En débarquant au Port de Marseille en 1958, après avoir échoué à son examen du Bac, le jeune Yoka avait comme seul espoir de réussir une Capacité en Droit en rejoignant Nancy dans l’Est de la France. Ce certificat de la seconde chance, il l’obtint. Il lui ouvrit les portes d’une Licence en Droit et d’études supérieures qu’il pouvait suivre alors. Au début des années 60, de retour à Brazzaville, il se fit tant remarquer qu’il fut «exilé » à Epena, loin de l’agitation de la capitale à laquelle il contribuait pour beaucoup.
Ces deux années passées dans la Likouala forgèrent son caractère et lui apprirent le « recul » et la « hauteur » que tous lui reconnaissent. Aimé Emmanuel Yoka en juriste accompli pouvait devenir la tête pensante du clan et il observait la carrière que suivait en parallèle son neveu Denis Sassou NGuesso. Il était clair que leurs intérêts devaient se rejoindre. Il suffisait d’attendre le moment propice.
Pendant que le Neveu, au milieu de toutes ses conquêtes féminines, gravissait les échelons du pouvoir, l’Oncle prenait le temps de cultiver ses réseaux. Parmi ses amis, les frères Feliciaggi, Robert et Charles, prirent une importance particulière. Pointe Noire était une petite ville endormie, capitale économique d’un pays sous perfusion de son port et de l’exploitation de la potasse. La jeune compagnie pétrolière ELF nourrissait de grands espoirs de découvertes pétrolières mais se heurtait à un Marien N’Gouabi inflexible sur les conditions de son exploitation. Les deux frères d’origine corse végétaient dans la gestion d’un petit hôtel et dans une petite entreprise de pêche locale. Cependant, ils jouissaient de l’avantage d’une grande proximité avec un dirigeant d’Elf Congo, André Tarallo, Corse comme eux. Sans aucun lien de parenté avec cet énarque condisciple de Jacques Chirac dans la promotion Vauban, ils usaient du privilège de le surnommer « Tonton Tarallo ». Aimé Emmanuel Yoka, alors, avait beau jeu de mettre en avant l’ambitieux neveu, ministre de la Défense. Il est vite apparu clairement au « Tonton corse » que le jeune Colonel avait une toute autre vision de l’exploitation pétrolière que son trop idéaliste Président… (1)
Pas nécessaire de mettre les points sur les « i »…
Juste une petite précision qui a toute son importance : le 18 mars 1977, jour de l’assassinat du président Marien Ngouabi, se situait entre les deux tours de l’élection de Jacques Chirac à la Mairie de Paris (1er tour 13 mars – second tour 20 mars). La Mairie de Paris devenait, pour le Corrézien, une étape dans sa conquête du pouvoir en même temps que le CMP l’était, dans un bain de sang, pour le Neveu d’Edou.
La grande amitié entre Jacques Chirac et Denis Sassou NGuesso n’était pas née par hasard. L’Oncle de ce dernier ne pouvait que se féliciter du rôle qu’il avait joué. Depuis, il n’a jamais été très éloigné des décisions qu’il fallait prendre pour conserver avant tout le pouvoir.
A l’arrivée de la Gauche en 1981, il devint le deus ex machina des relations avec François Mitterrand grâce à ses bonnes relations avec l’homme d’affaires Christian Megrelis. Ce dernier ne cessa d’être utile à l’Oncle et à son Neveu qui firent de lui en 2010 un citoyen d’Honneur de la République du Congo (Journal Officiel de la République du Congo N°49 du 09/12/2010).
Le même François Mitterrand disait qu’il avait deux Avocats : « Robert Badinter pour le Droit et Roland Dumas pour le tordu ! » Denis Sassou NGuesso avec son oncle Emmanuel Yoka a su faire l’économie d’un Avocat.. ! Les deux en un seul !
Récemment, après l’interpellation de Norbert Dabira, Emmanuel Yoka avait organisé une conférence téléphonique entre Brazzaville et Marbella ; Pierre Ngolo en compagnie de membres du bureau politique du PCT et de députés, d’une part, et de l’autre Denis Sassou NGuesso dans son palace espagnol. Le message, que l’Oncle et le Neveu avaient fait passer à leurs interlocuteurs, était de lancer la campagne « Touche pas à mon président ! ». Les manifestations hostiles à la France devaient être l’idée de l’ancien ministre de la coopération pour l’avoir tant approchée. Il s’agissait pour ceux du système qui n’avaient pas engrangé de fortune à l’étranger de sauvegarder leurs acquis au pays… !
