Les Etats-Unis ignorent royalement les autocrates africains francophones, depuis des décennies accrochés à leur pouvoir : à part le Sénégal, tous sans exception, ne recevront pas d’invitation au Sommet de la Démocratie organisé par Joseph Robinette Biden Jr, les 9 et 10 décembre prochain. La République Démocratique du Congo, en classe de rattrapage, a obtenu de justesse son strapontin grâce son cobalt dont les constructeurs de véhicules automobiles électriques américains ont le plus grand besoin…
Ce mépris affiché pour l’Empereur et ses élèves dictateurs n’est-il qu’un signe de mauvaise humeur passagère ? Le nouveau locataire de la Maison Blanche fut, durant deux mandats déjà, au côté d’un Barack Obama complètement passif à l’égard de l’Afrique : a-t-il envie aujourd’hui de donner un grand coup de pied dans la termitière ? A quoi bon être l’Homme le plus puissant du monde si l’on ne peut se débarrasser des quelques parasites “francophones” qui tiennent en otages et dans le sous-développement une bonne centaine de millions d’êtres humains africains ?
Peu importe que ces parasites soient des amis de Monsieur Jean-Yves Le Drian, ou qu’ils reçoivent l’accolade du Président Macron, saluons l’initiative du Président Biden et encourageons-le à aller plus loin, plus vite et plus fort ! Nous n’attendons que cela !
Et qu’il ne craigne surtout pas de rappeler à l’ordre, son voisin à Washington, le Fonds Monétaire International indifférent à la corruption généralisée qui règne dans les finances publiques de la République du Congo…
La Rédaction
« La démocratie n’arrive pas par hasard. Nous devons la défendre, lutter pour elle, la renforcer, la renouveler. »
« LE PRÉSIDENT JOSEPH R. BIDEN, JR.
Depuis le premier jour, l’administration Biden-Harris a clairement indiqué que le renouvellement de la démocratie aux États-Unis et dans le monde est essentiel pour relever les défis sans précédent de notre époque.
Comme l’a déclaré le président Biden à l’occasion de la Journée internationale de la démocratie, « aucune démocratie n’est parfaite et aucune démocratie n’est jamais définitive. Chaque gain réalisé, chaque barrière brisée est le résultat d’un travail déterminé et incessant.
Les 9 et 10 décembre 2021, le président Biden accueillera le premier des deux sommets pour la démocratie, qui réunira des dirigeants de gouvernement, de la société civile et du secteur privé pour définir un programme affirmatif pour le renouveau démocratique et s’attaquer aux plus grandes menaces auxquelles sont confrontées les démocraties aujourd’hui par l’action collective.
Le Sommet de décembre 2021
Les 9 et 10 décembre 2021, le président Biden organisera un sommet virtuel pour les dirigeants de gouvernement, de la société civile et du secteur privé. Le sommet se concentrera sur les défis et les opportunités auxquels sont confrontées les démocraties et fournira une plate-forme aux dirigeants pour annoncer des engagements, des réformes et des initiatives individuels et collectifs pour défendre la démocratie et les droits de l’homme dans le pays et à l’étranger.
Pour les États-Unis, le sommet offrira une opportunité d’écouter, d’apprendre et de s’engager avec un large éventail d’acteurs dont le soutien et l’engagement sont essentiels pour le renouveau démocratique mondial. Il mettra également en valeur l’une des forces uniques de la démocratie : la capacité de reconnaître ses imperfections et de les affronter de manière ouverte et transparente, afin que nous puissions, comme le dit la Constitution des États-Unis, « former une union plus parfaite ».
Avant le premier sommet, nous consultons des experts des gouvernements, des organisations multilatérales, des organisations philanthropiques, de la société civile et du secteur privé pour solliciter des idées audacieuses et réalisables autour de trois thèmes clés :
- Se défendre contre l’autoritarisme
- Lutter contre la corruption
- Promouvoir le respect des droits de l’homme
Les dirigeants seront encouragés à annoncer des actions et des engagements spécifiques envers des réformes internes significatives et des initiatives internationales qui font avancer les objectifs du Sommet.
Ces engagements comprendront des initiatives nationales et internationales qui luttent contre l’autoritarisme, combattent la corruption et promeuvent le respect des droits humains.
La société civile sera représentée dans les panels et dans les mairies dans le cadre du programme officiel. Leur inclusion est basée sur une variété de facteurs, notamment la représentation géographique, le contexte politique et l’expertise en la matière.
Diffusé le 24 novembre 2021, par www.congo-liberty.org
Ne vous fiez pas de ce geste de Jo Biden car les maîtres savent comment jouer avec leurs valets et laquais pour endormir les peuples naïfs.
Invité ou pas Mr Sassou Dénis reste leur pion-mercenaire qui joue très bien leur partition depuis au moins 1964.Il revient aux Congolais de choisir les méthodes pour défaire l’étau.
@LE FILS DU PAYS. GROSSE VALIDATION .
Tu as ton peignoir à COLOGNE.
C’est une jolie mascarade Bidéenne .Le vrai défi que le peuple congolais leur lance ,c’est de faire partir SASSOU , ils en ont les moyens .
Tout le reste relève de la pure fumentique à laquelle le peuple congolais a ,amèrement ,pris goût .
Ce sont des « bideneries « . TOLEMBI!!.
Nous voulons une révolution diplomatique d’essence démocratique . Rendre l’universalité des règles démocratiques régissant des Etats devient un impératif humain .
Le monde ne peut se résoudre à voir des tyrans brutaliser à l’infini leur peuple .
Parce que ,au CONGO ,la boutade prémonitoire de THOMAS HOBBES a pris une réalité sociétale et politique .
