Le général Ferdinand Mbaou criblé de balles, mais hors de danger

Bessancourt, ce mercredi. Ferdinand Mbaou opposant au président actuel du Congo Brazzaville, qui vit en exil en France, a été blessé par balle à côté de son domicile mardi après-midi. (LP/Fr. N. et DR.)

Bessancourt, ce mercredi. Ferdinand Mbaou opposant au président actuel du Congo Brazzaville, qui vit en exil en France, a été blessé par balle à côté de son domicile mardi après-midi. (LP/Fr. N. et DR.)

Bessancourt : l’opposant congolais en exil blessé par balle

Une balle dans le dos. Le Général Ferdinand Mbaou, opposant farouche au président actuel du Congo-Brazzaville, Denis Sassou-Nguesso, a été grièvement blessé ce mardi après-midi, à proximité immédiate de sa maison de Bessancourt où il vit en exil

Peu avant 15 heures, l’ancien patron de la sécurité présidentielle au temps de Pascal Lissouba, le prédécesseur de Sassou Nguesso, s’apprête à rejoindre la gare de Bessancourt. L’ancien officier supérieur de 59 ans, qui incarne une ligne dure contre le régime selon les opposants, quitte son pavillon modeste de la rue des Beaux Lieux, emprunte le chemin qui coupe à travers les pavillons afin de prendre le train pour Paris. Mais il est attendu par son agresseur qui connaissait manifestement ses habitudes.

« J’ai entendu une détonation puis un homme crier. J’ai tout de suite compris que c’était une arme à feu », confie sur place un artisan dont l’atelier est installé quelques maisons plus loin.

Le tireur a aussitôt pris la fuite, laissant sur place sa victime, atteinte d’une balle au niveau de l’omoplate. Le blessé a été pris en charge par les secours avant d’être transporté à l’hôpital dans un état sérieux. Mais son pronostic vital n’était apparemment pas engagé au moment où les secours lui ont prodigué les premiers soins.

« Il n’y a pas, à cet instant, de revendication politique à ce geste », d’après le procureur

« Nous ne savons pas à l’heure actuelle si cette agression a un sens politique ou non », indique ce mercredi Yves Jannier, le procureur de Pontoise, qui confirme l’implication d’un tireur. « Il n’y a pas, à cet instant de revendication politique à ce geste. »

Ferdinand Mbaou, dont l’agression a donné lieu très rapidement à des articles sur les sites Internet de l’opposition congolaise, vit une existence des plus discrètes à Bessancourt. « C’est une famille qui ne fait jamais parler d’elle », confie une voisine, montrant une maison désormais vide de ses résidents, dont tous les volets sont fermés

C’est sur ce chemin pour se rendre à la gare de Bessancourt que Ferdinand Mbaou a été touché par un tir d’arme à feu. (LP/Fr.N)

C’est sur ce chemin pour se rendre à la gare de Bessancourt que Ferdinand Mbaou a été touché par un tir d’arme à feu. (LP/Fr.N)

« Il s’est présenté à moi à une occasion en m’expliquant qu’il était très préoccupé par ce qui se passait dans son pays. Mais il ne m’a jamais précisé qu’il menait une activité politique et qu’il était un opposant au régime actuel, confie le maire de Bessancourt, Jean-Christophe Poulet. Il n’avait aucune activité politique à Bessancourt. Il n’a, par exemple, jamais demandé de salles à la ville. » Le maire indique aussi avoir demandé au collège de garder les enfants dans l’enceinte de l’établissement le temps d’être assuré qu’ils ne courraient plus aucun risque, mardi après-midi.

Ce qui ressemble à un assassinat manqué intervient dans un contexte de tensions importantes au Congo-Brazzaville ou le président a organisé un référendum afin de pouvoir se présenter à nouveau en 2016, obtenant mardi plus de 92 % de oui, lors d’un scrutin boycotté par l’opposition. Celle-ci, qui dénonce une « dictature », avait déploré 17 morts lors d’une manifestation le 20 octobre (4 selon le gouvernement).

