils ont detruit toutes les structures sociales et economiques laissees par le President Massamba Debat.C’est depuis plus d’un demi siecle qu’ils montrent aux yeux de tout le monde leur manque du serieux,leur mediocrite,leur amateurisme,leur bricolage,leur improvisation,leur incapacite,leur manque de suivi et leur incompetence.
    Bref,ils n’ont aucune competence.Voila pourquoi tout ce qu’ils improvisent surtout a coup de milliards ne reussit pas.Allez voir tous les bricoles qu’ils ont fait depuis l’an 2000 dans quel etat se trouvent ils.
    Un pays avec de colossaux moyens financiers qui manque de tout.
    Pas d’hopitaux,pas d’eau potable,pas d’electricite,pas d’emplois,pas d’infrastructures,les bidonvilles anarchiques qui puent du caca partout,insalubres et qui s’etendent a l’infini,un peuple qui vit dans les taudits et qui utilise les latrines.
    Le peuple Congolais dans son ensemble du Nord au Sud et de l’Est a l’Ouest doit comprendre l’urgence de faire partir du Congo Sassou Denis,sa caste et sa nomenklatura par tous les moyens.

  2. Val de Nantes dit :

    Je fais une proposition aux congolais : Demandons à Macky Sall de venir illico prendre la place de Denis pour nous aider à mettre le train Congo Brazzaville sur des bons rails… Ce Sall est capable de faire du Congo Brazzaville un petit dragon de l’Afrique centrale. N’en ayons aucune honte.
    Misère oblige !!.

  3. le fils du pays dit :

    le fils du pays
    Ne faites pas la meme chose si vous voulez de resultats differents dixit le dicton.
    Hors la fripouille ivoiro beninoise Sassou Denis,sa caste d’abbey devenus Mbochis d’Edou-Oyo par le processus de l’integration par l’assimilation et ses ministrons font la meme chose depuis les decennies tout en esperant a chaque fois de resultats differents.L’indecrottable Sassou Denis totalise cinquante un(51ans) d’echec.Ses nervis du Pct ne me diront pas le contraire.De Juillet 1968 a Mars 1977,neuf (9 ans)il arrive au pouvoir dans le bagages du tres regionaliste et naif Ngouabi Marien qu’il fera assassiner quelques temps apres.Neuf(9ans) de demantlement et de destruction de structures sociales et economiques creees par le President Massamba Debat .Mars 1977 a Fevrier 1979,deux (2 ans),il est avec son acolyte de crime Yhombi qu’il va detroner peu apres.
    Fevrier 1979 a Juillet 1992,treize(13 ans),il monte au trone c’est l’ere des booms petroliers,du vol de deniers publics a visage decouvert ou lui et sa nomenklatura fetaient les millions voles des caisses de l’etat.C’est aussi l’ere de l’ouverture de portes du Congo a Mohasein Hodjeij et l’immigration economique libanaise.C’est l’ere des bricolages du plan quinquennal,de slogan bidon d’auto suffisance alimentaire d’ici l’an 2000 et nous sommes en 2024,le Congo importe toujours les denrees alimentaire pour 700 milliards chaque annee.C’est aussi l’ere de la pose de bombes dans les cinemas, l’Aeroport,l’assassinat de son acolyte Anga,le genocide d’Owando et de la perte du pouvoir par les urnes.
    Juin 1997 a 18 Mars 2024,vingt sept (27 ans) c’est la reconquette militaire du trone perdu par les urnes en 1992,les tueries d’Owando,dans le Niari,le genocide dans le Pool,les disparus du beach,mise en place de la mafia d’Oyo,tueries des anciens serviteurs,mise en place de la milice tribale comme l’armee nationale, transformation du tresor public en moulin a foufou,vol de boeufs don du peuple offert par le bresil,scandales financiers national et international,detournements massifs de deniers,simulacre des elections,creation de l’nsecurite,vol de 222 milles milliards d dollars de la rente petroliere,vol de 193 milliards pour l’adduction d’eau potable,vol de 14 milles milliards de generations futures,vente de terres aux Rwandais et d’autres, inondation du Congo des etrangers,bricolage dans la construction,pas d’eau potable,pas d’electricite, booms petroliers,pas des hopitaux,pas d’emplois, nepotisme, clientelisme,fiasco Eclair, fiasco Figa,fiasco, fiasco,echec,echec sur tous les plans.
    Bref, cinquante un (51ans) avec un bilan zero.
    Un petit rappel a Sassou Denis et ses nervis du Pct que la Construction de ville de Dubai ou vous aimez se rendre pour cacher l’argent,quemander l’aide financiere et faire la Java est estimee a seulement 108 milles milliards de dollars Americains.
    Vous avez vole plus que cette somme.
    A bas la fripouille d’Edou-Oyo,ses deputes,ses enfants,ses faux Ingenieurs,ses bricolages,sa caste, jean Jacques bouya et ses ministrons.
    Vive un Congo libre, debarrasse de toutes vermines.
    Gloire a tous nos vrais professionnels de divers domaines.

