La paralysie collective de Sassou, du gouvernement Collinet Makosso et du PCT freine toute avancée effective vers des réformes structurelles édictées par la communauté financière internationale au premier rang de laquelle se trouvent le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale.
Denis Sassou Nguesso, qui gouverne par le verbe plutôt que par les actons concrètes, a rappelé que la récession observée de 2014 à 2016, consécutive à la baisse drastique des cours du pétrole, et l’impact de la pandémie de covid-19 survenue en 2020, cèdent progressivement le pas à la relance de l’économie du Congo-Brazzaville. Ainsi, le taux de croissance de 2,6% observé en 2022 devrait-il se raffermir en 2023 ? Pas si sûr. Quid des 48 mesures exigées par le FMI que le Congo-Brazzaville devrait appliquer ? Denis Sassou Nguesso a rencontré Emmanuel Macron à Paris à la suite d’un intense lobbying et d’un pied de grue mémorable de plus de cinq jours et Kristalina Georgieva à Washington. Cela a-t-il suffit pour dissiper tout nuage entre le Congo-Brazzaville et les bailleurs de fonds internationaux en vue du versement de la deuxième tranche dans le cadre de l’accord sur la facilité élargie de crédit (FEC) ? Le petit pays pétrolier d’Afrique centrale ne figure pas dans le top 10 des pays africains à forte croissance en 2023.
A LA TRAÎNE
En dépit d’une conjoncture mondiale difficile, plusieurs pays africains devraient enregistrer des taux de croissance élevés, selon les projections du Fonds monétaire international (FMI). Le Congo-Brazzaville qui tarde à entreprendre des réformes économiques et à s’attaquer à la lutte contre les malversations financières ne compte pas parmi les pays à la croissance vigoureuse. Une dizaine de pays du continent enregistrera notamment des taux compris entre 5,61% et 8,11%.
La directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, a annoncé que l’année 2023 serait « plus difficile » que 2022. Un tiers des économies sera en récession cette année, selon elle. Par région, la moitié des pays européens sera concernée par cette récession. Une situation qui pourrait impacter négativement la croissance de nombreux pays africains, compte tenu de la profondeur des relations entre les deux régions. La recrudescence de la covid-19 en Chine risque également d’impacter négativement la demande africaine, au regard des relations commerciales entre la Chine et l’Afrique.
Compte tenu du chamboulement occasionné par la guerre entre la Russie et l’Ukraine, la hausse du cours du baril de pétrole et des produits agro-alimentaires, l’inflation galopante, les dépréciations des monnaies africaines vis-à-vis du dollar, la recrudescence de la covid-19, plusieurs économies d’Afrique subsaharienne devront enregistrer des taux de croissance élevés en 2023, selon les projections du FMI. Globalement, les pays d’Afrique subsaharienne devraient enregistrer un taux de croissance moyen de 3,7%. Une dizaine d’entre eux va afficher des croissances largement supérieures à cette moyenne, tirées par les secteurs agricoles bénéficiant d’une pluviométrie abondante en 2022, de la bonne tenue des cours du pétrole et de certains minerais, de l’impact des politiques d’investissement dans les infrastructures de base, etc.
DAKAR EN TÊTE DE PELOTON
L’Afrique de l’Ouest domine le top 10 des pays d’Afrique subsaharienne qui réaliseront les meilleurs taux de croissance économique en 2023 avec six représentants.
La palme devrait revenir au Sénégal avec une croissance prévisionnelle estimée à 8,11%. Le Niger arrive en 2e place avec une projection de croissance de 7,29%. La République démocratique du Congo devrait afficher la 3e meilleure performance en Afrique subsaharienne en termes d’évolution du produit intérieur brut, avec une croissance de l’ordre 6,72%. Ceci, grâce notamment à un meilleur apport de son important secteur minier qui bénéficie de la forte demande des minerais stratégiques pour la transition énergétique (cobalt, lithium, cuivre, graphite…). Quant au Rwanda, 4e, sa croissance, comme lors des précédentes années, sera tirée par les services dont le pays a fait sa locomotive (Les Dépêches de Brazzaville, i janvier 2023).