Frédéric Naizot

Source: http://www.leparisien.fr

« Lorsqu’on donne à son valet et dictateur le droit de changer la constitution de son pays au mépris du droit, c’est lui donner le droit de massacrer, non seulement ses populations, mais aussi ses opposants en France. Les sans-dent congolais vous disent MERCI pour ce moment ! »

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7 réponses à Le général Ferdinand Mbaou criblé de balles, mais hors de danger

  1. ELLIOS dit :

    Le putschiste vient nous assassiné en France avec l’aval de hollande! Bravo la Gauche!

  2. DENIS SASSOU PARADE: AUCUN ENFANT MORT! AUCUN PARENT BLESSE! AUCUN BIEN ENDOMMAGE! QUI A FAIT MIEUX POUR 15 ANS DE POUVOIR SUPPLEMENTAIRE? dit :

    Rien n’arrête plus SASSOU! Il se croit maintenant tout permis car les Militaires se terrent et les clowns comme NTSOUROU l’on conforté dans cette idée…

    VRAIS SOLDATS! RÉVEILLEZ VOUS! INTELLECTUEL REFUSEZ DE FAIRE PARTIE DE SON GOUVERNEMENT!
    C’EST CA LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE

  3. sankara dit :

    A la violence, il faut savoir répondre par la violence.

    Si Sassou se permet de tuer les gens comme des lapins c’est parce qu’il sait qu’en face de lui, il a des manifestants non-violents qui défilent sans armes avec des pancartes et qui sont prêts à se faire descendre comme des pigeons; il exulte car qu’il tue et tuera encore sans que personne ne lève le petit doigt.

    Il faut que la population congolaise se ressaisisse et commence par contre-attaquer avec virulence .

    LA VIOLENCE ENGENDRE LA VIOLENCE

  4. le fils du pays dit :

    Longtemps j’ai donne ma recette pour chasser la france du Congo comme l’a fait Algerie,c’est la force brute.Mr Sassou,pantin de la france c’est l’arbre qui cache la foret,ce n’est que la force brute qui peut faire plier le valet de l’empire francais au Congo et cela les Congolais surtout ceux de france ne veulent le comprendre ainsi.On repond a la violence par une violence.

  5. le revolutionnaire dit :

    ce fait étonne a plus d’un titre: le Gal Mbaou est reste longtemps en exil sans que cela ne gêne qui que ce soit. Un jour on apprend qu’il est rentre au pays comme par effraction et mis en taule. A quel moment a-t-il été libéré et comment a-t-il quitte le Congo pour se retrouver en France?
    A mon humble avis, il ya trop de zones d’ombre dans cette affaire.
    Et puis, pourquoi Mbaou et pas Touanga ? wait and see…

