Pour ne pas humilier le despote Sassou Denis et ne pas lui servir la soupe, Jupiter avait inscrit in extremis, au coin d’une table de son bureau Elyséen, l’escale de Brazzaville, au lendemain du One Forest Summit de Libreville (Gabon).
Dormir à Brazzaville hantait les esprits de Macron et de sa délégation. Une capitale souillée par une kyrielle de crimes de sang commis par Sassou Denis, docteur Honoris Causa de la criminalité organisée.
Né vers 1943 à Edou, petit village de pécheurs aux environs d’Oyo, père de plusieurs enfants issus de plusieurs femmes, on dénombre à Sassou Denis plus de cinquante enfants (50) avec plusieurs femmes dans des liaisons hors mariage, selon Wikipédia.
Sassou Denis est celui qui a doublement tué le président Marien Ngouabi. En sectionnant sa carotide dans la chambre numéro 8 de l’hôtel Mistral de Brazzaville, et en faisant de la veuve sa maîtresse avec qui il a eu une fille qu’il a fait convoler, sans gêne, en justes noces devant les caméras.
Comment eût été possible pour Emmanuel Macron de dormir à Brazzaville, là où Sassou Denis a fait enterrer vivant le cardinal Emile Biayénda, séquestrer jusqu’aujourd’hui le corps du président Alphonse Massamba-Débat, fait prisonnier André Okombi Salissa et Jean-Michel Mokoko, le vainqueur de l’élection présidentielle de 2016, et, cerise sur le gâteau, capitale d’un pays dans lequel cinq membres de son ethnie possèdent à eux seuls plus de six mille milliards de dollars dans les paradis fiscaux?
La conférence de presse « improvisée » par Sassou Denis dans le palais des gouverneurs généraux de l’Afrique Equatoriale Française de l’époque (et non à l’époque) comme asséné par le despote d’Edou, a montré à Macron les limites et l’usure de son sous-préfet.
Quel intérêt pour Sassou Denis de rappeler de manière hasardeuse le passage du général de Gaulle, dont les propos prononcés le 30 juin 1944 à Brazzaville sonnent comme une provocation. Cette année-là, le général de Gaulle écartait l’idée d’émancipation des colonies en repoussant, avant de préciser ses recommandations, « Toute idée d’autonomie, toute possibilité d’évolution hors du bloc français de l’Empire; la constitution éventuelle, même lointaine, de self-governments (auto-gestion) dans les colonies est à écarter ».
En clair, de Gaulle que vante Sassou Denis, exclut toute émancipation de l’Afrique en dehors du cadre fixé par la France. Nul doute, Sassou Denis est bien un homme du passé, un nostalgique qui se plaît et se complaît à être enchaîné par le colon français. Quitte à nous interroger sur ses facultés cognitives.
Pis, après plus d’une quarantaine d’années d’exercice autoritaire du pouvoir, tout ce que Sassou Denis a eu à proposer à Emmanuel Macron, c’est de lui faire visiter, lors de son hypothétique retour à Brazzaville, l’école de peinture de Poto-Poto. Une école qui est à l’abandon et qui ne bénéficie d’aucune subvention publique, toute détournée par l’oligarchie d’Oyo. Et Dont le terrain est illégalement occupé. Terrain pour lequel la famille O. peine à faire exécuter depuis des décennies un jugement d’expropriation et d’indemnisation prononcé par le tribunal de Brazzaville.
Despote ambivalent, paresseux et infréquentable, fort avec les faibles, Sassou Denis a toujours divagué. Comme en Corée du Nord, il a organisé sa dictature et son despotisme selon le système idéologique monolithique de la fumée et de la diversion. Tout ce qu’il dit n’est que du vernis. C’est-à-dire, sans socle et ne repose sur RIEN.
Par voie de conséquence et avant qu’il ne soit trop tard pour lui et son clan, nous lui demandons de prendre le chemin de l’exil avec sa trousse de maquillage. Las de sa redondante logorrhée et de ses schémas désuets, les Congolais aspirent à autre chose.
Où que nous nous trouvons, l’Unité de tous est plus que jamais la clef de voûte qui contribuera à chasser du Congo Sassou Denis. Habitué à manipuler, à diviser et à corrompre, ses heures sont comptées. Le camouflet que Emmanuel Macron vient de lui infliger en refusant de dormir à Brazzaville est un signe avant-coureur d’une chute annoncée.
Désormais, les cartes sont rebattues. Tout dépend de nous et de notre volonté à libérer notre pays de la dictature de Sassou Denis et de son système.
Allons-nous continuer à subir, ou est-ce le moment de relever la tête ?
« Il n’ y a pas une population, il n’y a pas un homme dans le monde qui, aujourd’hui, ne lève la tête et n’interroge son destin ».
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 14 mars 2023, par www.congo-liberty.org
C’est aux congolais épris de liberté de balayer ce cynique mortifère de Sassou Dénis , car la cinquantaine d’ enfants ,la centaine des petits enfants , la centaine des neveux et nièces qui vivent à travers le monde coûtent très chère aux contribuables congolais. Dans cette grande familles d’ abrutis personnes ne travaillent ! C’est sûr Macron préfère un idiot comme Sassou Dénis qui est très obéissant surtout qui se vante d’avoir rapatrié les ossements du colonisateur de Brazza et toute sa famille.
Une famille préfabriquée , qui vit de la gentillesse de nos parents nvilis ,admirateurs du submersible SASSOU . On y trouve ,gabonais , rdcéens , etc tous aux frais du lait maternel congolais , inépuisable .
Voilà une famille au Monopoly congolais . L ‘accès y est réservé à peu de gens. C’est la divine famille dont la genèse commence par Sassou père .
Lire ,une famille qui joue au Monopoly.
Qu’allons nous retenir de Martin Luther king , cette phrase : » il nya rien de plus tragique que de dormir durant une révolution. C’est une révolution sociale balayant l’ancien orde colonialiste. ». Et dans notre propre nation ,il balaie l’ancien ordre esclavagiste et de ségrégation raciale.Le grand défi auquel chaque diplômé est confronté aujourd’hui est de demeurer éveillé durant cette révolution sociale ».
Cette maxime est la préfiguration du Congo Brazzaville post Sassou.
En analysant minutieusement cette pensée révolutionnaire de King ,l’on se rend compte d’une seule chose : Restons éveillés. Car l’éveil prend la dimension sociopolitique d’inspiration revendicative et donc révolutionnaire ou Marxiste.
C’est la prise de conscience de l’aspect ignominieux du régime qui sévit au Congo Brazzaville ..
Nb: se réveiller est sacrément plus dur que de s’endormir.
Faut savoir lire les signes du temps. Monsieur sassou et sa clique ont été mis à nu. Tous savent ce qu’il se passe au Congo-Brazzaville et plus personne ne veut défendre ni s’afficher publiquement avec ce despote et son régime. Au peuple congolais de prendre ses responsabilités.
Macron sera encore en place lors de la prochaine présidentielle congolaise à laquelle sassou père ou fils sera candidat, il ne lèvera pas le petit doigt pour lui. A nous de porter le coup de grâce si nous voulons récupérer notre pays et en faire une petite Suisse.
Ingèta !!!