Ainsi ,au CONGO , : « L’HOMME devient DIEU pour l’homme « .Dixit HOBBES .C’est à dire SASSOU DEVIENT DIEU et les congolais ,les hommes asservis à la servitude divine.
Ce rapport de SASSOU au peuple congolais devient incompréhensible par l’entendement congolais .Cette dérive autoritaire a complétement submergé le primat de la raison au point de la rendre digeste et explicable .
Or , rien n’est explicable ,au regard de la raison ,sur ce qui se passe au CONGO BRAZZA où le long règne de ce dernier néantise la vie des milliers des congolais .
La chance a longtemps souri aux congolais et la communauté internationale doit prendre ses responsabilités quant à la question de la durée de ce pouvoir .
Se poser cette question ,c’est déjà chercher à auditer les moyens d’accession à ce dit pouvoir .
S’il faut exprimer un souhait légitime et universel à l’issue de ce sommet ,c’est décréter une loi internationale empêchant des régimes élastiques frisant la monarchie contrairement à leurs constitutions respectives .
Des sanctions pourraient se voir appliquées à ceux qui y dérogeraient sous forme de privations des crédits internationaux et un boycott ou fermeture de leurs ambassades .
Les moyens de pression sont multiples et multiformes , il suffit d’y mettre un peu de volonté internationale pour que cesse cette nouvelle forme d’esclave citoyen …
Que peut faire SASSOU si la communauté internationale en venait à ne plus lui acheter son pétrole ?..
Rien que ça ,la maison SASSOU tombe immédiatement en ruines..
Si la démocratie est universelle ,nous avons des comptes à demander à ceux qui l’incarnent depuis des lustres .
Pourquoi ,nous congolais , n’y avons pas droit ?.
Qu’avons nous fait au bon DIEU démocrate pour nous laisser aux mains d’un criminel
,à supposer qu’il en existe ?.
Mon DIEU , on est éreinté de Sassoufolie !!!.toufatikiriiii.
Patience dans la douleur, gardez le calme et le cap dans la dignité: Denis Sassou Nguesso va tomber. Dans 99.99% de cas son temps restant à humilier, piétiner et fracasser tout dans ce pays est compté.
Secoué par le poids de l’âge et les ennuis de santé, Joe Biden ne fait pas peur au cobra de Mpila.
Tout à fait @MARK .
« La vieillesse est un naufrage »:disait DE GAULLES ,surtout si elle gouverne les affaires publiques .
Notre tort atavique est de prendre pour vraies les hallucinations liées à l’âge plutôt qu’au l’examen des propositions politiques d’où qu’elles viennent .
C’est cet atavisme exotique qui nous a perdus au sortir de la conférence nationale .Il aurait fallu faire cette « tabula rasa » institutionnel pour tourner définitivement la page politique initiée par les anciens dont nous pensions qu’ils étaient épris du CONGO , alors qu’ils satisfaisaient leurs désirs d’escalader l’échelle de MASLOW …
Résultat : nous soldons nos erreurs infantiles sur la considération pathologique sur l’âge des capitaines ,supposés sages ,ce qu’ils n’ont jamais été…
Ils ont laissé à la postérité congolaise ce miroir aux alouettes qui continue à distraire le peuple congolais ….
De nos jours , il semble inenvisageable d’organiser de telles messes dans l’unique but d’étancher nos soifs de pouvoir politique .
Désormais , ce sera le CONGO qui sera l’objet de notre pensée rationnelle pour le mener à bon port économique . Car ,c’est l’économie qui porte une nation ,la politique n’en est que son SAS .
C’est de la réflexion cartésienne que surgira notre économie et non sur des congolais se prétendant transcendants …
LiRE ; TABULA RASA institutionnelle .
qu’à l’examen .
Pourquoi la politique est le SAS de l’économie ?
SAS , c’est quoi ?
Exemple pratique .
Avant d’entrer dans les grands magasins , AUCHAN ,CARREFOUR ,ETC ,vous avez une « entrée de l’entrée « . Vous n’entrez pas directement dans le magasin , vous entrez dans cet espace qui vous ouvre l’accès de votre magasin ou centre commercial .
Son but est préventif au regard des risques incendie . Ce SAS (volume ) sécurise votre évacuation ,car c’est un intermédiaire entre l’intérieur du centre et l’extérieur .
Par analogie à la politique ,l’économie c’est le but vers lequel toute société tend .La politique n’est qu’une entrée dans ce sanctuaire qu’est l’économie .
De ce point de vue ,la politique n’est qu’une entrée de l’entrée de l’économie .Pour simplifier la logique de ce raisonnement ,la politique n’est que le passage vers l’économie .
Ce lien d’interdépendance entre les deux instances est superficiel ,selon qu’on est pragmatique ou utopique .In fine ,l’économie peut fonctionner ,indépendamment des instances politiques .Ceci est aussi vrai pour les magasins ,car vous pouvez enlever ces sas cela nuirait pas à la bonne marche de ce magasin …
Le rôle de sas est purement préventif en cas d’incendie ,il est donc contingent .
Tout ceci pour dire que la politique est comme ce manteau jeté sur un corps qui n’en demandait nullement . Ce sont des pays fédéraux qui en ont bien le fonctionnement .D’où la crédibilité de leur signature financière et économique ….
En résumé , moins de politique ,plus d’économie .
Nous ,congolais ,fonctionnons à rebours de cette logique ,car nous pensons plus politique qu’au miracle des effets économiques sur la population …
Raison pour laquelle ,il va falloir changer de fond en comble le personnel politique congolais pour qui la croyance en politique est plus forte que la connaissance de la réalité économique .