PROCLAMATION DU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE
Au cours de mon premier mandat, j’ai restreint l’entrée des ressortissants étrangers aux États-Unis, ce qui a permis d’empêcher les menaces à la sécurité nationale d’atteindre nos frontières, mesure confirmée par la Cour suprême. Dans le décret 14161 du 20 janvier 2025 (Protection des États-Unis contre les terroristes étrangers et autres menaces à la sécurité nationale et à la sûreté publique), j’ai déclaré que la politique des États-Unis est de protéger ses citoyens contre les étrangers qui envisagent de commettre des attentats terroristes, de menacer notre sécurité nationale, d’adopter une idéologie haineuse ou d’exploiter de toute autre manière les lois sur l’immigration à des fins malveillantes.
[…]
J’ai également déclaré que les États-Unis doivent être vigilants lors de la procédure de délivrance des visas afin de s’assurer que les étrangers dont l’admission est approuvée aux États-Unis n’ont pas l’intention de nuire aux Américains ou à nos intérêts nationaux. Plus important encore, les États-Unis doivent identifier ces étrangers avant leur admission ou leur entrée aux États-Unis. Les États-Unis doivent veiller à ce que les étrangers admis et les étrangers déjà présents aux États-Unis n’affichent pas d’attitudes hostiles envers leurs citoyens, leur culture, leur gouvernement, leurs institutions ou leurs principes fondateurs, et ne prônent pas, n’aident ni ne soutiennent des terroristes étrangers désignés ou d’autres menaces à notre sécurité nationale.
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PAR CONSÉQUENT, moi, DONALD J. TRUMP, Président des États-Unis d’Amérique, en vertu des pouvoirs qui me sont conférés par la Constitution et les lois des États-Unis d’Amérique, notamment les articles 212(f) et 215(a) de l’INA, 8 USC 1182(f) et 1185(a) et l’article 301 du titre 3 du Code des États-Unis, je déclare par la présente qu’en l’absence des mesures énoncées dans la présente proclamation, l’entrée aux États-Unis, en tant qu’immigrants et non-immigrants, des personnes décrites aux articles 2 et 3 de la présente proclamation serait préjudiciable aux intérêts des États-Unis, et que leur entrée devrait être soumise à certaines restrictions, limitations et exceptions. Par conséquent, je proclame ce qui suit :
Section 1. Politique et objectif . (a) La politique des États-Unis est de protéger leurs citoyens contre les attaques terroristes et autres menaces à la sécurité nationale ou publique. Les protocoles et procédures de filtrage et de vérification associés aux décisions de visa et autres processus d’immigration jouent un rôle essentiel dans la mise en œuvre de cette politique. Ces protocoles renforcent notre capacité à détecter les ressortissants étrangers susceptibles de commettre, de faciliter ou de soutenir des actes de terrorisme, ou de constituer une menace pour la sécurité, et ils contribuent à nos efforts pour empêcher ces individus d’entrer aux États-Unis.
(f) Après avoir examiné le rapport décrit au paragraphe (d) de la présente section et pris en compte les objectifs de politique étrangère, de sécurité nationale et de lutte contre le terrorisme des États-Unis, j’ai décidé de restreindre et de limiter totalement l’entrée des ressortissants des douze pays suivants : Afghanistan, Birmanie, Tchad, République du Congo, Guinée équatoriale, Érythrée, Haïti, Iran, Libye, Somalie, Soudan et Yémen. Ces restrictions font une distinction entre l’entrée des immigrants et celle des non-immigrants, mais s’appliquent aux deux.
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d) République du Congo
(i) Selon le rapport sur les dépassements de séjour, la République du Congo avait un taux de dépassement de séjour pour les visas B-1/B-2 de 29,63 pour cent et un taux de dépassement de séjour pour les visas F, M et J de 35,14 pour cent.
(ii) L’entrée aux États-Unis des ressortissants de la République du Congo en tant qu’immigrants et non-immigrants est par la présente totalement suspendue.