  4. Anonyme dit :

    DSN et toute sa clique : une honte internationale.
    Il n’y en a pas un pour rattraper l’autre, tous des charlots.
    Et tout ça pour quoi ? voler, voler et encore voler. Pitoyable.

  5. le fils du pays dit :

    le fils du pays
    A la fripouille Sassou Denis, a Patrick Gnoka depute d’Oyo alias Noko alias Petit David alias Ortega alias DSD et a tous les nervis du Pct qui racontent les conneries sur la toile.
    Dubai ou vous aimez tant aller cacher l’argent detourne des caisses de l’etat,quemander l’aide financiere et faire de la Java n’etait d’un desert jusqu’a les annees 90.Et ces bedouins arabes etaient encore sur les dos des dromadaires.Le cout total de la construction de la ville de Dubai est estime a 108 milles À Dubaï, on n’a pas beaucoup de pétrole, on a surtout des idées.Depuis le début des années 2000, quelque 600 immeubles ont été érigés à Dubaï
    Au Congo vous avez vole plus que cette somme et pour un bilan zero.
    Lisez un peu l’histoire de Dubai.

    Dubaï, la ville de tous les possibles, écrit son histoire record après record
    Dubaï est un chantier permanent. À chaque heure du jour et de la nuit, le tapage des outils mécaniques résonne des avenues de Downtown jusqu’aux quais de la Marina. Dans la ville-émirat, pas une année ne s’écoule sans la naissance d’un lieu stupéfiant. Le dernier en date s’appelle Atlantis The Royal. Inauguré en grande pompe en janvier dernier, cet hôtel ultra-luxueux se veut le plus exclusif du monde. Rien que ça ! C’est qu’à Dubaï, on voit les choses en grand. Première adresse estampillée Atlantis dans la ville, l’hôtel The Palm était déjà un symbole de démesure, avec ses allures de palais des Mille et Une Nuits, son immense parc d’attractions aquatiques et ses vestiges de cité antique, engloutis dans un aquarium.
    La silhouette de l’hôtel Atlantis domine l’extrémité de la Palm Jumeirah, face à la plage de The Point.
    En termes d’avant-gardisme architectural et d’extravagance urbanistique, Dubaï n’a aucun équivalent sur la planète. On y trouve des pistes de ski en plein centre commercial, des milliers de plantes tropicales sous un biodôme et un superbe musée curieusement dédié au futur. Mais d’autres réalisations vont beaucoup plus loin en remodelant la géographie de l’émirat, comme l’île artificielle de Palm Jumeirah, qui a doublé la longueur du littoral, ou encore The World Islands : un archipel de trois cents îles qui reconstitue un planisphère géant à quelques encablures de la côte.
    Un musée consacré au futur : une sorte d’oxymore architecturale qui prend la forme de ce superbe anneau calligraphié.
    Construire des immeubles sur un sol sablonneux est un tour de force, mais en élever un de 160 étages en seulement sept ans relève du prodige. Depuis 2008, la tour Burj Khalifa, qui s’élève à 828 mètres sur le quartier des affaires, est le plus haut monument jamais construit. La ville se plaît d’ailleurs à collectionner les records, avec la grande roue et l’hôtel les plus hauts du monde, le plus grand centre commercial, la plus grande fontaine et le plus long métro automatisé, pour ne citer que quelques exemples.
    La crique, où le développement de la ville a commencé, est devenue un site de promenade prisé des expatriés.
    Histoire d’une métamorphose
    Avec autant de réalisations spectaculaires, Dubaï défraie souvent la chronique. Omniprésente sur les réseaux sociaux, la destination met des paillettes dans les yeux d’une jeunesse fascinée par le luxe et la fête. Mais elle intrigue aussi. Comment le champagne peut-il couler à flots sur les rooftops huppés de Downtown pendant que l’appel à la prière résonne dans les souks de la vieille ville ? Comment les Dubaïotes, qui se déplaçaient hier encore à dos de dromadaire, se retrouvent-ils aujourd’hui au volant de bolides rutilants ?
    Loin des tours de verre, les quartiers cosmopolites du vieux Dubaï conservent une ambiance populaire.