Actuellement, notre « Roland Dumas » national concocterait une nouvelle Constitution pour un troisième mandat et même un quatrième pour que son neveu assiste en 2025 à l’émergence du Congo, comme cela a été le cas pour « l’autosuffisance alimentaire pour l’an 2000 ! »
Pour ce faire, Laurent Tengo, a été appelé à la rédaction. Le Conseiller Juridique présidentiel dont la veste se retourne aussi vite que le vent, s’est appliqué à envisager tous les cas de figure. Pour tout permettre au neveu, même au cas où comme Boutéflika il deviendrait grabataire, il n’en resterait pas moins président. C’est dire qu’il fait un travail sur mesure absolument nécessaire pour le dictateur fatigué, usé et vieillissant !
Le ministre de la justice Yoka a été aux avants postes de toutes les affaires qui ont mis le feu aux poudres, sans mauvais jeu de mots, de la vie publique congolaise depuis presque deux années. Les arrestations arbitraires, les procès staliniens, les incarcérations et la mise au secret d’une mineure de moins de 16 ans c’est lui ! Pareillement pour les interdictions de sortie d’avocats, de juges et d’un ancien ministre de la justice comme lui. Le moins que l’on puisse dire c’est que cet homme en veut à beaucoup de ses confrères et qu’il mesure toute la capacité de nuisance de sa corporation.
Aimé Emmanuel Yoka, par sa trajectoire, ses études, ses fonctions et ses relations a longtemps fait figure d’aristocrate de la société congolaise ; une très grande intelligence, un véritable savoir vivre politique et diplomatique apprécié par les partenaires. Elégant et distingué, tous ont eu tort de le prendre pour un modéré. Aujourd’hui, par la bombe constitutionnelle qu’il cuisine, il apparait clairement comme le chef d’orchestre des faucons. C’est le Grand Ayatollah du régime. Il ne se base pas sur des versets du Coran mais sur des articles qu’il rédige, modifie selon les circonstances et interprète à sa guise.
Comme son illustre neveu, le provocateur député de Vindza vit dans la peur. Il dispose certes de moins de moyens de protection mais il a pris toutes les dispositions nécessaires pour assurer à sa famille, et à lui-même, un bel avenir en dehors du Congo. Pour cela, depuis le retour du clan aux affaires en 1997, il n’a investi qu’une partie infime de ses prébendes au pays de ses ancêtres. Loin de Paris et de l’enfer de l’affaire des Biens Mal Acquis, contre laquelle il se bat, il a très discrètement investi sa fortune au Bénin. Sa fille chérie, Emma, réside depuis longtemps à Cotonou et contrôle l’empire immobilier et financier de son père. Ce dernier prend pour excuse l’AVC dont il avait été victime pour faire escale à Cotonou à chacun de ses voyages, à l’aller comme au retour.
Brazzaville pourra brûler, le vieux faucon n’y grillera pas ses plumes. Ses vols bien à l’abri au Bénin seront garantis pour longtemps.
De vieux dirigeants, un vieux système, de vieilles mentalités parfois servies par de jeunes élevés dans l’inconscience, le Congo est à contre-courant de tout ce qui se passe dans le monde et en Afrique. Il est à l’image de ces sapeurs, bien habillés dans une rue couverte d’immondices. Les édifices construits à la va-vite ne changent rien à la réalité d’un pays sale, corrompu, livré aux vices et à la malnutrition.
Aimé Emmanuel Yoka, a été un faiseur de roi. Froid et calculateur, il est difficile de croire que le maître à penser du neveu-dictateur n’ait pas été informé des crimes qu’il s’apprêtait à commettre tout au long de ses trente-cinq années de pouvoir. On retiendra de lui, pour le moins, les injustices et sa contribution à l’immense pauvreté des Congolais.
Par le Droit et surtout par le Tordu… !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 11 janvier 2014, par www.congo-liberty.org
(1) Au début des années 80, dans le centre ville de Brazzaville, l’amitié du colonel putschiste avec le patron d’Elf Afrique, André Tarallo, était célébrée par d’immenses photos des deux hommes sur des panneaux publicitaires de propagande.