  6. Mayele dit :

    Quand un président ou régime sème la terreur, donne la mort à une minorité de son peuple, donne la mort aux opposants à l’intererieur , comme à l’exterieur du pays ( http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=5702 ) et devient un danger pour la paix, la sécurité intérieure et de la sous région, intervernir pour mettre fin à ce jeux dangereux, n’est plus une ingérence dans les affaires intérieures, mais plutôt un devoir d’ingérence.
    Sassou-Nguesso: Une menace pour la paix ,la stabilité politique, le développement au Congo et la sous région.
    Le droit d’ingérence: des pays démocratiques, de la la France, USA notamment vers le Congo doit sans fausse modestie s’exercer.
    La situation du Congo Brazzaville, n’a pas largement été couverte par les médias occidentaux. Elle a totalement été ignorée par les chefs d’États et de gouvernement, il est temps de ne plus continuer à se taire et laisser le peuple congolais face à une dictature monstrueuse. Il faut à tout prix éviter une nouvelle Syrie en Afrique.
    Sassou Nguesso est un dictateur, criminel, génocidaire,président de la république du Congo.
    Un pays peut ‘il se permettre d’être dirigé par un président sans foi ni loi, par un criminel, génocidaire?
    Qu’est ce qu’il faut encore espérer d’un chef d’état qui viole d’une manière si fraglante la loi fondamentale qu’il est sensé en être le garant ?
    L’alternance pacifique du pouvoir est le seul garant de paix et de démocratie partout dans le monde. Aussi longtemps que Sassou Nguesso et sa clique « s’obstinent à confisquer la destinée du peuple du Congo par la force des armes,de la terreur et des intimidations », restent au pouvoir, le peuple du Congo est en danger de mort et la paix, la sécurité, le developpement sont compromis. Sassou Nguesso a « promulgué la Constitution contestée,alors que les résultats plus que douteux sont contestés par l’opposition,peuple congolais voire certaines instances internationales. » Les morts,les blessés, les arrestations, les enlèvements, les assassinats et la propagande ont accompagné cette promulguation comme cela a été fait dans les jours précedents et plus tard jusqu’aujourd’hui.
    http://mwinda.org/fr/actualites/actualites-a-la-une/actualites/325-bathily-arrive-a-brazzaville-sassou-promulgue-sa-constitution-suivi-de-la-lettre-de-f-hollande
    Sassou Nguesso et son clan se sont attelés à leurs escroqueries politiques afin de se maintenir au pouvoir et continuer la gouvernance criminelle. Le changement de la constitution, référendum (anti) constitutionnel que le pouvoir à mis en marche à quelques mois de l’échangéance électorale de 2016 afin de maintenir le despote Sassou Nguesso au pouvoir,qui normalement était interdit de se représenter, ont livré le peuple à faire de plus en plus à une violence policière et militaire du pouvoir criminel de Brazzaville, OYo. Le peuple doit par tous les moyens continuer à s’opposer énergiquement à ce que Sasssou Nguesso; l’Hitler des tropiques. qui a complètement ruiné le Congo et qui est l’objet des plaintes pour des très nombreux crimes contre l’humanité ne se représente pas aux élections de 2016 puis continuer diriger ensuite le pays comme si de rien n’ était.
    Non seulement le bilan des évènements et des assassinants du 20 et 21 octobre 2015 est lourd, mais il est à signaler, que le minable assassin récidiviste et putschiste, génocidaire de tous les temps qui tient encore à diriger le Congo et qui sait que s’il n’est plus président, de nombreux procès s’abattront sur lui, ainsi que sur ses membres de familles et sa clique jusqu’à atterir à la CPI,ne cesse plus de commanditer les tueries, enlèvements et assassinats des jeunes gens et filles dans les quartiers sud de Brazzaville, de Pointe-Noire, dirigés par le très criminel chef de Police Gestapo;Jean François Ndenguet .
    « Ces derniers temps à Brazzaville les enlèvements nocturnes de jeunes gens et filles, dans les quartiers sud de Brazzaville font rage . Ces enlèvements seraient opérés, discrètement et parfois, affirment certains, au vu et au su de tout le monde, par des inconnus, sous le couvert de la Force publique.
    Depuis quelques jours des corps sans vie de jeunes garçons que les pêcheurs au fleuve congo ne cessent d’intercepter