    Jusqu’au milieu du XXe siècle, Dubaï n’était qu’un village de Bédouins et de pêcheurs de perles sauvages, sans route ni eau courante. Le cheikh Rashid Al Maktoum a grandi dans une maison sans électricité. Mais lorsque le marché de la perle s’est effondré, il est parvenu à transformer son petit bout de désert perdu au bord du golfe Persique en carrefour commercial. En empruntant au Koweït et au Qatar, puis aux Émirats, unis depuis 1971, ce dirigeant visionnaire a fait construire un port, tracer des routes et bâtir un aéroport. Autant de paris gagnants qui lui ont permis de développer des écoles et des centres de soins, avant d’ériger le tout premier gratte-ciel de la ville.
    Dès 1979, la Sheikh Rashid Tower, rebaptisée Dubaï World Trade Center, intégrait des solutions écologiques, comme sa structure isolante en moucharabieh.
    Au pouvoir depuis 2006, le cheikh Mohammed Al Maktoum, a hérité de son père Rashid un sens aigu des affaires et une capacité à agir. Sa devise : « Le futur n’est pas quelque chose que l’on attend, mais que l’on crée. » Après le commerce et la finance, il a fait de l’immobilier et du tourisme les nouveaux pôles économiques de son émirat. Et encore une fois, l’audace a payé. Sans avoir misé sur le pétrole, dont il est peu pourvu, l’ancien port de pêche parvient aujourd’hui à attirer plus de touristes, plus de cargos et plus de capitaux que bien des pays occidentaux.
    Un autre record détenu par Dubaï est celui du nombre d’immigrés. Tout ce bel édifice repose évidemment sur eux. Plus de 90% des 3,3 millions d’habitants sont des étrangers. Au total, 180 nationalités de toutes confessions religieuses cohabitent en sécurité dans ce creuset ethnique quasi utopique, doté d’un ministère de la Tolérance. Beaucoup y vivent confortablement. Certains y font même fortune. Mais un bon quart s’échine toujours sur des chantiers de construction, dans des conditions harassantes régulièrement dénoncées.
    Le visage de Dubaï ne cesse de changer. De vastes zones encore disponibles accueilleront les projets de demain.
    Un futur modèle de durabilité ?
    Les 10% de Dubaïotes, auxquels l’état providence demande tout de même d’occuper un emploi, sont les mieux lotis. Leur confort de vie ne les éloigne cependant pas du désert. La plupart y ont une maison secondaire où ils se précipitent chaque week-end pour retrouver les plaisirs simples de leurs aïeux bédouins.
    Aux portes de la ville, les magnifiques dunes du Rub Al Khali invitent les visiteurs à faire connaissance avec cette facette plus authentique de l’émirat. Observation des oryx, démonstration de chasse au faucon, balades à dos de dromadaire, musiques et repas traditionnels sous la tente sont au programme de journées organisées dans des zones de conservation naturelle. Pour des agences responsables comme Platinum Heritage, défigurer les dunes à bord de puissants 4×4 n’est plus vraiment dans l’air du temps.
    Des visites respectueuses du désert à bord de Land Rover historiques sont révélatrices d’une évolution des mentalités.
    Pendant ses années de croissance folle, on pouvait reprocher à Dubaï une totale indifférence aux problématiques environnementales. Le ski en salle n’en était qu’un exemple. Il y a moins de vingt ans, les Émirats arabes unis étaient encore le pays à la plus forte empreinte écologique par habitant au monde. Mais une prise de conscience est à l’œuvre et les choses évoluent. L’accueil de la Conférence de l’ONU sur les changements climatiques COP28, du 30 novembre au 12 décembre prochain, en témoigne.
    Accessible aux non-résidents de l’Atlantis The Palm, l’aquarium The Lost Chambers est à l’image de Dubaï : démesuré. – Jean-Claude Urbain
    Sur le terrain, les projets immobiliers durables se multiplient. Des quartiers pilotes, comme The Sustainable City, produisent plus d’énergie renouvelable qu’ils n’en consomment. Et dans le désert, une centrale solaire de 77 km2, en cours de construction, fournira bientôt l’électricité la moins chère du monde. Telle est la volonté du cheikh Mohammed, qui a décrété qu’avant 2050 Dubaï tirerait 75% de son énergie de sources propres. Mieux, il entend obtenir la neutralité carbone en 2071, pour les 100 ans des Émirats arabes unis. On peut parier sur sa réussite, puisqu’à Dubaï, rien n’est impossible. Surtout lorsqu’il y a un record à la clé !

