Le Congo-Brazzaville de Denis Sassou Nguesso a pulvérisé les us et coutumes de la diplomatie de l’Hexagone. D’habitude parlant d’une seule voix, à l’occasion du referendum du 25 octobre 2015 du Congo-Brazzaville, L’Elysée et le Quai d’Orsay ont donné l’impression de se livrer à une course à l’échalote, frôlant la cacophonie. C’est le Quai d’Orsay qui annonce les couleurs.
Et, L’Elysée rame derrière. Histoire d’éteindre l’incendie. Pour les populations du Congo-Brazzaville et partant celles de l’Afrique, le mal est fait. Deux lobbies s’affrontent dans ce qui est communément appelé le domaine réservé de l’Elysée : la politique étrangère de la France. Désormais, à la lumière du referendum du Congo-Brazzaville, la politique africaine de la France s’élabore au quai d’Orsay. Laurent Fabius s’est érigé en deus ex machina de la politique africaine de la mère patrie. Laurent Fabius décide, François Hollande exécute.
Ouaga versus Brazza
Le lobby du ministère des affaires étrangères a remporté la bataille. Ce puissant lobby impose ses vues. La diplomatie économique a pris le dessus sur toute autre considération. Business is business. Et, pour le Congo-Brazzaville, la diplomatie du pétrole a fait le reste. Elle a pesé lourd sur la balance. Les raisons du revirement spectaculaire de François Hollande sur le changement de Constitution au Congo-Brazzaville trouvent leur cause de ce côté-là. Denis Sassou Nguesso a joué la carte du pétrole. Blaise Compaoré doit se mordre les doigts. Le sous-sol du Burkina Faso ne regorge pas de matières premières susceptibles d’aiguiser les appétits des grandes puissances.
Le général de Gaulle l’a dit : « La France n’a pas d’amis, elle n’a que des intérêts à défendre » François Hollande s’est rappelé aux bons souvenirs des propos du général. Il a avalé son chapeau. Exit le discours de Dakar du 29 novembre 2014. Exit les grands discours. Exit les bons sentiments. La bourde de François Hollande ? Il n’y en a point. « Brazza n’est pas Ouaga », le compagnon de Julie Gayet n’en pense pas moins. Quitte à faire voler en éclat la belle unanimité qui existait jusque là entre les Etats-Unis et la France contre les changements de Constitution en Afrique. Le « ton pied, mon pied » entre Barak Obama et François Hollande, qui a fait rêver Guy Brice Parfait Kolelas, André Okombi Salissa et les populations du Congo-Brazzaville et d’Afrique en soif d’alternance démocratique a fait long feu. François Hollande a déçu de milliers d’africains.
Malentendu
Envisageable il y a seulement quelques mois, l’idée de chasser Denis Sassou Nguesso du pouvoir s’est éloignée à mesure que François Hollande s’alignait sur les positions de Laurent Fabius, Jean-Yves Le Drian, le ministre de la défense et du général Benoît Puga, le chef d’Etat major spécial. L’histoire de François Hollande avec les populations du Congo-Brazzaville restera celle d’un grand malentendu. La France n’est pas toujours ce qu’on croit. Et, la France fut très souvent ce qu’on ne croit pas. La preuve vient d’être administrée par François Hollande au Congo-Brazzaville où Denis Sassou Nguesso a réussi l’exploit de retourner les faiseurs des rois nègres.
REGARDER LA VIDEO : SASSOU ASSASSIN-HOLLANDE CORROMPU
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Benjamin BILOMBOT BITADYS
Diffusé le 31 octobre 2015, par www.congo-liberty.org
Hier matin à l’entrée de la résidence de Parfait Kolelas, les résidents du quartier ont assisté en live à une bastonnade d’un adolescent perpétrée par les militaires de la garde présidentielle. Renseignement pris, il s’agit du fils de l’adjudant-chef samba, chef de la garde du SG du MCDDI. Son fils muet de naissance, à l’annonce de l’emprisonnement de son père, s’était spontanément décidé de venir donner à manger à son père. Ne sachant pas parler à cause son handicap, il a été roué de coups, arrêté et transféré au commissariat central.