Le Congo-Brazzaville qui tire l’essentiel de ses ressources financières de la production pétrolière peine à assurer la diversification de son économie. Cette situation se paye cash : faible croissance, pénurie d’investisseurs, rareté des flux financiers, fort taux de chômage…
Les 10 meilleurs taux de croissance prévus en Afrique subsaharienne en 2023
Les tergiversations de Denis Sassou Nguesso, les gesticulations d’Anatole Collinet Makosso, les admonestations de Jean-Baptiste Ondaye et l’activisme d’Emmanuel Olita Ondongo donneront-ils le tempo des réformes dont l’économie du Congo-Brazzaville a tant besoin ? Pas si évident ! Comme un flambeur qui sort du casi-no de Deauville, le Congo-Brazzaville n’a jamais investi pour développer les autres secteurs de son économie, notamment son industrie (autour de 5 % de son PIB), sa forêt (4 % du PIB et un objectif de 150 milliards de francs CFA pour 2022), son agriculture (après Rigobert Maboundou qui a dilapidé 114 milliards de francs CFA, après Marius Mouambenga, Jeanne Dambenzet et Henri Djombo qui ont laissé un champ de ruines, c’est Paul valentin Ngobo qui s’y colle avec les zones agricoles protégées) et son tourisme dont Arlette Soudan Nonault, la « tuile de la nouvelle République » est la nouvelle patronne.
Au Congo-Brazzaville, les grand’messe gouvernementales tiennent plus que jamais de l’affichage de concertation, d’un échange entre membres du gouvernement sur les grands sujets portant sur le devenir du pays que d’orientations fortes, de décisions claires ou de consensus moteurs. Denis Sassou Nguesso s’est rapplé aux bons souvenirs de l’exploitation du gisement de potasse. Il a promis la création à Pointe-Noire au Kouilou d’une usine de fabrication d’engrais agricole à base de potasse. Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent.
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Si seulement les oyocrates savaient qu’il y a certains pays qui ne vont pas a la banque mondiale ni au FMI,ils feraient preuve de rigueur dans la gestion de la chose publique
Cher Bitadys ,ne mêle Collinet Makosso aux affaires Mbochi , ce garçon n’est qu’un simple porte parole des bêtises et crimes de Sassou Denis, il connaît rien des négociations du gouvernement Mbochi et le FMI . Rigobert Andely le Mozart Mbochi de la finance a dit quelques vérités sur la dette, Sassou la reprocher d’avoir trop parlé. Il l’a préféré un économiste qui a étudié en RDA les années 80 un autre Mbochi de Makoua qui a longtemps géré l’intendance de Sassou au palais d’ailleurs ce dernier le surnomme le bosseur comme mérite d’avoir bien organisé les anniversaires familiaux.
Le bonhomme d’Oyo nous a ressorti ce vieux serpent de mer : les potasses du Kouilou. Encore un effort, camarade Sassou car à côté de Holle, dans le pays de Collinet Makosso, coule le Kouilou. Au goulot d’étranglement de la Sounda, L’Abbé Fulbert Youlou posa dans les années soixante les premières bases d’un grand barrage hydroélectrique. L’industrialisation du Congo est tributaire de mégawats de la centrale de la Sounda, à condition qu’on construise le mythique barrage pour une énergie de qualité. Plutôt que d’exporter à l’étranger la danse Mopacho le FMI ne blâmerait pas le mauvais élève ( le Congo ) si nous exportions du courant électrique à nos voisins. C’est ce que préconisa Youlou quand il posa la première pierre du barrage. Toto Sassou avec le pétrole et le bois exportés n’arrive pas à élever le taux de croissance. Ce n’est pas moi qui verserais une larme quand on lapidera Toto avec ses nombreuses pierres qu’il pose dans l’Empire de Tsambitso.
La sassoulerie du CONGO a atteint un point de non retour , il ne reste que le corbillard pour la conduite vers l’arrière monde .