    A bas Sassou Denis,sa caste, sa nomenklatura,ses faux Ingenieurs en herbe made in Tsambitso,ses faux Ingenieurs Chinois,ses fausses entreprises Chinoises et ses ministrons.
    Vive un Congo libre,debarrasse des idiots,paresseux,mediocres,incompetents et des autres vermines.
    Gloire a tous nos vrais professionels de l’Ingenierie et de l’Architecture.
    Gloire a tous nos vrais professionels des autres domaines.

  6. DSD dit :

    meme les avions dair france sont demanteles. vous netes pas des experts de lindustrie aeronautique. quest ce qui vous emeut la dans? le demantelement est letape extreme dans la vie dun avion. au niveau de laeroport de pointe noire en bout de piste pratiquement vous y verrez des b 737 et autres dc 9 demanteles.

    pourquoi naimez vous pas la lecture? lisez et vous necrirez plus du nimporte quoi. meme les airbus a 380 ont ete demanteles

    AU SUJET DE LHOTEL MISTRAL LA OU AURAIT ETE ASSASSINE LE COMMANDANT MARIEN NG LUN DENTRE VOUS A RECONNU SON INEXISTENCE.CET HOTEL NA JAMAIS EXISTE.DOCN MARIEN NG AVAIT ETE TUE A DOMICILE.

  7. Val de Nantes dit :

    Oui ,du désert, est sortie une ville magnifique, où les fous d’oyo et compagnie s’y rendent pour y déverser les milliards soustraits au trésor public,avec la complicité bénie du vieux Ngondo .
    Congo Brazzaville,une malédiction Marienne couplée avec la sentence folichonne de Youlou.
    Vite ,il faut Bassourisser le Congo Brazzaville

  8. le fils du pays dit :

    le fils du pays
    A Patrick Gnoka depute d’Oyo ville alias Noko alias Petit David alias Ortega alias DSD et a toute la nomenklatura.Juste un petit rappel que la Ville de Dubai ou vous aimez aller cacher l’argent vole du tresor public,quemander l’aide financiere,faire le shopping et faire de la Java,le cout de sa Construction est estime a cent huit(108) milles milliards de dollars Americains.Vous,vous avez vole 222 milles milliards de dollars americains de la rente petroliere,14 milles milliards cfa soit 21 millions d’Euros de generations futures que la fripouille elle meme pour une fois dans sa vie reconnait existence de cette somme gardee probablement dans les tombes a Edou-Oyo ou dans les paradis fiscaux.Vous avez aussi vole 193 milliards cfa pour le projet d’adduction d’eau potable.Sassou Denis totalise cinquante un (51 ans) d’exercice du pouvoir l’unique chose qu’il a pu faire c’est se decaper la peau,mettre le yombo et les crimes.Le voila maintenant inviter les touristes Chinois a visiter le Congo.Du sublime au ridicule il n’y a qu’un pas dixit le dicton.
    Qu’est ce que les chinois vont venir visiter au Congo?.La pauvrete,les immondices dans les rues,les taudis,le manque d’eau potable,le manque d’electricite,le manque de transport,le manque d’infrastructures,les mauvaises odeurs,la salete etc..?
    Il ne sait meme pas que l’etat moyennageux dans lequel se trouve le Congo tout le monde le voit a travers les televisions inclus les Chinois.
    Ils n’ont pas besoin de se deplacer vers le Congo pour voir cela.Les Chinois preferent visiter la tour eiffel ou encore Dubai

  9. le fils du pays dit :