Ce texte peut être garé dans les placards de l’histoire du congo.
C’est presque une verité absolue.
Ce texte est d’une vacuité sans commune mesure. Un récit sans structure, sans fil conducteur, un véritable coq-à-l’âne. Tenez par exemple l’auteur dit « que Yoka est arrivé à Marseille en 1958, ensuite il poursuit en disant qu’au début des années 1960, il était de retour à Brazzaville après avoir fini ses études de droits , ce qui absolument pas possible.
A aucun moment l’auteur nous montre comment Yoka est peut être qualifié de faiseur de roi. Le texte ne met pas en évidence un seul « roi » fait par Yoka. Ce serait Sassou ce « roi »? Tout congolais sait que l’ascension de Sassou, il ne la doit qu’à lui-même et non au génie d’un parent.
Mr Ossebi est tellement pressé pour livrer à la connaissance des congolais les cotés sombres de la famille du cobra royal qu’il oublie les règles élémentaires de la narration. Vous faites un bon travail, cependant soyez rigoureux lorsque vous écrivez, la crédibilité de vos textes en dépend!
@kinzounga
Vous avez bien raison. Ce qu’écrit Ossebi est nul et sans intérêt. Il ne nous apprend jamais rien. Il ne fait que critiquer l’incritiquable, notre président qui est arrivé sans l’aide de quiconque et surtout pas des pétroliers et des Corses. La capacité et ensuite la licence cela n’est pas possible. Yoka qui n’avait pas réussi son bac, ce n’est pas possible. etc. Kinzounga vous devriez écrire à sa place car vous avez l’air plus doué et bien mieux informé…!
J’ajoute qu’Emmanuel Yoka a vécu en France (à Marseille) à la même époque que Me Mbemba (assigné aujourd »hui à résidence surveillée par ses soins) et Me Aloïse Moudiléno-Massengo. Après avoir été brillamment recalé au bac il a plutôt eu une belle scolarité avant d’être rattrapé par le tribalisme. Dans son mémoire de sortie, il traita du vagabondage à Brazzaville. Ce document universitaire est assez lisible. La délinquance à Ouénzé dans les années 1960 semblait l’avoir préoccupé pour en faire un sujet d’étude. Ici également il a été rattrapé par son objet d’étude ; en effet Yoka est un puissant pêcheur en eau trouble, un vrai vagabond nauséabond. Il quitta Oyo pour aller chasser le politique dans le Pool ; vagabondage politique. Il tricha à Vindza pour un médiocre poste de député. Pour cela il mit la localité au bord de l’affrontement militaro-civil entre partisans de Ntoumi (lui aussi candidat) et la soldatesque sassouiste. Un fou ce Yoka.
Bien sûr que c’est lui qui a fabriqué Sassou aussi bien sur les coups tordus que sur les coups habiles d’habillage juridique des décisions de son neveu. En tout cas je me demande en quoi Yoka peut être l’oncle de Sassou dans la mesure où cette paire de canailles se situe physiquement dans la même classe d’âge ?
Monsieur Yoka a entraîné la justice congolaise vers des dérives dont elle ne remettra pas.
Les deux années passés au chevet du colonel m’ont permis de constater les pressions graves de celui-ci sur les juges.
Je me rappelle de sa conférence de presse en avril mai 2012 pour justifier de l’arrestation des avocats du colonel : un grand moment de mauvaise foi.
Enfin l’intervention en plein procès du mars afin de désavouer les réquisitions du parquet général, a démontré qu’il pouvait perdre son self contrôle.
Aujourd’hui, il est clair qu’il a pris personnellement en main le dossier du colonel.
Ce n’est évidemment même plus une caricature de justice mais un règlement de comptes.
Sous l’ère Mbemba il y avait une justice au Congo, sous l’ère Yoka il y a un magnifique bâtiment
où réside le ministre et des palais de justice où règnent la misère, la peur et la tristesse.
Je plains très sincèrement votre peuple.