La cote d’ivoire et le senégal rivalisent de conquête vers l’émergence socio -économique , le CONGO en est encore au stade primitif , en illustre le visage défiguré que nous dévoilent les deux principales villes du CONGO : BRAZZA et POINTE NOIRE . Si les deux villes putativement évoluées souffrent de l’agonie étatique , peut – on imaginer l’état de nos villages actuels ?.
Y- penser requiert un effort mental conséquent ,car la pensée qui pense se brise sur le mur de l’entendement .C’est la conscience congolaise qui pense ,qui fait un retour sur elle même , qui tance la subjectivité de chacun de nous .
Que faisons nous de notre CONGO en comparaison économique des nations précitées ?.
y – aurait -il une malédiction uniquement contingente du fait d’une association hasardeuse des ethnies incompatiblement vivables ?
Il faudrait un jour lever cette pudeur de gazelle pour comprendre le secret de l’inaptitude congolaise à gérer de façon neutre la « res publica « .
Y AURAIT IL des tribus ontologiquement médiocres du point de vue de la gouvernance publique ?.
Les congolais doivent scanner cette gazelle pour en étudier la relation causale sur le fonctionnement politique ,économique du pays ….
C’est le règne de l’oubli de la mission dévolue au centralisme d’Etat , en faveur de la SATISFACTION matérielle des désirs inassouvis de cette racaille de vipères ,qui se masturbe les cerveaux pour la possession individuelle de la richesse nationale …
Le pétrole , comme motivation des ambitions politiques éthérées .
Les postulats de cette logique famélique transcendent le vivre ensemble théorique et donc abstrait , qui enjolive le mensonge toxique enfumant les esprits des congolais contemplatifs de cette sassoufolie ,dont ils ne savent plus que faire .
Pourquoi pas une palestinisation du CONGO pour qu’il s’attire les lumières de la communauté internationale sur la dictature , dont il fait l’objet ,depuis l’acquisition du certificat de propriété du CONGO obtenu par SASSO au moyen d’un complot international ,ourdi par la FRANCE .?.
D’où la question , par excellence .
Le CONGO est – il une propriété de SASSOU ,?
Le CONGO se dérobe à leurs pieds à l’allure d’un phénix dont la vitesse leur donne le tournis …
Ce tournis a deux déclinaisons : la récurrence des détournements des finances publiques à grande vitesse et la cuisine guerrière post SASSOU ,qui avance par capillarité .
Voilà le rythme cardiaque auquel ces voyous de la république de la pire espèce soumettent le pauvre CONGO , éreinté par tant de succion sanguine .
A propos de détournements, je vous conseille de lire un article qui va sortir dans libération. (Orion oil)
Franchement, c’est invraisemblable.
Tout à fait @Delbar . Le titre fait froid dans nos pauvres dos .Quelle malédiction.
Que le webmaster s’en saisisse .. Incroyable sassou !!.
Ce sont les mêmes hyènes ,des voleurs éternellement inassouvis , qui auront le culot diabolique de lancer des fatwas sur les lanceurs d’alerte de ce site , hautement patriotique. Le journal » libération » vient de mettre à jour la prédation des richesses congolaises d’origine pétrolière . Le grand parrain en étant sassou qu valide toute évaporation financière des recettes pétrolières vers des paradis fiscaux.
Ce n’est plus Nitou Roland , qui met en exergue la criminalité économique dont est victime le Congo, maïs un journal français , excédé par la sassoufolie ,a décidé de dévoiler ce que tout le monde connaissait déjà…
Voilà comment on détourne l’attention des congolais de la réalité criminelle dont le Congo est l’objet en faisant passer les lanceurs d’alerte pour des tribalistes et empêcheurs de voler tranquillement.
bonne annee a tous je souhaite que les congolais s aiment davantage quelque soit leurs differences et j espere que l alternance sera un jour la done dans notre pays.
Sa cavalcade anglaise nous aura édifiés sur son comportement illégitime de gérer le Congo Brazzaville,car Sassou gère plus le pétrole que le Congo Brazzaville. L’enquête sur la prédation financière au Congo Brazzaville du journal » libération » en est la preuve éclatante ..