    Les personnes visées et mortes seraient les partisans ou les sympathisants de l’opposition. Ces informations créent la psychose, dans certains quartiers. Il existerait «des escadrons de la mort», affirment certaines personnes. »
    http://brazza-news.com/?p=15208
    Sassou Nguesso et sa police, armée tribaliste, milice menacent, intimident davantage les opposants notoires, tuent le peupe désarmé. On saccage,on casse les logements des opposants, on emprisonne les manifestants pacifiques, on coupe l’internet et les communications téléphoniques. Les mois de septembre, octobre, novembre 2015 sont particulièrement marqués par la terreur agrandie au quotidien. Au Congo de Sassou Nguesso,la police Gestapo dirigé par le faux général genocidaire Ndéngé et l’armée milice; bourrée de criminels, mercenaires de tout genre donnent la mort, sèment la peur, la désolation. Pendant des jours de ces mois d’ octobre, novembre 2015 notamment, „le peuple du Congo s’ est mis dans la rue pour manifester contre un référendum anticonstitutionnel que le tyran Sassou Nguesso a convoqué en toute inégalité. Face à la désobéissance civile et citoyenne, la violence policière et militaire du pouvoir criminel ne cesse de s*abattre sur le peuple démuni.
    Le peuple est menacé de mort dans l’indifference presque totale. Les marches de protestations du peuple sont aussi à enregistrer en dehors du Congo. Les manifestations de la diaspora congolaise en France, aux USA sont aussi à prendre en compte, sans oublier les écrits très nombreux contre le référendum illégal de Sassou Nguesso
    dans les journaux internets tels que Zenga Mambu, Congo libération, DAC Congo Presse, Brazza News, Sukissa, Actualites – Congopage, mwinda ect. Bien que les Congolais ont très largement boudé le dit référendum sur un projet de constitution succeptible de permettre une nouvelle candidature au dictateur génocidaire Denis Sassou Nguesso, qui totalise plus de 31 ans de pouvoir.
    http://mwinda.org/fr/actualites/actualites-a-la-une/actualites/310-un-pseudo-referendum-macule-de-sang
    „Le 25 octobre 2015 restera gravé dans la mémoire de la majorité du peuple Congolais, comme étant le jour où une grande partie de l’héritage historique et démocratique de la conférence nationale souveraine de 1991 s’est écroulée“ paragraphe l’auteur écrivain congolais, Appolinaire NGOLONGOLO
    http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=5680
    « Denis Sassou Nguesso, le dictateur, qui est en train de se maintenir au pouvoir en république du Congo ( Congo Brazzaville),le quatrième producteur de pétrole en Afrique, » est un vieil allié de la France officielle et un criminel contre l’humanité »
    Le tyran Sassou Nguesso,ce militaire général, semi illétré est président de la république du Congo qui pendant plus de 32 ans, après avoir auparament été pendant 9 ans ministre de la défense, sécurité de 1968 à 1977 dans le gouvernement du président Ngouabi.
    Membre fondateur du Parti congolais du travail (PCT), le dictateur génocidaire, Sassou Nguesso qui, depuis 18 ans qu*il est revienu au pouvoir par la suite d’un coup d’état le plus sanglant de l’Afrique et de l’ histoire contemporaine, qui s’est dégenèré en guerre du 5 juin 1997 au 25 octobre 1997,était déjà président par coup d’état de 1979 à 1992. Il est le fosseyeur de l’ouverture démocratique de 1990-1992 au Congo marquée par la conférence nationale souveraine.
    A son retour au prix des milliers de morts et de destruction matérielle à la fin de l’année 1997, il fait adopter en 2002, une nouvelle constitution, taillée à sa mesure dans un esprit le moins démocratique du monde, après une période de transition voulu par lui meme.
    Le régime est déclaré présidentiel. La durée du mandat du président de la République est fixée à sept ans. Il monte un similacre l’élection „ au suffrage universel direct et se déclare vainqueur à plus de 80 %. Le gouvernement est dirigé par le chef de l’État. Il se proclame de nouveau lui seul à la fois président de la république, gouvernement ministre de la défense. Le poste de premier ministre est exclu. Il nomme personnellement le président du parlement et les membres complètement voués à sa cause.L’âge limite pour la candidature à la magistrature suprême est de 70 ans.