Lire l’intégralité de la déclaration de Donald Trump sur le site de la Maison Blanche : https://www.whitehouse.gov/presidential-actions/2025/06/restricting-the-entry-of-foreign-nationals-to-protect-the-united-states-from-foreign-terrorists-and-other-national-security-and-public-safety-threats/
En voici la preuve, comme quoi le Congo Brazzaville est une république Bananière, effectivement il y’a 5ans , j’ai voyagé avec une jeune fille de la RD Congo enceinte d’un colonel Mbochi qui détenait un passeport diplomatique de la République du Congo Brazzaville au nom de madame Issongo Ngala , mais c’était belle et bien sa photo de la petite kinoise qui y figurait sur le passeport. Par la peur de se faire arrêter me confiait un numéro de téléphone au cas où ça tournait au vinaigre. La multiplication de ces cas amener le président Donald Trump a prendre des mesures drastiques contre ces états voyous. Vous vous rendez compte même la RDC qu’on critiquait longtemps fait mieux que nous pourtant avec 100 millions d’habitants. Les Mbochi sont des dingues …
Bossuet disait, « nos vrais ennemis sont en nous mêmes ». Avant d’accuser le président Donlad Trump de quoi que ce soit et de le qualifier de tous les noms d’oiseaux, nous ne sommes pas sans ignorer du désordre organisé dans notre pays en matière de la production des pièces d’identité, les CNI et les passeports. Pour ces derniers, documents de voyage nous savons tous comment le ministère de l’intérieur dirigé par Raymond Zephirin Mboulou au lieu de faire sans travail normalement s’est livré à la vente des passeports, toute serie confondue aussi bien aux citoyens congolais qu’aux étrangers non naturaliser selon les procedures établies par la loi. Il n’ya pas longtemps, on l’a vu sur les reseau sociaux, la copie du passeport de la flamboyante épouse Christel Sassou Nguesso. Née le 5 novembre 1977 à Kinshasa mais sur le passeport congolais née le 5 novembre 1977 à Brazzaville. Erreur? Toute personne avertie du désordre qui règne au Congo repondra par la négative. Sans entrer dans les détails, ce cas n’est que l’arbre qui cache la forêt du désordre organisé par le clan Sassou Nguesso. Avons nous oublié les circonstances du départ du ministre Basile Ikouébé du ministère des affaires étrangères? Madame Claudia Sassou Nguesso, lui aurait enjoint de faire signer des documents pour lui permettre d’établir les passeports diplomatiques à ses amis. Pour n’avoir pas obtempéré ce ministre aurait été copieusement insulté et a fini par être ejecté du ministère des AE. Nous savons il a peu que le ministère français des AE avait interpellé l’ambassadeur congolais à Paris, parcequ’on a constaté qu’il avait certaines personnes qui detenaient des passeports sans remplir les conditions d’obtenir ce document de voyage. Combien coute un passeport au Congo? Officiellement 75 euros pour le passeport ordinaire. Mais pour l’avoir à ce prix, il est impossible. Le passeoprt au Congo s’eleve à 300 euros, 400euros, 500, euros voir 600euros pour les citoyens naturellement congolais. Mais ce prix est si elevé pour les ressortissants étrangers non naturalisés qui peuvent achéter ce document de voyage entre 2000 et 3000euros. Quant au passeport diplomatique, l’obtenir pour des sujets étrangers ( libanais souvent) le prix peut etre fixé entre 7000 et 10000euros par personne. Tout ceci est connu aussi bien par les services congolais qu’étrangers. Les diplomtes qui sont au Congo, ne sont pas venus tourner les pouces pour contempler tous les jours le majestueux fleuve congo lorsque par manque d’eau dans les menages ils y vont prendre leur bain du matin ou du soir. Ces diplomates travaillent et font des fiches pour faire parvenir à leur ministère de tutelle. Ça se passe comme ça. J’ai personnellement lu dans la page web du ministère des affaires étrangères d’un pays européen qui conseillait à ses ressortissants de ne pas aller investir au Congo B.à cause de son système fiscal et surtout de la corruption érigée en mode de gouvernance. Mensonge? Absolument pas! Donald Trump a lu la fiche du Congo fourni par ses services et a pris cette decision qui malheusement frappe les congolais lambda à cause de la cupidité et surtout l’irresponsabilité de leurs dirigeants. Ce que nous attendons que Sassou Nguesso et ses sbires puissent clarifier cette situation et qu’on arrete une bonne fois pour toute de trafiquer avec les passeports. Il faut reformer les services d’immigration et nommer des hommes responsables. L’homme qu’il faut à la place qu’il faut.
