Le pétrole congolais, le président, l’intermédiaire, les millions envolés…la colère de CLEMENT MIERASSA 

L’article du journal français Libération, intitulé « LE PÉTROLE CONGOLAIS, LE PRÉSIDENT, L’INTERMÉDIAIRE, LES MILLIONS ENVOLÉS » suscite colère et frustration des Congolais qui une fois de plus découvrent, ont la preuve de ce que leur souffrance, leur misère n’est que la conséquence de la mauvaise gouvernance, de l’échec des politiques mises en place, lesquelles sont orientées vers l’enrichissement d’une petite minorité par l’accaparement de l’essentiel de toutes les richesses nationales.

Comment peut-on avoir autant de richesses et se retrouver parmi les pays les plus pauvres du monde. On comprend aisément comment certains congolais ont, sans la moindre gêne, des fortunes en milliers de milliards de francs CFA et que ceux-ci prétendent conduire le Congo à l’émergence et au développement, alors qu’ils sont responsables de la situation catastrophique et chaotique dans laquelle, ils ont plongé le pays. Et pendant ce temps, les Congolais triment, souffrent, et sont incapables d’avoir le minimum pour vivre dignement.

Dans un discours démagogique basé sur le culte de la personnalité, les gouvernants congolais ne cessent de se moquer des Congolais, prétextant les entraîner dans une marche vers le développement. Appartenant au système qu’ils ont mis en place depuis plusieurs années, ils se sont montrés incapables de récupérer comme en Angola, en Arabie saoudite et autres, les colossales sommes d’argent qui ont été dilapidées. Le drame congolais réside en ce qu’il n’y a pas de contrepouvoirs : Tout absolument tout fait partie du système.

Le système est désormais mis à nu. Aux Congolais de tirer les conséquences de cette situation devenue intolérable et inacceptable.

Où sont passés les 14.000 milliards des générations futures ? Où est passé l’argent débloqué pour une route imaginaire de 137 kilomètres ? Que fait-on des malversations financières au Fonds de soutien de l’Agriculture et autres ?

Le journal « Libération » apporte des preuves graves sur les véritables origines du mal congolais.

Pourra-t’on avoir le courage de démentir les faits graves contenus dans cet article ? Pourra t’on porter plainte contre ce journal pour qu’un débat contradictoire puisse permettre que la lumière soit faite ? Quelle sera la réaction du Parlement, Existe-t-il des contrepouvoirs ?

Que va faire le Premier ministre qui a choisi, soit disant de rétablir l’autorité de l’Etat ?

En réalité, absolument rien .

Le peuple congolais doit absolument en prendre conscience!

J’ai dit

Clément MIERASSA

Diffusé le 12 janvier 2023, par www.congo-liberty.org

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

7 réponses à Le pétrole congolais, le président, l’intermédiaire, les millions envolés…la colère de CLEMENT MIERASSA 

  1. Ombila Ewabi Oscar dit :

    A monsieur Mierrassa,
    Quand le peuple d’un pays entier est constitué d’hommes et de femmes à la solde de la corruption de ceux qui le dirigent, alors on arrive à ces résultats.
    Quand le peuple d’un pays tout entier est formé d’hommes et de femmes tûs par peur des armes des miliciens qui les dirigeants, voila les résulats.
    Quand les hommes du peuple d’un pays courent la plupart de leur temps derriere les fesses des femmes du meme peuple, on ne devrait pas s’étonner de ce que fait le sanguinaire Sassou nguesso et tous ses sbires blancs et noirs: enterrer le peuple les yeux ouverts.
    Quand la très grande majorité des hommes et femmes instruits (à l’ecole des blancs) n’attendent que le moindre signal/appel des soit-disant dirigeants pour recevoir les subsides de la rente pétroliere pour enfin eux aussi manger, boire, baiser à gogo, acheter des parcelles, voyager en Europe et maintenant en Chine et a Dubai, alors les résultats sont tels que le journal francais Libération les décrit.
    On ne sait pas pourquoi Ebata Lucien n’a pas encore demandé ou exiger à ses <> amis francais la cessation pure et nette d’activités du journal Libération.

  2. Val de Nantes. dit :

    Nous y sommes .Que sassou et cie attaquent en justice ce journal pour en savoir davantage sur cette enquête qui sape la fonction présidentielle au Congo Brazzaville..
    Le défi est lancé à ce pouvoir de démonter et de démontrer le caractère mensonger de cette enquête qui valide le vrai visage du régime de Brazzaville.

  3. Val de Nantes dit :

    Attention, libération a décidé d’en finir avec le despote sassou ,un supplément très croustillant se prépare à sortir de cette enquête…
    Les fatwas de sassou contre ce journal sont attendus dans les prochaines heures.
    Des missiles Ukrainiens peut être !!.
    Tout le monde à l’abri !.

  4. delbar dit :

    Je pense que la fin de Sassou et de son régime sont proches mais, dans la suite des explications de Monsieur Ombila Ewabi, ceux qui lui succèderont vont-ils être capables de tout changer ?
    Comment faut-il préparer la suite ?
    Pour ce qui concerne Libération, il m’apparait impensable que ces articles ne soient pas  » blindés  ».
    La presse française a un devoir d’aide et de vérité envers le peuple congolais.

  5. Samantha dit :

    La gorge du diable,construction destruction reconstruction, comme le serpent
    Qui tente d’avaler sa queu oubliant qu’il court à sa propre perte

  6. Guyot dit :

    La part du gâteau n’est réservée qu’aux charognes qui laissent crever leur peuple. Un pays où règnent la corruption, la trahison, l’égoïsme, le faire semblant, le laisser croire…et pendant ce temps là, les congolais sont affamés, n’ont pas accès aux soins de qualité, à l’éducation…que dire de ces jeunes congolais qui ont pour seul projet de quitter ce pays qui n’apporte rien à cette jeunesse démunie. Honte à vous mesdames messieurs du pouvoir et de tous ceux qui se goinfrent du gâteau sans distribuer aux autres!

  7. kikadidi leo dit :

    c est comme si mr mierassa pct etait etranger a la politique du pct arrive t il a vivre avec let acquerrir une villa avec son salaire quant il peut le recevoir.

Laisser un commentaire