Des militaires de la garde présidentielle pilleurs
Vu le climat d’insécurité à Bacongo (quartier la Glacière), certains propriétaires ont quitté leurs appartements en catastrophe. Profitant de l’occasion, certains militaires de la garde présidentielles procèdent actuellement à des pillages.
Voici une analyse pertinente qui expose les contradictions qui existent au sommet de l’exécutif. Le lobby militaro-pétrolier, la realpolitik l’a, bien sûr, emporté. Une fois les faits exposés, n’est-il pas utile et impérieux de commencer à élaborer un plan d’actions ? Nous avons les facteurs de risques, les risques et leurs impacts il faut réfléchir aux parades. Je souhaiterais contribuer à ce brainstorming. Mobiliser l’opinion suppose un exposé clair des faits qui mobilisent le peuple congolais et africain, en général. Nous sommes devant des media qui sont soumis à la dictature de la rentabilité, publier les informations qui font vendre. Le Congo ne pas être un sujet à forte audience au sein de la communauté internationale. Ils ont beaucoup d’autres sujets prioritaires : le chômage, les migrants, etc. La situation du Congo, pour le commun des Européens, n’a ni intérêt politique ni une préoccupation économique, la couverture en est donc moindre. Ce n’est qu’une péripétie qui se diluera dans la dictature du temps qui passe. L’exécutif français a fait du départ de Bachir El Assad, en Syrie, un préalable non négociable parce que c’est un Dictateur. Pourquoi ce qui vaut pour la Syrie n’est pas applicable au Congo ? Hypocrisie.
Contribution: acheter des Unes des journaux à grande diffusion: le Monde, Times, etc. pour exposer la situation prévalant au Congo et les tergiversations de la diplomatie internale et plus singulièrement en France. Comment financer ? Conscients de la gravité de la situation au pays, nous pouvons tous faire un petit effort financier. Cet effort ne vaut pas le sacrifice physique consenti par nos compatriotes au pays qui servent de chair à canon aux autorités congolaises. Mettre le débat sur la place publique peut être un instrument de lutte non négligeable et à ne pas négliger. La démocratie, ici, repose sur l’image projetée par les hommes politiques sur leur électorat. Des campagnes importantes approchent: régionales et présidentielles. Les progressistes de ce pays peuvent y être sensibles. Manifester n:apporte pas des éclairages nécessaires pouvant contribuer à la compréhension, pour l’opinion nationale et internationale, pour une éventuelle adhésion. Ce n’est pas suffisant. Il faut calmement poser le problème et les médias écrits donnent le temps au temps pour approfondir les thèmes exposés.
Comment ?
S’appuyer sur une plate-forme validée par la diaspora et au-dessus de tout soupçon.
C’est modeste mais pas inutile certainement !
Merci !
Ne comptons que sur nous-mêmes.
D’accord avec l’analyse car Sassou a gagné parce que la France militaro-économique et maçonnique l’a soutenue quand les gauchistes comme Hélène Le Gall et compagnie soutenaient l’alternance. D’ailleurs la LE GALL je ne donne pas chère sa peau … lapsus…. non son poste.
C’est ça être un vieux lion de la Franceafrique . On sait pourquoi les blancs viennent au Congo.
Si je vous comprends bien, vous attendiez les français pour nous débarrasser de petit satan?
Oh pauvre Congo!
La France est le patron de sassou.
Londi
Très bonne analyse combien de fois ai-je répété, au début, lorsqu’à commencé cette mascarade qui allait nous mener à ce référendum de la honte.
Qu’il fallait médiatiser le plus possible pour interpeller les opinions internationales car de nos jours la médiatisation est une arme aussi efficace que les armes à feu.