    A Patrick alias Noko alias Ortega alias Marie Blanche alias Petit David alias DSD et tout le reste des abrutis du Pct qui passent leur temps sur la toile a raconter les sottises.Lisez mes critiques toujours constructives,objectives et mes recommendations a suivre a la lettre telles que je les prescris.
    Transmettez les a votre demi dieu d’Edou et qu’il arrete de tourner ses pouces.
    Qu’est ce qu’a conduit Sassou Denis,Jean Jacques Bouya et leur direction générale des grands travaux à l’échec?.
    Mis à part le vol des deniers publics par l’ingenierie de surfacturation et la participation de fausses societes du BTP.
    Parmi les nombreuses causes de ce cuissant échec,il y a l’improvisation,la précipitation,l’amateurisme et surtout le manque d’organisation en amont de toute la structure préalable au lancement de toutes les activités de la construction.
    Il fallait tout d’abord organiser l’ossature même de la structure qui allait s’occuper de la construction:
    1*lancer un appel international et national à tous les cadres et techniciens Congolais du genie civil et la construction pour une réunion débat qui allait aboutir à la formation d’une commission technique nationale chargée d’élaborer les textes et règles qui allaient gouverner le domaine de la construction(standards,les normes etc)
    2*Création simultanement d’une grande sociéte d’état de la construction chargée d’exécution des travaux et la maintenance des infrastructures et un bureau d’études charge d’écrire les projets,contrôle et leur suivi, respectivement avec leurs antennes sur tout le long du territoire national.
    3*Equipement de la sociéte d’état et le bureau d’études en moyens mécaniques,techniques et humains recrutés sur base de compétences.
    4*Mise en place des unités de production de matériaux de la construction.
    5*Création des écoles de métiers de la construction.
    6*Création de la banque de la construction avec un personnel recruté sur critère de compétence et intégrite morale dont l’opération principale est d’éffectuer les paiements des travailleurs de l’état du secteur de la construction et les factures préalablement verifiées des entreprises sous traitantes ayant realiser les travaux pour le compte de l’état.
    7*Mise en place d’un bureau d’audit interne pour le contrôle mensuel du fonctionnement de toutes ces structures,chapeauté par un cabinet d’audit prime,compétent chargé lui aussi de réaliser les audits plus approfondis de l’ensemble de la structure et la revue des rapports des audits du bureau interne ainsi émettre un rapport final validant ou non les activités de la structure générale.
    Jean Jacques Bouya et sa direction de petits proclament haut ils construisent. je dis non ,’ils bricolent et dans un désordre absolu.
    Ils devront d’abord mettre au point un bureau d’études national qui va élaborer un schéma directeur. La responsabilité majeure concernant la conception, la planification et le développement des projets sera assumée notamment par ce dernier.
    Mise en place d’une société nationale de construction qui exécutera ces projets conçus par le bureau d’études national avec le travail concerté de sociétés privées congolaises et la coopération des sociétés internationales.
    Les projets doivent vraiment justifier leur raison être telle que sociale, culturelle ou économique

  10. le fils du pays dit :

    le fils du pays
    Les Architectes doivent dénoncer l’anarchie urbaine
    La politique urbaine au Congo si elle existe une c’est un désastre.
    Les Architectes sont totalement marginalisés par le pouvoir d’Oyo.Les Architectes doivent poser le problème de l’urbanisation et de l’aménagement du territoire. Ils doivent parler de ces maisons construites à la hâte dans les quartiers et qui ne répondent à aucune norme Architecturale.Ils doivent souligner comment l’absence de concertation avec les professionnels a longtemps donné naissance à des villes hideuses,comme Brazzaville,Pointe Noire,Loubomo etc.Les spécialistes doivent dénoncer l’anarchie urbanistique qui règne partout au Congo. Les Architectes doivent interpeller Sassou Denis sur l’Urbanisation arnarchie et galopante.Il faut prévenir que les choses ne marcheront pas dans ce pays avec la mise à l’écart des Architectes et Ingenieurs Congolais. Ceci est un cri de détresse que vous devrez adresser à la fripouille Sassou Denis, à Jean Jacques Bouya et à Rodrigue Nguonimba pour les aider à corriger la situation. Plusieurs projets sont réalisés dans ce pays sans la participation des Architectes et Ingenieurs Congolais.Par exemple le projet de Construction de 1200 logements sociaux avec les Chinois.Aucune raison ne justifie le recours systématique aux étrangers.Les Architectes et Ingenieurs Congolais doivent insister sur les normes de construction car le logement n’est pas juste un lieu pour dormir.C’est aussi et surtout une question de société, une identité culturelle et historique.

  11. Anonyme dit :

    Le plus mignon de la republique du Ngondwana sera bel et bien present lors de l’investiture du president Faye.

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