    Cette farce, il l’a repétée encore en 2009 pour faire se faire passer démocrate aux yeux du monde.Les pays démocratiques, surtout la France à qui Il brade le pétrole, le bois et autres matières premières n’ont jamais cesser de le protéger, car à leurs yeux, le dictateur est là pour garantir leurs intérêts égoistes, malgré ses crimes, génocides dignes de ceux commis par Hitler. Quand l’échéance de 2016 s’approche, le dictateur qui se voit enfermer par son propre piège, perdre le pouvoir pour devenir un simple citoyen et rendre des comptes pour des nombreux crimes contre l’humanité, génocides ne voit d’autres portes de sortie que changer de force sa constitution,l’organiser une parodie de référendum constitutionel.Face au refus à 90 % du peuple et de l’opposition agrandie, puisque nombreux des anciens collaborateurs, membres influents du Parti PCT ne cessent de rejoindre la dite opposition, Les congolais du Congo, la diaspora congolaise. Paris, Wanshington ne reconnaîssent pas les résultats truqués à ciel ouvert du référendum constitutionne de la honte.l, lSassou Nguesso, l’homme qui se dit de la paix et s’empressa à lire le 2 avril 1977, l’oraison funèbre de Ngouabi; président de la république du Congo assassiné le 18 Mars 1977, dans les circonstances mistérieuses et qui n’est en réalité autre que le commanditaire du dit assassinat, ne fait que recourir à la violence policière et militaire.
    La seule chose que ce Monsieur sans foi ni loi sait faire depuis plus de 40 ans qu’il s’est hissé au sommet de l’état. Les policiers, militaires, mlices, mercenaire de Sassou Nguesso menacent et intimident le opposants notoires, tuent le peupe désarmé. On saccage en rcasse les logements. L’internet et des communications téléphoniques sont coupés.
    A titre de rappel, Sassou Nguessou est depuis presque la chutte du président Massamba Débat, en 1968, lùn des pires dictateurs criminels, génocidaires du temps modernes. Il est l’équivalent d’hitler de l’Afrique et monde contemporain. Entant que président de république du Congo très riche en pétrole et matières premières depuis pratiquement le 14 août 1979,le dit dictateur, génocidaire ne cesse de semer la mort, la désolation, voler les richesses du Congo en bande organisée avec sa famille. Il ne cesse de s’enrichir et enrichir sa famille, membres du clan d’une manière très spectaculaire. Il partage l’argent du trésor du Congo pour des dépenses personnelles, celle de sa famille , l’achat des consciences, silence au Congo et à travers le monde.Oui, le dictateur génocideur Sassou Nguesso sait comment gagner la complicité des hommes politiques influents de la France notament et les grands hommes de ce monde pour garantir son impunité et continuer à tuer, assouffir sa soif de gloire, de grandeur sans etre inquiété. En bon dictateur, Sassou Nguesso est de surcroit un tribaliste, démagogue, un homme corrompu de la pire espèce.
    Animateur principal du groupe militaire ( CMP ) qui s’empare du pouvoir en 1976 après la mort de Ngouabi et qui monte une commission d’enquête, une cour martiale pour condamner à mort Massamba-Débat; un ancien président du Congo et plusieurs membres de la garde présidentielle et le fait exécuter, à l’instar du cardinal Emile Biayenda,ainsi que de nombreux autres innocents de la tribu Lari-Kongo, Sassou Nguesso est un dictateur génocidaire qui, jusqu’à présent a su bénéficier de l’indifférence de ce monde, de l’impunité totale grâce à la corruption et le soutient de l’ancienne puissance coloniale, la France plus motivée par les richesses du Congo du pétrole, du bois et des matières premières regorge le Congo Brazzaville, qu’au sort du peuple de ce pays.En 1979, Sassou Nguesso accède à la présidence. Après avoir laissé arrêter, Joachim Yhomby Opango,président de la république et aussi membre groupe militaire ( CMP )et un de ses complices dans l’assassinat de Marien Ngouabi,qu’il va laisser détenir jusqu’en 1984 au camp militaire de Pointe-Noire et laissé massacré son village, ses parents et les paisibles habitants de la localité,Sassou Nguesso s’attaque au « capitaine Pierre Anga, aussi membre du Comité militaire ( CMP ). Ce dernier avait pris le courage d’accuser Sassou de les avoir commandités à tuer Ngouabi. Il sera massacré de la manière la plus horrible, dans son village natal par l’armée de Sassou avec des centain autres villageois.