Utilisez tout ce qui est en votre pouvoir pour faire en sorte, par des actes forts, à ce que les grands médias internationaux s’intéressent et parlent du Congo et du mal absolu qui gangrène notre pays..
La liberté de la presse n’existe pas au pays de « SANGSUE Nguesso ». Ce pays est au niveau de la Corée du nord pour ce qui est de la liberté de la presse, même les médias étrangers ne peuvent y travailler librement.
Il faut provoquer l’intérêt auprès des grands médias internationaux pour qu’ils braquent leurs micros et caméras sur ce régime familial corrompu.
Soyons inventif, chacun de nos actes, même les plus minimes mais conjugués en nombre, peuvent avoir un impact.
Le peuple au pays attend du soutien et n’a que faire des invectives entre compatriotes de la diaspora sur le net.
Ne regardons pas l’histoire se faire mais participons à cette histoire.
En Tunisie ce n’est pas Hollande qui à chassé Ben Ali mais le peuple
Au Sénégal ce n’est pas Hollande qui à stoppé Wadi mais le peuple
Au Burkina ce n’est pas Hollande qui chassé Compaoré mais le peuple
Au Congo ce n’est pas Hollande qui chassera Sassou mais le peuple
Les peuples peuvent chasser sassou comment il a son armée quand ils sont on les tués comme il a peur de l’homme de sud vraiment c dommage monseigneur kombo ne nous a pas rendu service paix à son âme avec le lavement des mains d’hypocrisie
Ashley Laurent
Les populations de Tunisie, du Sénégal et du Burkina, etc.. n’avaient pas d’armes non plus !!!
D’où viennent tous ces compatriotes , qui manifestent sur Paris contre votre pouvoir ?
La plupart ce sont des stagiaires et étudiants que vous avez abandonnés en EUROPE;
Comment un pays ,qui se veut émergent peut il rejeter cette intelligence ?
Qu’a fait Ouattara , lors de sa prémière élection envers sa diaspora ,?
Ouattara ne pouvait laisser , cette intelligence en errance en Europe ,c’eût été un risque politique
pour lui .Il l’a ramenée en côte d’ivoire .en leur accordant des moyens financiers .
Votre erreur fut monumentale et suicidaire , à l’endroit de cette élite .
Le département de la diaspora est une coquille vide ,rien ,regarder en face RDC, ton enfant Kabila
a crée un ministère entier dédié à sa diaspora .
Avez vous des bons conseillers ,,? si oui comment comprendre une telle sottise ,?.
Réfléchissez sur cette sérieuse question , votre faille en EUROPE est là .
Extrait d’un article lu dans la « Semaine Africaine » du 27 Octobre 2015
Ainsi, face aux nombreux bricolages institutionnels et politiques en gestation et en cours sur le continent, l’Eglise doit se prononcer très clairement, pour éviter de tomber dans le «ponce-pilatisme», c’est-à-dire la fuite de responsabilité.
Etre une Eglise, c’est être responsable. C’est être responsable du destin politique du peuple de Dieu. Et quand on est une Eglise responsable, chacun doit s’engager à renoncer à soi-même, à son ethnie, aux deniers de ses bienfaiteurs et même à sa réputation pour ne rechercher que le bien des brebis du Seigneur.
Oui.Voici venu le temps où l’Eglise doit sonner le glas de l’ambiguïté, de la lâcheté, du silence coupable et du «ponce-pilatisme», face aux régimes dictatoriaux d’obédience maçonnique qui s’enracinent en Afrique.
Rompre avec le silence coupable ne signifie pas simplement rédiger un document administratif susceptible de servir de caution de dédouanement pour l’avenir, mais «penser en homme d’action et agir en homme de pensée» (Jean Guitton).
Voici donc venu le temps d’écrire, avec les lettres d’or du témoignage prophétique, les nouveaux actes
des apôtres en Afrique.
