Les vidéos de scènes, qui se déroulent au Congo-des-Nguesso, toutes plus insoutenables les unes que les autres, circulent beaucoup, actuellement, sur les réseaux sociaux. Les âmes trop sensibles les écartent ou les effacent ; certains les suivent en coupant le son ; d’autres enfin les regardent et supportent les cris de douleur et de terreur des malheureuses victimes. Ces dernières que l’on voit ainsi filmées ne sont pas les seules, rappelons ces jeunes que l’on a torturés et que l’on a tués dans les commissariats de Jean-François Ndenguet dans la pure tradition des « Disparus du Beach ».
Aussi, l’on ne sait si les tortures infligées à MBOU Fulguy, 27 ans, figurent sur une vidéo. Des photos de lui sur son lit du CHU de Brazzaville viennent d’être diffusées au côté d’autres victimes de la barbarie de l’Empereur Denis Sassou Nguesso : PEMBELO Yann (24 ans), DOUNIAMA Francis (23 ans), ODISSAMA TCHIKAYA Paul (19 ans). Tous ont été victimes, il y a quelques mois, des mêmes criminels en uniformes de policiers du CPA 6, dit PSP Massa, au viaduc de Talangaï aux ordres de l’ignoble Zéphirin Mboulou, le ministre de l’Intérieur.
Cependant, ne nous méprenons pas ! Certaines vidéos sont sciemment tournées et diffusées par le pouvoir barbare de Brazzaville. L’objectif est de terroriser les populations jeunes, ou moins jeunes, du pays afin de contenir au maximum le mécontentement général ; plus encore avec l’arrivée au pouvoir programmée de Denis Christel Sassou Nguesso, dit « Kiki le Pétrolier » ou « Kiki le Voleur » ! Ce dernier est fort de sa réputation : « il sera pire que son père ! »
Le gang mafieux à la tête du Congo a déjà institutionnalisé le vol et les détournements massifs en mode de gouvernance, sans que les Etats (la France, l’Italie, la Chine, l’Europe, le Vatican, les USA etc…) ni les partenaires (Total, Eni, Perenco, Chevron etc…) ne s’en émeuvent. Un nouvel échelon, celui de la barbarie, vient d’être franchi.
Il n’est pas question que les complices de Sassou Nguesso glissent ces cruautés d’un autre âge sous le tapis de leur indifférence ; comme ils l’avaient fait pour le Cardinal Emile Biayenda, pour les présidents N’Gouabi et Massemba-Débat, pour le DC10 d’UTA, pour les 400.000 morts de la guerre civile de 1997, pour les Disparus du Beach déjà cités et les assassinats au quotidien, avec Parfait Kolélas parmi les plus récents ; sans oublier les prisonniers politiques embastillés.
Alors que les hurlements de douleur des torturés résonneront longtemps à nos oreilles et viendront squatter nos cauchemars ou nos insomnies, les accolades du Président Macron au tyran infréquentable sont définitivement indécentes. Electeurs, franco-congolais, il faudra vous en souvenir lorsque vous glisserez votre bulletin de vote lors de la prochaine élection présidentielle en France, au mois de mai prochain. Il est vrai que le choix ne sera pas facile avec en face un Zemmour, une Hidalgo (complice d’Hugues Ngouélendélé), Pécresse (la chiraquienne) ou Taubira (très soumise à Sassou autant que tous les autres). pareille élection, les Noirs doivent-ils voter « Blanc » ?
Au Congo des Nguesso, c’est toujours l’intérêt personnel et particulier qui domine. Antonio Guterres, le Secrétaire Général de l’ONU, un autre aficionado de l’embrassade et de l’accolade au tyran Sassou Nguesso a été contraint de joindre la République du Congo aux autres Etats (huit au total, dont l’Iran, le Soudan et le Venezuela) qui ont perdu leur droit de vote à l’ONU en raison d’une dette trop importante à l’égard de l’organisation.
Madame Kristalina Georgieva, la Directrice générale du FMI, devra également tenir compte de cette nouvelle donne au Congo de Sassou Nguesso, en plus de la corruption généralisée : la barbarie institutionnalisée en système de gouvernance.
Le FMI ne saurait financer un Hitler africain !
La Rédaction
Diffusé le 14 janvier 2022, par www.congo-liberty.com
Sassou Dénis , maintient depuis 25 ans Jean François Ndenguet formé en Romanie comme tortionnaire et hisser au galon de général dans la Police Mbochi . Ce désastre témoigne de son niveau de sa sénilité à Sassou Dénis .
Les familles de 4 jeunes décédés dans les commissariats de Ndenguet viennent de déposer plainte à Brazzaville. La barbarie est vraiment le nouveau mode de gouvernance.