    En effet, »Le procès Marien Ngouabi n’a été qu’une machination politique qui a eu pour seul but qu’envoyer à la mort, celui dont un des conspirateurs considérait comme ennemi. Les débats judiciaires n’ont révélé qu’une machination atroce tendant à fabriquer des assassins, afin de tromper et manipuler le Congolais. Alors que, tout le monde savait que les vrais coupables n’étaient pas sur les bancs des accusés.
    En d’autres termes, ce que les Congolais appellent procès Marien Ngouabi, fut un moment d’atrocité, d’angoisse, d’humiliation, de honte, des exécutions sommaires et de tribalisme exacerbé contre les Congolais du sud en général et, en particulier contre les Bakongo du Pool. Tellement, cela a été sanglant que, personne n’en a jamais oublié au Congo. »Yhombi devint président de la république 1977-79. Sassou Nguesso lui prend de force la place le 5 février 1979. « Cette parodie de procès menée particulièrement par le dictateur Sassou Nguesso, a eu pour principal ouvrier un procureur de la république (commissaire du gouvernement), Monsieur Jacques OKOKO, dont le souvenir ne fait toujours pas honneur à la justice congolaise. Sa confession tardive n’a rien changé. Cela devient évident aux yeux des Congolais, que les dix exécutés du petit matin n’avaient rien à voir avec cet assassinat.
    Sassou Nguesso et les membres du C.M.P qui ont orchestré cette machination politique, règnent aujourd’hui en maître au Congo. » Le 7 février 1978, que les vrais assassins du président Marien Ngouabi ont ourdi une machination politique et organisé une parodie de procès contre des personnes qu’ils savaient pourtant innocentes, et les ont envoyés à la mort gratuitement pour effacer toutes suspicions sur eux.Ils sont vite montés en grade .Ils ont ainsi renforcé l’ethnisation politique,militaire, au sein de l’ex parti état PCT .Ils ont renforcé à outrance le tribalisme et les inégalités sociales au sein du peuple congolais.Sassou Nguesso II est revenu particulièrement renforcer, exploiter ce tribalisme pour ses fins politiques et créer un peuple plus que jamais divisé.Le peuple du Congo est davantage une Mosaïque.C’est ce qui explique aujourd’hui l´étrange phénomène qu’on observe avec inquiétude sur son combat contre la dictature de Sassou Nguesso et l’esclavagisme de Sassou Nguesso et famille. Le tribalisme empêche d’emblée le peuple congolais à faire cause commune contre l’énnemi commun d’aujourd’hui qui est Sassou Nguesso et sa dictature.
    http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=4237
    Malgré les affaires d’assassinats, massacres, génocides, d’épuration éthnique pendant la guerre du Pool de 1998 à 2003, des disparus du beach diffusées par des nombreux média du monde et témoignages, malgré la corruption,le vol organisé,dépravation des mœurs, la mal gouvernance,les « biens mal acquis », Sassou continue à se livrer dans les tueries, arrestations, enlevements, massacres des populations désarmées par sa police, armée tribales épaulées par les mercenaires, terroristes venus du monde entier.
    Avec la répression meurtrière qui frappe la population du Congo qui n’use que de son droit à manifester pacifiquement contre le référendum anticonstitutionnel du 25 octobre, rejeté en réalité par plus de 97 % du peuple,il est à comprendre que le Congo ne connaitra pas d’alternance, de paix normale si le dictateur génocidaire Sassou Nguesso qui continue à commanditer les tueries,faire assiéger à résidence les opposants, emprisonner les journalistes arrive à réussir de garder par la force le pouvoir. Avec cette rage, ses astuces incroyables qu’il utilise comme d’habitude pour faire admettre contre vents et marée une révision constitutionnelle qu’il n’avait pas juridiquement le droit afin de se permettre de prolonger encore son mandat, on peut bien voir comment le Congo dirigé par le sanguinaire Denis Sassou Nguesso; déjà au pouvoir depuis plus de 32 ans ne d’avantage fait que de crimes, agression,génocides,insécurité,de bien mal acquis, de corruption à outrance. Si préoccupé d’échapper à la justice, le dictateur-génocidaire ne veut pas tirer les enseignements de l’histoire. Et aucun conseil n’est capable de le ramenner réellement à la raison.Avec son coup d’etat constitutionnel de Sassou Nguesso tenter à se protéger à tout