Abbé Fabrice N’SEMI
Séminaire Notre-Dame de
Loango
Pourquoi Diable, les Congolais attendent la France depuis plus de 50 ans?Est ce que les Burkinabés ont attendus la France? L’opinion internationale ne peut rien pour nous. La lutte pour la libération véritable est un combat à mort. Si nous ne l’acceptons pas, nous ne sommes prêts de nous débarrasser du préfet zident. Comme disent les autres, on a les dirigeants qu’on mérite. Les Algériens en 1962 avaient bien compris les enjeux et se sont battus pour une indépendance véritable. La notre est une indépendance de pacotille avec une monnaie qu’on ne maîtrise pas. pauvre Congo. Je propose de mettre ce pays aux enchères. A Maya Maya, inscrivez sur une banderole » Pays à vendre ».
La France nous a trahi. Nos pleurnicheries n’y changeront rien. Ils ont déjà choisi leur camp, et rien ne changera. Les enjeux sont trop importants. Ils préfèrent utiliser le préfet zident jusqu’au bout, d’ici à ce qu’ils trouvent un nouveau vendeur d’esclaves Congolais aussi dévoué. C’est cela leur plan. Tout ceci peut être déjoué si les Congolais acceptent le fait qu’ils luttent pour leur indépendance depuis 1960 et qu’ils ne sont pas prêts de l’obtenir parce qu’ils ne le savent pas encore.
Nguesso 1er, roi du petrole congolais ne comprend que le langage du rapport de force. Le reste n’est pas inscrit sur son disque dure coloniale. Cela vous le savez bien, mais vous faites comme si quelqu’un qui avait elimine son propre monteur et co-regionaire, feu Presiden Marien Ngouabi pour remetre le petrole Loango aux Francais, peut avoir pitie des populations, surtout celles du Sud de Brazza et du Sud du pays qui sont sa mauvaise conscience??? Les deplaces et autres sinistres des quartierd Nord de Brazza, suite aux explosions de Mpila errent toujours, sans domiciles fixes. Nguesso 1er se moque bien de nos analyses, tout comme ses maitres francais.
Arretons donc, frere et soeurs de pleurnicher. Comme le prouve le refus de voter des populations de la Sangha, des Plateaux et d’une tres large partie des quartiers Nord de la capitale, Nguesso 1er est vomis, meme par ceux que le destin a fait qu’ils partagent les memes orgines. Tout le pays est tenu en otage. Nous, comme peuple unit par un destin commun, pouvons si nous le voulons, travailler ensemble pour faire partir le prefet de la France au Congo. Les armes n’ont jamais eu raison d’un peuple determine a etre LIBRE. C’est quoi le projet de Nguesse 1er? Demeurer au pouvoir, juste pour le pouvoir? Et apres? La derniere fraude au baccalaureat est-elle differente de la fraude referendaire? Non. L’exemple vient d’en haut, dit l’adage. Les jeunes lyceens ont fait comme leur grand-pere Nguesso 1er.
Mais on a bien vu que 31 ans de regne, malgre la quietude de la paix des armes et le silence des cimetieres, et bien que le barile du petrole ait ete a $120, cela n’a pas apporter la prosperite au pays..Au contraire une infime partie des Congolais, tous parents ou amis du roi Nguesso 1er se sont enrichis.
La France ne bougera pas tant que les Congolais eux-memes chercheront a s’accuser en Nord-Sud, etc. C’est pourquoi, le natif de Brazza que je suis, j’eprouve beaucoup d’admiration au combat de notre soeur Sadio Kante, elle qui est native de Brazza, mais dont les parents sont venus du Mali. Il nous depasser les clivages ethniques qui arrangent bien Nguesso1er, roi du petrole congolais. We, the people of Congo shall overcome the Nguesso dictatroship onc efor all!
Le post precendent est bien de moi.
Baliele M. Bakima
C’est étonnant certaines réactions … mais la politique c’est le rapport de forces.