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La fripouille est fidele continuateur du desordre qu’il a cree avec son mentor
Ngouabi,l’homme qui lui faisait les promotions bidons.
La corruption est un mal d’importation dont la fripouille et sa clique sont devenus les maestros.Ce pays est a batir,les congolais doivent mettre un terme a ce systeme criminel,mafieux,malefique et diabolique ainsi que tous ses miasmes.Ensuite faire les reformes approfondies pour construire le congo.
Voila c’est a cause des individus comme ceux du pct et leurs satellites qu’on met tous les noirs dans le meme sac croyant qu’ils sont tous imbeciles.
Le peuple prend ton destin en mains et chasse ce groupe de criminels,voleurs et mafieux par les methodes dures.
Ces gens savent maintenant qu’on ne leur laissera plus jamais le temps de s’amuser, avec l’Afrique et les africains. Ils sont tout simplement à court de stratégies impérialistes folkloriques de destabilisation. La réalité c’est que donald trump est un raciste négrophobe fou, d’après elon musk, qui est piourtant son principal soutient financier et ami supprémaciste néo-nazi. Tous les deux sont des psychopathes complètement dingues, tant ils n’arretent plus de s’invectiver, en public. Ces occidentaux décadent ont un sérieux problème, avec la race noire. Pour s’en convaincre, il suffit de voir le funèste complot qu’ils sont entrain d’ourdire, contre l’Afrique du Sud, le pays du GRAND Nelson Mandela. Ainsi, nous appelons Brazzaville, aux cotés de tous les autres pays injustement visés, à prendre des sévères mesures de réciprocités. On s’en fout des blancs, on s’en fout du leucaderme jaloux, surtout les petits francais.
Affaires Congo USA, il y a bien un responsable: le ministre Zephirin Mboulou. En effet, c’est le plus médiocre ministre de l’intérieur que le Congo ait connu depuis son indépendance. C’est depuis que le sinistre Mboulou est en charge de la sécurité intérieure du Congo que les congolais souffrent pour se faire établir les passeports dans les delais les plus raisonnables. Depuis le régime de Fulbert Youlou 1960-1963, en passant par celui de Alphonse Masssamba Debat (1963-1968) puis ceux de Marien Ngouabi (1968-1977) de Yombi Opango (1977-1979), de Sassou Nguesso I (1979-1991), André Milongo (1991-1992) et de Pascal Lissouba (1992-1997), les citoyens du Congo post colonial n’ont jamais connu ce problème de passeports tel que nous sommes entrain de voir depuis le retour au pouvoir par les armes en 1997 du putchiste Sassou Nguesso. Oui ce regime criminel donc terroriste préfère délivrer les passeports congolais moyennant des grosses sommes d’argent aux étrangers, la plupart terroristes et penalise sans aucun motif ses propres citoyens. La mafia établi par le sinistre Mboulou et ses lieutenant doit être demasqué. Nous preferons colaborer avec les autorités américaines pour démasquer le système de Mboulou et ses mecanismes de falsifications de documents officiels que detiennent notamment les citoyens étrangers. Trump n’est pas dupe, il sait bien pertinement que les terroristes libyens qui ont fait explosé l’avion de ligne d’UTA le 19 septembre 1989 sont partis de Brazzaville, pays alors dirigé par le meme Sassou Nguesso qui ne semble pas renoncer aux actes de terrorisme. C’est ainsi, qu’il a donné les instructions à son siniste ministre mboulou d’établir des passeport congolais aux étrangers pour semer la terreur dans le monde.
Il est temps que ce monstre soit arrêté.