Tout se juge sur son infortune dévoilée au monde par cette irrespectueuse attitude de sa supposée fonction présidentielle par la gifle anglaise…
En gros : un aventurier sénile.
Le Congo Brazzaville, sous sassou ,on peut en déduire que la vie humaine congolaise est un chemin dangereux ,un voyage dangereux, enfin une découverte d’un pays dangereux . Dixit Nietzsche.
En résumé ,au Congo Brazzaville,on oscille entre animalité et surcongolité ,en piétinant les valeurs éthiques et morales régissant un pays digne de ce nom.
À quand le fatwa du régime sanguinaire du Congo Brazzaville à l’encontre du journal » libération » .?..
Soit une action judiciaire pour confondre les propos de ce journal.
De sassou et sa bande ,on attend une réactivité à cette attaque contre le Congo Brazzaville, considéré, comme une république des prédateurs , à l’image des chiens sauvages sur une proie facile.
Que les parrains de ce pouvoir siégeant à Paris réagissent à cette enquête de libération mettant en lumière le processus de dilapidation des deniers publics congolais…
On attend la colère de Ya Rodo sur ce sujet qui salit davantage ,si ce n’est de manière honteuse sassou et cie.
Que le grand bien vous fasse. Le Congo s’en souviendra en temps utiles. L’impunité financière n’ élira pas son domicile au Congo Brazzaville. Cette folie financière aura un prix à payer..
Nous avons deja frappè a la porte de la CPI (Court Penal International) contre la mal gouvernance de Sassou Nguesso qui est une cause des crimes contre l`humanitè dans la sociètè Congolaise. Suivez bien cette video. 2023. Message aux Congolais et Congolaises. https://www.youtube.com/watch?v=1tEm6HE5tbs
Ya Rodo , qu’en penses-tu ?.
Je te gratifie d’une prime de droit d’aînesse ,du fait de nos coutumes ,en mettant un » ya « . Maintenant, dîtes nous en quoi les lanceurs d’alerte du site congoliberty sont plus nocifs et meurtriers que vos complices ,voleurs des deniers publics ?.
Quel le degré de responsabilité entre les lanceurs d’alerte du site et des gens comme lucien Ebata et autres renards des finances publiques , dans le chaos économique que vit le Congo Brazzaville ?….
Ya Rodo , as – tu l’habitude de te mirer en pensant aux souffrances quotidiennes des congolais dépourvus de l’essentiel vital pour vivre ?…
Est – ce une volonté politique de scinder le Congo en deux Blocs ,car votre comportement criminel y mène …
Que va changer votre récente collaboration avec quelques fumiers faméliques de Paris dans l’objectif d’une gouvernance publique idéale au Congo Brazzaville ?
Est -ce que tu ne t’étais pas trompé de combat en voulant t’attaquer aux simples et pauvres lanceurs d’alerte que nous sommes ?…
En quoi Val de Nantes est plus dangereux pour notre pays ?.
Pour votre gouverne , Val de Nantes n’a jamais perçu le moindre centime des recettes pétrolières du Congo Brazzaville…
Faîtes un effort mental pour situer les niveaux de criminalité que s’offrent impunément nombre de nos compatriotes devant la gestion de la chose publique..
Depuis quand les commentaires des sujets proposés sur ce site peuvent nuire à la bonne marche du trésor public congolais ?…
Votre attitude politique est totalement illisible tant l’immoralisme économique qui guide votre idéologie est incompatible avec le vivre-ensemble congolais..
Le journal Libération vous a lancé un défi intellectuel auquel tu es obligé de répondre pour éclairer la lanterne congolaise…
Le Congo Brazzaville est sali sur la place de Paris, votre réaction judiciaire y serait la bonne réplique .
Tu es supposé détenir un diplôme scientifique ; alors faîtes en un bon usage intellectuel…
J’ai fait du « tu et de vous » , histoire de respecter mon standing moral.