Batonnier Patrick Delbar
@ Me Delbar
Je me souviens de votre excellente plaidoirie au procès du « Colonel ». Votre argument avait fait mouche : « s’il n’y avait qu’un seul général, c’était De Gaulle. S’il n’y avait qu’un seul colonel c’était Ntsourou. » Allusion à la problématique de galons dans laquelle avait démarré l’affaire Marcel Ntsourou. La justice à la solde de Me Yoka voulut établir la connexion entre les explosions de Mpila et la rage du colonel Ntsourou de n’avoir jamais accédé au grade de général en dépit de ses compétences en art militaire. Jean-Dominique Okémba et Emmanuel Yoka, c’est indiscutable, ont bloqué la carrière du colonel Ntsourou. Oui, E. Yoka est un faiseur de roi. Il aurait suffi qu’il plaide la cause de Ntsourou auprès de son « neveu » Sassou pour qu’il le monte en grade. Lui ou Okemba. Malheureusement le clan d’Oyo a estimé que si les galons de général étaient épinglés sur les épaules de l’officier Ntsourou, c’en était fait du régime de Mpila. Ainsi fonctionne le pouvoir mbochi : paranoïaque à en mourir.
Maître : de passage à Cambrai, j’irai faire un coucou à votre confrère. Avez-vous des nouvelles de votre client (le colonel) depuis que la justice de Yoka lui a remis le grapin dessus ? Inutile de vous dire qu’il a plus que besoin de vous à l’heure qu’il est.
@ Kinzounga
Comprenez au moins lorsqu’on parle de début c’est l’intervalle entre « 1960-1964 ». Et je crois que vous diriez la fin des années 60 seraient juste 69. Drôle d’intervention.
Mr Kinzounga, nous connaissons à peu près l’histoire de Feu Joseph Dérisé Mobutu qui avait collaboré avec les Belges jusqu’à son ascension. Qu’en est il de Mr Sassou ? Il y a ce qu’on appelle dans le système que mène Mr Sassou « Pouvoir de reconnaissance » qui pour lui est difficile de se séparer de certains au pire de faire une fausse chute.
D’après ce que j’ai compris dans ce texte, l’auteur nous fait comprendre, que YOKA Emmanuel est un lobby du pouvoir depuis des décennies. Cela lui donne encore plus de pouvoir étant ministre.
J’ai particulièrement aimé la phrase suivante « ….La jeune compagnie pétrolière ELF nourrissait de grands espoirs de découvertes pétrolières mais se heurtait à un Marien N’Gouabi inflexible sur les conditions de son exploitation ».
MARIEN NGOUABI EST MORT OU ASSASSINÉ PAR SASSOU NGUESSO A CAUSE DE CA !
La jeune compagnie pétrolière ELF nourrissait de grands espoirs de découvertes pétrolières mais se heurtait à un Marien N’Gouabi inflexible sur les conditions de son exploitation ».
Le président du Congo ne cesse de favoriser sa fanille, sa clique. Il ne cesse de distribuer de l’argent des congolais ici et là cependant que le peuple congolais souffre. Le pays manquent des structures élémentaires de basse pour vivre, pour le de développement. Comment comprendre donc la grande charité, cette largesse dont Mr Sassou Nguesso, le président auto proclamé du Congo et les membres de sa famille, clique ne cessent de défreiller la chrononique? Meme si on veut impressionner avec la construction de quelques: Aéroports, stades, barrages improductifs, la vérité persiste: Les congolais souffrent atrocement et mènent une vie de plus en plus stressant. Le Congo manquent des véritables infractructures indistruelles. Les villes du Congo sont insalubres, manquent d’eau potable, d’électricité, des centres hosptaliers, des écoles, des routes, rues, avenues digne de ce nom ainsi que des habitats décents, des moyens de transport adéquat et des emplois, alimentations suffisantes pour tous.http://www.kimpwanza.org/index.php?option=com_content&task=view&id=220&Itemid=80. “ La corruption qui sévit au Congo est une des pires au monde et elle est à la source de la misère galoppante aux sein du peuple congolais.Le pillage généralisé, le système organisé par Sassou Nguesso et sans repis soutenu par quelques dangereux prédateurs à l’encontre de tout un peuple !“ es un grand mal pour le bien fondé des congolais et le développement réel.
Tout esclave a en ses mains le pouvoir de briser ses chaînes.Tout esclave a en ses mains le pouvoir de briser ses chaînes. de William Shakespeare issue de Jules César. Cet à cet adage que les congolais doivent s’atteler pour stopper sans plus attendre cette descente aux enfers.Il faut à tout prix mettre fin à la folie meurtrière et au système du vieux tyran mégalomane Sassou Nguesso qui sème la misère et la terreur au Congo avant la fin de cet année 2014.