prix ou veut entrainer le Congo dans le chaos. Il faut rester très vigilant. » Que tous ceux, de près ou de loin, encouragent le génocidaire Sassou-Nguesso dans la voie sans issue de se maintenir coûte que coûte au pouvoir se ressaisissent et comprenent de quoi il se font complice ». Les congolais et le monde doivent le comprendre sans fausse modestie.On ne peut pas laisser d’avantage un criminel, génocidaire qui ne pense qu’à lui, à sa famille, clique diriger le pays . Le mal du Congo est Sassou Nguesso, sa famille et sa clique. Sassou Nguesso et sa clique ménacent la paix, la sécurité, le developpement au Congo, dans la sous -région. „L’instauration de la paix au Congo est une entreprise de salut national, qui impose aux différents acteurs de la vie politique une honnêteté intellectuelle, un sens de la responsabilité très élevé dans la gestion de la chose publique et un amour pour le pays, autrement dit un patriotisme au sens noble du terme.
    Malheureusement, au Congo du sanguinaire Sassou-Nguesso, la paix véritable peine à s’installer, à trouver ses marques, parce que Sassou-Nguesso est à la fois juge et partie. Il ne jouit d’aucune impartialité et d’aucune forme de confiance auprès des congolais. »
    http://congo-liberty.com/?p=8961
    Les opposants, les forces de la société civile, le peuple, le monde doivent s’organiser pour mettre un terme à la dictature de Sassou Nguesso et détruire tout son systeme.
    « Sassou n’est plus en droit d’exiger un quelconque dialogue ou de négocier quoi que ce soit pour la bonne et simple raison, ce 6 novembre dernier, il vient lui-même de commettre l’erreur fatale qui lui vide de toute sa substance légitime Et ce, après avoir fait massacrer les congolais par des corps expéditionnaires étrangers et surtout utiliser des balles réels sur des populations désarmées.. C’est désormais un président illégal et illégitime en trahissant sa propre constitution du 20 Janvier 2002. »
    http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/politique/2744-sassou-a-promulgue-sa-constitution-et-alors-.html
    Cet ceci que les opposants, les acteurs de la société civile et la presse doivent bien comprendre. Il est judicieux de mener un travail de pédagogie sans faille, surtout à l’ égard de beaucoup de ressortissants du nord, que nous avons tout à gagner de faire cause commune, en laissant à l’écart tout se qui nous divise pour aller de l’avant. « En imposant par la force d’une armée de mercenaires, une nouvelle constitution élaborée à huis clos, en dehors de toute assemblée constituante légale, et en violation des dispositions de la constitution en cours, juste pour convenance personnelle, Sassou a démontré le peu d’importance qu’il accorde aux lois de la république, et aux traités internationaux. De par un tel acte aussi ignominieux que flagrant, Sassou entend imposer sa personne, sa volonté, ses intérêts comme la seule loi qui devra compter dans la gestion des affaires congolaises. L’unique loi à laquelle il entend contraindre les congolais et la communauté internationale. Sassou entend personnifier la loi. Il impose au peuple congolais l’assujettissement, l’asservissement, la soumission à l’égard de sa seule volonté, aux seuls intérêts de sa famille et de son clan. »
    http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/politique/2740-pourquoi-nous-devons-combattre-la-dictature-des-nguesso-sans-faillir.html
    La complicité des responsables politiques et des affaires des pays démocratiques, notamment de l France envers Sassou Nguesso, en passant par la déclaration débile du président Hollande, les prises de positions des medias comme « jeune Afrique. sous la plume de François Soudan est un scandale à dénoncer très fort et sans cesse. Les agissements de Sassou Nguesso sont capables de provoquer le désordre que l’on connait dans bien des pays comme Somalie.Il faut tout le monde le comprenne.Honte aux Congolais qui soutiennent encore un criminel, génocidaire qui renvoie le Congo à son passé sanglant des années 90. Qui vous dit si Sassou Nguesso n’est entre autre pas derrières le chaos de la république centrafricaine.

  7. MOUNK dit :

    Qu’est s’est-t-il réellement passé pour ce « pauvre » militaire? L’enquête de police nous le dira!

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