Pauvre Pascal Edouard NGANGA, toi qui as cru bon rappeler une citation du discours de Monsieur François HOLLANDE dans ton article « La Jeunesse congolaise ne sera plus dupe ». Cet homme a déçu non seulement la jeunesse congolaise mais toute la jeunesse africaine à laquelle il s’était adressé au SENEGAL, au BENIN et en ANGOLA. Monsieur MELENCHON a raison quand il dit que « Ce n’est pas la RANCE qui va libérer l’Afrique. C’est l’Afrique qui doit se libérer de la FRANCE ». Pendant longtemps, les africains ont vécu dans une sorte d’obscurentisme ou de cécité sur ce point. Grâce à Monsieur François HOLLANDE, tous les africains ouvriront grandement les yeux et feront bloc pour contrer tous leurs prédateurs de quelque continent soient-ils. Ne dit-on pas que « A quelque chose, malheur est bon »? VIEUX N’GANDO, vous dites que …mais la politique c’est le rapport de forces. J’en conviens, mais quand c’est trop grossier comme ce qui se passe dans notre pays, votre point de vue ne résiste pas à l’examen. Il est aussi dit que « La politique c’est pour les honnêtes gens ». Ces derniers ont une délégation de pouvoir ou une mission. Monsieur SASSOU NGUESSO a bien fait des discours où il s’est engagé à respecter la Constition avec tout ce que celle-ci renferme. Quant à Monsieur HOLLANDE, il avait promis, à l’occasion de sa campagne, aux français issus de l’immigration de rompre avec la françafrique. C’est ainsi que nombreux d’entre eux avaient voter pour lui. Je me demande s’il réussira encore à reconquérir tous leurs suffrages à moins qu’il les envoûte, on ne sait comment.
Les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Dixit Jacques Chirac.
La tenue du référendum ce 25 octobre 2015 à de fait mis fin aux institutions actuelles. C’est pourquoi tous les congolais doivent comprendre qu’il y a une vacance du pouvoir au Congo. De ce fait, il va probablement avoir une accélération du processus électoral.
@Ubuntu
Il va y avoir accélération du processus électoral des que la nouvelle constitution sera promulguée. La question sera de savoir ce que fera l’opposition sachant que tous ou presque ont affirmé être candidats?
Si ce sont de vrais opposants, ils vont trouver le moyen de s’appuyer sur cette vacance du pouvoir pour constituer un gouvernement parallèle à même de mettre en place une gouvernance électorale. S’ils vont aux élections en ordre dispersé (c’est ce qu’espère le préfet zident), ils seront battus et de ce fait valideront l’instauration d’un pouvoir dynastique au Congo. Ils seront alors complices de trahison envers le peuple. Il faudra en tirer les conséquences. Cela expliquera aussi pourquoi le 27 septembre 2015, n’est pas rentré dans l’histoire du Congo. Pourquoi autant de tergiversations de la part de l’opposition. Pourquoi ils ont communiqué tout leur plan d’action contre le pouvoir en place.
Toutes ces contributions sont de taille. Les Congolais peuvent se dire qu’il y a encore la réflexion: de Londi à Ubuntu, de Anonyme à Vieux Ngando, sur cette analyse de B.B., tout a été bien circonscrit. Pour dire que dans ce contexte actuel du Congo, on va voir la maturité politique des prétendus leaders politiques; s’ils vont continuer d’afficher leur individualisme aveugle pour leur satisfaction personnelle, ou s’ils vont faire passer devant leurs ambitions individuelles, l’ambition collective de mettre fin au régime de sassou nguesso. Le chien a quatre pattes, mais ne peut suivre qu’un seul chemin; de même que le poste présidentiel est unique, et qu’avec le mandat présidentiel, les opposants peuvent faire le compte, raisonner sur les faits, qui leur montreront qu’ils ne pourront jamais devenir tous présidents de la république. Alors conscients de cette réalité, ils ne doivent plus que se résoudre à l’objectif exclusif de mettre fin au régime de sassou nguesso.