@Me Delbar & @Loubaki
« s’il n’y avait un seul … Ntsourou » Heureusement que les autres colonels ne sont pas aussi cons que ce monsieur qUi s’est fait piégé comme un gamin par « un non-général »… Avocat avocat avocat de safoutier Oui.
Quand le Colonel a été libéré, il aurait pu se taire.
Il ne l’a pas fait parce que vivre dans l’injustice pendant 18 mois l’a révolté.
Insulter un homme qui ne sait pas répondre est d’une bassesse qui ne mérite pas de réponse.
Pour ce qui me concerne j’ai vécu des moments exceptionnels lors du procès du 4 mars
parce que nous avons pu pendant quelques jours faire du Congo un lieu qui respirait la liberté.
Certes le week-end avant le verdict aura servi à Yoka mais il n’est pas parvenu à faire emprisonner le colonel.
Ce fut pour nous et pour votre patrie un moment merveilleux.
L’obscurantisme est revenu mais j’ai confiance car les congolais de toutes ethnies aspirent à vivre
ensemble dans la paix et la liberté.
C’est ce que le colonel a toujours désiré.
Je sais qu’il a besoin de moi et je fais ce que je peux ici pour que lui et toutes les victimes du 16
décembre ne soit pas oubliées.
Je reviendrai bientôt à Brazza ; elle me manque beaucoup comme la brise magique qui
carresse le fleuve Congo.
Yoka se sait coupable d’avoir tricher, d’abus de pouvoir et d’avoir soutenu un putschiste assassin. « Nemo censetur ignorare legem ! » (Nul n’est censé ignorer la loi »)
Il ne pourra pas se retrancher derrière une ignorance du droit pour échapper à ses délits.
Vivement la fin pour confondre ces canailles!.
Et depuis, la jeune compagnie petroliere ‘Elf’ a bien grandi, elle a change son nom singulier en un nom pluriel ‘TotalFinaElf’, expression de la multiplication des problemes qu’elle a genere au Congo Brazzaville.
Suivez le regard de cette societe, vous verrez les profondeurs nauseabondes du Congo Brazzaville.
Le lien est tres intime, mais les congolais n’en veulent pas, c’est un VIOL.
Je voit que certains crétins veulent saboter , le frère Ossebi un patriote qui prend des risques au péril de sa vie! Ce militant de la libération du Congo mérite beaucoup du respect ! Oui Yoka faiseur des roi Reymond Boulou lui doit sa carrière et tant d’autres comme Ingani Yacinth , oui Yoka est à la tête d’une grosse fortune après le scandale à la mairie de Brazzaville , même sassou était très qu’il vole trop d’argent d’où son séjour comme ambassadeur au Maroc ! Je confirm que Yoka possède biens immobiliers au Bénin , Maroc et en France !
En parlant de pétrole justement, comme si les problèmes qu’il nous cause ne suffisaient pas, on ne cesse d’en découvrir le long des côtes congolaises.
« …En marge de la présentation de ses résultats annuels et de sa journée stratégique, Eni a annoncé ce matin une importante découverte d’hydrocarbures au large du Congo (Brazzaville). Dans le détail, précise la major pétro-gazière italienne, un forage d’exploration, Nene Marine 3, sis dans le block XII à 17 km au large des côtes du Congo, a révélé par 28 mètres de fonds une accumulation significative de gaz et de brut léger. Après les résultats de ce forage d’exploration, le groupe estime la réserves de gisement de Nene Marine à 1,2 milliard de barils de pétrole et 30 milliards de mètres -cube de gaz. Eni détient 65% des parts du ‘block’ XII. »
(Agence d’information d’Afrique centrale 13/02/14)
Ce qui devait être une chance pour le pays, devient une malédiction avec Sassou Nguesso.
Vivement la fin de ce régime infect.
Je m’insurge contre certains crétins qui s’en prendre au combattant de la liberté , le frère Ossebi qui au péril de sa vie démasque la mafia des voyous d’oyo qui pillent à grand échelle ! En effet Reymond Boulou doit sa carrière à Yoka , comme beaucoup d’autres Hacienth Ingani ect… Yoka un voleur chevronné beaucoup des biens immobiliers au Bénin , Maroc et en France ! Ayant du respect pour le frère Ossebi qui un vrai travail d’investigation !
C,est un grand homme politique au congo……Bravo Papa yoka.